Je suis tellement heureux d'avoir pu vivre toute l'épopée de ce heros devenu une legende . Ce 5 eme opus ne m'a pas du tout déçu, tout y es et j'ai passé un excellent moment et un grand bravo a Harrison Ford
Très déçu de ce nouvel opus. Le film est visuellement désagréable à regarder et l'histoire est assez ennuyante. Le final aurait pu être magnifiquement poétique mais laisse place à une fin facile et stupide.
En 1981, lorsque Steven Spielberg réalise « Les aventuriers de l'arche perdue », j'étais un petit garçon de 13 ans ! Cette franchise mythique m'a donc « accompagné » toute ma vie, puisque nous en sommes aujourd'hui au 5ème opus et que je suis âgé de 55 ans (à peine !). D'ailleurs, inutile de faire durer le suspense plus longtemps, « Indiana Jones et le cadran de la destinée » remplit largement tous ses objectifs et se révèle un divertissement de tout premier ordre. Bien que Spielberg ne soit plus de la partie, la recette du succès reste la même et les nombreux fans se sentiront « comme à la maison ». En effet, le scénario nous fait toujours traverser une multitude de pays... mais il nous fait aussi voyager à travers le temps et rencontrer le professeur Jones à plusieurs époques de sa trépidante carrière. On s'amuse beaucoup aux nombreux « clins d’œil » qui donnent envie de « réviser » les anciens épisodes... et il est impossible de s'ennuyer une seule seconde, tant le rythme est infernal. Comme d'habitude, les effets spéciaux sont parfaits et le casting irréprochable. Évidemment, le grand Harrison Ford est maintenant un vieux monsieur de plus de 80 ans... mais il a gardé une vraie présence scénique et, grâce à la magie Hollywoodienne, il fait encore le job avec une redoutable efficacité. Du coup, on y croit instantanément, on se régale, on trépigne, on a peur pour les héros et on souhaite le pire aux très vilains méchants. Le résultat est génial, tout simplement !
L’au revoir d’un aventurier. Après la frustration du 4, j’ai aimé et retrouvé avec nostalgie le héros qui m’avait fait tant vibrer en 1981 avec « L’Arche Perdue ». Avec son fedora visé sur la tête, Harrison Ford assure pleinement, à près de 80 balais, le rôle d’un Indiana Jones ronchon et vieillissant mais toujours aussi vaillant. Face à lui, Mads Mikkelsen fait parfaitement l’affaire et Phoebe Waller-Bridge n’a de loin pas à rougir de sa parenté avec son archéologue de parrain. Bien que débutant en 1944, le scénario tourné par James Mangold nous entraîne, en 1969, sur la piste de la machine Anticythère d’Archimède en cochant, non sans menus défauts, toutes les cases de son cahier des charges. Le recours souvent abusifs aux effets visuels ne sert pas toujours positivement le film. Ainsi, voir Indy courir sur le toit d’un train fait terriblement mal aux yeux. Au bout de 2h30 divertissantes et une parenthèse temporelle qui aura pu lui être fatale mais qui s’intègre agréablement bien à ce « Cadran de la Destinée », l’aventure se conclut sur une joli moment d’émotion, bouclant ainsi définitivement la boucle.
Un film assez irrégulier, dans le plus pur style de la saga. A un point où j'ai clairement eu l'impression que ce film s'est inspiré des meilleurs moment des premiers films. Bon, c'est encore bien foutu aujourd'hui dans cette version retravaillée autour d'un nouvel objet exceptionnel. Mais cela sent quand même le réchauffé et je dirais même la recette à court d'inspiration. Les point positifs sont la présence d'Harrison Ford plutôt en forme. Je craignais à tort un vieux papy à court d'haleine. Et j'ai toujours apprécié le rythme soutenu avec de nombreuses cascades dans le plus pur style des films d'aventure. Impossible de s'ennuyer. C'est obligatoirement distrayant. J'ai moins apprécié la séquence d'introduction qui met le film en situation : le deepfake d'Indiana Jones plus jeune n'est pas très réussi. Le final est aussi assez décevant. Même si c'était au départ très surprenant, la chute de cette séquence très originale est trop banale. Il y avait bien mieux à faire, cela manque de prise de risque. Au final, c'est un bon film, très respectueux de l'esprit de la saga. Mais rien de révolutionnaire. Pas de coup d'éclat pour en finir avec ce personnage, une histoire assez conventionnelle qui brille surtout par l'action omniprésente et la dernière présence de l'excellent Harrison Ford.
