Derniers Avis : Resident Evil: Retribution - Page 7

Cinquième opus d'une saga bien inégale, "Resident Evil : retribution" se trouve être bien peu enthousiasmant à visionner. Les scènes d'actions sont franchement mal filmées, le scénario est laborieux, le casting fait dans le minimum syndicale et artistiquement l'ensemble n'a rien d'une grande réussite ! Il y a bien quelques bonnes scènes gores ici ou là et les monstres ne sont pas trop mal conçus, mais honnêtement on s'ennuie pas mal en visionnant ce cinquième opus de cette saga à l'heure actuelle bien décevante!

La recette reste presque inchangée pour ce 5ème opus, à savoir des cascades, pour une fois assez convaincantes, des monstres réunis ici sous la forme d'un best of de ce que les jeux nous ont offert, et des héros caricaturaux à souhait qui sont eux aussi réunis tels des expendables en vadrouille. Et il semble bien que pour une fois ça fonctionne, dans le sens où le film assume enfin son statut d'adaptation et se calque sur des niveaux de jeu qui offrent juste ce qui est demandé, de l'action efficace et des effets spéciaux maitrisés. Avec en plus le retour de Michelle Rodriguez, et en moins le scénario incohérent au possible, qui continue à piocher en vrac dans la mythologie du jeu.

J'espère que c'est le dernier car déjà après after lice on se demandait ce qui allait sortir, sans ennuie mais l'histoire de résident evil commence à s'étouffer et je pense qu'ils ont atteindre la limite dans les films et les jeux.

Un énième épisode de la saga Umbrella, sans queue ni tête, à la limite de l'indigestion...à éviter de toute urgence !

« Resident evil : Retribution » est l’occasion de constater que dans ce monde où tout fout l’camp, il reste quelques valeurs sûres. La saga « Resident evil » est à chaque fois l’assurance de ne pas être déçu par ce qu’on va voir. Enfin quand je dis ne pas être déçu, je veux dire dans le sens où on est sûr que l’on aura affaire à un vrai navet ! La recette est à chaque fois la même, à savoir une héroïne increvable, des monstres parfois à la limite du risibles, des seconds couteaux à l’espérance de vie réduite, des fusillades et des combats pléthoriques et une trame scénaristique fine comme du papier cigarette dont l’unique but est de caser le maximum d’action possible. Je n’évoque même pas par humanisme l’interprétation, ça serait tirer sur l’ambulance. Devant l’indigence de ce cinéma on pourrait se demander ce qui pousse les producteurs à offrir des suites à chaque nouvel épisode… Eh bien, la réponse est simple : l’assurance de plus de 100 millions de recette au box-office, voire pour les deux derniers plus de 200 ! Le public, apparemment satisfait de voir des explosions toutes les cinq secondes, en redemande, alors pourquoi tuer la poule aux œufs d’or ?! Je vous l’avoue je trouve ça un peut consternant, pas que les producteurs agissent de façon si intéressée, c’est leur boulot après tout, non je parle du public qui préfère regarder une merde avec des explosions tout le long du film plutôt qu’un film avec un scénario un peu fort ou tout du moins avec un scénario tout court. L’action moi aussi j’adore ça, mais je la déguste mieux quand elle n’est pas la seule raison d’être du film. Bref « Resident evil : retribution » est l’énième photocopie de la saga qui réjouira encore beaucoup de monde au grand dam de ceux qui aiment le cinéma, sinon de qualité, au moins pas totalement crétin.

Un cinquième qui reste dans la lignée des précédents. Le scénario n'a aucune nouveauté, à croire que le réalisateur manque d'idées, mais moins catastrophique que le quatrième mise à part le fait de Albert Wesker toujours vivants alors qu'il est censé être mort à la fin du quatrième. Un plaisir au niveau du casting de retrouver des têtes comme Michelle Rodriguez dont une belle joie de voir enfin le personnage mythique des jeux vidéo, Léon S. Kennedy. Je dois dire que je suis assez surpris des scènes d’actions avec de belles couleurs bien chorégraphiées dont Milla Jovovich très douée en art martial mais avec un mauvais jeu d'acteurs. On en prends plein les yeux avec les décors de simulation de New York, Moscou,... Des costumes très classes dont celle de Milla Jovovich et de Sienna Guillory. Une belle musique qui met une bonne ambiance de jeux vidéo. Un film qui reste regardable avec toujours le gros défaut de la banalité de scénario.

