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Un visiteur
5,0
Publiée le 29 août 2010
Un genre nouveau pour le documentaire a mi chemin entre réalité et fiction avec un sujet lourd et des interventions poignante. L'issue donne un éclairage vrai sur la société américaine et occidentale d'aujourd'hui
Un film plus qu' a recommandé car pour moi une des plus belles bouteilles de cette cuvée estivale . Une démonstration de la sociéte américaine dites ultra-capitalistes on y voit les résultats des "titritisations" en faite je vous montre là le mots qui pendant tout le film ma tracasé et qui encore maintenant me dit que non trader je ne fairais pas, sinon retournont sur ce film dit de docu-fiction où l'on croit que juste le premiere mots est vrai se qui nous trouble c'est peut être les parents débousolés où encore l'avocat du diable dit le pro-capitalistes ah sinon si nous parlons du film vraiment là où je ne suis pas spécialistes si vous me comprenez une trés belle mise en scene , a pardon il n'y en a pas bon sinon je ne continurez pas sur cette lignée car vous me diriez quze je suis un pseudo-pro du 7 éme art sinon continuez le film français il est toujours bon quand on en trouve !!!!
Jean Stephane Bron prend énormément de risques avec ce film en se permettant de donner sa vision du film de genre: le film de procès. Pari réussi, on ne s'ennuie pas et bien au contraire, on comprend les enjeux des subprimes et les conséquences désastreuses sur la vie des habitants de la banlieue de Cleveland et donc de l'ensemble des banlieues américaines. L'idée de composer le casting avec des personnes ayant réellement vécu cette histoire de l'intérieur renforce la crédibilité et l'emotion qui se dégage de ce film difficile a classer, entre documentaire et fiction.
en fait, avec ce film j'ai du mal à faire la part du fond et de la forme, le film et le vrai litige. le concept du vrai faux procès est très bien exploitée, même si le rythme est un peu lent. j'ai réalisé que l'image que nous renvoient tous ces films et séries sur la justice américaine est assez éloignée de la réalité des prétoires. sur le fond, je n'ai pas été convaincue par l'accusation. sur la base de ce procès, j'aurais voté non coupable, faute de suffisamment d'arguments percutants et pertinents pour établir le lien entre Wallstreet et les expulsions. jouer sur la corde sensible ne suffit pas à prouver quoi que ce soit. la défense a bien exploité cette faiblesse. il n'en reste pas moins que le sujet est passionnant et révèle les dérives du système financier à tous les niveaux. Les témoignage du courtier ancien dealer de drogue, de l'ancien conseiller à la Maison blanche et de l'ingénieur sont très éclairants.
"Cleveland contre Wall Street" ou David contre Goliath. L'idée de filmer ce procès qui semble perdu d'avance alors que le bon sens et la compassion exigeraient qu'il soit gagné m'intriguait. Halte là ! Il n'est pas question de procès filmé mais d'une mise en scène d'un procès fictif. En réalité, les habitants de Cleveland réclament justice mais la confrontation au tribunal est sans cesse repoussée. Jean-Stéphane Bron décide de l'organiser et de le filmer. Les témoins qui défilent sont réellement victimes/utilisateurs de crédits subprimes, les avocats et le juge qui interviennent sont d'authentiques professsionnels et le jury est choisi selon les critères qu'un procès classique impose. Toute cette "authenticité" dans un procès dont les résultats n'auront pas d'impact sur les plaignants ou les accusés s'avère gênante.
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