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Votre avis sur L'Âge de glace : La dérive des continents ?
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bsalvert
de nouvelles aventures pour cette équipe qui peinent à tenir le spectateur. Il manque clairement l'attrait du début et on sent que la série pourrait s'allonger avec des scénarios minimalistes comme celui-ci.
PLV : pas grand chose à lire entre les lignes
PLV : pas grand chose à lire entre les lignes
Nous sommes en 2012. L'Âge de Glace s'est forgé une solide réputation mondiale. Il était donc évident que la saga serait prospère.... Cela reste à voir. Ce quatrième volet en vaut-il la peine ?... Oui. L'histoire est pas si mal, même si pour moi, elle reste en dessous de celle du troisième opus et du premier. Ce film n'est pas mauvais pour autant. Le problème est qu'il vit dans l'ombre du troisième opus, la meilleure suite de la saga. Mais si le scénario parait moins bon, c'est en partie à cause des éléments "what the fuck" qui y sont liés. Prenons juste le début du film : Scrat plonge au coeur de la Terre (et cela sans crever) et provoque de manière totalement réaliste (c'est de l'ironie !) les mouvements des plaques tectoniques et la dérive des continents (d'où le titre du film). Pour la logique donc, on repassera. Le scénario manque beaucoup de cohérence, l'humour n'est pas toujours fin et les références anachroniques fatigantes (genre le language, les coiffures et le comportement méga typé "adolescent" des jeunes mammouths) surtout quand on sait qu'elles sont employées à outrance dans la majorité des films d'animation modernes.Heureusement, il y a des personnages intéressants comme le capitaine pirate Gutt, Mémé ou encore Kira (je ne croyais pas voir le jour où Diego trouverait lui aussi l'amour) et des scènes sympas à voir comme l'affrontement final. En conclusion, si ce volet reste à un niveau acceptable, il faut reconnaître que c'est à partir de celui-ci que la saga s'est mise à dégringoler, même si le pire est à venir.
Stephenballade
Et de quatre. C’est avec grand plaisir que nous retrouvons notre horde si particulière, pour de nouvelles aventures qui tendent encore un peu plus vers le grand n’importe quoi. Je ne pensais pas que ce fut encore possible, même en sachant que la crédibilité du scénario n’était pas du tout le point d’orgue de la saga, et cela depuis le départ. A force, cela devient un peu répétitif, même si le clan s’agrandit au fil des épisodes. Conformément aux deux premiers numéros, c’est encore ce diable de Scrat qui va provoquer la nouvelle aventure qu’on nous propose ici, au prix d’une théorie fumeuse (qu’importe, on aime voir Scrat en prise avec des situations inextricables qui lui font avoir des bouilles hilarantes). C’est ainsi que nous voyons ce groupe soudé se faire séparer lors de la mutation de la planète bleue, transformant les uns en navigateurs pour rejoindre les autres restés sur la terre ferme. Cette fois, ce n’est non plus les forces des liens amicaux qui sont en toile de fond, mais plutôt l’esprit de famille qui est mis en avant, et tout ce qui va avec. Et là on se rend compte que les deux concepts ne sont pas si éloignés. Pour ce quatrième opus, les scénaristes ont voulu faire plus spectaculaire : une dérive à travers l’océan sur des icebergs, une tempête à traverser, des rencontres malencontreuses avec des pirates, parmi lesquels on note le retour d’un vrai méchant (après le vautour solitaire de "L’âge de glace 2") qui prend les traits cette fois d’un singe très réussi, doté d’une barbe digne d’un vieux loup de mer. Mention spéciale au passage à Pascal Casanova pour lui avoir prêté sa voix de façon très convaincante et tout à fait dans l’esprit de la psychologie du personnage. Même Scrat n’échappe pas au monde de la piraterie, avec ce plan qui lui indique ce qui sera appelé le Scratlantide ! Ah, des glands, il y en a, mais... je n'ai toujours pas vu le moindre chêne de toute la franchise. Ces quatrièmes aventures ne portent pas de message engagé comme nous avons pu en avoir auparavant avec le réchauffement climatique. Ici, le côté moralisateur est davantage mis en avant par l’exposition au premier plan des bienfaits de l’esprit de