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    La Petite Sirène
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    3,8
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    252 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 mars 2013
    un de mes Disney préféré !

    l'animation est magnifique et les chansons inoubliables !
    très bon doublage également, surtout du crabe Alexandre !

    un classique !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 septembre 2010
    Un classique de chez disney. L'univers est envoutant et nous fait rêver. Un grand film d'animation.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 février 2008
    zéro pointé pour avoir repris un animé merveilleux "marina la petite sirène" (the little mermaid) réalisé par Tim reid. Animé qui est lui un vrai chef d'oeuvre. Soi disant que comme la fin est triste c'était pas un film pour les enfants. Que néni !! Je l'ai vu et revu quand j'étais gosse, j'ai chialé à chaque fois et ça fait du bien de ne pas voir que la niaiserie parfois. C'est comme ça qu'on ne devient pas un gosse pourri par exemple. Bref. Marina la petite sirène, c'est un conte d'une rare beauté, d'un rare romantisme. Que c'est beau, que c'est du bon. Pas comme cette pâle copie qui ne fait ni chaud ni froid de disney. Je ne suis pas du tout anti disney. Mais celui-ci est bidon !
    legend13
    legend13

    245 abonnés 1 054 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 avril 2020
    Ce dessin animé marqua le renouveau des studios d'animation Disney. C'est une œuvre sympathique qui se laisse regarder volontiers mais qui m'a absolument pas marqué quand j'étais gosse et qui, maintenant adulte, ne fait pas partis de mes classiques. Mais chacun ces goûts.
    Eselce
    Eselce

    1 385 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 septembre 2015
    Un film magique, comme beaucoup de Disney. Un incontournable de poésie, d'aventure, de romance et de poésie. Beaucoup d'humour et de superbes dessins avec un doublage français magnifique, surtout pour les chansons d'Ursulla. J'aime toujours à l'âge adulte, une merveille !
    Diabloxrt
    Diabloxrt

    37 abonnés 1 435 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2024
    "La Petite Sirène" est le premier gros classique d'animation de chez Disney à être sorti dans cette grosse période de la fin des années 80 et qui continuera dans les années 90. Si je n'avais jamais accordé trop d'importance à ce projet, le synopsis et les thématiques ne me tentant pas vraiment, j'ai finalement succombé aux charmes de cette adaptation après plusieurs années. Même si ce n'est pas mon Disney préféré, je comprends ce qu'on lui trouve et je dois reconnaître qu'il possède un certain charme. Baignant dans une animation et dans un univers extrêmement soigné, le film est un long-métrage appelant au voyage et à l'évasion. Des thématiques assez classiques et que l'on a déjà vu des dizaines de fois, mais qui peuvent toujours marcher dans ce genre de production, surtout si on en fait quelque chose d'intéressant. Ce film-ci fait d'ailleurs partie de cette liste, avec un univers qui tire parti d'inspirations assez diverses. L'ensemble est riche, que ce soit au niveau des décors, des environnements ou des personnages. On s'attache assez facilement à tout cela, sans que cette impression soit forcée. Ariel est une héroïne que l'on comprend assez rapidement, elle s'avère assez attachante. Ce qui est également le cas du reste des personnages, que ce soit pour Polochon ou Sebastian. Ils forment une équipe assez amusante à voir et leurs interactions seront toujours divertissantes et drôles à voir. Les chansons permettent également de bien les mettre en scène et de nous attacher encore davantage à eux. À noter également, que ces petits passages musicaux sont assez bons. Ma chanson préférée étant certainement "Sous l'océan", que j'ai encore dans la tête à l'heure actuelle. En réalité, je n'ai donc pas plus de choses à ajouter. J'ai aimé le film, mais sans l'adorer pour autant. Il est un Disney assez honnête et il vient surtout montrer les bonnes bases qui seront utilisées pendant de nombreuses années par la firme. Pour conclure, un moment agréable.
    Plume231
    Plume231

    3 873 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 décembre 2013
    Un Disney que j'aurais vu quand j'étais petit mais dont je ne garde pas le moindre souvenir. On va mettre cela plus sur le fait qu'on oublie beaucoup de choses de son enfance que sur celui que "La Petite Sirène" est un dessin animé agréable mais pas particulièrement mémorable...
    Agréable parce que certains personnages secondaires, en particulier Sébastien le crabe, sont très réussis et puis l'héroïne est craquante (très bonne idée de s'être inspiré d'Alyssa Milano pour le physique !!!) bien qu'on peut se demander ce qu'elle trouve au Prince vu qu'il est aussi attirant et dégourdi qu'un bulot atteint de la vache folle. L'autre truc à ne pas oublier dans un Disney, c'est au moins une chanson culte et inoubliable récompensée par un Oscar, là il s'agit d'"Under the Sea" ; par contre le reste de la BO ne laisse pas un souvenir flamboyant...
    Pas particulièrement mémorable pour les quelques défauts déjà évoqués au-dessus mais aussi pour un scénario au final assez prévisible.
    Disons qu'on est à la surface, voir légèrement plus haut, au niveau de la qualité...