"Indiana Jones et le Cadran de la destinée", film d'aventures fantastiques américain réalisé par James Mangold, sorti en 2023. Cinquième et dernier film de la série de films "Indiana Jones" créée par George Lucas et initiée en 1981 avec "Les Aventuriers de l'arche perdue", réalisé par Steven Spielberg. Ce dernier film ne déroge pas à la règle, de l'aventure, du voyage, aucun temps mort, généreux en effets, en durée et en grand spectacle avec une réalisation de très bonne qualité. Harrison Ford reprend le rôle de l'archéologue explorateur à 80 ans et retrouve Karen Allen dans le rôle de Marion devenue la femme d'Indiana Jones. Avec aussi Phoebe Waller-Bridge, Mads Mikkelsen, John Rhys-Davies, Toby Jones, Antonio Banderas et la célèbre musique "La marche des aventuriers" de John Williams. L'esprit n'est pas trahi et l'on retrouve la course contre les nazis pour récupérer un objet 'magique", ici la fameuse machine d'Anticythère inventée par Archimède de Syracuse et découverte en 1901 … qui va nous emmener très loin.
Franchise très lucrative créée par Steven Spielberg, Indiana Jones est l’une des figures emblématiques du cinéma hollywoodien. Après un quatrième volet très mal reçu par la critique presse et spectateurs ainsi que des divergences artistiques entre Spielberg et les studios Disney ces dernières années, la réalisation de ce cinquième opus a été finalement été confiée à James Mangold (à qui l’on doit dernièrement Le Mans 66 et Logan). Bénéficiant d’un budget de 300 millions de dollars, le plus cher de la saga, le film a été présenté hors-compétition au Festival de Cannes 2023 et signe le grand retour de Harrison Ford dans le rôle-titre. Loin de ce qui a fait le succès de la trilogie, ce nouveau volet offre tout de même une meilleure image à notre ami Indy que le précédent long-métrage. Après avoir découvert l’Arche perdue, le Temple Maudit, le Saint Graal et le Crâne de Cristal, le célèbre archéologue se lance à la recherche d’un artefact rare, aux côtés de sa filleule Helena Shaw : le cadran d’Archimède.
L’histoire débute avec une scène d’introduction située dans les années 40 avec un Harrison Ford rajeuni numériquement. Si visuellement le rendu laisse à désirer, cette première scène a le mérite de jouer intelligemment sur la nostalgie en y regroupant tous les ingrédients d’un bon Indiana Jones. On y retrouve clairement le respect et la passion de Mangold pour la franchise d’aventure. Mieux encore, cette introduction offre une transition réussie avec ce qu’est devenu le professeur Jones durant le reste de l’histoire à l’aube des années 70. Puis, dans son ensemble, Indiana Jones et le Cadran de la Destinée reste un très bon film d’aventure, bien rythmé avec un dénouement cohérent. L’humour est justement dosé et dans la veine des précédents opus. Les scènes d’action sont honorables, les décors sont immersifs. Côté distribution, Mads Mikkelsen est toujours aussi excellent dans le rôle de l’ennemi : Jürgen Voller, un nazi scientifique. John Rhys-Davies, le mythique interprète de Sallah dans Les Aventuriers de l’Arche Perdue et La Dernière Croisade, est de retour dans ce nouveau volet. Enfin, le trio porté par Harrison Ford, Phoebe Waller-Bridge et Ethann Isidore fonctionne bien. Trois générations menant brillamment cette aventure !
