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Un visiteur
1,0
Publiée le 30 octobre 2013
Vraiment le pire film que j'ai vu avec Bruce ...
Les (trop) longues scènes où l'on ne fait que casser des bagnoles ou exploser tout ce qui se trouvent à moins de 2 mètres n'essaient même pas de cacher l’inexistence du scénar (si on peut encore l'appeler ainsi).
Ne mérite même pas le temps que l'on passe devant ...
Impossible de finir ce film à ca$h dont l'invraisemblance n'a d'égale que la réalisation d'amateurisme. Deux exemples: la plus visible, lorsque Bruce tue et/ou blesse et/ou met en péril des dizaines d’innocents sur son passage, mais cela n'inquiète personne puisqu'on en tire une blaguounette adolescente à la fin de la séquence; et la plus classique, la multitude de montages ratés. Un vrai torchon.
Ok, celui là est clairement moins bon que les precedents. Même le scénario n'est pas extra, et la scène finale, je ne l'ai pas du tout trouvé bonne. Mais sinon les fans d'action et de baston trouveront toujours leur compte.
Rien de ce qui faisait le sel de la série Die Hard n'est présent dans ce 5ième épisode. Et en plus, on sent Bruce Willis lassé par le rôle de John Maclane. Mieux vaut en rester à Une journée en enfer et prier pour qu'un 6ième épisode ne voit jamais le jour.
Cet opus n’est qu’un banal film d’action qui n’a plus aucun rapport avec la trilogie initiale. Où sont passés l’intrigue où McLane se retrouve au mauvais endroit au mauvais moment, son marcel, ses répliques assassines, ses ennemis d’envergure qui lui en font baver ?
mais TROP TROP TROP TROP ABUSE! Le flambeau est bien passé à la nouvelle génération, mais c est vraiment gros, bourrinage à fond, des tas de blessures, mais une bonne intrigue au final.
Incompréhensible! Les 4 épisodes précédents étaient top, la franchise ne s'est jamais essoufflée, c'est resté une référence et le 4eme épisode a su conserver le même niveau. Mais là ... un scénario bâclée, un montage d'amateur, Bruce Willis très mal exploité qui en fait (beaucoup) trop, un tel acteur qui force le trait c'est du gâchis! Bref, à oublier, on a envie que ça termine, ou plutôt, que ça n'ait jamais commencé...
Le problème de Die Hard 5, ce n'est pas le scénario bidon ou les divers problèmes de réal (faux raccords etc) que personnellement je ne remarque que très rarement (l'oeil de l'expert) non rien de tout ça, c'est que le film ne dure qu'à peine 90 min...Comment lorsqu'on a en charge un aussi gros morceau que Die Hard, qu'on dirige un putain d'acteur comme Bruce Willis, comment lorsqu'on se matte et rematte toute la tétralogie DH, pour se mettre dans le bain, on est pas capable de pondre un film de 2h ?? C'est dommage car honnêtement tout n'est pas à jeter dans cet opus: un twist sympa, un méchant avec une vraie gueule et sa fille bien sexy, une relation père-fils qui bien que méritant plus de soin arrive à être attachante, le décor bien sûr, ça change de New York, le fait que McClane subit l'action (très important) et la photo pas dégueux. Maintenant passons aux choses qui clochent. Bruce Willis ne prend pas son pieds, il en fait le minimum, les blagues de McClane ne passent pas à quelques exceptions près, les méchants bien qu'ayant du potentiel sont sous-exploités, il est où le combat au corps à corps contre la nana (une des meilleures scènes du 4), pourquoi quand le grand méchant devient intéressant il meurt aussi sec ? C'est quoi ces clins d'oeil mal intégrés aux autres opus (les 5 secondes de Crooner, la chute du grand vilain, le YipiKai balancé sans conviction) ? Et encore, qu'est-ce que c'est que cette fin merdique ? Il aurait fallu 30min pour sauver le film, ajouter 1 ou 2 scènes touchantes entre père et fils, 2 ou 3 péripéties qui mettrait bien en avant l'équipe du bad guy et le bad guy lui-même, retravailler quasi toutes les répliques de John et c'était gagné. Un seul mot, Dommage.