    Akamaru
    Akamaru

    3 083 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 février 2011
    Couramment vu comme le Disney de la renaissance,"La Petite Sirène"(1989)renoue,c'est vrai,avec des valeurs,que le studio aux grandes oreilles avait perdu dans les années 80.Dans les fondamentaux,on retrouve l'utilisation d'un conte profond(celui d'Andersen),dont le contenu est allégé pour en faire un spectacle joyeux et optimiste.Ariel,la jeune sirène attirée par le monde des humains,en dépit des avertissements de son père Triton,perdra la voix,obtiendra de vrais jambes,pour conquérir le prince de ses rêves,après un terrible affrontement avec Ursula la méduse.J'avoue avoir un peu de mal avec cet animé,trop calibré public féminin,et trop aseptisé.Les chansons,pour le coup,sont envahissantes et cassent le rythme,alors que la mièvrerie frappe parfois à la porte.Il manque l'oppression poétique du roman.Mais il y a aussi des sidekicks inoubliables,de Polochon le petit poisson rondouillard à Eureka le goëland en passant par Sébastien le crabe.Les graphismes passe-partout ne prêtent pas le flanc à la critique,et la morale sur la cohabitation des peuples est adéquate.Ca reste un plaisir de le revoir.
    Alexis D.
    Alexis D.

    104 abonnés 877 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 avril 2019
    Sans doute l'un des meilleurs films d'animation Disney de tous les temps, ainsi qu'un grand classique Disney incontournable, "La Petite Sirène", sans pour autant être un énorme coup de cœur, est un Disney que j'apprécie énormément et qui aura bercé mon enfance. Chaque séquence de "La Petite Sirène" est d'une importance à celle qui la suit, chaque détail a son importance par la suite. Le spectateur ne peut qu'être emporté par l'ingéniosité dont fait preuve le scénario du film. Pourtant, celui-ci s'évertue à casser tous les codes du conte original de Hans Christian Andersen, ne conservant que vaguement la trame originale, retenant quelques scènes clés (à l'image du sauvetage du Prince), mais préférant complètement diverger jusqu'à même trahir le dénouement du conte original. Pour autant, l'adaptation Disney réussit à bâtir une histoire moderne, et surtout, à réinventer le traditionnel conte de fées disneyen. Blanche-Neige, Cendrillon et Aurore étaient en effet des héroïnes passives (osons dire potiches) qui n'attendaient qu'à être secourues peu importe par qui (tout du moins du moment qu'il est beau, riche et Prince). Ariel au contraire prend sa destinée en main, quitte à mettre en péril et sa vie, et sa relation avec son père. "La Petite Sirène" réussit aussi l'exploit de rendre accessible le conte de fées aux garçons. Il faut dire que le film ne lésine pas sur les moyens et sur les innombrables effets spéciaux. Même l'informatique est utilisée à de nombreuses reprises apportant avec elle des effets de caméras superbement travaillés (Ariel qui dévale un escalier, ou encore la métamorphose d'Ursula...) et pour transcender certaines scènes inoubliables du film. D'ailleurs, parlons du scénario du film, qui est une grande réussite. En effet, le film s'ouvre sur spoiler: une séquence où l'équipage maritime du Prince Eric chantonne gaiement et où le majordome du Prince, Grimsby, lui évoque la possibilité d'un monde sous-marin. Un poisson s'échappe et rejoint ce fameux monde sous-marin des sirènes mâles et femelles gouverné par le roi Triton qui organise un concert, mais qui découvre lorsque ses filles font le show que sa fille Ariel est absente. En effet, Ariel est une jeune et très belle sirène, fille benjamine du roi Triton. Cependant, le monde des humains la fascine, elle rêve d'avoir des jambes et de vivre sur la terre ferme et donc elle visite une épave avec son ami le poisson Polochon. Un requin les attaque mais tous deux s'échappent et viennent présenter à Eurêka, une mouette savante qui connaît bien le monde des humains, leurs trouvailles, une fourchette et une pipe. Ariel finit par s'apercevoir qu'elle a loupé le concert et rentre au royaume de son père avec Polochon. Cependant, elle est surveillée par deux affreuses murènes, qui sont au service de la sorcière des mers Ursula, qui a été bannie du royaume des sirènes par Triton et qui rêve de pouvoir se venger. Justement, elle compte bien utiliser Ariel pour parvenir à ses fins... Au palais du roi Triton réprimande sévèrement sa fille et lui interdit formellement d'approcher le monde des humains, et charge le crabe Sébastien, chef d'orchestre, de veiller sur sa fille et de la surveiller étroitement. Ariel se réfugie alors dans sa cachette secrète où elle collectionne les objets et "trésors" du monde humain qui la fascine. Arrive ainsi l'une des meilleures séquences du film, ainsi qu'un moment épique d'anthologie des films d'animation Disney, la chanson d'Ariel "Partir là-bas" (d'une puissance lyrique et d'une intensité émotionnelle forte) qui évoque sa fascination pour le monde humain et son désir d'émancipation, ainsi que son envie de faire partie de ce monde qui la fascine et dont elle est tombée amoureuse. Après avoir découvert