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gandalf001
18 abonnés
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3,5
Publiée le 14 janvier 2015
Ce film est réussi du fait d'une musique entraînante, des combats haletants, des ruses de guerre et du très bon jeu d'acteur d'Eva green. Cette deuxième version de "300" n'est pas un doublon du premier. Les spartes ne sont guère présents. Les effets visuels sont réussis et transforment une guerre horrible en un spectacle divertissant.
Un cran en dessous du premier 300, cette suite reprend l'histoire du premier et m'a convaincu de part son scénario qui reste fidèle,dans l'esprit du succès de son prédécesseur. Et que dire des scènes de combat d'une violence inouïe.
Un film à grand spectacle qui réussit son pari : divertir le spectateur. Mais hormis cela, rien de nouveau par rapport à l'épisode précédent. Des scènes de combats, des moments de bravoure, mais aucun scénario qui tient la route. Il s'agit simplement d'un film d'action sans aucune finesse dans la réalisation.
La suite de 300 se passe avant, pendant et après le précédent volet. J'ai préféré cette suite, certes nous connaissons l'effet, c'est-à-dire de nombreux ralentis lors des combats, une réalisation toujours esthétique au point que souvent nous sommes face à des tableaux et le résultat est encore concluant. Mieux, on reste pas que sur le terrain, énormément de scènes sont sur mer, en effet, des plans pas loin d'être somptueux avec des batailles navales entre les Perses et les Grecs. Les personnages sont bien plus magnétique, on y trouve le combattant athénien Thémistocle qu'interprète l'acteur Sullivan Stapleton et surtout la reine Artémise que Eva Green campe jusqu'au bout du film. Ténébreuse et sexy, une redoutable guerrière tueuse sans pitié.
Non, il n'y a pas de suite de 300. Retirez immédiatement ce "300" du titre. Tout est foiré, le scénario qui tient pas la route... On veut analyser l'avant et l'après bataille des Thermopyles sauf que ça tient pas. Les scènes d'actions digne d'un jeu-vidéo. Les personnages vraiment ternes, aucune émotion, rien... Le personnage de Xerxès ? Non, il vient juste pour faire joli. On se demande si Frank Miller désirait mettre fin à l'histoire des "300" ou se faire un peu d'argent en temps de crise...
300 : La Naissance d'un Empire est donc une séquelle et une préquelle au premier 300 de Zack Snyder (Sucker Punch). Noam Murro succède à celui-ci est nous offre un divertissement plus barbare et ultra-violent, tout en tentant une approche scénaristique de la Bataille de Salamine.
Le scénario est certes cliché, peu développé au niveau de certains protagonistes et doté de quelques facilités scénaristiques mais l'ensemble reste tout de fois très convaincant et honnête. Le rythme de l'histoire est vraiment très prenant et l'ambiance poignante et sombre.
Noam Murro nous livre une mise en scène bien plus esthétique visuellement et une trame intéressante à suivre. La photographie, aux couleurs très bleu teinté et orange sombre, est sublime bien que trop artificielle et la réalisation en est de même. Les effets spéciaux sont ahurissants malgré le développement de l'image un peu trop jeux vidéos. Elle est fluide, bien cadrée et rythmée, ce qui nous donne des plans-séquences parfaitement maitrisés et des séquences sanglantes magnifiques. La violence dans cette nouvelle œuvre cinématographique, mise plus en avant grâce à une 3Dimension apparemment très bonne, est omniprésente tout le long du déroulement. Avec des scènes de batailles envoûtantes, surprenantes et bien chorégraphiées, ce nouveau péplum bodybuildé met la dose d'hémoglobine avec une technique en slow-motion superbe. Les ralentis sont plus nombreux, voire bien trop mais c'est une réussite technique. Une prouesse visuelle.
