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Un visiteur
2,0
Publiée le 26 mars 2017
Pas vraiment emballer par ce dernier film qui est un beau foutoir. Des perso secondaires sans relief dont on se rappelerra la mort rapide. Le personnage de Wesker méritait beaucoup mieux que ça. Je ne retiens de ce film que la qualité du bloodshot faisant partie du bestiaire de RE6 sur console. Heureusement c'est le chapitre final, j'attend maintenant la série en gestation et un reboot total de la franchise au ciné, ainsi que Vendetta.
Bon heureusement et dieu merci c'est la fin de la saga et encore quoique avec leur fin ouverte on sait pas, ils seraient capable de nous en pondre un nouveau. Et oui tout est possible dans le monde de resident evil... Ensuite merci encore pour mon espérance de vie ce dernier opus relève un peu le niveau de l'avant dernier qui était mauvais mais tellement mauvais et inutile! Enfin cela dit ils sont pas allés chercher très loin, on prend les ingrédients du tout premier film qui avaient à peu près fonctionné, parce qu'on a tellement plus d'idée, on rajoute un peu de poussière et de crasse et paf ça fait des chocapic... En plus nul. Vous nous prendrez pas un peu pour des nouilles par hasard ? Je ne sais pas pourquoi je pose encore la question...
Paul Anderson, envers et contre tous, met une dernière fois (à priori) en scène son épouse dans le rôle d'Alice pour un chapitre final à la hauteur des précédents. A une exception près, le réalisateur ne dévie pas de son idée originelle concernant l'adaptation du jeux vidéo éponyme, il envoie de l'action dans tous les sens, hyper stylisée et apporte un soin particulier au visuel. Les décors et effets spéciaux ainsi que l'ambiance post-apocalypse sont une nouvelle fois de très bonne qualité, la fameuse exception résidant dans la gestion des scènes d'action, on l'a titillé à cause des ses trop nombreux ralentis précédemment, qu'à cela ne tienne, pour son dernier opus, tout va à 100 à l'heure ! Pas le temps de se reposer, l'action est non stop et la chasse aux zombies garde le rythme. On y ajoute quelques explications sur le passé du doc et la genèse du virus T, la présence de la fille de Jovovich et Anderson ainsi qu'un final efficace et le contrat est rempli. Un bon divertissement au final avec ne nous mentons pas une légère ouverture sur une suite, j'attends maintenant avec impatience un reboot véritablement basé sur le jeu avec de réelles frayeurs et un scénario moins rocambolesque !
Ce fut long mais voilà la fin ! Je ne cache pas que même si j’ai aimé de manière globale cette saga, ça commençait à s’essouffler. De plus, en ayant revu juste les trois premiers avant de visionner ce chapitre final, j’avoue sincèrement que c’est toujours la même chose. Si dans Afterlife et surtout (j’insiste sur le « surtout »), on avait le droit à des gros effets spéciaux, de bonnes scènes d’action et une abondance de ralentis, ce dernier volet, qui aurait dû être spectaculaire, ne l’est presque pas : ce volet est très simple. Ce dernier opus n’est pas mauvais mais ne prend aucune prise de risque et même s’il reste correct et qu’il se regarde, je suis quand même déçu.
Tout d’abord, le film commence sans faire une suite directe avec son dernier prédécesseur. On nous explique des choses différentes de ce qui nous avait été dit auparavant. A plusieurs reprises, on se dit que ça manque de cohérence ou de vraisemblance (Wesker qui laisse rentrer aussi facilement Alice). Le film fait preuve de trop de facilités. On a l’impression que les méchants ont balancé toutes leurs cartes dans l’opus précédent. Cependant, de manière générale, le scénario reste tout de même acceptable (en prenant le film en tant que tel) et la fin reste convenable.
En terme visuel, ce film est loin d’être le mieux : il y assez souvent de l’action mais les meilleurs passages sont dans la première partie. Certaines scènes sont brouillonnes à tel point que la caméra bouge (si ce n’est pas en plus de cela dans le noir). Il n’y a rien qu’à voir la scène de début face au monstre volant où Alice est coincée dans le véhicule et qu’elle esquive les attaques du monstre pour se demander comment elle arrive à tout éviter. J’ai bien aimé la scène d’action dans la tour dans Raccoon City. On pouvait quand même s’attendre à mieux avec cette grosse armée de zombies amené par le docteur Isaac. La deuxième partie dans Umbrella Corporation est encore moins impressionnante. Le combat final est d’une banalité et abuse encore une fois du couloir de lasers qui faisait le charme du premier film.