que Sébastien la filait, elle est attirée par un bateau à la surface. Elle assiste alors à une fête organisée par l'équipage du Prince Eric, qu'elle rencontre donc et qui la fascine. Elle sauve de la noyade le Prince Éric dont le navire a fait naufrage lors d'une violente tempête et en tombe amoureuse. Alors qu'il reprend ses esprits sur la plage où elle l'a ramené, il l'entend chanter, et, n'ayant pas réussi à lui parler, jure qu'il épousera la jeune fille à la voix merveilleuse quand il la retrouvera. De son côté Ursula, prévenue par ses murènes Flotsam et Jetsam, est ravie de cette nouvelle. De retour au royaume de Triton, Ariel réalise qu'elle désire ardemment revoir le Prince qui l'a ensorcelée. Sébastien essaie alors de la convaincre que la vie sous la mer vaut bien mieux que celle que les humains ont sur Terre. Vient alors la célèbre et magnifique chanson interprétée par Sébastien, "Sous l'océan", magnifique ballet maritime envoûtant, entraînant et mémorable. Mais Polochon murmure quelque chose à Ariel et l'emmène voir la statue du Prince Eric dans la cachette secrète d'Ariel. Cependant Triton, alerté par Sébastien qui a vendu la mèche malgré lui, débarque et détruit tous les trésors de sa fille. Désespérée, Ariel est abordée par les murènes d'Ursula qui la conduisent chez elle et ainsi Ariel conclut un pacte avec Ursula, la sorcière des Mers aux tentacules de pieuvre. Celle-ci lui donnera deux jambes en échange de sa douce voix de sirène. Mais si Ariel ne réussit pas à embrasser le Prince Éric dans les trois jours, elle redeviendra une sirène et l'esclave d'Ursula pour toujours. C'est le moment de la magnifique et cultissime chanson d'Ursula, "Pauvres âmes en perdition", à l'issue de laquelle Ursula retirera la voix d'Ariel. Finalement Ariel rejoint le château d'Eric qui la retrouve, l'emmène dans son château et prend soin d'elle. Au château, on fait la connaissance de Carlotta, la gouvernante, et de Louis, le chef cuisinier, qui essaie sans succès de cuisiner Sébastien pour le dîner du soir. Au cours de ce dîner, Ariel et le Prince Eric se rapprochent, et Prince Eric propose à Ariel de lui faire visiter son royaume le lendemain. Ariel en est ravie, tandis que de son côté son père culpabilise et la fait rechercher en vain. Le lendemain, comme promis, Prince Eric emmène Ariel en balade pour visiter son royaume. Le soir venu, les deux entament une balade romantique en barque sur un lac et arrive alors la merveilleuse chanson d'amour du film, interprétée par Sébastien et son cœur choral d'animaux, "Embrasse-là", au cours de laquelle les amis animaux d'Ariel font tout leur possible pour approcher Ariel et Prince Eric, très intimidé, qui n'ose pas embrasser Ariel. Voyant qu'Ariel parvient petit à petit à gagner le cœur du Prince Éric (malgré qu'elle soit muette), Ursula interrompt ce moment magique via Flotsam et Jetsam et se transforme en une belle jeune femme nommée Vanessa et utilise la voix d'Ariel afin de séduire le Prince Éric. Puis elle ensorcelle le Prince Éric avec sa voix et le convainc de l'épouser. Les amis animaux d'Ariel, aquatiques et terrestres, décident alors de venir à sa rescousse en perturbant le voyage de noces d'Éric et d'Ursula, transformée en Vanessa avec la voix d'Ariel. Lors de la bataille sur le bateau nuptial, Eurêka brise le coquillage d'Ursula renfermant la voix d'Ariel, révélant à Éric la vraie nature de sa future épouse. Ariel peut ainsi récupérer sa si jolie voix. Le soleil se couchant au bout des trois jours, Ursula reprend sa forme aquatique de la méchante sorcière des mers et enlève Ariel pour la soumettre à jamais. Le roi Triton, prévenu par Sébastien, intervient auprès d'Ursula pour libérer sa fille Ariel en échange de sa couronne, ce qui confère d'importants pouvoirs à Ursula, la méchante sorcière des mers. Le Prince Éric parvient cependant à libérer Ariel, provoquant la terrible colère d'Ursula, la méchante sorcière des mers, qui se met à leur poursuite en prenant une taille gigantesque. À la fin du film, le Prince Éric finira par tuer Ursula, la méchante sorcière des mers, en lui plantant le mât d'artimon de son navire en plein cœur. Ariel redevenue sirène se résout à devoir vivre loin d'Éric, mais c'est sans compter sur la bienveillance de son père, le roi Triton, qui lui permet de retrouver ses deux jambes afin d'épouser son adoré Prince Éric. Le film s'achève sur le mariage d'Ariel et d'Éric, recevant la bénédiction du roi Triton, le père d'Ariel, et Ariel qui dit adieu à son père et au monde sous-marin, dans une magnifique scène finale remplie d'émotion. Le film se conclut sur la reprise chorale de "Partir là-bas", et c'est vraiment émouvant
