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JamesDomb
104 abonnés
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3,0
Publiée le 6 juillet 2012
Révélé par la série culte That '70s Show, Topher Grace a ensuite enchainé les apparitions dans Trafic de Steven Soderbergh, Le Sourire de Mona Lisa de Mike Newell et donné du fil à retordre à Spider-Man dans le troisième film de Sam Raimi. Il produit et interprète Une soirée d'enfer, comédie nostalgique des années 80 qui paraît certes très (trop ?) sage aujourd'hui, presque anachronique, mais qui sous ses allures kitsch révèle une certaine sensibilité voire une délicatesse d'écriture. Si elle manque singulièrement de rythme et se perd avec le personnage du pote horripilant, l'abattage de Topher Grace et de la géniale Anna Faris ne manquent pas de charme, le joli minois de Teresa Palmer est des plus attractifs, les costumes et les coiffures lorgnent du côté de Wedding Singer et demeurent sympathiques. Soutenu par une bande-originale tout droit sortie du Top 50, Une soirée d'enfer ne révolutionne certes pas le genre mais contient son lot de scènes décomplexées (dont une avec Angie Everhart particulièrement gratinée) et fun (le vol de voiture) qui ne sont pas sans rappeler La Folle journée de Ferris Bueller.
Un teen-movie se doit d'être sexy, drôle et inventif, pour le sexy et le côté fun du revival années 80 on sera là mais pour l'humour et l'inventif on repassera pour sûr. Rien de nouveau sous le soleil de la comédie US, encore un film qui ne laissera aucun souvenir dans deux heures.
Ouais bof. Voilà ce qui résume le sentiment à la fin de ce film. La faute à une histoire vraiment pas très originale, on se doute déjà de la fin à peine le début commencé. De plus pour une comédie, c'est loin d'être drôle et le titre français fait un peu pub mensongère. Reste les musiques, compilation de tubes des années 80 qui rappelleront des souvenirs à certains.
Mélange entre potache et film mélancolique (de surcroît le cadre de l'action se situe dans les années 80), "Une soirée d'enfer" porte bien son titre. Le film suit la soirée d'une poignée d'ados fêtant la fin de l'année scolaire. Rien d'extrêmement original pour une histoire aux ressorts comiques un peu éculés, mais le film se regarde avec une certaine nostalgie. Surtout quand sont abordées les histoires de cœur des protagonistes. Le final explosif vaut le détour.
Une comédie romantique avec un duo de copains d'enfance, assemblage typique quasi antagoniste, styles opposés du beau gosse intelligent et timide et du balourd extraverti formé par le tandem Topher Grace et Dan Fogler pour les situations comiques complété par la soeurette Anna Faris, toujours excellente mais ici dans un rôle finalement peu conséquent et déterminant pour une soirée d'enfer qui va regrouper les anciens élèves et camarades de faculté du style la place des grands hommes de Bruel où on voit ce que chacun est devenu, a réussi ou raté. C'est le cas du personnage interprété par Topher Grace, ancien meilleur élève qui est vendeur dans un magasin de jeux vidéos, qui se cherche, n'ose pas entreprendre alors que ses pairs ont pour la plupart réussi en particulier dans le monde de la finance. Mais cette soirée est l'occasion de recroiser la bombe inaccessible de la faculté, le fantasme incarné que le héros n'a jamais vraiment osé abordé et c'est un peu l'histoire de cette soirée. C'est un film typique comédie américaine avec parfois des moments comiques un peu lourds mais toutefois réussis et drôles. Si l'acteur principal n'éclate pas, le film est magnifié par l'excellente, la sublime, et surtout solaire Teresa Palmer qui occupe tout l'écran de sa beauté, charisme, présence, talent et aussi ce su'elle renvoie de sympathique, empathie, sincérité, honnêteté et valeurs et sentiments feel good, le tout avec un charme fou sans une once de vulgarité. Elle est le soleil de ce film au final assez drôle, assez romantique et qui passe très vite car très rythmé et équilibré entre humour et romance. A noter la présence dans un rôle totalement décoratif de la très belle Nathalie Kelley, fast and furious 3,Tokyo drift. Une très bonne comédie romantique avec encore une fois une Teresa Palmer exceptionnelle.
