Indiana Jones et le Cadran de la Destinée : Critique presse
Indiana Jones et le Cadran de la Destinée
Note moyenne
3,6
40 titres de presse
Closer
Le Parisien
Ouest France
Public
20 Minutes
CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
Elle
Femme Actuelle
Franceinfo Culture
L'Ecran Fantastique
L'Obs
La Croix
La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
Le Journal du Geek
Libération
Mad Movies
Paris Match
Rolling Stone
Télé 7 Jours
Voici
Bande à part
CinemaTeaser
IGN France
Le Monde
Les Echos
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Marianne
Première
Sud Ouest
Télérama
aVoir-aLire.com
L'Humanité
Télé Loisirs
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
40 critiques presse
Closer
par J.B.
Ce blockbuster à l'ancienne est un pur moment d'émerveillement.
Le Parisien
par La Rédaction
Harrison Ford, 80 ans, y joue délicieusement avec son âge et forme un duo épatant avec une Phoebe Waller-Bridge qui dynamite le récit grâce à une énergie inépuisable et un solide sens du second degré. Résultat : on se régale d’un bout à l’autre…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Gilles Kerdreux
On retrouve tous les arguments qui font le succès de la saga : l'aventure, l'action, l'humour, la chance pour une grosse tranche de cinéma. Le bon vieil Indiana est toujours aussi distrayant.
Public
par Marie-Pierre Galinon
Ce cinquième et dernier film clôt la saga de manière magistrale.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur a su mêler action, humour et émotions autour d’une passionnante quête archéologique conçue pour satisfaire fans et néophytes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
S'il n’atteint pas le niveau des trois premiers volets, "Indiana Jones et le cadran de la destinée" reste une belle conclusion pleine d’action, d’humour et de mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Accessoirement, le public nostalgique est servi et le « fan service » assuré. Cette parenthèse temporelle refermée, Le Cadran de la destinée se remet à l’heure juste et retrouve enfin sa nature d’histoire crépusculaire.
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Un volet (sans doute final) qui fait honneur à ses prédécesseurs, en souffrant de défauts semblables mais en rendant surtout hommage comme il se doit aux meilleurs moments de la saga, et en offrant à son héros la meilleure conclusion possible. Des prises de risque, des maladresses, des clins d'œil trop appuyés... mais le tout avec une certaine intelligence, et dans l'enthousiasme général qui caractérise les aventures du professeur Jones.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
A 80 ans, Harrison Ford est toujours aussi fringant. (...) On aime aussi sa cavalcade dans le métro de New York, ses embardées à Syracuse dans une Fiat 500...
Femme Actuelle
par La Rédaction
On retrouve ici toute l'efficacité des grands divertissements made in Hollywood : rythme, action, belles images, humour bien dosé...
Franceinfo Culture
par Anthony Jammot
Malgré le grand âge de l'aventurier, ce dernier volet reste fidèle aux codes de la saga : de l'action, de l'exploration, de l'humour et aussi des références qui raviront les fans de la première heure.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Ecran Fantastique
par Jérémie Oro
James Mangold tient entre ses mains un mythe, et chaque instant du film nous démontre qu’il en comprend l’héritage et en mesure le poids. "Indiana Jones 5" impressionne et bouleverse par sa lucidité : l’amour qu’il porte à son héros n’est pas aveugle et le respect qu’il a pour la saga (et pour Spielberg) n’est pas une vénération.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Il y a, dans ce trop long épisode au scénario bien troussé, l’esprit de toute la saga, des clins d’œil bien vus (sauf le sidekick prépubère, nul), un Harrison Ford idéal, moins croûton que bougon, la belle idée de faire dialoguer l’homme et le mythe sans ironie méta.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
À défaut d’originalité, Indiana Jones et le cadran de la destinée applique les recettes déjà éprouvées par le passé, se permettant même quelques clins d’œil aux précédents épisodes, et de ce fait ravira les fans de la saga.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Mais l’ensemble est un ravissement, entre morceaux de bravoure et touchante mélancolie d’un personnage qui a vu son monde s’effondrer (plus de Marion adorée ni de fiston).