Je souhaite faire cette critique pour défendre un film qui, selon moi, mérite mieux que de se faire cracher à la gueule par le reste de l'humanité.
Certes, ce n'est surement pas le meilleur épisode de la saga, mais honnêtement, je trouve qu'il est mieux que le 1 et le 2, et un poil en dessous du 3 et c'est quand même une bonne chose vu les fails qu'ont été les 2 premiers ! Donc, pour les bon points : Milla Jovovich, qui a franchement la putain de classe dans ce film;la gamine boulet qui serait resque chiante mais devient importante vu qu'Alice fait tout pour la proteger; les combats, très bien chorégraphiés malgré les 40 millions de ralentis du films; l'apparition (Enfin !) de Leon S. Kennedy, héros de RE 4 (le jeu), et qui est pour moi le perso le plus classe de la licence, même si ici il est joué par un acteur (barbu !!!) qui cabotine un peu, mais bon, il est là et c'est cool !; les anciens personnages qui réapparaissent et le lieu de l'action ( spoiler: un centre de simulation d'infection du Virus T avec plusieurs environnements différents
, fallait y penser, c'est plutôt cool !); et on n'oublie pas le plan final, vraiment spectaculaire et trop, trop bad-ass !
Après il y a des points négatifs, certes, mais qui sont défendables parce que, à mon sens, ce ne sont pas de réels défauts, mais des essais du réalisateur qui on foiré, ainsi on peut citer : Les zombies qui ont des flingues et conduisent des véhicules, WTF, direz vous, mais c'est parfaitement logique, car ils sont infectés par des Las Plagas (des parasites fossiles qui infectent une personne et la changent en demi-zombie, car elle peut parler, utiliser des armes, et même construire des trucs), après, qu'est ce qu'ils viennent foutre dans la narration, j'en ai aucune idée; Ada Wong, jouée par Li Bingbing (une bastonneuse quoi ! XD... Ok je sors...), une actrice tellement mauvaise qu'on jurerais que le personnage sort tout droit du jeu vidéo, et c'est ça qui est cool : c'est le fait de se dire que le personnage n'est pas joué par une actrice, mais est en fait un perso extirpé de la réalité virtuelle !; on citeras également (évidemment plutôt) les ralentis pendant les combats, tellement nombreux qu'ils en gâchent les chorégraphies, elles biens troussées par contre, mais d'un autre coté, si le réalisateur n'avait pas pris ce parti pris esthétique et foutu autant de déformations de la relativité du Temps, jamais on ne se serait dit :"Ah merde, foutre 4 millions de ralentis dans un films ça en ruine totalement le rythme et ça le rend tout moche !", c’était donc un pari raté pour le réalisateur, mais au moins on peut apprendre ce dont un film n'a pas besoin pour être bon, dont les ralentis; après on a Wesker qui réapparait et en plus devient un allié, ça peut paraitre con, mais en vrai c'est très logique : spoiler: Au début, Umbrella Corp. voulait juste se faire du fric avec le virus T, mais quand c''est parti en couille, ils ont cherché un moyen de guérir l'infection,et quand Alice a tout fait péter, Wesker a voulu survivre avec le Virus T et voulait buter Alice pour rester humain, et après il est mort, mais en fait... euh, non ! Et après il aide Alice parce que la Reine rouge risque de détruire toute l'humanité, et ça, il peut pas laisser faire ! Il est ressuscité par les scientifiques qui recréent un corps artificiel comme pour Alice et Wesker a plus qu’insérer sa conscience dans le corps pour être de nouveau vivant,
c'est logique !
Bon évidemment il y a des points trééééééééés négatifs et indéfendables, comme la séquence d'intro où spoiler: le bateau est détruit par Umbrella et où les 2 potes d'Alice sont tués comme des merdes
(cette séquence a au moins la bonne idée d’être filmée au ralenti à l'envers puis d’être remise à vitesse normale dans le bon sens, très original !), l spoiler: e virus T ré-injecté à Alice à la fin du film
, pourquoi ? comment ? On sait pas, y faut juste un cliffhanger qui donne envie; ou encore le combat spoiler: Alice-Jill Valentine
, où l’héroïne se prend tellement de coups accompagnés d'un "Crac" qu'on se demande combien d'os elle a en elle...
Enfin bon, un bon divertissement, à ne pas regarder avec un œil trop sévère toutefois pour en apprécier tout le scenario !!!

