Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
Alistair Banks Griffin inocule dans l'observation de ses personnages une nervosité qui fait de son film bien autre chose qu'une promenade bucolique. Dès la séquence inaugurale, sa façon de donner du relief aux événements les plus anodins démontre un talent singulier.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jean-François Rauger
(...) le film d'Alistair Banks Griffin emprunte la voie d'une radicalité formelle et narrative sans concession, trouvant dans ses partis-pris esthétiques (...) une matière dense, touffue, une riche sédimentation de sensations et d'idées.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Cet envoûtant premier film révèle un cinéaste aussi radical que prometteur.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Clémentine Gallot
"Two Gates of Sleep", hésitant entre l'incarnation et la fuite vaporeuse, manque à l'occasion de naturel et de substance.
Ecran Large
par La rédaction
Un langage cinématographique proche de celui de Terrence Malick, avec sa nature abondante, vertigineuse, douce ou hostile, incarnation d'un tout vivant et continuité de la mère.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Excessif
par Romain Le Vern
Alistar Banks Griffin signe une oeuvre de cultiste rapidement écrasée par ses influences, sa solennité et sa religiosité. Il y a incontestablement un talent derrière la caméra (...). Mais la tendance à l'esthétisation peut passer pour une tentative de masquer le manque de substance.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Martin
Bien qu'un peu écrasé sous le poids de ses références (Tarkovski, Van Sant...), le premier film d'Alistair Banks Griffin se révèle une marche funèbre dotée d'un véritable pouvoir de fascination.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
Aucun doute : "Two Gates of Sleep" est beau, comme si Malick et Bresson avaient refait en duo une version piétonne du "Convoi de la peur" de William Friedkin (...). Mais à trop pratiquer l'ellipse, à élaguer ses personnages (...), ce Caïn et Abel en T-shirt passionne cahin-caha (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Guillemette Odicino
Quasi muette, encore plus panthéiste que Terrence Malick, cette balade sauvage est un premier film à la radicalité revendiquée et à la beauté captivante. Du "cinéma américain indépendant" pur et dur, qui refuse de frayer avec Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Cette fable lorgne clairement du côté du cinéma de Terrence Malick : plans contemplatifs, absence quasi-totale de dialogues et quête existentielle. Malgré une mise en scène inspirée, l'ennui s'installe.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Frédéric Foubert
Cette miniature arty est parcourue par le souvenir des films d'Andreï Tarkovski, d'Apichatpong Weerasethakul et de Terrence Malick. Mais, dépourvue de toute puissance, cette balade sauvage s'égare dans un trip hermétique que l'on regarde en bâillant (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Critikat.com
Alistair Banks Griffin inocule dans l'observation de ses personnages une nervosité qui fait de son film bien autre chose qu'une promenade bucolique. Dès la séquence inaugurale, sa façon de donner du relief aux événements les plus anodins démontre un talent singulier.
Le Monde
(...) le film d'Alistair Banks Griffin emprunte la voie d'une radicalité formelle et narrative sans concession, trouvant dans ses partis-pris esthétiques (...) une matière dense, touffue, une riche sédimentation de sensations et d'idées.
TéléCinéObs
Cet envoûtant premier film révèle un cinéaste aussi radical que prometteur.
Cahiers du Cinéma
"Two Gates of Sleep", hésitant entre l'incarnation et la fuite vaporeuse, manque à l'occasion de naturel et de substance.
Ecran Large
Un langage cinématographique proche de celui de Terrence Malick, avec sa nature abondante, vertigineuse, douce ou hostile, incarnation d'un tout vivant et continuité de la mère.
Excessif
Alistar Banks Griffin signe une oeuvre de cultiste rapidement écrasée par ses influences, sa solennité et sa religiosité. Il y a incontestablement un talent derrière la caméra (...). Mais la tendance à l'esthétisation peut passer pour une tentative de masquer le manque de substance.
Les Fiches du Cinéma
Bien qu'un peu écrasé sous le poids de ses références (Tarkovski, Van Sant...), le premier film d'Alistair Banks Griffin se révèle une marche funèbre dotée d'un véritable pouvoir de fascination.
Les Inrockuptibles
Aucun doute : "Two Gates of Sleep" est beau, comme si Malick et Bresson avaient refait en duo une version piétonne du "Convoi de la peur" de William Friedkin (...). Mais à trop pratiquer l'ellipse, à élaguer ses personnages (...), ce Caïn et Abel en T-shirt passionne cahin-caha (...).
Télérama
Quasi muette, encore plus panthéiste que Terrence Malick, cette balade sauvage est un premier film à la radicalité revendiquée et à la beauté captivante. Du "cinéma américain indépendant" pur et dur, qui refuse de frayer avec Hollywood.
Le Journal du Dimanche
Cette fable lorgne clairement du côté du cinéma de Terrence Malick : plans contemplatifs, absence quasi-totale de dialogues et quête existentielle. Malgré une mise en scène inspirée, l'ennui s'installe.
Première
Cette miniature arty est parcourue par le souvenir des films d'Andreï Tarkovski, d'Apichatpong Weerasethakul et de Terrence Malick. Mais, dépourvue de toute puissance, cette balade sauvage s'égare dans un trip hermétique que l'on regarde en bâillant (...).
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.