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Un 5ème opus qui valait le temps d'attendre ! L'histoire est très convaincante et quel bonheur de revoir le grand Harrison Ford qui reste très charismatique dans la peau du formidable Indiana Jones ! Phoebe Waller-Bridge est satisfaisante et Mads Mikkelsen est un bon méchant. Le jeune français Ethann Isidore est très correct et on retrouve avec joie le sympathique Sallah, tous les autres acteurs sont très convenables. Les images sont toujours aussi bonnes et les effets spéciaux sont encore bien réalisés. Les décors sont une nouvelle fois très convaincants et les différents lieux rencontrés restent très satisfaisants. Les costumes sont toujours aussi bien conçus et l'ambiance est encore très plaisante ! La mythique bande originale nous déclenche une nouvelle fois un sourire immédiat et les scènes d'action restent très spectaculaires ! L'intro avec Indy rajeunit est bluffante et le final est surprenant mais surtout très bien pensé ! On ressent un peu d'émotion de dire au revoir au plus célèbre des archéologues et l'aventure est très entraînante ! Un 5ème volet donc très réussi pour notre plus grand plaisir après le précédent épisode en demi teinte et Harrison Ford est toujours aussi efficace malgré son âge ! Une page de la pop culture se tourne d'une façon très bien maîtrisée !
Un réel plaisir de revoir pour une dernière fois Indiana Jones avec Harrisson Ford. Tours les ingrédients de l’aventure sont réunis. L’histoire est intéressante avec un casting de qualité. La nièce d’Indiana est très bien dans son rôle, il y a des touches d’humour. Indiana Jones a vieilli mais il conserve de bons restes. C’est un grand en dessous des 3 premiers volets de la saga mais mieux que l’épisode 4. À voir sans problème.
Il faut se l'avouer, je suis la cible parfaite de cette production, ayant grandi avec les aventuriers et ses suites, je ne peux pas être déçu d'une dernière virée aux côtés du plus iconique des héros cinématographique; là, on touche la corde de la nostalgie, et ça a du bon. Comment bouder son plaisir de retrouver Harrison Ford et toute sa panoplie, on retrouve complétement l'atmosphère de cette saga, celle des série B, où le héros se démène pour sortir de situations plus qu'improbables, et encore une fois Indy combat les Nazis. Certes il a vieillit, et il est moins alerte, il envoie un coup de poing et se faufile, car on ne peut plus mettre en scène des combats à rallonge, alors on opte pour des courses poursuites . L'histoire est tout aussi fantastique que les autres épisodes, il ne faut pas s'en étonné, c'est bien la marque de fabrique de Lucas et Spielberg. Les clins d'œil sont omniprésents, jusqu'à la scène finale qui sans subtilité nous cueille pour terminer en beauté. C'est rythmé, les scènes de poursuites sont dignes des plus grands films d'actions des années 80, et ce n'est pas péjoratifs, car même s'ils utilisent le numérique, ce n'est pas à outrance, et on garde le grain de l'image qui a fait le succès de cette franchise. Certes, la scène d'ouverture est "trafiqué" mais, ça passe plutôt bien, même si ce n'est pas cela que l'on retiendra du film. De toute façon, c'est un film à voir sur grand écran, et puisque c'est la dernière aventure d'Indiana Jones, il ne faut pas bouder son plaisir.
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Cet Indiana Jones et le cadran de la destinée a une saveur de nostalgie. Ce cinquième volet de la franchise, et peut être le dernier, nous fait retrouver le sourire après un Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal (2008) quelque peu décevant. Comme une dernière dance, ce film fait un grand nombre de références aux autres. C’est fait de manière naturelle sans que cela ne sonne forcer. Une tournure agréable, car il n’y a rien de pire que le fan service bête et méchant.