famille. Du coup, je ne peux m’empêcher de penser que "L’âge de glace : la dérive des continents" est plus tourné vers le jeune public avec son traitement encore plus givré. On a pourtant des moments savoureux, cette fois amenés par la grand-mère de Sid, à l’hygiène inégalée ! Eh oui, cette franchise s’enrichit encore de nouveaux personnages, et pas qu’un peu ! Une façon peut-être de s’offrir la possibilité de produire une ribambelle de nouvelles suites, allez savoir. Le fait est que j’avais remarqué que le numéro 3 tendait vers le too much… eh bien la tendance est confirmée. Même si le visuel a été amélioré, l’essoufflement de la saga n’est pas loin…
PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
Un quatrième volet pour L'Âge de glace, on n'en attendait pas mieux. Toujours plus de rebondissements, d'aventure, de camaraderie, et de drôlerie pétillante. Le trio de choc rencontré lors du premier opus ne cesse de s'agrandir, notamment avec Manny et sa petite famille, Diego et sa tigresse pirate, ou encore Sid et sa mémé déjantée (point fort du spectacle). Il n'y a rien de trop, car tout est soigneusement orchestré entre rythme et humour. Sans oublier le graphique irréprochable, ses couleurs et sa bonne humeur, dans un contexte que l'on affectionne naturellement. La terre semble vouloir s'acharner sur notre compagnie préhistorique, car après la période glaciaire, le raz de marée et les divers prédateurs, le sol se met à trembler, à se démanteler, modifiant ainsi l'aspect du monde. Pour le petit cours d'histoire-géo et tous les mensonges que l'on nous apprend à l'école, sachez que c'est en réalité de Scrat à qui l'on doit la dérive des continents et leur position actuelle. Toujours et inlassablement en quête de glands, l'intrépide et vil rongeur ne cessera jamais de nous faire rire. Plus imaginatives les unes que les autres, ces apparitions vagabondes sont un rayon de soleil pour petits et grands, de l'or en barre dans un filon exploitable à l'infini. Un scénario efficace se dévoile très vite entre les amourettes de Pêche et l’apparions d'une bande de pirates sanguinaires dérivants sur un énorme iceberg, et sous le commandement d'un affreux orang-outang. Comment se lasser d'un tel enchevêtrement de génie?!! Blue Sky se révèle par ses prodiges et sa conscience artistique du grand divertissement. Incontournable une fois encore. 4,5/5
Le début sur l'origine de la formation des continents lance le ton du film, et ça ne faiblit pas. Bien entendu, il y a des raccourcis, des clichés (notamment avec Pêche, la fille de Manny et ses histoires d'ados) et des moments moins drôles ou intéressants (comme le moment de chanson avec les pirates) mais c'est quand même un énième bonne suite. Les nouveaux personnages sont assez bien trouvés, notamment la grand mère de Sid et les anciens sont toujours aussi sympathiques et attachants. Vraiment un très bon moment encore avec cette joyeuse troupe donc. On ne s'en lasse pas même si on se demande bien ce qu'ils vont pouvoir vivre maintenant...
Si les aventures de la fine équipe et de l'impayable Scrat sont toujours aussi délirantes et mouvementées, la saga «Age de glace» commence toutefois à sentir le réchauffé.
L'âge de glace : la dérive des continents est un dessin animé correct, mais clairement, il est temps que cette franchise s'arrête, car tous les ingrédients ont été épuisé.
Les personnages ne sont plus aussi drôles qu'avant parce qu'on les connaît déjà, et c'est toujours un peu la même recette. Les nouveaux personnages ne m'ont pas conquis.
L'histoire est bien, sans être extraordinaire, elle est tout de même assez prévisible.
L'animation n'a pas changé, tout comme les doubleurs, c'est un point positif car ces deux éléments étaient de qualité.
Ça se regarde, mais ce n'est pas transcendent.
Les personnages ne sont plus aussi drôles qu'avant parce qu'on les connaît déjà, et c'est toujours un peu la même recette. Les nouveaux personnages ne m'ont pas conquis.
L'histoire est bien, sans être extraordinaire, elle est tout de même assez prévisible.
L'animation n'a pas changé, tout comme les doubleurs, c'est un point positif car ces deux éléments étaient de qualité.
Ça se regarde, mais ce n'est pas transcendent.