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Quand il redevient vieux, Harrison Ford redevient unique. Toute une vie sous son cuir.
Le Figaro
par O.D
Des réminiscences de Tintin accompagnent l'intrigue, menée tambour battant. Objet de la quête, le cadran de la destinée d'Archimède est un parfait « McGuffin » hitchcockien, qui entraîne Indiana Jones à la recherche du temps perdu. C'en est presque proustien.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Geek
par Julie Hay
Le réalisateur de Logan offre une jolie conclusion au Professeur Henry Jones, un chant du cygne à Harrison Ford qui abandonne peu à peu les figures emblématiques de sa filmographie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Avec ce film, James Mangold n’accompagne pas seulement de la manière la plus digne et élégante possible le personnage d’Indiana Jones vers la sortie, il prend aussi le «grand film populaire américain» par les épaules, fermement mais sans agressivité, avec un doigt de tendresse même, pour lui dire qu’il serait peut-être enfin temps de passer à autre chose.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Dans cette suite, malgré le soin et la sincérité de Mangold, rien ne dépasse vraiment [...]. Mangold compense heureusement avec son émouvant dernier acte, déclaration d'amour à la science et à l'Histoire offrant à Indy une sortie de scène intimiste, touchante et dénuée du moindre artifice.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Dans un cinéma hollywoodien contemporain gangrené par le conformisme et les formules, la simplicité d’un film qui défend chaque seconde le plaisir du bon vieux cinoche, vient prouver que c’est toujours dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes. Du cinéma avec un grand C, à consommer à volonté. Et surtout sans modération.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Rythme de dingue, courses-poursuites à n’en plus finir en voiture, en tuk-tuk ou à pied, seconds rôles plus parfaits les uns que les autres, destinations plus exotiques les unes que les autres, sans compter son lot de murènes et de scorpions pour compliquer les choses : ce cinquième volet remplit toutes les cases du cahier des charges (...).
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Mangold signe une ode au temps qui passe et marque le corps et l’âme du héros. C’est la très belle idée de ce grand spectacle traversé d’une multitude d’échos à la saga, comme autant de bulles d’émotions.
Voici
par La Rédaction
Si le spectacle est parfois un peu indigeste, l'émotion prime surtout, ainsi que l'humour, grâce au formidable duo formé par Ford et Phoebe Waller-Bridge.
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Malgré d’évidentes qualités et un Harrison Ford toujours en forme, un dernier opus en partie gâché par plusieurs scènes fantaisistes et par une profusion d’images de synthèse, à la qualité discutable.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un beau film hanté par le vieillissement et la marche de l'Histoire, malheureusement écrasé par un spectacle lambda.
IGN France
par Erwan Lafleuriel
Nos espoirs d'une conclusion épique s'envolent définitivement avec Le Cadran de la Destinée. Reste un Indiana Jones sympa à suivre, complet mais un peu sage.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Mais le motif poétique du voyage dans le temps trouve cette fois dans Harrison Ford en personne son plus émouvant écho.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier de Bruyn
Même si la fantaisie et l'humour - les « fondamentaux » de la franchise - sont exploités avec bonheur, le film traîne en longueur et Harrison Ford semble parfois un rien las de devoir enchaîner les scènes d'action sur un rythme aussi répétitif.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Mangold succède à Spielberg pour conclure la franchise qui fit d’Harrison Ford une superstar et mène à bon port un récit longtemps mécanique jusqu’à un final chargé d’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Theo Ribeton
Mais Mangold cherche moins à transfigurer le personnage que la forme. D’où une sublimation de cinéma d’aventure, à la recherche d’un point de fusion dans plusieurs séquences de poursuite d’une beauté si éclatante qu’elles se déchaussent quelque peu du récit et suspendent le film dans une stase esthétique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Certes, le film, qui s’étend sur deux heures trente-cinq, est beaucoup trop long et chaque scène d’action pourrait être raccourcie d’un bon tiers de durée pour le bonheur de tous. N’empêche : dans son genre, cette comédie exotique vaut mieux, beaucoup mieux, que l’écrasante majorité des « produits » interchangeables manufacturés à Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par François Léger
Un vrai moment d'émerveillement, quasi enfantin, comme la franchise n'en avait jamais connu jusqu'ici. Et qui justifierait presque à lui seul l'existence de ce Cadran de la destinée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Cet ultime épisode drôle, émouvant, peut paraître, au bout d’une heure et demie, longuet. Mais un brillant coup de théâtre propulse le récit dans une dernière demi-heure vertigineuse.
