Avis : 300 : La naissance d'un Empire - Page 8

Un très bon film. L'histoire est aussi bien que le premier même si pour moi, le premier 300 reste de loin le meilleur. J'attendais ce film avec impatience et je ne suis pas déçu. Faut vraiment le voir.

J'ai eu l'occasion de voir les deux films à la suite au ciné, et malgré le niveau posé par le premier (au ciné ça claque assez au niveau graphique), je dois dire que le second est assez honnête. Je n'attendais pas grand chose du film et en suis ressorti plutôt satisfait, principalement parce qu'il ne s'agit ni d'un prequel, ni d'une suite. Du point de vue photo, le deuxième volet mise sur le Bleu/Noir, ce qui tranche avec le duo Or/Rouge du premier volet que je préfère. L’esthétique est réussie mais l'ensemble est beaucoup plus froid même si la profondeur de champ accordée par la 3D est assez bien exploitée. Le casting est pour moi le seul point faible du film. Hormis Eva Green (pas assez cruelle), le reste du casting manque clairement de charisme et les quelques scènes flashback avec Léonidas le rappellent constamment. En bref, un film honnête qui n'a pas à rougir face au premier volet. Les fans de la série Spartacus s'y retrouveront encore plus que dans le premier volet.

Le film commence sur la dernière image de Leonidas, interprété par Gérard Butler, dans « 300 », Xerces levant une hache au dessus de sa tête. S’en suit une bataille introductive, pour poser les bases du film, de cette histoire inspirée de réelles légendes grecques, bataille violente et sanglante. Et je dois avouer que « 300 » étant un peu loin pour moi, ce fut une fois de plus carrément impressionnant de revoir des combats aussi violents et sanglants, mais surtout aussi bien réalisés et chorégraphiés. Car oui, ce réalisateur ayant repris les reines tient bien la route au niveau de la réalisation, offrant toujours de sublimes ralentis, magnifiant les combats, il nous offre lui aussi des plans très théâtrales, opéra visuelle magnifique et qui ne sonne presque pas faux, parce que l’on voit encore qu’il s’agit d’images de synthèse, observant quelques petites imperfection impossibles à expliquer ici et la. Mais la photographie certes très synthétisée reste quand même sublime.
Ce nouveau réalisateur a décidé de transplanter sa guerre sur les eaux, défit plutôt osé puisque passionner le spectateur avec des combats navals c’est assez compliqué, on n’a qu’à retourner du côté de « Pirates des caraïbes » pour s’en convaincre. Et heureusement les combats navals, d’une simplicité déconcertante ne sont pas nombreux. Mais malheureusement les combats au corps à corps non plus. Oui étonnement cette suite de « 300 » manque des sublimes combats au corps à corps qui avait fait la réputation du premier opus ! Mais ce n’est pas forcément un mal, ainsi on profite encore plus de ces incroyables combats et la notion de trop plein, de lassitude, d’ennuie qui planait parfois sur le premier épisode est ici totalement absente.
Le réalisateur a aussi eu l’intelligence de ne pas faire une suite, ni un remake, ni même un prequel mais de placer tout simplement son film au même moment que le premier et de montrer un autre lieu de la guerre qui a fait rage à cette époque, de mettre en avant d’autres protagonistes en avant. Le dosage est également meilleur puisque la où « 300 » nous offrait la plupart de ses scènes d’action en deuxième partie de film, cette suite les répartie sur toute la longueur !
On ne retiendra pas forcement les dialogues et autres répliques qui manquent cruellement d’inspiration, allant même, dans la version française du moins, pomper des répliques à d’autres films. Ainsi on réentend de longues décennies après, cette réplique culte de Mel Gibson dans « Braveheart » : « il vaut mieux mourir debout que de vivre à genoux » qui n’a pas manquée de m’interloquer.
Mais la plus grande force du film réside dans la méchante interprété par Eva Green, parce que comme disait Hitchcock, « les meilleurs films restent ceux qui ont le meilleur méchant ».