Sullivan Stappleton (Animal Kingdom) remplace le très bon Gérard Butler et incarne un général Athénien imposant et avec majesté. Sa performance est très crédible et ses efforts physiques se font ressentir, tout comme le jeu d'Eva Green (Dark Shadows). Celle-ci interprète une femme assoiffée de sang, barbarie et de vengeance, avec habileté et nous offre quelques séquences vraiment très bonnes. Rodrigo Santoro (300) et Lena Headey (American Nightmare) reprennent quant à eux du service dans leurs personnages respectifs. Chacun nous offre une prestation très convaincante.
La bande sonore est quant à elle d'une force brutale est sublime ce visuel unique. Véritable coup de cœur sur la composition de Junkie XL, cette musique d'ambiance orientale musclée accompagne parfaitement l'ensemble de cette fresque mythologique brutale et sanglante. Épique et grandiose, cette musique est vraiment très bonne et est parfaitement orchestrée.
Warner Bros produit un film qui remplit son cahier des charges en donnant un pur divertissement dantesque où l'hémoglobine asperge la virtuose caméra, bien que moins travaillée que celle de Z. Snyder.
2014 sera l’année des suites qu’on attendait plus. Alors que "Sin City : J’ai tué pour elle" doit débarquer à la fin de l’année, voilà "300 : la naissance d’un empire". Les deux projets ont en commun d’être précédé d’un épisode qui a révolutionné le genre en imposant un style graphique atypique sur grand écran sans perdre l’intensité du récit… mais, également, d’être séparé de ce premier opus par de nombreuses années (et des errances de développements). Et, sans surprise, ce nouveau "300" souffre de cet éloignement temporel puisqu’on a tout de même la désagréable impression que le train est un peu passé et que le public est passé à autre chose 7 ans plus tard. Il faut dire que le réalisateur Noam Murro (qui remplace Zack Snyder) n’a pas vraiment imposé sa patte et se contente de reprendre le style de son prédécesseur (ralentis en pagaille, mise en avant de corps luisants et musclés, couleurs surchargées…) sans jamais le renouveler. On retrouve, donc, sans déplaisir d’ailleurs, les scènes de batailles (essentiellement en mer ici) et sa succession d’affrontement gentiment gore (les effusions de sang au ralenti, les membres sectionnés à la pelle…) mais on ne peut que regretter la faiblesse de la BO (qui était pourtant une des forces de "300"). L’effet de surprise a, par conséquent, totalement disparu et les nombreux clins d’œil au premier opus achèvent d’imposer une comparaison entre les deux films… au désavantage de la suite. Reconnaissons toutefois qu’il était difficile de se montrer particulièrement créatif sur le plan visuel au vu des limites imposées par le parti-pris scénaristique de situer l’action de ce second opus avant, pendant et après les événements de "300". C’est, sans doute, le principal atout de ce "300 : la naissance d’un empire" puisqu’il permet d’en savoir plus sur le premier épisode (les négociations entre les différentes cités grecques, les conséquences de la mort de Léonidas, le sort de la Reine Gorgo…) et met en lumière d’autres évènements de l’Antiquité à savoir les batailles de Marathon et des Samines, qui raviront les passionnés d’Histoire. Cette suite-préquelle permet, également, de creuser la psychologie des méchants de l’histoire. Ainsi, la représentation de l’armée perse est bien moins déshumanisée que les "monstres" de l’épisode précédent et on découvre les origines de Xerxès (toujours joué par Rodrigo Santoro) et sa transformation en Dieu Roi. Et surtout, on, a droit à un personnage de méchante intransigeante et ambiguë à souhait jouée par l’excellente Eva Green (qui n’a pas résisté à la tentation d’une énième scène de nu). Elle efface, d’ailleurs, le héros du film, Temistocles, joué par un Sullivan Stapelton qui ne démérite pas mais qui n’a pas le charisme animal de Gerard Butler (qui a refusé de reprendre son rôle de Leonidas). "300 : la naissance d’un empire" s’avère, donc, être un complément, plus sympathique qu’indispensable, de l’excellent "300" qui aurait, malgré tout, gagné à prendre ses distances avec son illustre prédécesseur.