Scrat revient mettre un bazar monstre dans l'ère glaciaire, et c'est une réussite totale, c'est de loin mon opus préféré, malgré que j'adore déjà la saga de base. Les pirates sont attrayant, l'histoire est très bonne, les personnages fidèles a eux-même (mémé est absolument géniale) cet opus de l'âge de glace nous offre des barre de rire pour son 4ème épisode. Rares sont les licences qui peuvent se permettre de faire autant de suites qui tiennent la route, encore moins des meilleures ! Un dessin animé qui tend de plus en plus vers une grande famille au sein du clan, et ça marche !
Genial il est aussi bien que le troisieme j'ai trop aimé la qualité 3D de ce film d'animation Blue Sky avec cette saga rivalisent avec Disney, Pixar et Dreamworks.
Exellent c'est un des meilleurs films d'animation que j'ai vue de ma vie.Il est tres drole rythmé et c'est un film a regarder en famille
Toujours un plaisir de retrouver ces personnages ! Même si j'ai vu les films plusieurs fois je ne m'en lasse pas. L'humour est au rendez-vous et même si le scénario n'est pas transcendant franchement c'est vraiment un bon moment de cinéma. La mémé est très réussie et Scrat est quand même un des meilleurs personnages jamais créé. Aussi dans la VF, bravo à Vincent Cassel, la voix de Diego.
Très bon ! : bon dèja y a eu une grosse élipse d au moins 15 ans ! car dans ce 4 ème pêche est adolesente mais que c est il passé pendant ces 15 ans d élipse ? et bien pour moi il n y a pas a se le demander il c est rien passer je pense sinon blue sky nous l aurez montré bref pour en revenir au 4 : le scénario est cool , le concept de dérivez dans l océan est bien exploitez , les nouveaux personnage sont bon : la mémé de sid est a mourir de rire , les pirates sont de bons antagonistes , j aime bien kira elle est intéressante et j aime bien le developement de sa relation avec diego par contre louis bof ce personnage pour ma part , la réallisation toujours au top , mais il y a qulque longueurs ( mais elles sont moins présente que dans le 2 qui le l age de glace avec le plus de longueurs ) maisi l passe quand même très vite bref pour ma part c est un très bonne opus avec ces défauts mais très bon 4/5
C'est toujours beau à voir, avec un rythme soutenu et des moments assez drôle, mais ça n'a plus la magie des deux premier. On tombe sur beaucoup de clichés mille fois vu ( relation père/fille etc ...) mais c'est surtout sur le délire des anachronismes et du cartoon que ce film me perd. Le meilleur exemple est avec Scrat. Dans les premiers films, il provoquait certes des catastrophes par sa malchance, mais cela restait un minimum "réaliste" ( au sens ou il se contentait de faire des fissures, le reste s'aggravait tout seul). Ici il
spoiler:
fend une montagne en deux, tombe au centre de la terre et roule sur le noyau
. Il est donc de partie pris que la saga se dirige vers du cartoon avec un coté très Tex Avery. Ça peut être drôle mais je trouve cela dommage.
. Il est donc de partie pris que la saga se dirige vers du cartoon avec un coté très Tex Avery. Ça peut être drôle mais je trouve cela dommage.
L'âge de glace 4 est un bon film d'animation avec des images vraiment très belles. On retrouve l'eau et la glace ce qui change du troisième opus où nos héros étaient le plus souvent sur la terre ferme. Le seul bémol est la partie de l'histoire consacrée à la mammouth adolescente et ses amis que je trouve un peu inutile et stressante car l'univers des ados n'est jamais tranquillisant, ils sont imprévisibles. C'est dommage de les avoir mis là.
ManoCornuta
Il n'y avait plus guère qu'une étape à franchir dans les catastrophes provoquées par Scrat: la voici avec cette dérive des continents qui fait partir la saga vers un film de marins. Un peu moins drôle mais visuellement toujours impeccable, avec une galerie de personnages tellement fournie qu'on aura parfois un peu de mal à s'y repérer. Le changement à la réalisation ne se fait pas spécialement sentir, le résultat étant dans le droit fil des précédents. L'équilibre du trio, toujours délicat à maintenir, est relativement préservé (même si le mammouth prend plus de place, forcément). Pas dénué d'incohérences, mais encore très agréable à suivre.
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