En termes de construction, on est sur du classique. Il y a un objet archéologique sur lequel Indy doit mettre la main. Bien entendu, celui-ci possède des capacités particulières. Cette touche de fantastique est toujours aussi efficace. Elle permet de rajouter un enjeu important qui explique cette volonté d’obtenir l’artefact. Pour pimenter le tout, le chemin est loin d’être linéaire. Heureusement d’ailleurs, car ce film est le plus long de la franchise. Il y a la salve d’énigme habituelle qui est toujours un plaisir à voir.
En revanche, il est dommage que les effets spéciaux soient autant basés sur le numérique. Avant nous avions des scènes d’aventure authentique. Désormais, les images de synthèse viennent se greffer un peu partout. Le rendu n’est clairement pas le même. Ce n’est pas les 300M$ de Budget qui changeront la donne sur plusieurs séquences clairement ratées.
Le plus grand bonheur est de revoir Harrison Ford avec son chapeau et son fouet. Malgré ses 80 ans, il est plus en forme que jamais. Il enchaîne les passages dynamiques tout en adaptant habilement à son âge. La juste de son jeu est aussi un régal. À ses côtés, même si Phoebe Waller-Bridge n’est pas mauvaise, elle paraît fade. Il faut dire qu’elle fait aussi face à Mads Mikkelsen. L’acteur Danois était l’homme parfait pour se dresser contre Indy. La belle surprise vient du français Ethann Isidore dont la présence sonne comme une relève.
Nouveau film sur un des héros de mon enfance : Indiana Jones. On retrouve Indiana sur le point de devenir retraité, vieux donc à fortiori, qui va retrouver le chemin de l'aventure lorsque sa filleule apparaitra avec le but de retrouver une relique permettant le voyage dans le temps. Quelques idées sont brillantes et passionnantes comme le passage durant la seconde guerre mondiale mais l'ensemble manque tout de même de saveur et de génie. Toutefois, je trouve ce 5ème film plus abouti que le 4ème. J'enlèverai du film la partie se jouant au Maroc, nullissime et insoutenable. Bref : la fin d'une destinée pour Harrison Ford !
Vu en VO...Bon bon il y a un mélange qui se produit quand on annonce la sortie d'un nouvel Indiana Jones , de l'excitation (toute proportion gardé!!) et de l'appréhension. Et ce fut une partie ou je suis ravie de revoir Harrison Ford enfilé ce costume et repartir à l'aventure avec énigmes, pièges, nazis à dézinguer, course poursuite improbable, aventure et science fiction mélangé pour la partie final, l'humour bien à lui et sont aller même avec les bruitages des coups de poings si particulier de Doctor Jones!!! Revoir des anciens avec au casting des nouveaux (Mikkelsen ou Banderas) fut une belle réussite, des décors fidèles à cette saga...et adoré les 20 premières minutes quand il était en pleine possession des ses moyens, donc jeune, où franchement où on peut croire vraiment que Ford est encore un jeunot. Après même si dans le film il parle de sa vieillesse, cela fait bizarre de le voir traîner sa carcasse dans les ruelles de Tanger and co. Quand il met ses pains sur de jeunes nazis et qu'il les alignent hum mouais...cela sonne faux faut avouer mais si on oublie cela le film tiens bien sur la longueur et on s'ennuie pas et aller faut pas bouder son plaisir de revoir une dernière fois Mr HARRISON FORD dans le costume du plus célèbre des aventuriers INDIANA JONES!!! Et entendre la musique de John Williams est juste un pur régale...Adieu professeur Jones...😔😢 Pas de scène post générique...oui c'est fini je vous dis...en tous cas avec plaisir que je le reverrais en français!!^^ NOTE : 7/10
Autant le dire tout de suite, ce dernier Indy tient toutes ses promesses et retrouve le bon dosage qu'il avait perdu dans l'épisode des crânes de verre. James Mangold sait y faire et réussi à éviter les pièges de l'auto parodie. On retrouve quand même pleins de petites allusions aux épisodes précédents mais sans lourdeur. Une partie du casting des épisodes précédents vient faire un tour de piste. Et on sent qu'ils y prennent plaisir. Un épisode final digne d'Indiana Jones.