Ce dernier chapitre de Resident Evil est donc un opus qui se regarde mais qui ne sert que de conclusion. Les meilleurs spectacles étaient au rendez-vous dans les précédents volets. A la place d’un Retribution quasiment inutile scénaristiquement, on aurait pris ses scènes d’actions pour les introduire dans les enjeux de ce chapitre final, le résultat aurait été plus bluffant. Pour être objectif, ce dernier film, en le prenant seul, vaut une note juste correcte mais de manière subjective, ça ne vaut pas la moyenne tant ce final manque d’idée et de réels spectacles (comparé à ces deux derniers prédécesseurs). Pour moi, ça s’arrêtera là aussi : je dis ça au cas où ça leur viendrait de continuer au vue de la dernière image du film. Pour conclure sur toute l’adaptation, dans l’ensemble, cette saga aura eu du potentiel et de bonnes choses mais tous les ingrédients auront été mélangés parfois n’importe comment au fur et à mesure de l’avancement de l’histoire. On a abusé des mêmes bons ingrédients tout au long de la saga au lieu de laisser chaque volet avoir son petit charme. Hormis les quelques bons passages d’actions, l’intérêt de cette saga réside surtout pour Milla Jovovich qui aura eu le mérite de jouer son rôle jusqu’au bout avec brio, et de sauver un peu les lacunes de cette adaptation cinématographiques.
Et c’est reparti pour un bon gros délire bis avec ce nouvel opus d’une saga que l’on a appris à apprécier une fois la déception passée vis-à-vis du jeu vidéo adapté. Non, au cinéma Resident Evil ne nous fera jamais peur et ne sera jamais sanglant. Par contre, Paul Anderson en a fait une sorte de monument à la gloire de Milla Jovovich, super-héroïne improbable qui voltige au-dessus de nuées de zombis sans qu’aucune crédibilité ne soit préservée. On est donc face à un spectacle bourrin, totalement régressif, mais également assez jouissif si on laisse son cerveau à l’entrée de la salle. C’est bruyant, bête à pleurer, parfois involontairement drôle, mais toujours fun dans son côté décomplexé. Et cet épisode ne déroge pas à la règle, enchaînant les situations les plus dingues dans un déferlement d’action non-stop. C’est parfois mal réalisé avec des plans trop rapides et illisibles, mais bon, on commence à être habitué. Bref, ceux qui ont apprécié les précédents retrouveront les mêmes ingrédients. Les autres peuvent passer leur chemin.
J'ai adore J'ai trouvé qu'il avais bien clôture la saga Certes il y a une incohérence avec le 2 mais le lien est fais entre le 5 et 6 Donc je dirai à ceux qui continue à regarde la saga alors qu'il ne font que la critique passez votre chemin et allez critiquez d'autres film Je suis une fan inconditionnelle de cette saga elle reste ma préférée
tres bon resident evil dans la lignée des precedent opus avec une Milla Jovovich en pleine forme,tres bon effet speciaux,bons acteurs,bande son au top,le gros point negatif du film que beaucoup de personne on dit dans les commentaire c'est au momment des scenes d'action ou les plan de camera qui passe de l'une a l'autre vont beaucoup trop vite on ne voit quasiment rien a la scene et c'est bien dommage il y a aussi les zombies qui courent alors que dans les premier film il marcher lentement mes sa n'enleve rien a la qualiter du film qui de plus a une tres bonne fin mes qui selon les dernier mots du personnage a la fin du film pourrai penser qui aurait une suite mes peut etre pas avec le meme personnage
Il est temps que cela se termine, on n'en peut plus! C'est plus un téléfilm qu'autre chose. Une mini-phase de discussion, une baston contre un monstre, une mini-phase de discussion, une baston contre un monstre, une mini-phase de discussion, une baston contre un monstre. Bref, on s'ennuie ferme...