    . Avec son scénario habile, ses personnages hauts en couleurs, et surtout ses somptueuses chansons, ce Disney est un chef d'œuvre du cinéma d'animation. Disney avait bel et bien réussi avec "La Petite Sirène" à renouer avec son succès d'antan, tout en modernisant son concept sans pour autant renier ses racines. "Oliver et Compagnie" mais surtout "La Petite Sirène" auront ouvert la voie à la décennie de l'animation musicale. Les personnages sont très bien écrits et très attachants. Commençons par le personnage principal Ariel. C'est une jeune sirène aux cheveux de feu, qui est la cadette des sept filles du Roi Triton, souverain d’Atlantica, un royaume de l'océan. Âgée de seize ans, c'est une jeune fille rêveuse qui brûle d'envie de découvrir le monde des humains qui la fascine et dont elle collectionne les objets qu’elle trouve dans les épaves qu’elle explore avec son meilleur ami, le poisson Polochon, et qu'elle conserve dans une grotte secrète sous l’océan. La relation entre Ariel et son père est compliquée parce que le Roi Triton, inquiet pour sa fille, n’accepte pas sa fascination pour le monde des humains qu’il perçoit comme une menace. Pour Ariel, au contraire, seule la vie humaine, si différente du quotidien ennuyeux des sirènes, vaut d’être vécue et elle est bien décidée à tout apprendre de cette civilisation. En parlant du roi Triton, ce personnage est le souverain d’Atlantica, ville prospère bâtie sous l’océan. Il possède des pouvoirs magiques, contenus dans son trident magique. Cet homme sirène couronné aux longs cheveux et à la barbe blanche est le père de sept filles, parmi lesquelles sa cadette Ariel, sa préférée. Ce roi aimé et respecté par ses sujets est aussi un père autoritaire au grand dam d’Ariel… Animé à l’égard des humains d’une vive crainte teintée de haine, il s’oppose fermement aux velléités de sa fille Ariel, passionnée par le monde de la surface, qui nourrit le projet de rentrer en contact avec des représentants de l’espèce humaine. Cependant, le désir de la jeune sirène de connaître ce nouveau monde qui la fascine tant est bien plus fort que les interdictions de son royal paternel. Conscient de cet état de fait, le Roi Triton confie à son musicologue officiel, le crabe Sébastien, la mission de suivre sa fille et de tout mettre en œuvre pour l’empêcher de s’approcher de la surface de l’océan. Mission quasi impossible, tant Ariel est déterminée. En effet, le personnage du roi Triton est bien stéréotypé : c’est l’homme fort, qui représente le pouvoir, l’autorité et l’interdit : c’est lui qui interdit à Ariel d’être en relation avec les hommes (l’autre monde, qui représente, bien sûr, le sexe opposé). Les amis d'Ariel sont également intéressants. Polochon, poisson tropical de forme ronde et de couleur jaune à l’exception de ses nageoires bleues, est le meilleur ami de la sirène Ariel. Véritable trublion débordant de joie de vivre, il est un rayon de soleil dans la vie d’Ariel, lassée de la routine de sa vie sous-marine et rêvant d’aventures à la surface et de découvrir la vie humaine. Outre ses pitreries et sa maladresse, c’est aussi par sa loyauté à l’égard de son amie que Polochon s’illustre. En effet, le petit poisson est toujours là pour prêter main-forte à la petite sirène lorsque celle-ci est en difficulté : c’est ainsi qu’il n’hésite pas à la défendre face à la colère et aux réprimandes de son père, le Roi Triton… Prêt à tout pour faire le bonheur d’Ariel, c’est lui qui retrouve et lui offre la statue militaire représentant le Prince Éric, tombée au fond de l’océan après le naufrage du navire princier. Même lorsque venir en aide à Ariel signifie la perdre pour toujours, Polochon n’hésite pas à être à ses côtés : ainsi, lorsqu’Ariel est devenue humaine en ayant passé un contrat périlleux avec Ursula, Polochon se démène pour qu’elle puisse emporter le cœur du Prince Éric avant le terme du laps de temps de trois jours fixé par la sorcière des mers. Quant à Sébastien, musicologue très distingué de sa majesté le Roi Triton, c'est un crabe qui joue auprès du souverain d’Atlantica le rôle de chef d’orchestre et de compositeur attitré de la cour ainsi que celui de conseiller du monarque. Lorsque le petit crabe rouge au fort accent caribéen apparaît pour la première fois à l’écran, il est en train de diriger, devant le Roi Triton et sa cour, un concert mettant en vedette les sept filles du souverain. Son attitude vindicative à l’égard d’Ariel et les principes d’éducation et de bonne conduite qu’il défend fermement donne l’idée au Roi Triton de faire de son musicologue le chaperon de sa cadette : Sébastien, à son grand désespoir, devient donc la nounou de la princesse Ariel… Un travail de chaque instant ! Dès lors, Sébastien suit Ariel comme son ombre tout au long de la journée et doit notamment veiller à ce qu’elle ne s’approche pas du monde des humains qui la fascine plus que tout. Sébastien mise sur ses talents de musicien, bien aidé par d’autres animaux marins mélomanes, pour vanter à Ariel les mérites de la vie aquatique lors de la chanson "Sous l’océan". En vain… Malgré tout le mal qu’il se donne, le crabe doit se résoudre rapidement à assister impuissant aux escapades de la jeune sirène à la surface des flots. Par culpabilité, par compassion ou par sens du devoir pour éviter que la princesse devienne l’esclave d’Ursula en échouant à remplir sa part du contrat, Sébastien finit par se ranger définitivement du côté d’Ariel. Dès lors, il décide de l’aider