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    Prisoners
    Note moyenne
    4,3
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    2 081 critiques spectateurs

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    21 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 octobre 2013
    Prisoners constitue un thriller très efficace qui sait admirablement distiller ses effets de surprise. Ses qualités proviennent d'un scénario travaillé au cordeau mais aussi d'une mise en scène qui sait se faire discrète tout en ménageant des moments parfaitement maîtrisés formellement - comme la course en voiture dans une nuit torrentielle. On regrettera néanmoins quelques légères incohérences.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 14 octobre 2013
    Dans la banlieue de Boston, le jour de Thanksgiving, Anna et Joy, six ans, disparaissent. Le détective Loki, connu pour n'avoir jamais connu l'échec, est alors chargé de l'enquête. Privilégiant la thèse du kidnapping, il parvient, très rapidement, à arrêter le suspect numéro un, dont le profil correspond parfaitement au coupable idéal. Mais ce dernier est relâché, faute de preuves. Le temps passe, et les chances de retrouver les fillettes s'amenuisent. Keller, le père d'Anna, ne comprend pas. Comment peuvent il relâcher le monstre qui a enlevé sa fille ? Aveuglé par une ire sans nom, rien ne pourra le stopper...

    Vous lirez certainement beaucoup d'articles qui vont diront que "Prisoners" s'apparente à des productions telles que "Seven", "Mystic River" ou "Zodiac". J'aurai tendance à être d'accord avec le dernier cité, quant au mystère qui entoure l'enquête, et à la complexité du problème posé. Mais les ressemblances avec "The Pledge", pourtant jamais évoqué, m'ont apparu comme saisissantes. Il serait ainsi intéressant de le visionner en premier lieu, afin de vous rendre compte à quel point l'oeuvre de Denis Villeneuve est réussie (le film de Sean Penn recelant déjà de nombreuses qualités) et parvient aisément à surpasser un des classiques du genre, tout en gardant une certaine unicité.

    Il est aussi intéressant de voir à quel point "Prisoners" mène une étude minutieuse des comportements de l'individu. Chaque personnage, intimement lié au drame qui le touche, se révélera avoir une réaction différente : du désarroi à la rage en passant, entre autres, par l'apathie. Et c'est en partie grâce à ses acteurs, tous parfaits, que le film parvient à toucher le spectateur quant aux sentiments que je viens d'évoquer.

    Jouant énormément sur les nuances de gris, le film n'est pas sombre que dans son thème : il l'est aussi dans sa photographie. Certes, le rythme de "Prisoners" peut paraître quelque peu inégal. Mais c'est ici justifié par le désir de son réalisateur de poser une ambiance pesante à souhait, complétant ainsi son travail de mise en scène. De nombreuses séquences se révèlent ainsi troublantes de splendeur, comme cette scène saisissante, en compagnie du détective Loki, le long des avenues de Boston. Je ne vous en dirai pas plus, nous n'allons quand même pas gâcher votre plaisir !

    Sans vous révéler quelconque indice quant à la conclusion du long-métrage, sachez simplement que cette dernière ne livre pas toutes les réponses aux questions que pourrait se poser le spectateur. Et d'une certaine manière, nous pouvons penser que c'est mieux ainsi : de cette manière "Prisoners" reste apte à garder cette aura mystérieuse qui fait de lui un film magnétique, intriguant et terriblement suffocant.

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 juin 2014
    Jake Gyllenhaal est surprenant, il forme avec Hugh Jackman un duo épatant. Ce film est à voir absolument, c'est à mes yeux LE film de 2013 !
    Jonathan M
    Jonathan M

    135 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 novembre 2013
    Quant un film est long, on peut faire deux types de raisonnement : Le réalisateur a une volonté de faire passer un message bien précis, il veut nous accompagner dans son histoire, laisser le temps aux spectateurs de prendre parti pour le héros ou bien le détester dans le cas échéant.. et j'en passe. Le second serait de dire qu'il était tellement fière de ses plans, que chaque fois qu'il en mettait un de côté, çà lui arrachais le coeur, du coup, il a tout laisser. Oui mais voilà monsieur Denis Villeneuve, la prochaine fois, poser vous bien la question si tout ce long fardeau est justifiable, et si avant tout, c'est l'efficacité d'une mise en scène qui doit être le prima de vos réflexions?
    Djo D
    Djo D

    64 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mars 2014
    Saisissant et bouleversant bien que d'une morale discutable. On plonge avec ce père de famille dans la douleur et on se projette dans la même situation avec cette question sans réponse : "que ferais-je" à sa place? Sentiment de malaise assuré, frisson garanti, suspense insoutenable font le brillant cocktail de ce brillant thriller 4/5
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 21 janvier 2014
    Je m'attendais à un thriller haletant et je me retrouve avec un polar fatiguant.

