Mon compte
    Entre nos mains
    Note moyenne
    3,1
    122 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Entre nos mains ?

    29 critiques spectateurs

    5
    5 critiques
    4
    8 critiques
    3
    5 critiques
    2
    6 critiques
    1
    2 critiques
    0
    3 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 octobre 2010
    Une petite merveille, j'ai passé un délicieux moment, et ce n'est pas si souvent au cinéma;
    Courrez-y!
    palulos
    palulos

    3 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 octobre 2010
    Excellent moment! ce documentaire arrive à décrire la situation de ces travailleurs avec poésie et beaucoup d'humour!
    Je n'ai pas eu l'impression d'être devant un documentaire tant l'image et le déroulé sont bien travaillés.
    En bref: on passe un agréable moment!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 octobre 2010
    Un reportage très correct à voir plutôt à la télé (en version courte). Pour ceux qui s'intéressent au monde de l'entreprise c'est très informatif. Faut pas s'attendre à éclater de rire ou voir des seins nus mais bon, il y a d'autres films pour ça ;-) Dommage que le rythme est souvent lent car on s'ennuie parfois. Un bémol aussi pour le clip de la fin en musique qui fait trop mode, et qui ressemble au lipdub de l'ump. C'est maladroit, très déplacé. Pas très futé le journaliste qui a pourtant de grands discours (l'égo toujours l'égo !). Donc l'ensemble est instructif même si pas super bien réalisé mais pour un reportage, faut pas trop en attendre.
    nikolazh
    nikolazh

    60 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 octobre 2010
    A défaut de vraiment passionner (la faute à la real trop molle) une petite chronique sociale douce amère qui a la mérite de mettre un avant la solidarité des employés d'une petite entreprise face à la crise...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 octobre 2010
    Beaucoup de ceux qui soutiennent ce documentaire ne ménagent pas leurs efforts pour paraître très hautains et méprisants envers ceux qui ne l'aime pas. Cela révèle le type de spectateur bobo qui vont aller voir ce film, sûrement pas les gens du peuple : "ils souffrent d' inculture" (qui est, d'après les bobos, incompatible avec la réflexion que demande ce film). Ce sont aussi les bourgeois et les critiques branchés qui vont se donner bonne conscience en s'intéressant pendant 1h30 à des ouvriers tout en réfléchissant à leur place (pendant que ces derniers travaillent toujours) ! Quant à la réalisatrice, elle va gagner plus de 150 000€ sur leurs dos, notamment grâce au CNC et les entrées en salle des bobos, puis elle fera l'artiste dans les cocktails parisiens. Tout cela est écoeurant au plus haut point. On ne devrait pas autoriser la projection de cette forme de spectacle pervers. La condescendance qui est dans le hors champs symbolique du film, est en plus aggravé par une mise en scène atteignant des sommets de boursouflure et de pompiérisme. Alors que fait ce film en salle ?
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    92 abonnés 410 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 octobre 2010
    Je ne comprends pas vraiment les motivations de Mariana Otero avec son documentaire Entre nos mains. Elle y ridiculise plus qu'elle ne la magnifie ou lui rend hommage une classe ouvrière limitée à un chapelet de poncifs et situations convenues. Nul n'est besoin d'être prophète pour se rendre compte au bout de quelques ...minutes en quoi le projet certes utopique et bien intentionné ne peut aboutir tant l'entreprise dans laquelle la caméra nous fait pénétrer paraît vieillotte, hors d'âge, presque risible. C'est triste à l'avouer mais ce film en devient contre-productif, allant à l'opposé de ce que l'on peut penser être ses objectifs initiaux. L'issue en clin d'oeil à Jacques Demy, pour sympathique qu'elle soit, achève de décrédibiliser l'entreprise d'Otero.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 octobre 2010
    Superbe film avec de vrais(es) employés(es) qui assurent formidablement devant la caméra!J'espère qu'ils et elles auront un retour financier sur les entrées de ce film! Le mixage des nationalités donne une vraie poésie à cette situation plutôt triste!Merci à la couturière chinoise pour son poulet qui aurait pu changer le cours de cette entreprise!C'est bon le mélange des cultures!Aussi je propose la création d'une scoop entre toutes les entreprises qui fabriquent le même produit pour égaliser le pouvoir entre fabriquants et commerciaux! UTOPIQUE???
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 octobre 2010
    Un nouveau chef-d'oeuvre de Mariana Otero. Une réalisatrice qui s'entend à dire "la beauté des choses" et des gens, même quand il s'agit de décrire une situation difficile. Ici on assiste à la construction d'un groupe d'êtres humains séparés par tout, le travail, l'organisation du travail, l'histoire personnelle, l'origine "ethnique", l'âge, le sexe et qui finissent pas se trouver au moment même où tout va se défaire. Ce sont eux qui parlent, c'est leur cadre de vie qui est la scène, et tout cela est beau et au plus haut point intéressant. Je ne parle pas de l'élégance de ce film qui fait appel à l'intelligence du spectateur, à sa capacité à réfléchir à la situation décrite et à en tirer des conclusions, un projet ouvert, le film ne manipule rien et laisse toute liberté. Bravo!
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 9 octobre 2010
    Une belle aventure collective où les salariés d'une usine de textile tentent de prendre leur destin en main. Le film nous fait partager leurs incertitudes et nous montre que les ressources sont TRES humaines ! On n'est pas dans le pathos, c'est la vie avec des vrais moments d'humour.
    islander29
    islander29