à retrouver le Prince Éric puis à le séduire et, pour se faire, l’accompagne sur la terre ferme. Une nouvelle fois, il mise sur la force de la musique, créant une atmosphère propice à la séduction et à la naissance d’une idylle lorsqu’Ariel, recueillie à la cour du Prince Éric, et son bien-aimé font une balade en barque. Ursula, elle, est une sorcière des mers malfaisante qui, depuis qu’elle a été bannie d’Atlantica par le Roi Triton, vit comme une marginale dans son repaire isolé dans le squelette d’un Léviathan entourée de ses murènes qui lui sont totalement dévouées, Flotsam et Jetsam. Créature moitié humaine et moitié pieuvre aux formes très généreuses, elle possède six tentacules noirs, une peau mauve, des cheveux blancs hirsutes et un maquillage outrancier. Ses actes et desseins malfaisants sont clairement exposés au moment de sa chanson "Pauvres âmes en perdition" durant laquelle la sorcière s’illustre par un déhanché infernal qui se veut sensuel. On y apprend que les Polypes, sortes de petites anémones de mer, qui peuplent son antre sont des sirènes qui ont échoué à honorer leur part du contrat les liant à la sorcière des mers qui, en guise de dédommagement, les a transformé en ces créatures insignifiantes, prisonnières de son repaire. C’est aussi durant cette séquence qu’Ursula passe un accord avec Ariel, la fille du Roi Triton qu’elle espère, sur les conseils de Flotsam et Jetsam qui guident jusqu'à elle la jeune sirène, utiliser pour causer du tort à celui qui l’a condamnée à l’exil. A la fin du film Ursula touche enfin au but : Triton est transformé en polype et la sorcière des mers devient la nouvelle reine de l'océan. Ce n’est pas pour autant fini puisqu’Ariel et Éric refusent d’abandonner le combat. En voulant désintégrer le Prince Éric à l’aide du triton magique du roi déchu, elle prend finalement pour cible ses deux murènes qu’elle chérissait comme ses enfants à cause de l’intervention d’Ariel. Entrant dans une colère incontrôlée, elle devient géante et représente alors plus que jamais une menace pour tous ceux qui l’entourent. La gigantesque sorcière est finalement définitivement abattue grâce au Prince Éric qui parvient à l’empaler sur la proue brisée de son navire… Sa magie disparaissant avec elle, le Roi Triton et les autres sirènes transformés en polypes recouvrent leur véritable apparence : la menace Ursula n’est plus ! Cela dit, Ursula, de par sa personnalité charismatique, sa soif de pouvoir et sa dangerosité, est clairement l'une des meilleures méchantes de l'univers Disney, elle est en effet profondément marquante, et son personnage est extrêmement réussi. Mon personnage préféré du film reste le Prince Éric qui est un jeune souverain courageux et idéaliste dont la petite sirène Ariel tombe amoureuse au premier regard. Le jeune prince rêve du grand amour et rechigne à un mariage d’intérêt, au grand dam de son valet, conseiller et garant de l’étiquette, Grimsby, qui voit d’un mauvais œil le célibat de son maître s’éterniser. En attendant de trouver le grand amour, Éric se passionne pour la navigation et les mystères de l’océan. C'est vraiment l'un de mes princes préférés de Disney, profondément beau (agréable à regarder, comme le précise Ursula) mais aussi très gentil, très doux, très attachant, courageux, attentionné, attendrissant, honnête, intègre et loyal, généreux, déterminé, et enfin rêveur et romantique. C’est clairement mon troisième prince Disney préféré. Les autres personnages comme Grimsby, Eurêka, Louis ou Carlotta sont eux très sympathiques et attachants. Cependant "La Petite Sirène" n'est pour autant pas dénué de défauts, à commencer par l'animation des personnages qui donne quelquefois l'impression d'un fort tâtonnement. Le visage d'Ariel change ainsi du tout au tout d'une séquence à l'autre, la morphologie de Sébastien change constamment de volume, tandis qu'Eric grandit et se tasse selon le besoin de chaque scène. A part ça, l’animation est splendide, fluide, et le travail sur l’eau, les bulles, la fluidité des mouvements des personnages, tout cela est très remarquable. Les chansons, elles, sont magnifiques et mémorables, j’ai déjà évoqué "Partir là-bas", "Pauvres âmes en perdition", "Sous l'océan", "Embrasse-là", mais d'autres sont légèrement moins mémorables, comme "Dans les profondeurs de l'océan", "Les poissons", ou "La chanson de Vanessa". Non content de bénéficier d'une bande-son impeccable, d'un scénario fort et de personnages attachants, "La Petite Sirène" connaît également une réalisation technique aussi ambitieuse qu'irréprochable. Certaines scènes sont ainsi véritablement bluffantes. La tempête, le numéro musical d'Ursula ou le final sont à ce titre exceptionnels. Il faut dire que 80% du film disposent d'effets spéciaux ! A cela, une raison simple : la localisation de l'histoire dans le milieu marin. Chaque mouvement se doit en effet d'être suivi d'ondulations ou de bulles. Mais à bien y regarder, "La Petite Sirène" traite particulièrement de la découverte de la sexualité et de la soif de pouvoir. Concernant la découverte de la sexualité, on