    Fatiguant parce que trop américano-lourdingue-caricatural: les bons c'est bien, les méchants c'est mal, l'église c'est pédophilie et compagnie.
    Fatiguant parce que trop long. Et dire qu'en 2h33 on n'a même pas toutes les réponses... (à des questions dont on finit par se désintéresser).
    Fatiguant parce que Hugh Jackman est mono expressif; à la différence de Jake Gyllenhaal qui déploie un jeu subtil.
    Fatiguant parce que Melissa Leo: 52 ans bien botoxée dans la vie joue une vieillarde; mais le maquillage est hélas très voyant. D'ailleurs, qui a pu croire qu'une vieille croulante spoiler: pouvait tenir en joue longtemps un fringuant Hugh Jackman et aller jusqu'à l'enterrer vivant sans qu'il bronche ?

    (Soupirs...

    Alors pourquoi une étoile et demi plutôt que zéro ?
    1/2 pour Jake Gyllenhaal, 1/2 pour Paul Dano, 1/2 pour la photo.
    Léa H.
    Léa H.

    34 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 janvier 2014
    Efficace : telle est l’impression qui domine la première partie du film, avec son suspens bien posé, son interprétation solide et sa mise en scène tendue. Le propos n’est certes guère original, mais ça marche et la critique d’une Amérique paranoïaque toujours à la recherche d’un bouc émissaire se pose là. Puis Villeneuve complexifie son propos d’une ambiguïté morale : une phrase chuchotée et un acte de cruauté gratuite condamnent le simple d’esprit – au point de justifier les dérapages du père de famille ? Le spectateur se retrouve en position de malaise (ce qui est intéressant) et le film nous renvoie de façon troublante à notre propre ambiguïté. Malheureusement, le cinéaste, voulant aller plus loin dans le malaise et l’ambiguïté, retrouve vite les travers de son précédent film, Incendies : il commence dans la deuxième partie à empiler les couches de l’horreur jusqu’à l’écœurement – tout y passe : le prêtre torture dans le sous-sol de son église, le flic a été violé dans sa jeunesse, la tante est une serial-killeuse… Derrière chaque quidam sommeille un pédophile en puissance. Ce pouding du glauque, censé être une vision sans concession de l’humanité, ressemble surtout à une opération scénaristique assez démago et passablement rance (le film se transforme en thriller à twists multiples). On perd alors la belle tenue du début (la mise en scène elle-même se fait beaucoup plus fonctionnelle), tout comme l’intérêt pour les personnages. Et ce pour une mécanique scénaristique certes surprenante, mais très usante. Le film, qui avait commencé avec une justesse convaincante (et très prenante) finit dans l’artifice - La preuve en est de ce happy-end improbable où il s’agit surtout de ne pas trop démoraliser le chaland après l’avoir assommé sous une avalanche d’horreur…
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 mars 2014
    Un thriller très intéressant à défaut d'être révolutionnaire, et qui souligne le double-emprisonnement des protagonistes : psychique et physique. Le film est aussi une attaque violente contre la cellule familiale sacro-sainte américaine qui, une fois brisée (par l'enlèvement de l'enfant), met à nu la bête qui dort en chacun de nous. Si l'interprétation d'Hugh Jackman laisse à désirer, Gyllenhaal impressionne, avec une prestation silencieuse et sobre, tout en retenue.
    Malgré cela, Prisoners n'est pas du tout un film parfait. Je lui reproche notamment une mise en scène et une approche des décors un peu classique (il neige, il pleut tout le temps) et un caractère ésotérique trop sous-exploité (le thème des labyrinthes semble survolé). Néanmoins, si Prisoners ne révolutionne pas le genre, il reste une belle réussite à la construction exemplaire et dont la puissance n'a pas fini de nous hanter.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 17 octobre 2013
    vraiment déçu,un père en colère,l'autre pacifiste laisse faire la police,du vu et revu, labyrinthique j'avoue ne pas comprendre ce succès c'est clair j'ai beau y faire le tour,Jackman en fait un peu trop à mon goût mais joue bien son rôle malgré tout,le mal proprement dit est banal,et ne me dites pas que le dénouement est à la hauteur ,ça été pour moi la goutte d'eau...Et pourtant ça commence fort vraiment dommage,d'avoir se sentiment d'abandon de Villeneuve pour la suite du les ingrédients ont été réunis pour faire de ce film un must dans ce genre trop rarissime au grand écran mais malheureusement mal exploité ,manque cruellement de profondeur.
    Et arrêtez de le comparer à seven et zodiac merci ,il n'y en a aucunes!
    A souligné l'interprétation juste de Jake Gyllenhaal au top dans ce film.
    Sergio-Leone
    Sergio-Leone