Je n'ai pas vu le film au cinéma en 3D, j'ai donc patienter jusqu'à la sortie du DVD et Blu-ray. Ayant hâte de le voir, je me suis précipité sur mon lecteur afin de juger par moi même ce qu'il vaut. J'en suis ressortie à moitié satisfait moitié déçu, et le scénario ainsi que l'impact des protagonistes dans l'histoire y sont pour une bonne raison. J'ai trouvé des erreurs au niveau scénaristique spoiler: (Wesker qui ressucite on ne sait comment et se sépare d'Umbrella, Léon S. Kennedy qui est à peine plus puissant qu'un soldat ordinaire, l'explication de Wesker qu'Umbrella teste le virus T dans des répliques de grandes villes et le revend aux grandes nations alors qu'il n'y'a en faite plus personne où presque, Alice et Ada qui éliminent deux bourreaux en leur faisant exploser un taxi sur eux...).

La seconde partie qui m'a déçu, c'est le charisme et la personnalité des personnages, principaux comme secondaires, à croire qu'Anderson a préféré la quantité au lieu de la qualité! Honnêtement, j'ai l'impression que ces soldats d'élites sont juste là pour se faire massacrer par des soldats tout ce qu'il y'a de plus normal et une Jill Valentine intouchable (vous m'excuserez pour ce passage, mais je trouve cela un peu "abusé"). Après, et je trouve que c'est le plus grand manque de respect à ce protagoniste, j'ai nommé Luther. On le voit se prendre un coup à la cage thoracique par la fatale Rain et tombe suite à un arrêt du coeur, avec comme résultat d'être totalement oublié! Même pas Alice montre du regret où de la tristesse pour sa disparition, c'est comme si il avait pas existé! Bien sur, il y'a de bonnes idées comme les zombies qui sont vraiment réalistes, les effets spéciaux toujours aussi efficaces, du rythme malgré quelques passages à vide, la musique qui reste magnifique à entendre... L'ambiance est là, mais utilisée un peu de travers et deformée par incohérences qui la plombent. Personnellement, je considère ce film comme un prélude à un magnifique final qui sera digne de Resident Evil, du moins je l'espère... Je lui donne trois étoiles, mais ce film sera vite vu et vite oublié. spoiler: Et laisser le scénario à quelque d'autre Paul W.S Anderson, ça fera plaisir à beaucoup de monde!

un brin plus intéressant que les précédents qui n'avaient aucun intérêt

A force d'exploiter le filon n'importe comment on se demande si Paul Anderson a encore une once de sincérité quand il adapte "Resident Evil". Mais là n'est point la question, la question devrait plutôt être "c'est le combien ?" presque tous se finissent en "Tion" et on les mélange tous. Et plus il y a d'épisodes plus le scénario est de plus en plus pourri. Passer le générique d'introduction montrant une scène d'action à l'envers que l'on va revoir peu de temps après, c'est que Paulo nous surprend en se la jouant sèrieux. Mila Jovovich est une mère de famille qui tente de protéger sa fille, d'une invasion soudaine de zombies. Mais rassurez vous, il a pas péter une durite le Paulo, il est juste farceur. La suite est totalement décérébré comme à son habitude, mais malheureusement la saga "Resident Evil" n'a pas le petit truc jouissif qui fait que les films de Paulo sont fort sympathiques. La narration est très influencé par le jeu vidéo, mais les jeux ont une narration très poussé inspiré par le cinéma, chose que Paulo ne réfléchit pas tellement. Outre celà les effets spéciaux sont moches, les personnages nuls, la baston n'en parlons pas, c'est juste un gros nanar, une série Z, une pure et dure série Z. Mais, cela dit, quiquonque a déjà jouer à "Resident Evil" a déjà du remarquer que l'univers est très série Z, et ce dés la cinématique d'introduction. Les scénarios ne sont pas bons non plus, les personnages sont caricaturaux, et plus ça évolue plus ça se dirige vers le Z hardcore, voyez Resident Evil 6 et son parachutage de zombies, c'est pas pire que là dans ce film avec les zombies à motos qui tirent au lance roquette. Et plus le temps passe plus les jeux se rapprochent des films, au grand dam des fans mais "resident Evil" dés le début c'est du gros Z et avec le temps, la série s'assume tel quelle.

