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Enarpilod
32 abonnés
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4,0
Publiée le 14 février 2012
Ichi, la femme Samouraï reprend les principes de Zatoichi pour attribuer le rôle principal à une femme aveugle qui manie le sabre avec une redoutable précision et une agilité pleine d'harmonie qui cache en plus de son handicape, un douloureux passé qu'elle ne souhaite pas partagé et malgré le fait qu'elle cherche à ignorer les autres, un homme va s'intéresser à elle et va la suivre coûte que coûte.
L'histoire d'Ichi est très émouvante, pleine de poésie, de sagesse mais aussi de douleur et de sang surtout. Le film met du temps à démarrer, ce qui n'est pas un mal, pour mieux cerner le personnage d'Ichi qui finalement va se révéler à la fin après avoir vécu des moments très fort durant lesquels on prend plaisir à suivre son aventure.
Un film que je recommande à ceux qui ont aimés Zatoichi.
Ichi est dans la lignée de Zatoichi , ça en reprend les bases , presque tout est reprit d'ailleurs , la femme aveugle , son sabre caché dans sa canne , elle va jouer au dès et elle combat super bien , le personnage qui va devenir garde du corps pour les Yakuzas etc .. ça n'a rien d'un reboot ou d'un remake pour autant mais ça serait plus une continuation du mythe Zatoichi remplit de petites références bien placé et qui devrait plaire au fans .
On retrouve un scénario simple et peu recherché certes mais prenant et correct dans l'ensemble , de beaux paysages , des costumes et des décors vraiment bon, un cadrage net et précis , des acteurs convainquant , et surtout d'excellent combats magnifiquement orchestré par le chorégraphe des films de Akira Kurosawa ( Les 7 Samouraïs ), c'est donc bien filmé , on a aussi une petite touche d'hémoglobine sympathique . La bande son est elle aussi très bonne , ce mixte entre Zatoichi et Azumi est donc assurément une réussite qui ravira les amateurs du Japon médiéval et de combats tranchant au katana .
Ichi est un magnifique film avec des acteurs jouant a la perfection leurs rôles, des scènes de combats exceptionnelles ,une fin émouvante et une musique sublime. Un chef d’œuvre sur le Japon médiéval qui n'est malheureusement pas assez connu.19,5/20.
Impossible de ne pas penser à Zatoichi quand on regarde Ichi-la femme samourai et ça n'aurait pas été un problème si le film avait su se réinventer assez pour se détacher suffisamment du mythique samourai. On retrouve un personnage aveugle voyageant sur les routes du Japon sabrant sur son passage les quelques ennemis lui barrant la route. La ressemblance va même jusqu'à la manière dont notre héroine tient son sabre lors des combats, sabre étant dans le meme fourreau que Zatoichi (en tout cas version Kitano).Au-délà de la ressemblance avec Zatoichi, le scénario du film reste de manière générale assez prévisible, réservant une scène classique du mauvais film de série B: le méchant pas vraiment mort qui surgit dans le dos et des inventions purement artificielles (mère rendue aveugle par une scène peu crédible). Les personnages peuplant cette histoire sont à l'image du scénario, sans surprise et même pire, caricaturaux (Banki passant son temps à grimacer et à rire comme Christophe Lambert) voire étrangement ridicule comme le lieutenant de Banki, genre de guerrier japonais aux allures de stars hollywoodienne sous UV.On trouve finalement une galerie manquant de charisme qui semblent pour certains être directement sorti des années 70. Qui dit samurai dit combat, exit la tension et le tranchant abrupte des films traditionnels, place ici aux joutes "à la 300" peuplées d'alternance entre ralenti et temps réel, la mise en scène trop moderne et représentative de l'esthétisme à la mode. On retrouve ce désagréable aspect dans la musique extradiégétique qui ressemble fortement à celles présentes dans Gladiator ou 300, contrebalancé par la musique diégétique traditionnelle plus appropriée. Pour conclure je dirais que le film souffre trop de son côté artificiel (aussi souligné par la médiocre qualité des effets spéciaux) pour toucher le spectateur. Pour relever malgré tout le niveau on peut remarquer le triomphe d'un aveugle face à un homme dont le visage est impossible à supporter.