Si vous avez vu et aimé le premier "300", alors vous savez à quoi vous attendre, et ça va vous plaire : le cahier des charges est rempli. Pour ma part, j'avais beaucoup aimé le premier, et j'ai aimé tout autant celui-ci. Ce qu'il faut savoir, c'est que ce n'est ni une suite, ni une préquelle, mais une histoire qui se passe parallèlement à celle du premier film. L'ambiance est respectée, et on retrouve avec plaisir des combats sanglants, blindé d'effets de ralentis et d'accélérés, avec des scènes impressionnantes (décapitations, démembrements et j'en passe), le tout sur fond de musique épique. Un vrai bon film de guerriers qui donne la patate. Et mention spéciale à Eva Green, qui incarne son rôle à merveilles, on dirait que c'est vraiment du sur-mesure. Quant à la 3D, elle est vraiment bien utilisée : sur certains plans, ça donne même carrément le vertige!

À la fois prequel et sequel, "300 : La naissance d'un Empire" englobe l'histoire du 1er épisode. Les événements relatés dans ce dernier ne sont en fait qu'une des nombreuses batailles ayant opposé les grecs au légions de Xerxès. Noarn Murro a su s'approprier les codes établis par Zack Snyder dans le précédent volet. La mise en scène, à grands coups de slow motion, combinée à une imagerie toujours aussi picturale, est épiquissime et donc jouissive à souhait. Les 2 personnages principaux à savoir Artémise et Themistocles, respectivement incarnés par Eva Green qui fais l'une de ces meilleures interprétation dans ce film et puis elle est vachement sublime et Sullivan Stanpleton très charismatiques. Les personnes ayant apprécié le 1er opus ne seront pas déçues !

En 2006, un OVNI cinématographique signé Zack Snyder débarque sur nos écrans. « 300 » divise la critique mais remporte un vrai succès populaire. Ses combats « hyper stylisés », ses superbes images de synthèse et sa terrible violence ravissent largement les amateurs de film d'action. 8 ans après, la suite très attendue se devait de confirmer la très bonne impression laissée par son prédécesseur. Les fans sont un peu désarçonnés en apprenant que le réalisateur d'origine laisse sa place a Noam Murro, complètement inconnu du grand public. Pourtant les craintes s'arrêtent là ! « 300, l'univers d'un empire » tient toutes ses promesses tant l'ambiance si particulière de la franchise est respectée. Les scènes de batailles, maritimes cette fois, sont toujours sublimes, parfaitement rythmées, spectaculaires et d'une violence inouïe. Un petit « supplément d'âme », apporté par un scénario plus profond et mieux travaillé, font de cette suite une véritable réussite. La guerre entre Perses et Grecs n'est heureusement pas finie et un troisième épisode viendra à coup sûr compléter cette série en passe de devenir culte. Parfait !

Malgré le fait que Snyder soit parti chez DC, Warner a tout de même mis en place la suite du désormais cultissime 300, qui avait révolutionné le péplum hollywoodien.
Ce prequel-suite abandonne les Spartiates, afin de se concentrer plus principalement sur les Athéniens, en pleine guerre contre les Perses.
On est directement mis dans l'ambiance avec la bataille de Marathon, véritable déchaînement de violence, qui ouvre le film. Débordant d'affrontements titanesques et sanglantes, le film fait totalement son travail coté spectacle.
Concernant les personnages et l’écriture par contre, on repassera.
L'aspect quelque peu poétique du premier a cependant disparu, laissant une plus grande place à la violence, présente tant dans les batailles que dans la scène de sexe.
Gérard Butler n'est évidemment plus présent, tandis que Rodrigo Santoro revient en Xersès, et Lena Headay en Reine Gorgo. Sullivan Stapleton incarne Thémistocle avec charisme, mais le véritable atout du film reste Eva Green, diaboliquement sexy.
Junkie XL nous offre de bonnes musiques, tandis que les effets spéciaux sont réussis, malgré l'abus d’hémoglobine virtuelle.
Un film violent et bourrin, malheureusement peu intelligent et bien inférieur au premier opus.
Divertissant.

Sept an après un premier péplum des plus marquants, 300 revient avec le général grec Thémistocle à la tête des Athéniens contre la redoutable armée de Xerxès. Le film se passe d'abord en parallèle du premier (on voit même le passé quand il tue le père de Xerxès d'une flèche lointaine) puis montre la suite des batailles contre les Perses. Techniquement, la qualité est toujours là, et la trame scénaristique est encore meilleure que celle du film précédent grâce au défi que se lancent Thémistocle et Artémise, redoutable dirigeante sous l'égide de Xerxès et remarquablement interprétée par Eva Green. D'abord trop sombre, elle devient de plus charismatique et montre qu'elle sait se battre et tenir tête à son roi, elle va même jusqu'à proposer à Thémistocle de la rejoindre dans une scène de jambes en l'air un peu exagérée. Contrairement au premier film, les batailles se passent avant tout sur la mer, et la difficulté de retranscription a été largement relevée par le réalisateur, la 3D étant magnifique et les affrontements toujours aussi lisibles. le film se termine sur la bataille de Salamine mais alors qu'Artémise est vaincue en combat singulier, Xerxès cesse d'être spectateur et le film s'arrête subitement, comme si un troisième film était en préparation !!