    863 abonnés 2 354 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 octobre 2010
    Un film important sans doute car il insiste sur les difficultés des entreprises à survivre à la crise....Le parti pris du réalisateur est de nous montrer la solidarité des employés pour trouver une solution à la liquidation de leur entreprise de lingerie féminine...Ce sont surtout des discussions conviviales et presque amicales entre employés sans aucun formalisme mais plutot avec beaucoup de simplicité... Ce n'est pas forcément passionnant mais la fin du film souligne le courage sans fard de ces personnes qui se battent pour leur travail...A réserver à un certain public car c'est un documentaire sans extravagance aucune.
    paulusnumero1
    paulusnumero1

    5 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2010
    Finir ce documentaire en musical plein d'espoir est une superbe idée. Et effectivement, le combat qu'ont mené ces salariés n'est pas vain même s'il n'a pu aboutir. Ils se sont tenus debout, ont travaillé et se sont organisé. Tous ensemble. C'est un exemple. Un beau. Merci à eux tous.
    Julien D
    Julien D

    1 198 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 octobre 2010
    Cette reconstitution de la délicate situation d'une petite société de textile et les réactions des salariés face à la proposition du passage en mode SCOP (des doutes, des blagues, de la colère...) peut s'avérer être ennuyant. Le fait de voir cette petite leçon de sociologie autant que d'économie s'achever par une sympathique comédie musicale digne de Bollywood en fait une originalité intelligente.
    Cinephille
    Cinephille