voit clairement notre héroïne Ariel qui découvre l’amour et le sexe auprès du prince Eric, et qui travaille de plus en plus sa féminité au cours du film. Concernant la soif de pouvoir, ce film met en valeur le personnage d’Ursula qui veut s’élever dans l’échelle sociale et qui cherche à usurper le pouvoir masculin du roi Triton (elle utilise Ariel uniquement pour chercher à atteindre Triton) et ainsi devenir la Reine des Océans. La jalousie et la soif de pouvoir sont donc des thèmes qui parcourent ce Disney. Sinon ce film parle de l'adolescence, du désir de liberté, de sexualité, de rébellion face à l'autorité du père, d'amour, d'émancipation, de rapport à la famille, de la découverte de son corps et de sa sexualité, mais aussi de la féminité et de la place des femmes dans la société. Au final on peut toutefois regretter que l'émancipation de l’héroïne passe surtout de la domination d'un homme à celle d'un autre. Ce film regorge cependant de scènes mémorables (la scène d'introduction, la scène de sauvetage d'Eric, la scène de mariage de Vanessa et d'Eric, la bataille finale avec son climax de fin très fort, très prenant, avec une bataille maritime épique et dramatiquement très forte, avec Ursula qui se sert du trident de Triton pour menacer le couple Ariel/Eric (super couple au passage, très attachant et qui dispose d'une bonne alchimie) au sommet de sa puissance). C'est un film qui regorge d'enjeux dramatiques forts, et certaines scènes sont très tristes (la scène où Ariel, en larmes, regarde sans rien pouvoir faire le bateau qui se prépare à célébrer le mariage de Vanessa et d'Eric ou encore la scène où le roi Triton désespère de ne jamais retrouver sa fille, pour ne citer qu’elles) mais on a aussi des scènes émouvantes joyeuses (comme la scène finale où Ariel dit adieu à tout son monde, la scène où elle finit enfin par pouvoir être avec Eric ou le passage musical de "Sous l'océan"). C’est un film avec un rythme soutenu, et on ne s’ennuie jamais. Les relations entre les différents personnages sont par ailleurs très bien travaillées. Les principales sont les relations Ariel/Triton, Ariel/Polochon, Ariel/Sébastien, Ariel/Eric et aussi Ariel/Ursula. Concernant la relation Ariel/Ursula, il s’avère, d’une part, qu’Ursula est jalouse de la beauté et de la jeunesse d’Ariel, et d'autre part, qu’elle se sert, sans vergogne et sans morale d’Ariel pour régler ses comptes avec la vie et ses injustices, tout en se vengeant de Triton. Elle gagne ainsi sur les deux tableaux. Ariel, quant à elle, connaît sans doute la plus grande détresse de sa vie et perd une dignité, non pas ontologique mais posturale : en sacrifiant sa voix, c’est comme si elle vendait son âme au Diable. Elle se réduit elle-même, par son manque de discernement, à l’état de marchandise, ce qui est une totale régression pour la femme libérée. Ursula, elle, précise notamment qu’elle avait, à une époque, une place privilégiée au palais, place qu’elle semble avoir perdue à cause de son comportement : "de mon temps, on savait s’amuser, à l’époque où moi, je vivais au palais", se lamente-t-elle; et elle enchaîne : "et maintenant, regardez-moi… balayée de tous comme une vulgaire courtisane !". A ces derniers mots, on peut comprendre qu’elle était une courtisane de la cour du roi Triton, et que son comportement quelque peu déplacé a provoqué son bannissement définitif. Ariel, en effet, semble être l’occasion pour Ursula de se venger du roi Triton. Ursula se sert d’elle, de sa confiance, de son ignorance, dans le seul but de toucher le roi Triton et Triton, quant à lui, est furieux de savoir que sa petite dernière a eu des relations avec cette femme détestée. Concernant la relation Ariel/Polochon, c’est tout simplement une amitié très forte et sincère qui les unit, et Polochon est l’ami loyal qui fait tout pour le bonheur de son amie Ariel. La relation Ariel/Sébastien est un peu plus complexe car on voit bien que Sébastien au départ se conduit juste comme le serviteur de Triton envers Ariel mais il va réellement finir par s’attacher à elle et à tout faire pour son bonheur et de son côté Ariel va apprendre à lui faire confiance. La relation Ariel/Eric est une jolie relation de couple, avec un côté tragique puisque les deux amoureux sont séparés par Ursula pendant une partie du film. Cependant ce couple défie les stéréotypes car ici c’est le prince Eric qui tombe amoureux de sa sauveuse. Ici c’est Ariel qui endosse le rôle du prince charmant qui sauve Eric la demoiselle en détresse de la noyade lors d'une tempête. Ariel l'a même sauvé deux fois. Eric ne tombera amoureux d'elle que quand il entendra sa voix, et fait attention à ne pas abuser de la position de faiblesse de la jeune fille au milieu du film. Il aime la personnalité d’Ariel en tant que jeune femme rêveuse, passionnée, curieuse, enthousiaste, attentionnée et douce et aimante, et surtout sa voix. En retour Ariel apprécie chez Eric principalement sa beauté mais aussi sa douceur, sa tendresse pour son chien Max et sa gentillesse. Les deux forment un couple très mignon et très