Ça m'attriste un peu de mettre une note si basse, mais je ne peux pas lui mettre plus...
Pourtant, un travail colossal a été réalisé, c'est réellement très impressionnant.

Cependant, le film est une compilation des passages inspirés de 300, en tout cas ceux qui je pense ont marqué les esprits, au service d'un scénario toutefois très acceptable.

Donc il sera ici question de boucherie mise en spectacle, avec des scènes que j'ai perçues parfois comme sadiques vu la volonté de rendre tout spectaculaire.

La caméra qui insiste une fois, deux fois, 10 fois, 30 fois sur les "giclées" (15L x coup d'épée) et les démembrements, décapitations avec des gros plans détaillés etc... ça fait flipper à la longue, on est pas des psychopathes assoiffés de sang humain.

Ajoutez la présence de nombreux dialogues, pas le point fort du film, j'en suis sorti un peu déçu, en me demandant si ça venait de moi ou si le film a vraiment tapé à côté de la plaque...

L'interdiction au -12ans me semble clairement pas appropriée... à 12.5 ans, va y avoir des traumatisés.

PS : Attention, une scène spoiler: de sexe bestial est présente dans le film
.

moins que nul! aucun sens! rien est pire que mentir a propos de l'histoire! et fausser les connaissances!

La surprise n'est plus là évidemment, mais le film reste visuellement remarquable et éva Green est la révélation de ce film..... Avec une scène d'amour qui, restera dans les annales.

”Un film sans autre profondeur que celle de la chair transpercée.” Wyzman

Excellente Suite. Aprés le phénoménal premier opus signée Zack Snyder, le réalisateur Noam Murro succède dignement a son prédécesseur avec ce film qui se déroule pendant, avant et âpres le précédant. Avec des Séquences de Combats absolument bien et Violent a souhait grâce a une Mise en Scène toujours aussi somptueuse. Ensuite, la BO envoie du lourd en étant assez vibrante lors de certains moments phares du film, en ce qui concerne l'Intrigue elle s’avère toujours aussi Prenante on découvrant ce qui se passe après la fin du premier film. La Distribution est Excellent avec le comédien Sullivan Stapleton qui est trés convaincant dans le role de Themistocles qui reste assez au niveaux du personnage culte de Léonidas incarne par Gérard Butler dans 300, ajouter a cela le personnage de Artémise la Séduisante et Dangereuse perse qui jouée par la talentueuse Eva Green qui est remarquable dans la peau de ce personnage en passant par le retour de certains protagoniste du précédant comme l'actrice Lena Headley qui reprend son rôle de la reine Gorgo en passant par l’inoubliable Xerces incarner de justesse par Rodriso Conclusion 300-La Naissance D'Un Empire est une Suite encore mieux réussi que son prédécesseur en étant Plus Impressionnants, Émouvant et Brutal qui ravira a coup sur les fans du roman graphique et ceux qui adorent les péplums dont on espère voir un Troisième Episode pour conclure cette trilogie épique et déjà culte.

Rien de neuf sous le soleil de Sparte pour cette suite de 300 que j’avais vraiment apprécié. On retrouve ce qui a fait le succès du premier : des plaquettes de chocolat, l’hégémonie de la guerre, la vertu de la loyauté et avec comme nouveauté la sacro-sainte république grecque garante de la liberté individuelle contre le tyran perse. Sauf que la mayonnaise ne prend plus, on a déjà vu ça dans 300 et au bout de presque 2h de bourrage de crane on sature! La plupart des ralentis ne sont là que pour étirer le film sur 1h42 et le tout est porté par un acteur principal, Sullivan Stapleton (Thémistocle), bien fade surtout par rapport au charismatique Gerard Butler (Leonidas). Les scènes de batailles navales sont spectaculaires du point de vu des effets spéciaux et certaines ruses sont bien trouvées mais cela ne dure pas; d’autant plus que certaines scènes d'actions sont tellement extravagantes qu’elles en perdent toute crédibilité… Toute cette molle fureur est entrecoupée par des scènes où le réalisateur tente de nous expliquer l’origine du conflit et la difficulté d’unir les perses sous une même bannière, bien que l’idée soit intéressante elle tombe à plat. Le film manque sérieusement de contenu et de force, Noam Murro n'a pas le talent de Zack Snyder!