Télérama
par Cécile Mury
De courses-poursuites mémorables en multiples clins d’œil aux films précédents, Harrison Ford porte toujours aussi bien le chapeau, et le mythe prend un grand coup de fouet.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Rocher
Néanmoins, le cinéaste-orfèvre James Mangold n’arrive jamais à transcender la saga et l’emmener vers des terrains inexplorés. Il en résulte un volet paradoxal, à la fois le moins cinégénique de l’histoire de la série mais aussi le plus passionnant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Mais le miracle n’est pas reconduit ici et « Indy » n’aura pas vraiment de baroud d’honneur sacrificiel. Le conflit de générations promis avec sa filleule, campée par la géniale Phoebe Waller-Bridge, n’advient jamais, tant le film semble surtout ne pas vouloir prendre de risques, pour contenter les fans.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Télé Loisirs
par Margot Loisel
Les scènes d'action et le récit traînent un peu en longueur jusqu'à la dernière demi-heure, très réussie.
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
(...) à peine sorti d’un prologue (potable) qui ravive les traits de l’Indy quadragénaire au temps de sa course contre les nazis, on bascule dans le présent pour s’enliser dans des prouesses davantage à la portée d’un vieux monsieur [...] Mangold maintient finalement Ford dans la sénescence, peut-être conscient que les rajeunissements numériques ont déjà été ringardisés par FaceApp.
Critikat.com
par Josué Morel
Le film aurait pu être simplement anecdotique ; il s’avère finalement détestable.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Closer
Ce blockbuster à l'ancienne est un pur moment d'émerveillement.
Le Parisien
Harrison Ford, 80 ans, y joue délicieusement avec son âge et forme un duo épatant avec une Phoebe Waller-Bridge qui dynamite le récit grâce à une énergie inépuisable et un solide sens du second degré. Résultat : on se régale d’un bout à l’autre…
Ouest France
On retrouve tous les arguments qui font le succès de la saga : l'aventure, l'action, l'humour, la chance pour une grosse tranche de cinéma. Le bon vieil Indiana est toujours aussi distrayant.
Public
Ce cinquième et dernier film clôt la saga de manière magistrale.
20 Minutes
Le réalisateur a su mêler action, humour et émotions autour d’une passionnante quête archéologique conçue pour satisfaire fans et néophytes.
CNews
S'il n’atteint pas le niveau des trois premiers volets, "Indiana Jones et le cadran de la destinée" reste une belle conclusion pleine d’action, d’humour et de mélancolie.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Accessoirement, le public nostalgique est servi et le « fan service » assuré. Cette parenthèse temporelle refermée, Le Cadran de la destinée se remet à l’heure juste et retrouve enfin sa nature d’histoire crépusculaire.
Ecran Large
Un volet (sans doute final) qui fait honneur à ses prédécesseurs, en souffrant de défauts semblables mais en rendant surtout hommage comme il se doit aux meilleurs moments de la saga, et en offrant à son héros la meilleure conclusion possible. Des prises de risque, des maladresses, des clins d'œil trop appuyés... mais le tout avec une certaine intelligence, et dans l'enthousiasme général qui caractérise les aventures du professeur Jones.