    186 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 octobre 2013
    Wow, ça faisait longtemps que je n'avais pas eu la chair de poule face à un thriller haletant au cinéma n'ayant vu aucun de mes poids lourds favoris en salle (Le silence des agneaux, memories of murder et the chaser). La tension, l'empathie des personnages, tout est partagé et diffusé à travers la salle comme une évidence avec une terrible efficacité. On se passionne pour l'enquête, pour les moindres détails jusqu'au final qui ne laisse pas indemne. Un grand moment de cinéma, voire le film de l'année.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 octobre 2013
    Ah enfin un thriller qui renoue avec la tradition des grands thrillers américains….logique, cohérent avec une seconde lecture interessante….les 2h33 passe a une vitesse hallucinante !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 octobre 2013
    Une bonne surprise que ce film. L Amérique est belle aussi quand l histoire se déroule dans les petites villes de province, cela donne à ce film beaucoup plus d'authenticité. L'automne, la pluie, la neige apporte un sombre climat à une histoire qui vous tient en haleine rapidement. Le film est assez lent, et parfois on voudrait que le flic se de carcasse un peu plus, cela contribue à l'énervement qui monte en nous et cela ajoute à l'angoisse car on se pose pas mal de questions sans jamais comprendre ce qui va arriver et finalement la surprise arrive......et le mystère final aussi .....Hugh Jackman est terriblement présent.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 décembre 2014
    Keller Dover ( Hugh Jackman , saisissant ) est un père proche de ses enfants ; il apprend à son fils la chasse et il chante avec sa fille . Le jour de Thanksgiving , les Dover sont invités chez leurs amis les Birch . A la fin du repas Ana ( la fille de Keller ) et Joy ( la fille du père Birch ) s'en vont jouer dehors . Comme vous le savez , elles vont être enlevées . L'inspecteur Loki ( Jake Gyllenhaal , génial ) est sur l'affaire , et très tôt il va retrouver un motorisé qui stationnait tout près des Birch . Faute de preuves le suspect est relaché . Persuadé que ce suspect est bel et bien l'homme tant recherché , Keller va le séquestrer pour le faire parler .
    Ce film est ahurissant , criant de vérité , extrêmement bien réalisé et porté par deux excellentes interprétations qui , pour moi , auraient dû être nommées aux Oscars . Ce que j'aime beaucoup c'est qu'on ne s'attend pas du tout a ce final ; cela nous tombe comme ça et , si on y réfléchit , c'est évident ! Mais je m'arrête la . L’atmosphère contribue au stress ressenti par le spectateur ( il ne fait jamais beau ! ) . Ce film révèle un réalisateur de talent , le québecois Denis Villeneuve , qui parvient à nous tenir accroché pendant près de 2h30 de pure angoisse !
    Pour terminer , je vous ordonne de voir cette oeuvre moins banale que ce que l'on pourrait penser ! :-

    Récapitulatif :

    Les :
    - réalisation
    - interprétations
    - atmosphère stressante

    Les - :
    - euh.. la fin précipitée (purement subjectif

    Note plus précise : 17,5/20
    ChroniqueMécanique
    ChroniqueMécanique

    320 abonnés 214 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 octobre 2013
    Premier film américain du québécois Denis Villeneuve, révélé en 2010 avec le très bon "Incendies", "PRISONERS" est un thriller dramatique situé à mi-chemin entre "Zodiac" et "Mystic River".

