Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Le Monde
par Isabelle Regnier
L'intelligence de la mise en scène tient à la manière dont elle décortique le système. (...) "L'Oeil invisible" porte en lui le souffle galvanisant de la révolte et de l'émancipation
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Gérard Delorme
Une histoire tout en contrastes.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Anxiogène par sa mise en scène, ambigu jusqu'au vertige par la complexité de son héroïne, mélange instable de raideur silencieuse et de frustration sexuelle, son film revisite l'histoire de son pays, tout en en soulignant une universalité toujours d'actualité.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Vincent Avenel
Diego Lerman ne saisit jamais l'opportunité d'exercer la liberté dont rêvent María Teresa et l'Argentine. Paradoxalement prisonnier de l'austérité qu'il voudrait dénoncer comment une oppression, le réalisateur semble écrasé, incapable d'assumer sa symbolique pourtant douloureusement primaire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Excessif
par Yann Largouët
"L'oeil invisible" laisse derrière lui un sentiment de frustration. Ce (quasi) huit clos laissait espérer autre chose que cette proposition monotone où l'ennuie gagne rapidement le spectateur. (...) Si les bonnes intentions du réalisateur sont gâchées par le didactisme moralisateur, la mise en scène quant à elle s'avère (presque) séduisante de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Christophe Carrière
(...) "L'oeil invisible" n'est pas de toute finesse, mais il est empreint d'une certaine force.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Si la mise en scène de Lerman est parfois un peu raide dans sa belle épure lango-bressonienne (géométrie des plans larges, prééminence de l'architecture du lycée, monochromie...), le film palpite néanmoins grâce à ses excellents acteurs, notamment la magnifique Julieta Zylberberg,
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Fabien Baumann
"L'oeil invisible" trouve dans la description de ces ambiances rances un ton singulier, soutenu par l'interprétation de Julieta Zylberberg, dont on ne sait jamais si elle est belle ou laide, victime ou complice.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Cécile Mury
Hélas, cette héroïne mi-bourreau mi-victime (Julieta Zylberberg) est un peu trop pâle. Pas assez " dérangée " pour être vraiment dérangeante. (...) Omniprésent et dissimulé, brutal et visqueux, il (Osmar Nunez) est le vrai pervers
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Fabien Montes
Diego Lerman réalise là un joli film en apparence un peu suranné, dont le souvenir est plus attachant que son expérience directe, entre ennui et nausée.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Le Figaroscope
par Isabelle Fargette
Une démonstration par trop scolaire des méfaits de la dictature en Argentine dans les années 1980.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Une analyse froide du passé qui fait adopter au film cette (im)posture intenable consistant à se considérer plus intelligent que l'Histoire.
Le Monde
L'intelligence de la mise en scène tient à la manière dont elle décortique le système. (...) "L'Oeil invisible" porte en lui le souffle galvanisant de la révolte et de l'émancipation
Première
Une histoire tout en contrastes.
TéléCinéObs
Anxiogène par sa mise en scène, ambigu jusqu'au vertige par la complexité de son héroïne, mélange instable de raideur silencieuse et de frustration sexuelle, son film revisite l'histoire de son pays, tout en en soulignant une universalité toujours d'actualité.
Critikat.com
Diego Lerman ne saisit jamais l'opportunité d'exercer la liberté dont rêvent María Teresa et l'Argentine. Paradoxalement prisonnier de l'austérité qu'il voudrait dénoncer comment une oppression, le réalisateur semble écrasé, incapable d'assumer sa symbolique pourtant douloureusement primaire.
Excessif
"L'oeil invisible" laisse derrière lui un sentiment de frustration. Ce (quasi) huit clos laissait espérer autre chose que cette proposition monotone où l'ennuie gagne rapidement le spectateur. (...) Si les bonnes intentions du réalisateur sont gâchées par le didactisme moralisateur, la mise en scène quant à elle s'avère (presque) séduisante de bout en bout.
L'Express
(...) "L'oeil invisible" n'est pas de toute finesse, mais il est empreint d'une certaine force.
Les Inrockuptibles
Si la mise en scène de Lerman est parfois un peu raide dans sa belle épure lango-bressonienne (géométrie des plans larges, prééminence de l'architecture du lycée, monochromie...), le film palpite néanmoins grâce à ses excellents acteurs, notamment la magnifique Julieta Zylberberg,
Positif
"L'oeil invisible" trouve dans la description de ces ambiances rances un ton singulier, soutenu par l'interprétation de Julieta Zylberberg, dont on ne sait jamais si elle est belle ou laide, victime ou complice.
Télérama
Hélas, cette héroïne mi-bourreau mi-victime (Julieta Zylberberg) est un peu trop pâle. Pas assez " dérangée " pour être vraiment dérangeante. (...) Omniprésent et dissimulé, brutal et visqueux, il (Osmar Nunez) est le vrai pervers
Brazil
Diego Lerman réalise là un joli film en apparence un peu suranné, dont le souvenir est plus attachant que son expérience directe, entre ennui et nausée.
Le Figaroscope
Une démonstration par trop scolaire des méfaits de la dictature en Argentine dans les années 1980.
Cahiers du Cinéma
Une analyse froide du passé qui fait adopter au film cette (im)posture intenable consistant à se considérer plus intelligent que l'Histoire.