Elle
A 80 ans, Harrison Ford est toujours aussi fringant. (...) On aime aussi sa cavalcade dans le métro de New York, ses embardées à Syracuse dans une Fiat 500...
Femme Actuelle
On retrouve ici toute l'efficacité des grands divertissements made in Hollywood : rythme, action, belles images, humour bien dosé...
Franceinfo Culture
Malgré le grand âge de l'aventurier, ce dernier volet reste fidèle aux codes de la saga : de l'action, de l'exploration, de l'humour et aussi des références qui raviront les fans de la première heure.
L'Ecran Fantastique
James Mangold tient entre ses mains un mythe, et chaque instant du film nous démontre qu’il en comprend l’héritage et en mesure le poids. "Indiana Jones 5" impressionne et bouleverse par sa lucidité : l’amour qu’il porte à son héros n’est pas aveugle et le respect qu’il a pour la saga (et pour Spielberg) n’est pas une vénération.
L'Obs
Il y a, dans ce trop long épisode au scénario bien troussé, l’esprit de toute la saga, des clins d’œil bien vus (sauf le sidekick prépubère, nul), un Harrison Ford idéal, moins croûton que bougon, la belle idée de faire dialoguer l’homme et le mythe sans ironie méta.
La Croix
À défaut d’originalité, Indiana Jones et le cadran de la destinée applique les recettes déjà éprouvées par le passé, se permettant même quelques clins d’œil aux précédents épisodes, et de ce fait ravira les fans de la saga.
La Voix du Nord
Mais l’ensemble est un ravissement, entre morceaux de bravoure et touchante mélancolie d’un personnage qui a vu son monde s’effondrer (plus de Marion adorée ni de fiston).
Le Dauphiné Libéré
Quand il redevient vieux, Harrison Ford redevient unique. Toute une vie sous son cuir.
Le Figaro
Des réminiscences de Tintin accompagnent l'intrigue, menée tambour battant. Objet de la quête, le cadran de la destinée d'Archimède est un parfait « McGuffin » hitchcockien, qui entraîne Indiana Jones à la recherche du temps perdu. C'en est presque proustien.
Le Journal du Geek
Le réalisateur de Logan offre une jolie conclusion au Professeur Henry Jones, un chant du cygne à Harrison Ford qui abandonne peu à peu les figures emblématiques de sa filmographie.
Libération
Avec ce film, James Mangold n’accompagne pas seulement de la manière la plus digne et élégante possible le personnage d’Indiana Jones vers la sortie, il prend aussi le «grand film populaire américain» par les épaules, fermement mais sans agressivité, avec un doigt de tendresse même, pour lui dire qu’il serait peut-être enfin temps de passer à autre chose.
Mad Movies
Dans cette suite, malgré le soin et la sincérité de Mangold, rien ne dépasse vraiment [...]. Mangold compense heureusement avec son émouvant dernier acte, déclaration d'amour à la science et à l'Histoire offrant à Indy une sortie de scène intimiste, touchante et dénuée du moindre artifice.
Paris Match
Dans un cinéma hollywoodien contemporain gangrené par le conformisme et les formules, la simplicité d’un film qui défend chaque seconde le plaisir du bon vieux cinoche, vient prouver que c’est toujours dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes. Du cinéma avec un grand C, à consommer à volonté. Et surtout sans modération.
Rolling Stone
Rythme de dingue, courses-poursuites à n’en plus finir en voiture, en tuk-tuk ou à pied, seconds rôles plus parfaits les uns que les autres, destinations plus exotiques les unes que les autres, sans compter son lot de murènes et de scorpions pour compliquer les choses : ce cinquième volet remplit toutes les cases du cahier des charges (...).
Télé 7 Jours
Mangold signe une ode au temps qui passe et marque le corps et l’âme du héros. C’est la très belle idée de ce grand spectacle traversé d’une multitude d’échos à la saga, comme autant de bulles d’émotions.
