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Un visiteur
4,5
Publiée le 6 février 2017
Très très bon film du suspense de la peur des pasage vraiment à coupe le souffle notre très cher Alice et superbe elle décoiffe mais petit bémol le spoiler: titre et trompeur car elle le dit elle même à la fin ce n'est pas fini
Resident Evil : Le Chapitre Final est un film pas si mal. Pour être franc, je ne suis pas forcément un grand fan de la franchise : je n'ai jamais joué aux jeux vidéos, et de la saga cinématographique, je n'ai vu que l'épisode 2 (Apocalypse) à sa sortie (qui m'avait terrorisé puisque j'étais très jeune). Et enfin, s'il y a bien un sous-genre que je n'aime pas dans le registre horreur (qui n'est déjà pas mon registre de prédilection), ce sont les films de zombies que j'ai toujours trouvé complètement débiles. Au-delà de ça, je n'ai pas vraiment été déçu par ce film dont je n'attendais pas grand chose, et finalement c'est pas plus mal. D'ailleurs je pense que le fait de ne pas avoir vu les épisodes précédents m'a plus fait apprécié le film qu'autre chose. D'une part, car à moins de ne pas du tout savoir de quoi parle la saga, avoir vu les épisodes précédents n'est pas nécessaire à la bonne compréhension de ce film. D'autre part, parce que les révélations finales faites dans cet opus ne déçoivent pas. Car si j'ai trouvé ces révélations finales très appréciables en ayant vu quasiment aucun film de la saga, je ne pense pas que ces révélations soit dignes d'une saga de sept filmsspoiler: (je pense notamment que la révélation selon laquelle Alice est la fille du scientifique à l'origine du virus aurait été prévisible au bout de deux ou trois films) . Les acteurs sont plutôt bons. Milla Jovovich est impeccable dans un rôle qu'elle maîtrise désormais sur le bout des doigts. Ali Larter est bien. Iain Glen est un méchant particulièrement charismatique. Certes, le scénario a beaucoup de faiblesses, notamment des incohérences scénaristiques grosses comme des locomotives (mettre le feu à un building sur lequel on se trouve entre autre). Les scènes d'action sont très divertissantes et franchement réussies. Les monstres, sans être flippant ont un bon design, la sorte de dragon-zombie en particulierspoiler: (dommage qu'elle n'apparaisse pas plus dans le film) . Les zombies sont bien maquillés. Ils ont la possibilité de courir, ce qui les rend un peu moins ridicule que dans les autres films du genre. Par contre, je n'ai pas tant eu peur que ça, ce qui m'a un peu déçu de la part d'un film qui j'imagine, devrait me terrifier. Bref, c'est un film fantastique pas mal du tout.
En parlant d’Underworld, Kate Beckinsale et Milla Jovovich vivotent dans la même triste situation : actrices autrefois plutôt intéressantes, elles en sont aujourd’hui réduites à assurer le service après-vente de franchises à bout de souffle réalisées et/ou produites par leurs maris : Selen dans ‘Underworld’ pour la première, Alice dans les ‘Resident evil’ pour Milla, donc...les deux séries s’étant transformées en entreprise familiale ou elles disposent d’un statut de conjoint aidant, ou quelque chose du même genre. Depuis un premier épisode très honorable, les Resident Evil à l’écran n’ont fait que décrépir, le point de rupture étant survenu après un troisième épisode post-apo qui tenait encore à peu près la route. A cheval sur le zombie-flick et la SF post-apocalyptique, l’univers Resident Evil réclame en théorie une attention un minimum soutenue : comme je n’ai pas intensément pratiqué les jeux vidéo correspondants et que j’oublie le contenu des films au fur et à mesure où je les regardais, j’ai totalement oublié l’organigramme des personnages à chaque fois que je m’y replonge : quand on me dit Claire Redfield ou Albert Wesker, je ressens un vague sentiment de familiarité mais ça ne va pas plus loin car Resident evil a le mauvais goût de n’être jamais parvenu à imposer le moindre de ses personnages - à part Alice - comme une figure mémorable. En même temps, ce n’est pas comme si c’était très important : dans Resident evil, on peut se contenter de voir Alice défourailler du zombie et du mutant à la chaîne et on sera tout aussi satisfait Le niveau n’a jamais dépassé celui de la série B mais dans ses meilleures moments (c’est à dire au tout début), c’était de la bonne série B, avec des effets convaincants, quelques idées de mise en scène atypiques et une capacité à s’éloigner du jeu vidéo sans pour autant le trahir. Pour une raison ou pour une autre (vu que j’oublie AUSSI les raisons pour lesquelles les épisodes récents ne m’ont pas convaincu), j’ai conservé un très mauvais souvenir des deux volets précédents, ‘Afterlife’ et ‘Retribution’. Ce “chapitre final� me semble un poil meilleur que les deux bouses en question...peut-être tout simplement parce qu’on revient sur les lieux du premier film, la “Ruche� de la corporation Umbrella, et que la familiarité suscite toujours une sympathie instinctive. Peut-être aussi, plus cyniquement, parce qu’on est content de voir enfin le bout d’un tunnel dont on aurait aimé sortir voici déjà plusieurs années.
