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Manuel P
15 abonnés
172 critiques
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1,0
Publiée le 24 avril 2017
Franchement mauvais et identique aux précédents, même ressort narratif, mêmes scènes d'actions, même ambiance... un film qui n'apporte rien de plus que les précédents. Tu en a vus un et tu les as tous vu. Je ne comprends pas les critiques laudatifs de certains médias tel le Parisien par exemple. Un navet tout simplement.
Aussi nul que tout les autres,on sait plus ou on en est,c'est carrément le bordel en plus c'est filmé par un épileptique donc on voie rien,na vraiment plus rien a voir avec le jeu vidéo
Hahaha! Après un tournage des plus chaotique, pour finir une série de films qui n'aurait jamais dû voir le jour... Et tout ça pour quoi? L'un des plus gros nanar que j'ai pu voir! Jump scare : Dégueulasse et prévisible Scénario:........ Twist de fin : une bon moment de rigolade Et ce final... Oh mon dieu ^^ Bref sur ceux je repars jouer à Re7 tout en essayant de me convaincre que ces films n'ont jamais existés...
10 euros, c'est le prix que beaucoup ont payés pour voir ce film.
Pour 10 euros vous pouvez sans problème aller boire un verre ou manger au mcdo ou acheter un livre soit plein d'activités super sympas qui vous feront prendre conscience que la vie est belle quand on y réfléchi, surtout au mcdo.
Pour 10 euros, Paul W S Anderson vous offrira un scénario rempli de clichés, des effets dans les combats à vous rendre épileptique, des dragons zombies (j'en ai pleuré de rire) et des méchants qui sont méchants parce qu'ils ont envie d'être méchants et que même si ils n'ont plus davantage à être méchants, ils restent méchant parce que voilà... faut rester dans sa ligne de conduite et être méchant.
Je sais que de grands films furent critiqués en leur temps sans grande objectivité mais soyons clair, ce film n'a pas sa place au cinéma, ce film a parfaitement sa place sur M6.
Comme pour Dragon Ball Evolution, j'attends des excuses.
On est tenu en haleine durant tout le film, qui est magnifiquement bien réalisé, contrairement au 4 (le 5 passait encore). C'est vraiment un excellent moment de cinéma qu'on passe. Tous les ingrédients sont là : quête d'identité du personnage principal, scènes d'action, de suspens, moments touchants.
Elle devient gênante cette saga... Paul W.S. Anderson persiste, le pauvre, on en devient peiné pour lui et son équipe. Les voir se flageller de la sorte depuis tant d'années maintenant relève d'une totale inconscience. Le scénario débile continue, on espère simplement que ce soit réellement la fin cette fois-ci...(même si elle est déjà en retard depuis 5 épisodes) et que la petite phrase finale "Ma mission n'est pas terminée" qui effraye totalement à l'idée de voir cette médiocrité persévérer est juste une bonne blague (croisons les doigts pour que le massacre s'arrête). Quelle connerie ! "Resident evil" est incontestablement la saga la plus infecte du cinéma, et même si le scénario aurait pu donner quelques chose d'intéressant à exploiter, le traitement qui lui a été réservé n'est autre qu'abject !
Un chapitre final très nerveux avec une tension qui ne se relâche pas du début à la fin par une action très musclée non-stop réservant de géniales trouvailles . Mila Jovovich à énormément gagné en charisme et en détermination depuis le dernier volet...Bravo elle assure grave pour une nana....
Pas vraiment emballer par ce dernier film qui est un beau foutoir. Des perso secondaires sans relief dont on se rappelerra la mort rapide. Le personnage de Wesker méritait beaucoup mieux que ça. Je ne retiens de ce film que la qualité du bloodshot faisant partie du bestiaire de RE6 sur console. Heureusement c'est le chapitre final, j'attend maintenant la série en gestation et un reboot total de la franchise au ciné, ainsi que Vendetta.