Voici
Si le spectacle est parfois un peu indigeste, l'émotion prime surtout, ainsi que l'humour, grâce au formidable duo formé par Ford et Phoebe Waller-Bridge.
Bande à part
Malgré d’évidentes qualités et un Harrison Ford toujours en forme, un dernier opus en partie gâché par plusieurs scènes fantaisistes et par une profusion d’images de synthèse, à la qualité discutable.
CinemaTeaser
Un beau film hanté par le vieillissement et la marche de l'Histoire, malheureusement écrasé par un spectacle lambda.
IGN France
Nos espoirs d'une conclusion épique s'envolent définitivement avec Le Cadran de la Destinée. Reste un Indiana Jones sympa à suivre, complet mais un peu sage.
Le Monde
Mais le motif poétique du voyage dans le temps trouve cette fois dans Harrison Ford en personne son plus émouvant écho.
Les Echos
Même si la fantaisie et l'humour - les « fondamentaux » de la franchise - sont exploités avec bonheur, le film traîne en longueur et Harrison Ford semble parfois un rien las de devoir enchaîner les scènes d'action sur un rythme aussi répétitif.
Les Fiches du Cinéma
Mangold succède à Spielberg pour conclure la franchise qui fit d’Harrison Ford une superstar et mène à bon port un récit longtemps mécanique jusqu’à un final chargé d’émotion.
Les Inrockuptibles
Mais Mangold cherche moins à transfigurer le personnage que la forme. D’où une sublimation de cinéma d’aventure, à la recherche d’un point de fusion dans plusieurs séquences de poursuite d’une beauté si éclatante qu’elles se déchaussent quelque peu du récit et suspendent le film dans une stase esthétique.
Marianne
Certes, le film, qui s’étend sur deux heures trente-cinq, est beaucoup trop long et chaque scène d’action pourrait être raccourcie d’un bon tiers de durée pour le bonheur de tous. N’empêche : dans son genre, cette comédie exotique vaut mieux, beaucoup mieux, que l’écrasante majorité des « produits » interchangeables manufacturés à Hollywood.
Première
Un vrai moment d'émerveillement, quasi enfantin, comme la franchise n'en avait jamais connu jusqu'ici. Et qui justifierait presque à lui seul l'existence de ce Cadran de la destinée.
Sud Ouest
Cet ultime épisode drôle, émouvant, peut paraître, au bout d’une heure et demie, longuet. Mais un brillant coup de théâtre propulse le récit dans une dernière demi-heure vertigineuse.
Télérama
De courses-poursuites mémorables en multiples clins d’œil aux films précédents, Harrison Ford porte toujours aussi bien le chapeau, et le mythe prend un grand coup de fouet.
aVoir-aLire.com
Néanmoins, le cinéaste-orfèvre James Mangold n’arrive jamais à transcender la saga et l’emmener vers des terrains inexplorés. Il en résulte un volet paradoxal, à la fois le moins cinégénique de l’histoire de la série mais aussi le plus passionnant.
L'Humanité
Mais le miracle n’est pas reconduit ici et « Indy » n’aura pas vraiment de baroud d’honneur sacrificiel. Le conflit de générations promis avec sa filleule, campée par la géniale Phoebe Waller-Bridge, n’advient jamais, tant le film semble surtout ne pas vouloir prendre de risques, pour contenter les fans.
Télé Loisirs
Les scènes d'action et le récit traînent un peu en longueur jusqu'à la dernière demi-heure, très réussie.
Cahiers du Cinéma
(...) à peine sorti d’un prologue (potable) qui ravive les traits de l’Indy quadragénaire au temps de sa course contre les nazis, on bascule dans le présent pour s’enliser dans des prouesses davantage à la portée d’un vieux monsieur [...] Mangold maintient finalement Ford dans la sénescence, peut-être conscient que les rajeunissements numériques ont déjà été ringardisés par FaceApp.
Critikat.com
Le film aurait pu être simplement anecdotique ; il s’avère finalement détestable.