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AMCHI
Court-métrage d'anticipation horrifique français de 25 mn Survivant(s) s'avère très efficace malgré un manque de budget évident et une utilisation agaçante de mouvement de caméra lors de scènes d'action mais Survivant(s) possède un vrai sens du suspense et on aimerait bien découvrir une version longue de ce film un jour. Survivant(s) semble s'inspirer de Running man et Le Prix du danger on nous montrant un futur pas si improbable que cela. A découvrir.
tout juste correct, il y a un assez bon suspens mais le jeu d'acteur est pas terrible, la caméra est un peu relou et on on sent bien le manque de budget mais pour un premier court-métrage ca reste divertissant !
🎬 RENGER 📼
Avec un budget infinitésimal (d'environ quatre mille euros), autant vous dire tout de suite que Vincent Lecrocq avait du pain sur la planche pour rendre crédible son affaire. Basé sur un scénario rachitique et une trame déjà exploitée (Les Condamnés - 2007), le court-métrage de 25 minutes avait fort à faire pour nous convaincre. Hélas, Survivant(s) (2010) ne tarde pas à nous ennuyer, dès le début, son panel de personnages stéréotypés interprétés par des acteurs tous plus décevants les uns que les autres vient décrédibiliser l'ensemble des scènes. S'ajoutent à cela, de violents maux de tête dû à une B.O volontairement nerveuse (et hideuse) sans oublier la mise en scène où les cadrages bâclés ou illisibles sont légion suite à une utilisation abusive du mode "shaky-cam" ou de l'emploi de cadreurs tous atteints de la maladie de Parkinson.
En plus d'assurer la réalisation, Vincent Lecrocq cumule cinq autres postes dont ceux de scénariste, monteur, graphiste et bien d'autres. Peut-être aurait-il été plus sage qu'il se concentre uniquement sur la réalisation, car vu le résultat final, il y a vraiment du travail à ce niveau là !
En plus d'assurer la réalisation, Vincent Lecrocq cumule cinq autres postes dont ceux de scénariste, monteur, graphiste et bien d'autres. Peut-être aurait-il été plus sage qu'il se concentre uniquement sur la réalisation, car vu le résultat final, il y a vraiment du travail à ce niveau là !
Objectivons
Le concept est ridicule. Pure provocation. Vincent Lecrocq aurait pu se contenter du concept d'émission de télé-réalité ultra-violente sans faire mumuse avec "la France va mettre des étrangers n'ayant pour la plupart commis aucun vrai crime dans des camps pour qu'ils se fassent dévorer par des zombies créés par des scientifiques au service d'un gouvernement totalitaire". Et ta mère, c'est une nazie, mon cher Lecrocq ?
Ceci mis de côté, il n'y a pas grand chose à dire, si ce n'est que les acteurs sont tous aussi mauvais les uns que les autres, c'est un court-métrage donc cela ne dure qu'une vingtaine de minutes (ouf), ça ne fait pas peur, la caméra instable est pénible à suivre, et j'ai envie de dire : occupez ces 20 minutes à commencer un VRAI film.
Ceci mis de côté, il n'y a pas grand chose à dire, si ce n'est que les acteurs sont tous aussi mauvais les uns que les autres, c'est un court-métrage donc cela ne dure qu'une vingtaine de minutes (ouf), ça ne fait pas peur, la caméra instable est pénible à suivre, et j'ai envie de dire : occupez ces 20 minutes à commencer un VRAI film.
Au départ, cette très légère réalisation aurait pût donné quelque chose de divertissant et de sympathique, mais on ne se contentera que de la 2ème proposition.. "Survivant(s)" est un court-métrage horreur qui n'apporte rien du tout au genre, ne fait pas peur, n'est pas inoubliable, mais est quand même bien foutu.
Genre : divers. Je vais préciser. Genre : Bis. Ou plutôt genre : horreur putassière et rentre dedans. Niveau action, le quotas est à peu près assuré, les cavalcades dans les couloirs sont filmés avec une steadycam agitée, qui entre direct en compet avec Mutants dans la catégorie "j'ai pris tellement de caféine que quand je filme tu captes que dalle !". L'histoire est fendarde de bout en bout, faisant de la survie des personnages l'enjeu principal dès les première minutes. Les classiques du genre sont ressortis inévitablement (tensions entre personnages, trahisons...) et platement, nous rappelant la semi déception qu'était La Horde. Tant que la France produira ce type d'horreur (c'est à dire fendarde en réaction à un budget anémique), le genre ne décollera jamais... Quelle ironie que l'actrice d'une tuerie fendarde mais admirablement réalisée passe du côté obscur du bis bourrin.
Quelle merde !! Pas de scénario, des acteurs improbables qui surjouent, des zombies qui sortent d'on ne sait où (aucune exprication, c'est tellement facile...), filmé caméra à l'épaule, comme c'est original !!!. Maquillages nuls (voire inexistants) fin sans la moindre originalité. On dirait un film de fin d'année filmé et joué par des élèves de 6e. Quant à Alison Paradis, elle est faite pour être actrice comme moi pour être astronaute...
Un court-métrage qui fait vraiment très très peur... non pas parce qu'il est efficace, mais à cause d'une mise en scène aussi bidon qu'elle est ratée, peuplée d'effets vomitifs et complètement grotesques (on se demande ce que le « réalisateur » et les « cadreurs », si on peut les appeler comme ça, ont chercher à faire !), et un scénario qui semble avoir été écrit sur un post-it à l'aide d'une crotte de nez par un collégien acnéique en pleine crise d'adolescence. Bon, les acteurs sont tous plus mauvais les uns que les autres, mais étant donné que la plupart sont des amateurs ou des débutants, je ne serais point trop sévère à leur égard... Mais Dieu que c'est laid ! Je suis sincèrement désolé, mais même en essayant d'être hyper-sympa et en voulant faire ma B.A de l'année, je ne vois pas ce que l'on pourrait sauver ici. Et que dire de la pseudo-critique de la société et de la tété, qui fait l'effet d'un pet foireux qui tâche grassement le fond de la culotte : ça sent vraiment mauvais jusqu'à en piquer les yeux, mais au centième degré ça peut toujours faire marrer les copains...