Une conclusion pour ce sixième volet, pénétrer dans le Hive, la ruche. Détrompez vous, nous ne sommes pas face à un épisode de mission impossible. Par contre comme pour tout épisode de la franchise lancée par Paul W.S Anderson, l'étude est différente. Plus en retrait, moins de galipettes et d'high-tech de bazard. On retrouve la poussière du troisième épisode, mené par Russell Mulcahy. l'Invincible Alice se bat toujours face aux invincibles mêmes méchants qui reviennent toujours et les zombies biologiques sont bien évidemment de plus en plus gros. Pas de surprise, mais toujours beaucoup de style. Le montage est maîtrisé, tout comme l'univers qui ne cesse de nous convaincre avec ses décors poisseux et ces corps suspendus, qui nous rapproche parfois d'un Dead Space movie. Ça change radicalement des deux derniers épisodes, insondables, ésotériques. Ici, on est plus dans le film de genre, et c'est déjà plus parlant. Parce-que qu'auparavant c'était le petit PWS Anderson qui avait avalé des céréales Wachowski au petit déj et qui parlait la bouche pleine. Ceux qui ont ressenti ça me comprendront.
Une sensation de gavage. Il était vraiment temps que cela finisse. Dommage que se soit comme ça. Franchement aucun lien entre celui-là et l’antérieur. Je reste avec le souvenir des 2-3 premiers.
Ah le nouveau Resident Evil nouveau est arrivé, toujours meilleur que le dernier... Ah pardon, je m'égare... Donc Alice est de retour et ce qu'il y a de bon là dedans est qu'apparemment c'est le chapitre final, comme indiqué dans le titre. le film débute (presque) à la fin du premier, presque car j'ai du rater un bout quelque part, où le réalisateur a eu la flemme de tourner une scène en plus. Sinon, pas plus, des infectés, des monstres volants, un retour à Racoon City, des clones, une histoire d'une nullité affligeante et pour conclure un film indigeste, digne de la vieille émission Hollywood night. Réalisé avec les pieds, joué mollement, effets poussifs et déja vu, bref RE se conclut comme cela avait commencé, dans la douleur.
Après six opus, Milla Jocovich termine enfin le combat contre les morts-vivants. Pour boucler la boucle, ce chapitre final nous ramène à Raccoon City, là où tout avait commencé pour sauver des vies et vaincre l’Umbrella Corporation. Mais l’adaptation du jeu vidéo sera tombée bien bas au fil des années et cette dernière version est misérable. Si nous n’attendions pas grand-chose de l’histoire, on s’attendait au moins à un spectacle visuel. Or, l’esthétisme, les combats ou même les maquillages font mal aux yeux. Quant à la sonorisation et la musique, nos tympans sont au bord de l’implosion. Alors merci d’être passé, nous on regrette le déplacement. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44
Resident Evil 6 a beau être américain, allemand, australien, canadien et français, il n'en reste pas moins que, dès le début, on sait quel pays a eu la mainmise sur les dialogues, avec un docteur Isaacs qui est mystérieusement devenu un fervent chrétien au bout de ce sixième opus... On saluera les immenses facilités scénaristiques avec le retour de personnages censés être morts ou se trouver partout sauf à Racoon City. Malgré cela, et même si chaque suite éloignait plus Resident Evil de son concept premier, à savoir les morts vivants "classiques", pas modifiés au point de ne plus ressembler à rien, ou des chiens ou des lapins ou des oiseaux mutants, tous géants, j'ai plutôt apprécié cet ultime volet, notamment la partie avec le retour à la "ruche", avec quelques combats et un suspens sympathiques.
MAXIMUS et THUNDERGEEK se sont sacrifiés pour l'équipe pour ce film : la réal est affligeante, trop de cuts, il n'y a aucune cohérence, on se demande si les producteurs ont une idée de ce qu'est le jeu video. Le scénario est nul, mais, un peu meilleur que le 4. En bref, les adaptations de jeux video au cinéma, faut arrêter et fuyez ce film. Vous pouvez voir en vidéo la souffrance de nos deux chroniqueurs dans leurs avis en moins de 3 minutes, sans spoilers, sur le film.