La Solitude des nombres premiers : Critique presse
La Solitude des nombres premiers
Note moyenne
3,1
20 titres de presse
Charlie Hebdo
Brazil
Critikat.com
L'Express
La Croix
Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
20 Minutes
L'Humanité
Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
Libération
Première
Studio Ciné Live
Télérama
Cahiers du Cinéma
Excessif
Le Monde
Positif
L'Obs
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
(...) Le film de Costanzo est d'une beauté à couper le souffle et, espérons-le, la première borne magnifique du renouveau du cinéma transalpin.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Brazil
par Alexandra Louvet
Voici venus les nouveaux "Amants du cercle polaire" mâtinés de Dario Argento ! (...) Un film-puzzle sur le poids de la culpabilité, les cicatrices du temps et l'incommunicabilité. Une pure réussite
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Critikat.com
par Ferhat Abbas
Saverio Costanzo signe ici une troisième oeuvre à la maîtrise étonnante, qui offre aux troubles singuliers de l'enfance une exigence formelle révélatrice d'un regard neuf et sensible sur un sujet délicat.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
Puzzle dramatique, parfaitement maîtrisé par le réalisateur Saverio Costanzo. Une sorte de poésie métaphysique (...). Un mélange de plaisir de l'esprit et d'élan du corps, de joie raisonnée et de pulsion primaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Arnaud Schwartz
(...) on peut confier qu'à deux ou trois réserves près, cette oeuvre-là laisse une impression puissante et magnifique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
"La solitude des nombres premiers" n'est pas un giallo stricto sensu, ce n'est pas un film de genre, ni même un thriller. C'est dans sa parenté formelle avec le giallo que résident la prouesse et la beauté de ce film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Le cinéaste italien Saverio Costanzo tire un mélo pervers dont le lyrisme exacerbé et la flamboyance formelle (De Palma et Argento sont régulièrement cités) n'altèrent jamais la justesse psychologique de l'ensemble. (...) Pas de doute, on tient là l'un des films les plus audacieux de ces derniers mois.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
20 Minutes
par Caroline Vié
La musique étrange de cette oeuvre originale fait pardonner le léger maniérisme de la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Humanité
par Jean Roy
Chose rare dans le cinéma italien actuel, plutôt local et intimiste, on sent là la coproduction ambitieuse conçue pour être largement vendue, un peu trop sans doute car le film pourra paraître grandiloquent à certains tout en emportant d'autres dans son souffle.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
D'après le roman de Paolo Giordano, un film parfois un peu trop maniéré, mais d'une mélancolie déchirante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpèche
Un film atypique, un peu long, mais attachant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Bruno Icher
Le récit [est] découpé en une chronologie bouleversée de quatre tranches de vie (...). Le procédé, un peu lourd et paradoxalement sans surprise, dilue le scénario sans jamais l'abandonner tout à fait. C'est la faiblesse du film qui, par ailleurs, s'en donne à coeur joie dans la représentation glacée d'un jeu de miroirs vicelard de deux douleurs indicibles qui s'observent (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Gerard Delorme
En termes de style, le résultat relève plus du télescope que de la fusion, mais l'effort est louable et produit quelques fulgurances qui justifient le déplacement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Un regard qui dénote une tendance à se regarder filmer (...). Si la prééminence de la mise en scène supplante parfois l'avancée du récit, demeurent ces deux êtres cabossés, dont le destin (...) émeut profondément.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Jérémie Couston
Grâce au jeu à fleur de peau des acteurs, l'émotion finit par s'insinuer dans l'exercice de style.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Le sérieux de camionneur qui préside au récit calme rapidement nos ardeurs cinéphiles (...). Le déluge de style rococo vire au formalisme creux et cette tentative sans grande originalité de drame psychanalytique grisou enfoncent le film dans une torpeur dont personne ne revient.
Excessif
par Romain Le Vern
Le sujet est beau mais Saverio Costanzo utilise toute la gamme du contorsionniste (flash-backs, sauts temporels et spatiaux, fuites en avant maniéristes), et, comme ses personnages, ne semble pas spécialement à l'aise dans un registre émotionnel. (...) On n'est pas loin de la redondance, voire de la complaisance dans la solitude morbide.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Saverio Costanzo insiste beaucoup sur la métamorphose des corps... Une option qui l'entraîne sur la voie d'un film d'horreur centré sur les sentiments, hélas accompagné d'une musique d'épouvante, de sons de synthétiseur. Ces effets criards transforment une histoire de douleur sourde en spectacle m'as-tu-vu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Adrien Gombeaud
L'échec de l'adaptation ne vient donc pas de la "trahison" du texte original, mais d'une mise en scène au mortier qui écrase l'histoire sous son poids.