    A l'image des deux films de David Fincher et Clint Eastwood cités en exergue, "PRISONERS" situe son intrigue au sein d'une paisible et banale cité américaine, où les familles, dominées par un patriarche travailleur, semblent vivre dans une parfaite harmonie, entourées de voisins cordiaux. Et puis l'impensable drame se produit, et les fissures apparaissent. Toute cette sérénité, cet équilibre, se dérègle violemment, et les limites de ces si sympathiques congénères se dévoilent au grand jour. Vous l'aurez compris, en plus d'être un film policier empli de suspense, "PRISONERS" est également un drame humain sur le thème de la sacro-sainte famille américaine typique dont il explore les tréfonds. Hugh Jackman est d'ailleurs absolument parfait dans la figure du père courageux, aimant et surprotecteur; déchiré par la douleur et l'impuissance suite à l’enlèvement de sa fille, perdu jusqu'à ne plus écouter ni croire ses propres prières, et finalement sombrer dans le mythe, encore une fois symptomatique au pays de l'Oncle Sam, de l'auto-sécurité, de la justice personnelle. Car si la trame est ici ultra-convenue, les acteurs sont les principaux atouts que ce film possède dans son jeu. Face à "Wolverine", Paul Dano ("Little Miss Sunshine", "There Will Be Blood") livre une nouvelle composition de choix derrière les épaisses lunettes d'un simplet diaboliquement ambigu, dont il est impossible de savoir si l'on doit s'apitoyer sur lui ou le maudire. Et puis il y a surtout l'excellente performance de Jake Gyllenhaal, en tout point remarquable sous la chemise serrée jusqu'à la gorge d'un inspecteur de police atypique et opiniâtre. Bourré de tocs symbolisant une colère sans cesse contenue et à la limite de la rupture, l'éternel interprète de Donnie Darko compose un personnage de flic écorché et un peu bourru, perpétuellement entouré d'un voile opaque : jamais on ne saura quelque chose de lui, ni son passé, ni sa vie privée, ni même son prénom. Pour compléter ce brillant casting, il y a encore pas mal de beau monde, comme Melissa Leo ("21 grammes", "The Fighter") et Maria Bello ("A history of Violence", "Fenêtre Secrète"). L'étude du caractère des personnages est prédominante dans "PRISONERS" et lui confère sa puissance, son côté film de genre, là où il n'aurait pu être qu'un énième thriller insignifiant de plus.

    Une chose est sûre : Denis Villeneuve sait filmer. Accompagné du célèbre chef-opérateur britannique Roger Deakins, collaborateur attitré des frères Coen avec lesquels il a déjà vu son travail nominé quatre fois à l'Oscar de la meilleure photographie, le cinéaste québecois imprègne sa pellicule d'une atmosphère aussi sombre que suffocante, et nous offre une mise en scène aussi appliquée qu'élégante. Tout se passe entre un ciel gris et pluvieux et une terre boueuse et enneigée. Le scénario, dont le point de départ semble comme je le disais vu et revu, ne cesse de nous questionner sur des dilemmes moraux et dépeint des protagonistes dont on ne sait jamais vraiment si ils sont tout noir ou tout blanc, si ils ont raison ou tort, et sa richesse psychologique est d'une incontestable qualité. Ce script veut aussi, en plus d'interroger le spectateur, le perdre continuellement. Ainsi, à force de s'embarquer sur des fausses pistes et autres retournements de situation, il perd bêtement en crédibilité et en efficacité. C'est bien dommage car en faire autant ne servait absolument à rien et dessert au final un ensemble jusque-là cohérent. D'autant que celui-ci dure près de 2h30, et, si la tension est continue et que l'on ne s'ennuie jamais, on pourra reprocher à Villeneuve d'avoir voulu étirer son récit. On a donc le droit à des rebondissements ne servant absolument à rien (attention spoiler : l'inutile fausse piste de l'homme au serpent en est l'exemple le plus frappant, tant ses agissements sont incompréhensibles), et on ne peut s'empêcher de penser qu'avec une petite demi-heure de moins, le résultat aurait été bien plus probant.

    En outre, "PRISONERS" est un polar saisissant, incroyablement froid et paranoïaque, au visuel bien carrossé, n'ayant rien à envier aux œuvres de l'incontournable David Fincher. Il est certes un peu balourd et maladroit par moment, mais admirablement servi par un scénario renfermant une machination infernale et prenante jouant avec tous les codes les plus classiques du genre, et surtout par des acteurs au top de leur forme. A l'image d'absolument chaque personnage, et pas uniquement de ceux des fillettes kidnappées, le spectateur est ici retenu prisonnier d'un obscur labyrinthe dont l'issue est bien difficile à trouver.

    Retrouvez toutes mes critiques, avis et analyses, sur ma page Facebook ainsi que sur mon blog, Chronique Mécanique. merci !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 octobre 2013
    De très bonnes idées, de très bonnes interprétations, quelques séquences fortes qui vous glacent le sang, mais malgré ses qualités évidentes, je dirais de ce Prisoners bien mais peut mieux faire. Le rythme lent qui fonctionnait à merveille dans Le Silence Des Agneaux vient ici nuire au film. Car le rythme est d'une lenteur qui à mon humble avis n'a pas été assez calculé et la fin apparaît presque bâclée. C'est d'autant plus regrettable que Prisoners avait par ailleurs un énorme potentiel. Malgré cela, il mérite largement d'être vu.
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