    156 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2010
    Mariana Otero discrète mais très efficace réalisatrice de documentaires livre un film sur le projet de reprise par le personnel de l'usine de lingerie Belamy en redressement judiciaire. Son film est extrêmement attachant. On voit parfaitement que les ouvrières, sans doute peu diplômées, sont des personnes intelligentes, drôles, capables de peser le pour et le contre, de comprendre les enjeux et les risques. Seulement elles ne sont pas nées du bon coté de la barrière sociale. Et tous leurs efforts, toute leur intelligence se brisent sur le mur de la collusion entre le patron et la grande distribution (je signale aux ouvrières que par solidarité je ne ferai plus mes courses à Cora). Comme le leur dit la femme des SCOP leur action n'a pas été vaine car elle leur a apporté beaucoup en dignité et en connaissance. Mais ceci reste une piètre consolation. Le lib-dub final est le seul bémol que je mettrais au film car ce machin à la mode me paraît inapproprié dans le contexte.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 septembre 2010
    J'ai vu le film hier en avant-première au cinéma l'Eldorado à DIJON en présence de Mariana OTERO. Difficile de comprendre certains commentaires sur cette page ! Ce documentaire est tout à la fois très drôle, porté en cela par la personnalité des ouvrières, et bouleversant par le portrait d’une « humanité » toute entière faite de grandeur et de dignité d’un côté et de bassesse et de lâcheté de l’autre. Cette matérialisation du réelle sur grand écran donne le frisson. On voit parfaitement dans le déroulement de cette aventure le renforcement des liens entre les salariés motivés par ce projet commun au-delà même des différences de culture multiples dont le film se fait l’écho : ouvrières/cadres, françaises/étrangères, jeunes/vieilles… On voit aussi les moments de doute, d’incrédulité face au projet : « on nous cache tout », « on nous demande notre avis, mais c’est déjà décidé ». Mariana OTERO capte tous ces moments, capte les silences, les petites phrases, les coups de gueule avec une totale économie de moyen. Rien ne nous échappe.
    Le film est un hommage poignant à celles et ceux qui se sont découvert des qualités, des envies, des forces qu’ils ne soupçonnaient pas dans un combat collectif. Un hommage poignant dont elles garderont traces, sûrement, jusqu’à la fin de leur vie. Le final chanté par les salariés (qui ont eux-mêmes écrits la chanson) est à cet égard une idée de mise en scène lumineuse et déchirante en ce qu’elle donne une force positive à cette expérience. Mariana OTERO redonne aussi sa dignité et sa grandeur, sa centralité et sa puissance au monde ouvrier : sans eux, il n’y a pas d’entreprise tout comme, sans hommes et femmes de bonne volonté, il n’y a point de vie en commun possible. Une piqûre de rappel salutaire dans notre époque individualiste.
    Au final, Starissima, simple entreprise de lingerie féminine, prend alors l’apparence du monde dans lequel nous vivons en une réplique miniature de ces bonheurs et de ces malheurs, de sa diversité et de son uniformité.

    « entre nos mains » en devient effectivement un grand film politique. Mais pas au sens militant du terme, « donneur de leçon » (de l’aveu même de Mariana OTERO), mais au sens premier : qui se rapporte à la cité, son organisation, sa gestion, ses relations sociales et son « vivre ensemble ». C’est tout cela et plus encore qui se retrouve condensé sur 1h30. Attention alors à ne pas se tromper : « entre nos mains » n’est pas une charge contre le néo-capitalisme d’aujourd’hui. Ce n’est pas son sujet. « entre nos mains » n’est pas un reportage de pseudo-décryptage économique à la Capital. Il s’agit d’une véritable œuvre cinématographique qui ne donne pas seulement « à voir » le réel mais qui le magnifie autant dans sa beauté que dans son désespoir.
    Seul regret dans le cas présent : le sentiment de minimisation de la responsabilité de ce patron ci (il ne s’agit pas de généraliser et ce n’est pas le discours du film) dans la tournure du projet. Bizarrement, en évoquant ce patron, c’est au film de Jacques Becker, « Le trou » que j’ai pensé. Comme l’un des détenus dit à Gaspard qui vient de les trahir en les dénonçant au Directeur de la prison, on a envi de le plaindre en lui disant : « Pauvre patron ». Les propos de Jacques Becker à propos de son film pourraient d’ailleurs s’appliquer mot pour mot le concernant : « le problème humain, les rapports entre individus condamnés à vivre ensemble, c’est l’histoire de Judas. Ce qui est passionnant, c’est de voir comment cette entreprise très adroite a été réduite à néant par quelqu’un qui s’est comporté comme Judas, qui participe jusqu’au bout et finalement trahit. Il y a dans ce type un côté maudit ». A bon entendeur…
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top