Mouais, une ou deux scènes de batailles sympa mais après je n'ai pas trop accroché. Ici xerxes est relegué au second plan, d'ailleurs la genese du personnage xerxes est tiré par les cheveux, quoi que c'est un peu marrant quand on y repense. Ce film est en deça de 300, les effets spéciaux ici sont surfaits. bilan mitigé pour un film qui fait un peu série b
Le film pâtit du manque de charisme de son principal héros mais gagne en intensité à chaque fois que ce dernier croise le chemin de la véritable héroïne du film, la troublante Eva Green. Pour le reste, on appréciera ou pas un cinéma qui multiplie les ralentis à la Guy Ritchie (Sherlock Holmes), une esthétique parfois proche de Sin City sans nécessairement la même justesse de propos et un lyrisme oscillant entre la poésie et le ridicule.
Il y a 8 ans, Zack Snyder avait l'audace de bousculer les codes visuels cinématographiques en apportant une touche esthétique nouvelle, puissante et osée à 300, un péplum qui plus est. Aujourd'hui, la nouveauté visuelle n'en est plus une et elle ne suffit plus à combler nos attentes. Non pas que l'histoire ne soit pas intéressante ou les personnages charismatiques, mais ils sont si grossièrement menés et interprétés qu'on ne peut se laisser emporter par le lyrisme, qui du coup, devient presque risible.
0,5 parce que le rôle d'Eva Green est le seul un tant soit peu intéressant. Le reste, comme 300, est bon à jeter aux toilettes en tirant la chasse le plus rapidement possible. Le cliché, le mytho et l'hémoglobine ont effacé toute trace d'intelligence dans ce navet. On le savait déjà depuis 300, mais la recette est reprise pour donner une farce plus indigeste encore. Le scénario n'est pas plus évolué que les répliques des Grecs lorsqu'ils combattent les australopithèques que sont les Perses. Le réalisateur a sû repousser les limites de la stupidité, chapeau !
Cette suite de 300 surfe sur le succès du premier opus, graphiquement novateur et particulièrement réussi. Ici, le réalisateur change mais l'esprit reste le même. Ce "300 la naissance d'un empire" mise lui aussi sur l'aspect visuel avec multiplication des effets de style et retouche numérique très prononcée. La violence est encore accentuée avec notamment des vagues de sang qui giclent à chaque coup de lame. C'est certes démesuré mais complètement assumé. Le résultat est encore une fois très spectaculaire. La Bande son renforce efficacement la violence et le caractère épique des combats. Le scénario est sans surprise d'une rare légèreté. Ce coup-ci, nous avons droit à une guerre maritime (finalement la seule nouveauté est le fait que le conflit est passé de la terre à la mer)... Pas d'inspiration scénaristique, mais un récit prenant et spectaculaire dont il est difficile de décrocher. Pari réussi.
Après "300" de Zack Snyder sortie en 2006, voici une improbable suite qui voit le jour. Les créateurs du premier volet décide de le prolongé de manière ingénieuse en racontant l'épopée du général Grecs Thémistocle et son combat contre les Perses. Ce film fait un brillant parallèle avec les événements du précédent épisode. C'est à la fois un prequel et une suite, si l'on suis bien le déroulement du film. "300: La naissance d'un Empire" est à la hauteur du film original. Comme le premier 300, cette deuxième aventure déverse avec fracas tout son style visuel à l'écran : somptueux décors, images sombres, effets spéciaux bluffants et des combats épiques sanglants. Le tout dans une ambiance vertigineuse et déchainée. On retrouve de nouveau Rodrigo Santoro dans le rôle de l'Empereur Xerxès, toujours impeccable. Et de nouvelles figures tel que Eva Green dans un rôle très imposant et Sullivan Stapleton au charisme époustouflant. Une bonne réussite convaincante. Un nouveau chapitre spectaculaire.