Il aura fallu attendre sept ans pour enfin voir une suite à 300. Le temps pour Frank Miller d'écrire avant tout l'histoire dans un nouveau roman graphique et aux équipes de Zack Snyder de le transformer en long métrage. Et si le réalisateur du premier épisode est maintenant parti redonner un nouveau souffle à Superman, il a suivi de près ce nouveau long métrage afin que l'esprit soit réservé. Récoltant de plus en plus de fans au cours des années et ayant donné sa patte à la nouvelle vague de péplum, cette suite n'a pas le droit de décevoir.

L'action de 300 : La Naissance d'un Empire se déroule parallèlement à l'intrigue de 300. Pendant que le Roi des Spartiates, Leonidas, et ses 300 fiers soldats défiaient courageusement l'armée de Xerxès dans les Thermophyles, l'Athénien Themistocles cherche à réunir les grecs pour aller battre sur la mer les troupes perses menées par la terrible Artemisia. On y découvre aussi comment dix ans auparavant Xerxes est devenu le Dieu Roi.

On sait Zack Snyder grand fan du roman graphique de Frank Miller, ce fût certainement un déchirement pour lui de ne pouvoir donner lui même une suite à cette adaptation. Le poste a été confié à Noam Murro, réalisateur quasi débutant à qui l'on doit un Smart People passé inaperçu à sa sortie en 2009. Rassurez-vous tout de suite ce second volet n'a rien perdu de sa superbe et bénéficie d'un budget beaucoup confortable maintenant que la Warner plutôt réticent au premier épisode sait a quel point cette franchise est aimée par de nombreux fans.

Les batailles de ce second épisode se déroulent principalement sur la mer, cela n'empêche absolument pas les corps à corps violents et les giclées de sang bien gore à la Frank Miller. Si les athéniens ne sont pas des guerriers aussi professionnels que les Spartiates, leur courage est similaire pour affronter des dizaines de milliers de combattants avec une poignée d'hommes. Tous les codes du premier film sont respecté à la lettre avec de nombreux ralentis très graphiques encore sublimés par les effets de profondeur apporté par une 3D bien utile pour une fois.

Le film de Noam Murro arrive même à corriger les menus défauts du premier épisode en se focalisant sur les batailles plus que sur les tractations entre politiciens. Les personnages sont plus développés avec de larges présentations des protagonistes de cette nouvelle histoire. Le scénario de ce second volet continue de présenter une version améliorée de véritables événements historiques en privilégiant tout de même le grand spectacle à la véracité totale en insufflant toujours une part infime de fantastique.

On pourra regretter l'absence de Gerard Butler dans cette suite où il aurait pu pourtant se glisser dans quelques scènes. Il fait cependant de brèves apparitions dans des flashbacks pour assurer la continuité. D'autres en revanche sont bien de retour comme Lena Headey qui profite de l'absence du comédien pour gagner un rôle plus étoffé comme David Wenham, seul survivant des 300. Le terrible Xerxès est toujours interprété par Rodrigo Santoro et même Ephialtès revient joué encore une fois par Andrew Tiernan.

Se rajoute à la distribution une floppée de nouveaux acteurs. Le rôle principal de l'Athènien Themistocles est joué par le méconnu Sullivan Stappleton qui fait rapidement oublié Gerard Butler. Eva Green incarne la belle et redoutable Artemisia, une nouvelle ennemie impressionnante. Leur rivalité donne lieu à des scènes particulièrement réussie. Le reste de la distribution est composé elle aussi de quasi inconnus issu de séries TV comme ce fût le cas pour le premier qui avait révélé certains acteurs à l'époque comme Michael Fassbender.

Honnêtement, on ne pensait pas qu'une suite sept ans plus tard pourrait donner quelque chose de vraiment concluant. L'absence à la réalisation de Zack Snyder et les retards dans la production pouvaient laisser craindre le pire. Pourtant ce nouvel épisode s'avère au final peut être encore mieux que l'original. Zack Snyder et Frank Miller ont définitivement imprimé un style parfaitement respecté qui donne envie de voir très vite un troisième épisode.