Deuxième volet de cette boucherie sans nom voir même qu’il s’agisse d’un carnage visuel. On n’apprend surtout dans ce nouveau volet, que les tueurs, puisque nous savons désormais qu’il s’agit de 2 criminels, qu’ils sont soient issues de la même famille de psychopathes, soient comme dans ce volet, il s’agit des 2 criminels inconnue entre eux mais rencontrer sur un blog.
Ce volet commence donc tambour battant avec une projection en avant-première de « Stab », long-métrage d’horreur inspiré de la tuerie de la ville de Woodsborro l'année précédente. Et bien sûr, comme tous c’qui se respecte, ça fini en drame.
La tension y est toujours autant présente avec ses musiques stressantes et ses moments de sursaut prémédité. Le tueur ou plutôt comme dans le premier volet, les tueurs ont autant cette façon de vouloir tuer avec une rage à la fois de joie pour les crimes en série, pour leur haines et la façon qu’ils ont de se déplacer pour vouloir exterminer leur proies. Tuer, c’est leur façon de vivre, sauf que cette fois-ci, c’est une femme dans le costume noir. Deux meurtriers s’étant rencontrés sur un blog de tueurs en série, classe non ? Mais grave flippant à la fois. Et rien qu’avec un appareil modifiant leurs voix, comme dans le premier, et ils arrivent parfaitement à faire tourner en bourrique toutes leurs futures victimes et même celles ne l’étant pas encore.
Encore avec la presse, il y en a 2 fois plus pour 2 fois plus d’énervement, mais c’te fois-ci et juste M.D.R., c’est carrément Le personnage de Courthney qui va se faire harceler par ses propres confrères, car elle seule est en contact avec les flics et ses amies victimes morales.
En parlant d’elle, toujours et même encore plus sexy que dans le précédent film, chaque prises de vue sur elle est grandiose. Avec une petite scène torride manquant d’érotisme, mais ça, c’est à cause de l’autre en costume d’Halloween. Pour en finir, elle est teinte en rouge et noir, petite provocation pour se montrer encore plus sexy et provocatrice que jamais en journaliste de terrain rusée voulant tous tout de suite.
La scène du parc universitaire avec elle justement, le flic et le caméraman est elle aussi superbe, tournant en rond au milieu d’une foule d’étudiant ne comprenant rien à c’qu’il se passe. La bibliothèque également ou la fille principale se fait hacker son ordi par on sait qui, les 2 flics en surveillance entre alors en état de siège immédiat.
Et le final, dantesque, ou l’on apprend le pourquoi du comment, bon y a d’un coup beaucoup d’infos en même temps c’qui fait que chuis perdue mais bon, pas grave, car le spectacle est là. J’vais maintenant pouvoir critiquer l'avant-dernier de la saga.