Vu en VF, qualité de la VF : affreuse. Mais bon, le film étant déjà très mauvais, ça ne change pas grand chose. Bon alors en gros y a rien à sauver dans le film. C'est même pas drôle, c'est même pas divertissant. Le film se passe dans les années 1980, mais c'est tout qui est daté, c'est déjà ringard ce genre de comédie, c'est pas possible de faire des trucs encore comme ça, sans aucune once d'originalité, avec les mêmes personnages pathétiques et insupportables qu'on retrouve déclinés par différents actrices et acteurs dans les comédies de ce genre. Et ici en pire, car y a même pas de gags divertissants qui permettraient au spectateur de sourire un peu et d'arrêter de regarder sa montre.
Film plutot sympathique. On passe un bon moment, certaines séquences sont vraiment très drole et touchantes.Et que dire de Theresa Palmer, absolument magnifique...
Retour dans les années 80 pour cette comédie potache qui fait penser a very bad trip et american pie ou on se marre bien, ou ya de belles nana et de la bonne muzik.
Le film, qui se passe dans les années 80 entièrement reconstituées, trouve ici son intérêt principal. C'est un peu mince, mais on peut aussi considerer une bande son superbe. Sinon, on y trouve aussi pas mal de poncifs (le pote sans complexe qui décoince l'autre, la superbe créature qu'il n'arrive pas à avoir...), mais passé ces quelques lourdeurs, on passe un moment de détente et de sourire sans trop de prise de tête. "La soirée d'enfer" n'est qu'une pale copie d'un excellent film de George Lucas, mettant en scène la jeunesse américaine à travers une soirée mythique sur fond de rock'n'roll "American Graffiti". On le préfèrera, sur le même thème.
Un bon film de soirée vraiment pas mal, avec un concept basique cependant : alors que l’été 1988 touche à sa fin, trois amis au seuil de l’âge adulte se rendent à une fête endiablée pour enterrer leurs folles années de jeunesse. Comédie romantique "eighties", truffée de tubes canon de l’époque, avec Duran Duran en fond sonore, posters de Madonna et Whitney Houston au magasin de disques local, de la neige plein le nez, "Une soirée d’enfer" se veut être un hommage aimable à l’esprit festif d’une décennie clinquante et notamment aux productions John Hugues qui pullulaient à cette époque. C’est joli tout plein, entre la bande-son d’un épisode de "Miami Vice", les éclairages au néon dignes de "Flashdance" et les hésitations romantiques où les vraies valeurs ne sont pas à chercher du côté de la toute puissante Golden Sachs où le héros, qui bosse dans un vidéo-club (plein de VHS, si, si), prétend à une belle plante qu’il travaille, lors d’une soirée de la dernière chance pour séduire celle qui enflamme son cœur depuis le lycée. Avec son scénario initiatique de production adolescente, on ne peut pas vraiment s’emballer pour l’intrigue qui manque franchement de folie, malgré quelques scènes plutôt drôles (et dénudées), mais on se demande ce que viennent encore faire Anna Faris, Dan Fogler et surtout Topher Grace dans ce type de production. N’ont-ils pas passé l’âge ? Nous oui...
Assez sympa cette comédie n'est certes pas si aussi original que ça mais vaut le petit coup d'oeil, les personnages sont attachants et bon. Bref un petit very bad trip assez cool pour se détendre.
'Une soirée d'enfer" pourrait clairement être considéré comme un cinéma divertissant qui ne reste pourtant pas dans les mémoires plus d'une semaine. Loin de faire l'infidélité des comédies d'aujourd'hui, cette production se laisse regarder sans broncher en proposant un casting loin d'être détestable. Anna Farris, mais aussi Michael Biehn correspondent plutôt bien à leur rôle; toutefois, Topher Grace aurait gagné à mieux rebondir depuis sa correcte interprétation de Venom dans "Spider Man 3".
Une pochade désastreuse sur un sujet mille fois vu.... on a l'impression désagréable de voir une remake de plusieurs films d’adolescents pré et post pubère. Aucune originalité dans ce film dont l'idée viendrait de Topher Grace lui même, film qui fit un bide suprême au point d'obérer sa carrière quelque temps.... rien à sauver sauf peut être la musique et Teresa Palmer.