attachant, et qui est mis en valeur par des éléments dramatiques intéressants, comme la difficulté d’Ariel à lui avouer son amour en raison de son mutisme, la présence d’Ursula qui veut les empêcher de s’unir pour qu’elle puisse mener à bien ses projets, ou encore le dilemme du Prince Eric qui doit choisir entre la femme à la si belle voix mais qui est inaccessible et la femme qui est douce et aimante et accessible. Mais ce qui cimente le plus ce film, c’est la relation Ariel/Triton, qui est une relation très conflictuelle car le roi Triton se conduit un peu comme un père castrateur et Ariel se rebelle contre lui car elle le voit comme un père trop autoritaire malgré son amour pour lui mais à la fin l’enjeu est que le roi Triton finisse par accepter les humains et accepter l’émancipation de sa fille, ce qui donnera lieu à des séquences d’émotion très fortes entre lui et sa fille (la destruction de la grotte d’Ariel, les scènes de réprimande, les scènes où Triton est saisi de remords, la scène où Triton prend la place de sa fille comme esclave d’Ursula (un moment de bravoure mémorable et ultime dans les films Disney) ou encore la scène d’adieu finale, très belle et très émouvante). Le roi Triton représente ainsi pour la jeune fille le père castrateur; d’ailleurs tant qu’Ariel vit sous son toit, elle est "frustrée" par sa queue de poisson qui peut représenter une sorte de "ceinture de chasteté" rendant impossible pour elle toute sexualité. C’est auprès de la figure féminine dominatrice (Ursula), femme émancipée et sans complexe (voyez comme elle étale ses formes généreuses), qu’Ariel va pouvoir s’affranchir de l’interdit posé sur le sexe : c’est Ursula qui lui permet d’avoir des jambes (attribut suprême de la féminité), et c’est en s’éloignant de la maison du père, en fuguant même, qu’elle va pouvoir rencontrer l’amour. La preuve en est : pour pouvoir vivre pleinement son amour, même avec la bénédiction de son père, elle sera forcée de garder ses jolies jambes et de faire une croix définitive sur sa queue de poisson. On peut cependant regretter que la morale de fin soit aussi discutable (l’héroïne agit sans réfléchir à ses conséquences, met tout le monde en danger et à la fin elle a tout ce qu’elle veut pour la récompenser de son attitude égoïste). C’est cependant un film magique, féérique (à ce titre la séquence chantée "Partir là-bas" est un bijou de poésie, de romantisme, d’onirisme, de magie et de féérie). Ce passage est tellement romantique et poétique, mais aussi mémorable ! Il y a dans ce film une magie Disney, qui bien sûr n'est plus la même qu'avant. Considéré à juste titre aujourd'hui comme un immense chef d'œuvre et le fer de lance de la décennie du succès, "La Petite Sirène" est un Disney qui mérite toujours aujourd'hui son statut d'œuvre culte ayant traversée les décennies sans prendre la moindre ride, et reste un film romantique, poétique et touchant de Disney, avec une bande-son totalement culte, et qui nous raconte un beau conte de fées moderne. Bref, un très grand classique Disney magique et incontournable à voir absolument, un bijou d’animation réalisé par les grands John Musker et Ron Clements, qui a contribué au second âge d’or des studios Disney. Une perle incontournable des studios Disney
    RealPrime
    RealPrime

    81 abonnés 1 740 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 décembre 2021
    Blanche-Neige, Aurore, Cendrillon, Alice, toutes ces jeunes femmes sont les premières icônes mystiques de l'univers Disney certes, mais il est une différence de taille qu'il n'est point à oublier, aucune n'à réellement de chanson ayant eu une durée conséquente lors de leur aventure, l'une chante quelques secondes, l'autres frôle le ridiculissime gentillet et les dernières n'en ont aucune personnelle ou alors participes de près ou de loin. Ici, nous plongeons dans un conte, une fresque, un mythe, une plongée millénaire dans un savoureux mélange de mythologie Grecque et de légendes marines. Ici, j'ai enfin trouvé la première véritable œuvre d'art du studio. Sur le récit rien de très révolutionnaire soyons franc, un monde de marin, de navire, d'aristocratie comme la firme aux grandes oreilles sait si bien le faire, pour nos personnages, Arielle est, est, un bijou dans son jeu, un bijou dans son visuel et sa gesticule, son interprétation l'est tout autant en montrant à la juste perfection sa sensibilité, son charme ultra décapant et son côté sexy je l'dis clairement. Sur le plan musicale, pareil que pour le restant, une partition magistrale, magnifiant poésie, dynamisme habituel et puissance sonore, la chanson d'Arielle "Partir là-bas" en est l'ultime exemple tant dans ses paroles que dans sa mélodie. Puis toutes les sonorités secondaires rappel sans cesse avec talent l'univers lyrique, épic et impérial menant le récit de son démarrage à son apogée royale. Le duo évidement, drôle, touchant, romantique sans tomber dans le ridicule à souhait mais dans le comique de circonstance nous fait vivre des moments superbement orchestrer, Arielle trouvant toujours le moyen de se mettre