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Tiwayker
47 abonnés
528 critiques
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0,5
Publiée le 21 mars 2011
Ce film à le mérite d'être bien filmé, sa en reste là. La mise en scène est lente, très lente, il ne se passe pas grand chose. Le scénario est pas terminé, étant inspiré d'un fait réel, j'ai bien peur que le fait que l'affaire ne fut pas élucidé, des zones d'ombre persistent et les incohérences reste inexpliqués. Je n'ai pris aucun plaisir a regarder ce film, j'ai à peine sursauter une fois.
Un film, une expérience intéressante. A dire que c'est un seul plan séquence c'est un peu se foutre de la gueule du monde. C'est un bon huit clos et qu'il y'a vraiment beaucoup de longs plans. Il y'a environ 5 coupures dans un film de 1h20 donc ça fait quand même de bons plans séquences. Ce genre étrange à la caméra à l'épaule donne un mélange de film amateur genre Rec et de film d'horreur normal. Nous sommes témoins, nous sommes acteurs et finalement nous redevenons spectateur. Quand à l'histoire, il semblerait au début (le début est un peu long et ennuyeux) d'une histoire de fantôme basique voir même sans explication. Mais la chute de fin fait retourner la situation et donne finalement une bonne histoire, l'actrice qui était à ce point pas extraordinaire ni non plus très mauvaise devient d'un seul coup excellente. Au final, un film original. Au fait, n'oubliez pas de rester jusqu'à la fin du générique.
Loin d'être médiocre, "La Casa Muda" est bon et très intéressant, bien meilleur que certains films d'horreur qui sont juste gore tel "Saw", "Hostel"... Ici, malgré un début moyen, l'ambiance est haletante et on retient son souffle pour suivre le personnage principal. Ensuite, les quelques moments de sursaut font froid dans le dos puis le retournement de situation nous met une claque et il est vraiment excellent. Au final, on retient quelques erreurs dans le scénario même s'il reste solide et dans l'ensemble, on a passé un moment plaisant.
03 / 20 , The silent house , une grosse dobe quoi. Un ennuit exaspérent tous le long , une peur effectivement très très grande...des acteurs minables , des clichés vraiment insuportables et en plus , un final horrible. Ce film est trop long , l'heure passe d'une lenteur...je m'arrête là.
Ah bah non ! Ça le fait pas. J'étais curieux de voir à quoi ressemblait cette réalisation uruguayenne particulière (filmé en un seul plan séquence avec la fonction film d'un appareil photo qui suit l'actrice principale tout du long) et bien ça ne m'a pas emballé. D'accord ça doit être du boulot (storyboard au rasoir, direction des acteurs à chaud, dissimulation des technicos des micros, des projos...) j'ai bien observé, je n'ai rien vu qui traînait dans le champ. L'image ressemble assez à [Rec], le son est très mauvais (ça se comprend), le scénario est tordu au possible et l'épilogue d'autant plus confus, ce qui rend toute l'histoire (inspirée de faits réels) bancale au possible. De plus le fait de suivre l'action en temps réel amène forcément des incohérences dans son déroulement. Et là il n'en manque pas surtout lorsqu'on tient compte du scénario (qu'on n'est censé comprendre que sur la fin) Je salue toutefois la prestation de l'actrice, même si elle en fait un peu trop, c'est une performance par rapport à la réalisation. Dans un genre assez proche, je préfère "Ils" qui aménageait plus de suspense. Ici ça fait plutôt monotone, y'a juste une scène - très prévisible - mais bien faite, avec le flash du polaroid, bien que ça ne soit pas une idée nouvelle, qui fait son petit effet (et qui entre autres scènes permet de marquer une pause dans la fameuse séquence soi disant unique car j'y crois pas du tout). Passée cette scène justement, le film perd toute cohérence lorsqu'on essaye de nous faire comprendre le scénario. Cette perte de rythme ainsi que le délire schizophrénique tue complètement la fin. Dommage, j'en serais resté sur le même tempo avec une fin à la "projet Blair witch" par exemple, mais le cinéaste a voulu intellectualiser son truc en plus de le tourner bizarrement sous prétexte de budget minime, et à mon sentiment c'est un échec.