La critique complète est disponible sur le site Positif
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Saverio Costanzo et Paolo Giordano (...) se sont ingéniés à rendre leur narration totalement incompréhensible et ont choisi leurs interprètes pour leur intériorité supposée, c'est ainsi pour commencer qu'ils sont allés droit dans le mur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Charlie Hebdo
(...) Le film de Costanzo est d'une beauté à couper le souffle et, espérons-le, la première borne magnifique du renouveau du cinéma transalpin.
Brazil
Voici venus les nouveaux "Amants du cercle polaire" mâtinés de Dario Argento ! (...) Un film-puzzle sur le poids de la culpabilité, les cicatrices du temps et l'incommunicabilité. Une pure réussite
Critikat.com
Saverio Costanzo signe ici une troisième oeuvre à la maîtrise étonnante, qui offre aux troubles singuliers de l'enfance une exigence formelle révélatrice d'un regard neuf et sensible sur un sujet délicat.
L'Express
Puzzle dramatique, parfaitement maîtrisé par le réalisateur Saverio Costanzo. Une sorte de poésie métaphysique (...). Un mélange de plaisir de l'esprit et d'élan du corps, de joie raisonnée et de pulsion primaire.
La Croix
(...) on peut confier qu'à deux ou trois réserves près, cette oeuvre-là laisse une impression puissante et magnifique.
Les Inrockuptibles
"La solitude des nombres premiers" n'est pas un giallo stricto sensu, ce n'est pas un film de genre, ni même un thriller. C'est dans sa parenté formelle avec le giallo que résident la prouesse et la beauté de ce film.
TéléCinéObs
Le cinéaste italien Saverio Costanzo tire un mélo pervers dont le lyrisme exacerbé et la flamboyance formelle (De Palma et Argento sont régulièrement cités) n'altèrent jamais la justesse psychologique de l'ensemble. (...) Pas de doute, on tient là l'un des films les plus audacieux de ces derniers mois.
20 Minutes
La musique étrange de cette oeuvre originale fait pardonner le léger maniérisme de la mise en scène.
L'Humanité
Chose rare dans le cinéma italien actuel, plutôt local et intimiste, on sent là la coproduction ambitieuse conçue pour être largement vendue, un peu trop sans doute car le film pourra paraître grandiloquent à certains tout en emportant d'autres dans son souffle.
Le Figaroscope
D'après le roman de Paolo Giordano, un film parfois un peu trop maniéré, mais d'une mélancolie déchirante.
Le Journal du Dimanche
Un film atypique, un peu long, mais attachant.
Libération
Le récit [est] découpé en une chronologie bouleversée de quatre tranches de vie (...). Le procédé, un peu lourd et paradoxalement sans surprise, dilue le scénario sans jamais l'abandonner tout à fait. C'est la faiblesse du film qui, par ailleurs, s'en donne à coeur joie dans la représentation glacée d'un jeu de miroirs vicelard de deux douleurs indicibles qui s'observent (...).
Première
En termes de style, le résultat relève plus du télescope que de la fusion, mais l'effort est louable et produit quelques fulgurances qui justifient le déplacement.
Studio Ciné Live
Un regard qui dénote une tendance à se regarder filmer (...). Si la prééminence de la mise en scène supplante parfois l'avancée du récit, demeurent ces deux êtres cabossés, dont le destin (...) émeut profondément.
Télérama
Grâce au jeu à fleur de peau des acteurs, l'émotion finit par s'insinuer dans l'exercice de style.
Cahiers du Cinéma
Le sérieux de camionneur qui préside au récit calme rapidement nos ardeurs cinéphiles (...). Le déluge de style rococo vire au formalisme creux et cette tentative sans grande originalité de drame psychanalytique grisou enfoncent le film dans une torpeur dont personne ne revient.
Excessif
Le sujet est beau mais Saverio Costanzo utilise toute la gamme du contorsionniste (flash-backs, sauts temporels et spatiaux, fuites en avant maniéristes), et, comme ses personnages, ne semble pas spécialement à l'aise dans un registre émotionnel. (...) On n'est pas loin de la redondance, voire de la complaisance dans la solitude morbide.
Le Monde
Saverio Costanzo insiste beaucoup sur la métamorphose des corps... Une option qui l'entraîne sur la voie d'un film d'horreur centré sur les sentiments, hélas accompagné d'une musique d'épouvante, de sons de synthétiseur. Ces effets criards transforment une histoire de douleur sourde en spectacle m'as-tu-vu.
Positif
L'échec de l'adaptation ne vient donc pas de la "trahison" du texte original, mais d'une mise en scène au mortier qui écrase l'histoire sous son poids.
L'Obs
Saverio Costanzo et Paolo Giordano (...) se sont ingéniés à rendre leur narration totalement incompréhensible et ont choisi leurs interprètes pour leur intériorité supposée, c'est ainsi pour commencer qu'ils sont allés droit dans le mur.