sympa mais loin detre le meilleur de la sage. les effets son bon mais les scène d'action et notamment de combats son hyper compliqué à suivre avec des plan trop serré...
C'est ... Mauvais. Tout d'abord, je ne suit pas beaucoup les Resident Evil mais de ce que j'ai pu voir au niveau des réactions c'est parfait car ce film se fou des précédents. Mais même comme ça j'ai eut l'impression que le film n'avait aucune logique dans son déroulé ( par exemple, quand les méchants veulent exterminer les gentils, pourquoi s’emmerder à créer un raz-de-marée de zombie, quand tu as des armes lourdes ? ). De plus dans ce film tu as une sensation de ... Vide. Généralement le film se fait en plusieurs morceaux (Début avec situation initial, les péripéties et une fin). Mais ici tu as la sensation qu'il n'y a qu'un seul bloc, tellement les autres sont vides de scénarios ou trop court ( Par exemple le moment dans la base des survivants, qui est juste une excuse pour faire un moment "tower defense" ultra court. Il aurait suffit de faire avec quelques cuts Alice survivre pendants quelques jours avec ces survivants pour créer un lieu et d'autres personnages. Là c'est personnages lambda avec lieu lambda pour un "tower defense" , tristesse). En parlant des cuts ... Mais c'est quoi leur problème avec les cuts ?! Tu n'as pas une scène de combat sans un cut toute les 2-3 secondes. Ça détruit gratuitement votre tête et ça rend les combats totalement bordéliques. Bref film très mal écrit et très mal monté, et bon courage à ceux qui iront le voir ! (PS : Tout les personnages secondaires ne servent qu'à mourir, jouez à essayer de deviner l'ordre ça peut vous occuper)
Resident Evil : Chapitre final à la principale qualité de clore ENFIN la saga et je dois avouer qu'à la vue des derniers films je m'attendais à largement pire. Limite celui-ci est mon second préféré après le tout premier Resident Evil. Alors effectivement, tout est relatif, car il reste vraiment moyen, mais j'ai toutes les réponses que j'attendais et je peux enfin me dire bon débarras. La réalisation est très médiocre, il ne suffit pas d'alterner les scènes courtes pour rendre une scène intense, un film d'action c'est surtout des cascades, des effets spéciaux réalistes (ce qui n'est pas le cas ici) et des situations réalistes (toujours pas le cas ici). Ma foi, je pense que ce qui ont suivi la saga seront content de dire enfin que c'est fini !
Ce film rattrape le tire et j'espère qu'il n'y aura pas d'autres suites après ça. Sinon certaines scènes sont fun et les actions sont plutôt bien réfléchies.
C'est sûr, c'est pas un film d'auteur. C'est certain c'est parfois (toujours) tiré par les cheveux. Très théâtral, très surjoué, très américain. En même temps en allant voir ce "genre" de film on s'y attend. Pour ma part, j'ai kiffée ma race. Le film m'a tenue en haleine pnd toute sa durée.