"The Silent House" aurait pu être un film vraiment très sympa. Malheureusement, à vouloir nous vendre un défi technique sans vraiment développer son fond, le réalisateur se plante. En effet, on repassera pour le scénario au final assez vide, qui ne prend pas la peine de nous développer ses personnages et le tout tombe un peu comme un cheveu sur la soupe lors du virage final. D'ailleurs, en parlant de cette révélation finale, elle reste assez vague dans le sens où elle ne se suffit pas à elle même. Trop de question non répondue. Pour ce qui est de l'exploit technique, il est très limité car les coupes entre les différents plans (le film n'a pas été tourné en un seul plan non T_T') sont visibles comme un nez sur la figure. Au final, "La Casa Muda" est un film très inégal, mais c'est aussi un film agréable à regarder et à milles lieues de toutes ces conneries de film footage qui sortent encore aujourd'hui...
Ca débute par un fameux "inspiré de faits réels", très à la mode en ce moment. Les-dits faits : dans les années 1940, les corps de deux hommes furent retrouvés dans une ferme, ainsi que d'étranges photos. C'est un peu maigre comme base, alors Gustavo Hernandez et Gustavo Rojo se disent qu'en rajoutant une nana qui pleure et qui déambule dans la maison, d'étrange bruits, un "fantôme", et un pseudo-twist final (que je tairai ici pour maintenir le suspens inexistant), ça le fera. Ben non. Ca s'étire péniblement sur 1h15, et on s'ennuie tellement qu'on n'en vient à porter plus d'intérêt à la recherche des plans de coupe du fameux unique plan séquence. Après avoir déceler ici et là un certain nombre de plans bien sombres qui pourraient servir à un joli raccord, on en vient à douter de la véracité de l'unicité du plan séquence. Mais bon après tout, qu'il soit unique ou pas, la difficulté technique, même moindre, demeure. Et sur ce point on ne peut pas reprocher au film de se planter. Tourné avec un appareil photo en guise de caméra, le film offre pourtant une très belle photographie, et le travail sur les lumières est plutôt bien maîtrisé (même si l'obscurité constante finit un peu par lasser). Le tout impose un côté très réaliste au film, qui surfe sur la vague des "Blair Witch", "[Rec]" et autre "Paranormal activity", sans le côté parfois lourd et casse-gueule de la fausse vraie vidéo. Le problème c'est que les contraintes techniques que s'est imposé le réalisateur ont sans doute participé à la pauvreté des événements qui se passent à l'écran. Autrement dit, comme le moindre truc devient un casse-tête à réaliser en plan séquence, au final il ne se passe rien, et on s'ennuie. Ainsi on n'aura droit qu'à un ou deux sursauts et un ou deux moments d'angoisse (les vieux jouets et les fantômes d'enfants m'ont toujours foutu les jetons, c'est comme ça !). L'ensemble de l'histoire peine qui plus est à tenir debout, ça part un peu dans tous les sens, jusqu'à un final dont on se doutait déjà. Voilà, Gustavo Hernandez a remplit 1h15 de film. Générique. Quoi ? C'est tout ? Mine déconfite des spectateurs. Bon ben on va rajouter un dernier plan séquence de 5 minutes après le générique (c'est quoi ce binz ?!?), histoire de rallonger un peu le film, et que les gens en aient pour leur argent. Ouai... mais le plan sert à rien, sinon à nous expliquer un truc qu'on avait déjà compris, et la moitié de la salle s'est déjà barrée.
Présentée à Cannes lors du dernier festival, cette curiosité venue d’Uruguay pouvait être intéressante. En effet, les réalisations hispaniques ou sud-américaines ont souvent cette particularité de proposer de l’horreur et de l’angoisse de manière suggérée, ce qui tend à accentuer cette notion même d’angoisse.
Pour ce long métrage, cette caste est tout à fait respectée, tant on ne voit rien. Le film se déroule en temps réel, excepté la scène post-générique final, dans une maison qu’un père et sa fille doivent retaper. Très vite le père va disparaitre et la fille va galérer une heure durant pour échapper à une présence menaçante. Du coup, elle va se retrouver seule les trois quarts du temps, ce qui permets de faire des économies niveau dialogues (s’il y a 10 phrases dans le film, c’est le bout du monde). Economies faîtes également sur l’électricité, tant l’image est sombre et qu’on ne distingue quasiment rien. En même temps, il ne se passe absolument rien dans cette pellicule, consistant au final à une longue fouille de la maison, permettant à la caméra mobile de se promener et de s’arrêter de longues minutes devant des objets ou des tableaux, totalement inutiles à l’histoire.
Le film aurait largement pût être compilé en un court métrage d’une quinzaine de minutes, tant on s’ennuie ferme et tant le scénario, tout comme son nom l’indique, n’à absolument rien à dire.