correctement en valeur. Sébastien et Polochon forment ce duo secondaire culte avec énormément de comique et d'énergie, le crabe ayant d'ailleurs SA grande scène musicale et SA scène presque macabre dont on aurait clairement peine pour lui. Enfin, Ursula, visqueuse mais aux couleurs sublimes offre la première chanson pour une vilaine Disney et emporte tous dans un typhon mélodique sublime aux paroles certes noires mais tant bien interprétées. Le contrat et le vol de la voix offrent la majestuosité suprême à l'instant tant le son lyrique et les mouvements d'Arielle y sont parfaits. Quand à la métamorphose de la pieuvre en sublime brune je l'dis également, elle nous offre une entrée nocturne triomphale et un solo en bateau aussi sexy que ténébreux. Le final manqua de longueur mais reste unique en démesure. Une mention au roi des mers, le Poséidon de Disney dans sa grandeur dorée. Avec tous cela, autant dire que j'en attend tant du futur live qu'il nous sera offert avec les éléments démonstratifs ayant fait de ce film aquatique, une vraie épopée marine, une romance musicale sublime et drôle avec ses côtés charmeurs. Une toile ou devrais-je plutôt dire, une étoile de maître.
    Nico2
    Nico2

    84 abonnés 939 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 septembre 2008
    Cette libre adaptation du conte d'Andersen est certainement un des meilleurs films des studios Disney. L'animation est absolument superbe et d'une qualité rarement atteinte, la musique et les chansons d'Alan Menken sont inoubliables, les personnages sont attachants et drôles, Ursula est une méchante fantastique. Ce dessin animé est une très jolie histoire sur les relations père-enfant ainsi qu'un hymne magnifique à l'amour. Un véritable chef d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 août 2009
    Un très bon dessin animé. Malgré l'époque les décors sont magnifiques. Les personnages sont attachants, et l'histoire est originale. A voir !
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    982 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mai 2013
    Le tumultueux passage à vide des années 80 a eu l'effet d'un coup de fouet pour les studios Disney qui, en 1989, se voit offrir une véritable résurrection avec le retour du conte européen adapté au cinéma. Réalisé par les deux auteurs de Basil Détective privé, John Musker et Ron Clements, La Petite Sirène s'avère être le premier (et unique) conte d'Andersen à être adapté par le firme aux grandes oreilles. Remodifiant allégrement la trame alors tragique de l'histoire originale, les deux metteurs en scène parviennent à nous éblouir avec une réalisation époustouflante et un scénario finalement féérique. Cela faisait trente ans depuis La Belle au Bois Dormant que Disney ne s'était pas intéressé au schéma classique du conte de fée mettant en scène une princesse et une méchante sorcière. Le pari était osé, il est ici réussi : l'univers marin peuplé de sirènes et d'animaux aquatiques nous transporte dans un monde merveilleux inoubliable. Ajoutant ce qu'il faut de romance, d'aventure et de magie pour combler petits et grands, La Petite Sirène arrive sans peine à entrer au diapason des meilleurs Classiques d'animation Disney. Il faut dire que la qualité inouïe d'animation, la présence de personnages colorés attachants et des chansons inoubliables contribuent grandement à la réussite du film. Ainsi, personne n'oubliera les facéties de Polochon le poisson peureux, de Sébastien le crabe antillais, d'Eurêka la mouette farfelue ni l'imposante "prestation" d'Ursula la sorcière des mers, aussi effrayante que décomplexée. Ariel campe quant à elle l'une des plus mémorables princesses Disney, naïve et insouciante mais également courageuse et téméraire, portant le dessin animé sur ses épaules. Au final, porté par une réalisation novatrice, des chansons mémorables ("Sous l'océan" obtint Oscar de la meilleure chanson originale) et un scénario aussi épique que romantique, La Petite Sirène redore efficacement le blason d'une franchise alors en bas de la pente.
    moket
    moket

    523 abonnés 4 321 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 avril 2023
    Un très bon Disney qui, comme souvent, n'a plus grand chose à voir avec le conte original ; ce qui le rend moins dramatique et plus joyeux. Le scénario n'est pas mal et le monde sous-marin très inventif : ce film respire la bonne humeur.
    ptitmayo
    ptitmayo

    37 abonnés 969 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2007
    C'est toujours une histoire d'amour, mais elle est moins mièvre que dans Cendrillon. L'attrait de ce film d'animationest u'il se déroule dans le milieu marin avec des sirènes. En effet, ce film est prétexte à la création de créatures sous-marines particulièremnt drôles et originales et la différence entre les 2 mondes(sous la mer et sur la terre) donne de la crédibilité au combat d'Alice. Le personnage du crabe est très réussi car irrésistible et La sorcière est vraiment horrible. Un bon film d'animation.
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