L’une des sagas horrifiques les plus prolifiques de ces dernières années touche (normalement) à sa fin avec se sixième opus de belle tenue. Avec le recul, sur quinze ans, on constate qu’un épisode sur deux est réussi quand les autres se sont avérés moyens voire nuls. En effet, le premier épisode était hésitant et déclenchait l’ire des fans en s’éloignant des fondamentaux du jeu vidéo. Ceci posé, les seconds et quatrième se plaçaient comme de bonnes séries B nerveuses et badass. On restait cependant sur un cinquième épisode complètement idiot et qui élevait le n’importe quoi au rang d’art que ce soit dans l’histoire, le déroulement narratif et la réalisation. On est donc satisfait que Paul Anderson (qui a signé quatre des six volets) rectifie le tir ici en condensant le meilleur de la saga. Attention, on sait pourquoi on entre dans la salle et on ne va pas voir un épisode de « Resident Evil » pour réfléchir ou voir du cinéma pointu. C’est souvent très bête et l’histoire (si on peut appeler cela ainsi) n’est que le prétexte à un enchainement de course-poursuites et bastons avec un bestiaire horrifique totalement fou mais jouissif. On regrette que les combats soient encore filmés de manière épileptique et que l’on n’y voit pas grand-chose mais l’action est menée tambour battant du début à la fin et ne nous laisse aucun répit. Quant aux personnages ils ne sont là que pour se faire tuer ou faire avancer un l’action, donc inutile de leur chercher une quelconque profondeur psychologique. A l’instar des dialogues purement fonctionnels et enclins au même dessein. D’ailleurs on retrouve bien une progression du personnage principal par paliers, avec des épreuves bien diverses et variées, comme c’est le cas dans un jeu vidéo. Le récit reprend encore une fois là où il s’était arrêté et se révèle un peu plus dense, toutes les questions laissées en suspens durant quinze ans trouvant leur réponse ici dans la limite de la logique des scénaristes. L’ambiance apocalyptique est très bien rendue quoique très inspirée de « Mad Max » dans la première partie du film et permet des plans d’ensemble de désolation de notre monde particulièrement réussis. Que ce soit dans l’horreur ou dans l’action, ce sixième opus ne manque pas d’idées, de bestioles génétiquement modifiées bien écœurantes à des gunfights épiques en passant par des scènes de destruction aux effets spéciaux plus que corrects. Le retour aux sources est bénéfique à la saga et permet pas mal de clins d’œil et de rebondissements souvent attendus mais efficaces. En somme, une série B pêchue et totalement décérébrée grâce à laquelle on en a pour son argent. La boucle est heureusement bouclée de manière satisfaisante, en espérant tout de même que ce soit vraiment le dernier.
Franchement mauvais et identique aux précédents, même ressort narratif, mêmes scènes d'actions, même ambiance... un film qui n'apporte rien de plus que les précédents. Tu en a vus un et tu les as tous vu. Je ne comprends pas les critiques laudatifs de certains médias tel le Parisien par exemple. Un navet tout simplement.
Après les insupportables RE2 RE3 et autres ratées, je me préparais à 5mn de projection avant de zapper sur autre chose. Et voici un chapitre final majestueux. L'histoire étant ce qu'elle est... il faut reconnaître une trouvaille, une découverte, une fulgurance de cinéma toutes les 5 à 10 minutes. De méchants monstres biens affreux comme je les aime. Un sentiment d'angoisse le long du film, des personnages pas trop manchots. A voir donc Résident Evil le tout premier et le tout dernier.
Un sixième volet prévisible, ennuyeux et mal filmé de la saga "Resident Evil" avec des scènes de combat pas bien filmées, des personnages secondaires totalement inutiles étant donné que l'on ne sait rien d'eux, un surdosage d'images en synthèse exagéré, un scénario répétitif et sans queue ni tête, une réalisation bâclé et des jeux d'acteur foireux et pathétiques.
Enfin cette franchise semble se terminer (et ce n'est pas trop tôt) !!!! Autant le jeu vidéo restera dans les annales, autant les films sont quand même relativement moyens et ne présentent que rarement un intérêt (hormis Mila Jovovitch) !!!! Dernier opus donc, rien de bien nouveau, ça passe le temps... Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
Le plus mauvais de la saga. Le film est incohérent avec les 5 volets précédents. C'est du grand n'importe quoi. Les acteurs n'y croient plus. La conclusion est d'une banalité sans nom. C'est mal réalisé, mal joué. Bref un calvaire.