Enfin, la conclusion de la saga zombiesque (enfin, paraît-il) initiée par P.W.S Anderson. Décidé à ne pas s'encombrer avec des trucs tel qu'un scénario, la direction des acteurs ou un début de mise en scène, le bonhomme bazarde tout et signe un film qui va tellement vite qu'on ne s'intéresse plus à rien, on a juste envie de connaître le fin mot de l'histoire. Bon, passons sur la logique de certains points de détails de l'intrigue, passons sur les personnages accompagnant Alice qu'on ne prend même plus la peine de caractériser, passons sur le montage juste ignoble du bouzin, passons sur l'interprétation calamiteuse de M Jovovich, passons sur les plans cadrés n'importe comment, passons sur la musique omniprésente et jamais épique, passons sur les péripéties jamais palpitantes ou inédites, passons sur le design horrible et les effets spéciaux mal torchés et qu'est ce qu'il reste ? Et bien pas grand chose, pour être sympa. En fait, je me suis un peu extasier sur certains décors, notamment intérieurs, qui sont assez sympas (mais qui sont très mal éclairés) et il y a quelques plans parfois surprenants, avec des jolies idées de cadres, tout comme on trouve, de manière épars, quelques jolis mouvements de caméra. Mais c'est du vide, qui comble du creux, le tout pour former une intrigue qui s'étire péniblement, et qui ne sert plus que de la soupe aux pauvres courageux qui arrivent encore à s'intéresser aux aventures d'Alice. La fin d'une époque, heureusement. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
Resident Evil 6 a beau être américain, allemand, australien, canadien et français, il n'en reste pas moins que, dès le début, on sait quel pays a eu la mainmise sur les dialogues, avec un docteur Isaacs qui est mystérieusement devenu un fervent chrétien au bout de ce sixième opus... On saluera les immenses facilités scénaristiques avec le retour de personnages censés être morts ou se trouver partout sauf à Racoon City. Malgré cela, et même si chaque suite éloignait plus Resident Evil de son concept premier, à savoir les morts vivants "classiques", pas modifiés au point de ne plus ressembler à rien, ou des chiens ou des lapins ou des oiseaux mutants, tous géants, j'ai plutôt apprécié cet ultime volet, notamment la partie avec le retour à la "ruche", avec quelques combats et un suspens sympathiques.
Résident evil chapitre final clôt une saga qui n'a cessé de s'empêtrer dans le grand n'importe quoi pour finir par offrir ici un véritable déluge de situations délirantes et de scènes d'actions hachés et ultra répétitives. Si le scénario est en assez consternant, il laisse la place à l'action omniprésente du début à la fin, ce qui permet au film de remplir parfaitement son rôle de blockbuster bourrin volontairement comique. Visuellement, le décor post apocalyptique à la Mad Max n'est jamais réellement exploité tandis que les zombies et autres monstres manquent d'incarnation, la faute à une 3D bien trop présente. Crétin, bourré de références mal digérés et visuellement assez laid, ce resident evil porté par Milla Jovovich réussit cependant à divertir faut-il avoir laissé son cerveau à l'entrée !
Bien. Là, ça ressemble un peu plus à un film. Preuve que quand Paul W.S Anderson veut, il peut comme pour Event Horizon. Pourquoi il a attendu que ce soit le chapitre final en 2016 pour s'y mettre alors ? Mystère. Les bastons sont mieux foutues. Ça va parfois un peu vite mais en comparaison du désastreux épisode précédent c'est bien mieux. Il y a pas mal de révélations, de réponses à des questions datant du premier film de 2002, des clins d’œil (oui, une nouvelle fois, on a droit aux rayons lasers). Ce n'est pas qu'une succession de couloirs blancs et froids. L'aspect survie, fin du monde, sale et poussiéreux est un peu plus présent. Les Resident Evil au cinéma ne terroriseront jamais. Mais celui-ci, avec toute l'action frénétique qu'il contient, l'issue final qui se rapproche, divertit un peu mieux et m'a même donné envie de jouer aux derniers jeux développés par Capcom. Là où avant, je n'avais pas envie d'en entendre parler. Chapitre final ou pas ? Il y a toujours une pointe d'incertitude. Une porte de sortie au cas où.
Alice est de retour à Racoon City, ville de ses débuts et épicentre de la pandémie. Ce Chapitre final offre un retour au source pour Alice et la réponse aux nombreuses questions posées durant toute la saga. Cette conclusion fait mine d'oublier les deux précédents films et devient la conclusion de la première trilogie avec de superbes séquences d'action et de très bon effets spéciaux. Les moyens financiers ont été bien utilisé et c'est avec une certaine nostalgie qu'on abandonne notre tueuse de zombie et qu'on ferme la porte de ce Resident Evil qui bien qu'inégale aura été une saga marquante et une des rares adaptations au cinéma d'un jeu vidéo.