Dès fois il faut savoir dire stop... Die Hard 4 était déjà en trop mais que dire de celui la... Absence complète de scénario, de la bagarre, de la bagarre et de la bagarre. Les autres Die Hard, malgré l'action avait un scénar. Pourtant, le duo Bruce Willis et Jai Courtney (Spartacus : Le sang des gladiateurs) fonctionnent plutôt bien. Enfin, c'est quand même une déception et dire qu'il va y en avoir un autre, papy McClane va repartir au combat...
Une honte! A disgrace comme diraient les Anglais! Ce Die Hard n'est pas qu'un mauvais Die Hard, c'est tout simplement un très mauvais film avec un scénario écrit sur du papier cul et une réalisation digne d'une mauvaise série B. Fuyez !!
Le scénario est sans inspiration, la relation père-fils ne se résume à rien d’autre que des actions sans sentiments. La bande originale se la joue stressante mais devient pesante. La crédibilité de la mise en scène, n’en parlons pas. Bref Die Hard 5 ne vaut rien et montre un Bruce Willis fatigué qui devrait prendre sa retraite dans ce genre de divertissement. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
Mouais, ce film passe le temps mais c'est à peu près tout. Les cascades de la courses poursuite sont impressionnantes certe mais elle est tellement lonnnnngue qu'on fini par ce lasser. Niveau scénario c'est un peu gros le coup de Tchernobyl. J'ai trouvé ça très dommage que ça parte un peu en mode scénario de James Bond.
Nous avons la série des Taxi, les Américains ont celle des Die Hard. La qualité est la même, médiocre.
Le scénario n’offre aucune originalité, ce pourrait être un James Bond ou un Mission impossible ou n’importe quelle daube d’action tellement les personnages ont peu d’épaisseur. Les scènes d’action sont ridicules (on peu vider le chargeur d’une arme d’assaut à bout portant sans blesser personne) et les « rebondissements » sont attendus et grotesques.
Cinquième épisode de la série des Die Hard et celui-ci montre bien à quel point John McClane (Bruce Willis) est increvable. On retrouve ainsi son personnage « en vacances » en Russie où il retrouve son fils pour déjouer un plan d’homme d’affaires puissants qui convoitent, non pas du pétrole, mais du nucléaire. Autrement dit rien de nouveau, on connaît la chanson depuis au moins un quart de siècle.
Le genre peine à se renouveler, la méthode semble recrachée comme un exercice appris par cœur. Les films d’actions adorent recycler leurs scenarii, après tout ils ne revendiquent jamais une originalité narrative. En revanche cela devient plus ennuyeux quand on ne trouve pas ce qu’on vient y chercher : un peu d’adrénaline, des scènes prenantes, se laisser emporter par les péripéties incessantes. Au bord de l’ennui mais pas seulement. Outre un flagrant manque de rythme, sans surprise ni suspense, même les scènes d’action pure (courses poursuites et autres fusillades) ne parviennent pas à créer un semblant d’intérêt. Le tout se mélange dans un miasme abrutissant de banalités (il va sans dire que le père et le fils qui n’avaient pas eu de contacts depuis 3 ans sont désormais inséparables, les méchants n’ont jamais été aussi caricaturaux) couplé à d’innombrables incohérences et improbabilités (l’art de l’invraisemblance : à Tchernobyl il suffit « d’aspirer » la radioactivité pour rendre le lieu vivable. Consternant !). Bien entendu, le son n’est pas en reste puisque la musique est hyper insistante pour bien faire comprendre les différents enjeux dramatiques et les bruitages sont souvent plus bruyant que les voix des personnages, au point même de ne pas parvenir à comprendre ce qu’ils disent quand ils rechargent leurs armes. C’est également avec grand déplaisir qu’on retrouve le fameux syndrome du méchant qui parle trop lorsqu’il veut éliminer le héros.
Bruce Willis n’a pas grand chose à se reprocher, lui ne vieillit pas. Son jeu reste le même d’épisode en épisode (voire de film en film), ses petits traits d’humour peuvent prêter à sourire mais les phrases cultes ne sont pas au rendez-vous (on se contente de reprendre le célèbre « Yippee-ki-yay, motherfucker ! » du premier Die Hard qui date de 1988 !).
Seul point à peu près positif, les Rolling Stones sont présents pour la musique de générique avec « Doom & Gloom ». Bien maigre consolation. Finalement, une fiction parfaitement calibrée pour la diffusion sur TF1 le dimanche soir avec sa petite heure et demie.