Version féminine de la célèbre légende de Zatoichi; Ichi, femme samouraï, est un divertissement basique et archétypal (presque caricatural), dont l'un des rare intérêt est la présence de la subtile et très jolie Haruka Ayase. Les scènes d'action sont amusantes, violentes à souhait, mais l'histoire est trop simple et l'émotion restreinte. Sans parler du jeu de l'acteur intérprétant le méchant, absolument risible et pitoyable.
Un bon film d'action comme le cinéma asiatique sait les faire. On ne peut s'empêcher ici de faire la comparaison avec le film "Zatoichi" mais en version féminin. J'ai trouvé "Ichi" supérieur à "Zatoichi" et bien plus intéressant. Les scènes d'action sont réussies. Seul l'intrique dans le seconde partie du film est ratée pour par contre un très bon final.
ICHI n'est pas un mauvais film malgré quelques personnages caricaturaux, comme le bad guy qui rie comme Christophe Lambert, les hommes en général qui ne cherchent qu'a violer l'héroîne, j'en passe et des meilleures... L'histoire n'est pas fabuleuse, même plutôt une impression de déja vu, les scènes d'actions sont efficaces et le mise en scène moyenne. On a l'impression de revisiter Zatoichi mais avec une femme, certaines situations ont été pompées sur differents films d'ailleurs. Reste un film où on ne s'ennuie pas mais où la surprise n'est pas au rendez vous.
Film japonais sublime dans le cadre du japon médiéval, film d'action avec de nombreux combats au sabre magnifiquement chorégraphies mais aussi film très émouvant et touchant sur une quête, celle de l'identité, de sa raison de vivre et de son père. Car ce film raconte le destin et voyage d'une jeune femme aveugle, femme paria condamnée à vivre de sa musique et quasiment de mendicité, par ailleurs experte dans l'art de manier le sabre caché dans sa canne d'aveugle avec une technique unique. Son chemin va croiser celui d'un jeune samouraï également errant et les emmener tous deux dans un village à défendre contre une troupe, une caste de brigands. Mais la jeune femme, elle, cherche à savoir ce su'est devenu un homme et qui l'a connu. Ce film à l'image sublime est marqué par la performance charismatique de Haruka Ayase ,qui nous offre une composition d'exception à la fois par ses chorégraphies de combat d'une élégance rare que par l'expression de son visage, de ses gestes lents mais gracieux, le tout magnifié par la douceur et la beauté des traits de son visage, admirablement cadré et filmé et dégageant une sérénité, une force, un charisme rares, le tout soutenu par une bande son envoûtante. Un très très beau film, passionnant, spectaculaire et émouvant, presque philosophique, marqué par la grace et le talent d'Haruka Ayase.
De véritables acteurs ,des personnages intéressants:la femme samourai trés charismatique et touchante,son compagnon attachant en faux looser :des dialogues parfois forts:''sans chaleur on meurt de froids(a comprendre sans amour).Une musique trés bien choisie.Le méchant un peu déjanté ajoute un coté glauque .En gros un bon eastern sans effets spéciaux lourds.
Je m'attendais à un film digne de Tigre et Dragon, mais je suis tombée sur un film de niveau nettement inférieur. Le scénario est ridicule et les acteurs sont peu crédibles. Ce film n'est qu'un prétexte pour voir quelques scènes de bataille, sans plus. Bref, très décevant.
Voici un film d'aventure japonais qui est rééllement surprenant. L'actrice principale Haruka Ayase est très convaincante dans le rôle d'une jeune femme aveugle et solitaire, mais qui se révèlera être surtout une redoutable guerrière et une adepte du sabre. La mise en scène est vraiment agréable à suivre, notamment les séquences de combats - particulièrement violent par moment - qui sont d'une belle réussite. En plus, les paysages " du pays du soleil levant " sont superbement filmées, grâce à la magnifique photographie de Keiji Hashimoto, ce qui fait que l'on passe un moment vraiment sympathique devant cette oeuvre qui mériterait vraiment d'être plus reconnue.
Ichi est une figure du film de sabre japonais le voici dans une nouvelle version modernisée, cette fois-ci au lieu d'un masseur aveugle c'est une musicienne aveugle qui maîtrise à la perfection son sabre. Mais on préférera revoir le Zaitochi de Kitano au l'un des films de la série originelle car Ichi, la femme samouraï n'a rien de majestueux. D'abord l'actrice incarnant le personnage d'Ichi manque considérablement de charisme de plus elle n'a pas la malice qui faisait le charme d'Ichi. Quant au niveau des combats s'il n'en rien de désastreux ils ne sont pas non plus très marquant.