Suite et article complet http://www.mauvais-genres.net/2011/09/05/take-a-look-around-xi/
Comment faire mauvais avec trois bouts de ficelle, une lampe et des bruits la réponse est dans ce film.Aucun scénario une jeune femme qui se promène pendant plus de la moitié du film dans cette maison avec une lampe, des cris une serpe et deux morts qui sont tues.Et un générique de fin qui essaye de rattraper cette catastrophe.Mauvais Tres mauvais...
Film d'horreur qui représente ce qui se fait maintenant dans le genre: une mise en scène longue, sans aucune originalité (j'aurai pu prédire chaque fait et geste de l'actrice), on y croit pas un instant (surtout quand elle SPOIL: découvre le corps de son père :SPOIL). Rien d'effrayant, malheureusement.
Lorsqu'un réalisateur de film d'horreur mise tout sur la bande-annonce, on peut d'ores et déjà s'attendre à être déçu. D'autant plus que The Silent House commence fort en matière de clichés avec le message qu'on trouve actuellement sur tous les films d'horreurs à deux balles : "inspiré de faits réels". Dans la digne continuité de ce début pauvre en originalité, le film se poursuit en enchaînant toutes les erreurs à ne pas commettre pour faire un VRAI film d'horreur : une héroïne agaçante, des bruits de nulle part qui ne semblent être là que pour (tenter d') effrayer, des acteurs pas toujours très bon, des plan-séquences filmés caméra à l'épaule (pour faire comme dans Blair Witch et Rec), des poupées (Chucky !) et le comble... une luminosité si absente que le mec des éclairages aurait presque de la chance d'être crédité au générique ! Au final, on arrive quand même à sursauter une ou deux fois mais globalement, le tout est aussi effrayant qu'un épisode du Simpson Horror Show (ce qui, en soi, n'est pas forcément une réussite pour un film d'épouvante), avec en plus, une fin assez improbable. Ce qu'on retient de ce premier long métrage, c'est que le mythe de la maison hantée aurait bien besoin d'une remise à neuf, un film qui serait au genre horrifique ce que Morse est au film de vampire.
Un film de genre, avec un bel exercice de style (un plan séquence d'une heure vingt environ), mais malheureusement très mal desservi par une histoire alambiquée, vu et archi-revue. Trop de remplissage (une visite d'une maison délabrée de fond en comble qui dure éternellement...) et un film qui n'est finalement pas à la hauteur de la promesse que semblait faire l'affiche avec son accroche en sous-tire "la peur en temps réel". C'est long, parfois pénible, quelques rares moments d'angoisse et une fin après le générique totalement absurde, histoire d'enfoncer le clou pour ceux qui n'auraient rien compris. A croire que le réalisateur prend les spectateurs pour des benêts. Ceci étant, l'exercice est relativement passionnant (le plan séquence) même si la caméra se ballade un peu trop partout et qu'on ne sait plus très bien si elle prend la place de quelqu'un. Avec un meilleur scénario, ça aurait pu effectivement donner. Néanmoins, ce film urugayen augure du meilleur, vu que c'est le premier du genre, donc respect tout de même. Mais 20 minutes auraient été grandement suffisantes.
Mouais... Ca aurait pu être un bon film avec une bonne ambiance et au final c'est un film assez plat mais regardable sans soucis, mais QU'UNE SEULE fois... Le début parait vraiment pourri, mal filmé, plat, très ennuyant, mais ne vous laissez pas décourager, après que spoiler: le père meurt au premier étage ça devient beaucoup plus intéressant, pour un film espagnol (de langue / le film en lui-même est Uruguay) les acteurs jouent biens, par contre je n'y crois pas trop le fait que c'est une histoire vraie, à force de le dire pour tous les films du genre ça devient bidon, mais à partir de la 53ème minute ça part dans tous les sens, on ne voit même plus ou est-ce qu'ils veulent en venir... 0,50 centimes j'ai payé le DVD donc à ce prix là, c'est pas si grave...
L'idée de faire un film d'horreur en un seul plan séquence, pour nous faire vivre "la peur en temps réel" (a prononcer avec une voie grave à vous rendre aphone pour trois jours, ça marche, j'ai essayé) était fort honorable. Seulement ça ne fait pas tout, UNE idée. Et ce n'est pas celle là qui révolutionnera le genre. Le film s'avère globalement mou et lent sans que cela ne participe positivement au film, en plus d'appauvrir la performance du réalisateur.