Alors là...je crois qu'on ne peut décemment pas laisser passer un tel truc...Aderson va trop loin. Je tiens à préciser que mon avis est d'autant plus sévère que je suis un fan de la première heure des jeux de la saga Resident Evil. Comment a-t'on pu en arriver là ? Les premiers opus de l'adaptation cinématographique de Resident Evil était un viol total de la série...quand on connaît le potentiel du scénario de Resident Evil, Anderson et toute sa bande de clowns auraient pu avoir matière àid faire dix films à succès...mais non, on s'embourbe dans la nullité... où sont les Birkin ? Les Ada Wong ? Les Léon S. Kennedy ? C'est la question qu'on se pose durant les premiers opus. Anderson a donc décidé de réaliser Retribution...probablement pour apaiser les fans mécontents (dont je fais partie) qui réclamaient plus de fidélité à la série...dans ce film, plusieurs personnages de la série apparaissent (Léon, Wesker qui était déjà présent dans le film précédant et Ada). Tout d'abord, je dois vous donner un petit conseil monsieur Anderson...il ne suffit pas de prendre des acteurs, de les grimer en un personnage-phare de la série et de les filmer pour faire vivre ces personnages...pas de chance pour vous, les personnages de Resident Evil sont suffisamment profonds et bien détaillés par la série pour qu'on s'attarde à leur écrire des dialogues corrects et qu'on s'attache un peu à mettre en scène leur apparition à l'écran. Anderson se moque de tout ça, il nous sert une sorte de pudding cinématographique avec des scènes d'action aussi incohérentes que pathétiques. Milla Jovovich crève l'écran dans un rôle superficiel et inutile, le vide du scénario est comblé à coup de scènes d'action explosives dans lesquelles Milla et les autres montrent leur puissance face à des zombies armés jusqu'aux dents...violence, jolies femmes et gros flingues, il y a là tous les ingrédients pour faire un clip de rap mais on est très loin d'un bon film. En résumé, scénario nul, acteurs nuls, film douteux...viol traumatique et sauvage d'une œuvre vidéo ludique qui aurait pu donner du très bon.

P.S. 1 : la prochaine fois que Monsieur Anderson veut filmer sa femme dans des scènes d'action qui mettent sa plastique avantageuse en valeur, il peut faire comme tout le monde et la filmer en privé (ça coûte moins cher et ça évite d'avoir une armée de fans avec des envies de meurtre sur le dos).
spoiler: P.S. 2 : il y a un sujet que je n'ai pas abordé...celui d'Albert Wesker, un des personnages les plus complexes et les plus intéressants du jeu vidéo. Sensé être mort dans le précédant opus, il revient ici en pleine forme et prêt à aider les héros...il faudra m'expliquer. Peut-être que je n'ai pas compris certains aspects du film (mes neurones étaient déjà en convalescence après dix minutes de film).

N'ayant vu que le premier de la série avant celui-ci, je ne savais pas trop à quoi m'attendre avec ce cinquième épisode de la saga "Resident Evil". Je m'attendais peut être inconsciemment à pire, mais je n'ai pas totalement adhérer à cet univers mêlant science-fiction (beaucoup) et horreur (un peu). Les zombies sont loin d'être la préoccupation principale du réalisateur, qui limite son film à un espèce de machin où ça canarde dans tous les sens, jusqu'à épuisement. J'ai néanmoins apprécié les monstres et effets spéciaux, plutôt bien faits, beaucoup moins l'histoire "geekisante" qui en découle. Bof.

Le naveton du siècle. Juste une preuve de plus qu'
avec un budget énorme on peut faire n'importe quoi.

Film navrant !!! Mal joué, mal réalisé, mauvais tout simplement. À quand l'arrêt de cette saga ?
Là, ça devient très dur de continuer à regarder ça...

ALICE AU PAYS DES MERVEILLES. Cinquieme volets et quelle raclée!!! Un mortal kombat ou la planete morfle et ou le scenariste est tué d'entré d'une balle perdue. Bienvenue à P.W.S Anderson dans les plus mauvais realisateurs au coté de Mandoki, Irvin, Milius, Llosa, l et Bensalah.