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    Hobo with a Shotgun
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    2,7
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    117 critiques spectateurs

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    Wolverine1992
    Wolverine1992

    118 abonnés 405 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2016
    "Hobo with a Shotgun", pour ceux qui ne le savent pas, est le premier film de Jason Eisener, et a été financé parce que le bonhomme a remporté un concours de fausses bandes-annonces de films grindhouse, suite à la sortie du double opus de Tarantino et Rodriguez. Après avoir prouvé qu’il savait tenir une caméra en shootant l’excellent court "Treevenge" (mettant en scène la vengeance des sapins de Noël contre les humais qui les coupent au moment des fêtes), il s’est donc attaqué à son premier long. Et le moins qu’on puisse dire à la vision du résultat final, c’est qu’Eisener est un réalisateur généreux. Il explose tous les quotas, que ce soit en termes de gore, de mauvais goût assumé, et de folie. Car "Hobo with a Shotgun" est un vrai film grindhouse, c’est-à-dire bordélique, hystérique, mais totalement fun.

    Dans "Hobo with a Shotgun", le mythique Rutger Hauer shoote du vilain à tour de bras dans des déluges de sang, les pères Noël sont des pédophiles, les bad guys crament des bus scolaires remplis de gosses, et des mercenaires nazis en armure attaquent un hôpital… Eisener cite à tour de bras Carpenter (notamment dans la musique), les glorieuses 80’s, "Street Trash" et "Body Melt" pour la description des communautés de clochards, voire même "Retour vers le Futur", "Les Tortues Ninjas" (pour le look de certains bad guys) et "McGyver". Eisener frôle parfois l’indigestion et le trop plein de mauvais goût, mais il compense par une réalisation assez maîtrisée (et une utilisation réussie des filtres colorés).

    En clair, "Hobo with a Shotgun" est un cartoon rigolard mis en scène par un pur enfant des 80’s ne cherchant rien d’autre que son plaisir et celui du spectateur. Pas un coup de maître mais un petit film à déguster entre potes autour d’une pizza.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 7 décembre 2015
    Partant d'une fausse bande-annonce pour le projet Grindhouse de Rodriguez-Tarantino, le réalisateur semble s'être demandé quelle en était l'essence. Bon, comme c'était une bande-annonce de 3 minutes qui tenait sur le simple concept d'un titre qui éveille tous les fantasmes de la bonne vieille série B tendance Z, il n'a pas eu à aller bien loin : pour étirer "Hobo With a Shotgun" en film de 1h30, il fallait jouer à fond la carte du fun trash et décomplexé (ce que Rodriguez n'a pas su faire avec "Machete", cherchant à élargir son film à un public moins adepte des direct-to-DVD). Et surtout, il fallait être efficace ! Bref, deux points forts qui se retrouvent condensés dans le titre. Et le pari est tenu haut la main. Les situations extrêmes, les personnages déments, les ambitions absurdes contribuent au délire du film. Et celui-ci ne recule devant rien, va jusqu'au bout du concepts, quitte à verser dans le grand-guignol gore et se couper ainsi d'une partie du public. Certaines scènes sont particulièrement jouissives, notamment une attaque d'hôpital par deux espèces de tueurs en armure intergalactique sur une bande son des années 80 ! Quant à l'efficacité, elle est remarquable dans le traitement des personnages, qui en quelques plans sont caractérisés de façon à ce que l'on puisse très rapidement se situer par rapport à eux. On en vient même à ressentir de l'émotion face au jeu de Rutger Hauer. Si vous pensez être le public pour ce film, n'hésitez surtout pas à le visionner pour vous en faire un avis, il vaut le détour (âmes sensibles, s'abstenir).
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 096 abonnés 3 969 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 août 2015
    Alors Hobo with a shotgun me faisait plutôt peur comme film... On a bien vu ce que la bande annonce plutôt fun de Machete avait donné... alors là c'est un poil mieux que Machete mais je dirai que ce n'est pas l'éclate totale non plus et ceci pour une raison très simple (outre les couleurs dont je ne suis pas forcément fan mais dont je comprends le choix), c'est que le film ne choisit pas réellement entre le premier et le second degré.

    Disons que jamais tu ne m'émouvras avec ton histoire de clodo qui se met à buter tout le monde si tout est déjà too much dès le départ... alors il est super classe et tout... mais au niveau du traitement du personnage ce n'est pas ça, du coup je ne crois pas à sa relation avec la fille (qui n'est pas juste une bimbo, chose intéressante à signaler) parce que ça plombe mon fun...

    Je trouve le film vraiment fun lorsque le type se met à buter tout le monde avec son fusil à pompe, mais ça met longtemps à arriver, disons que c'est gore, mais que j'en aurai voulu plus, que ça aille bien plus loin dans les mises à mort et les idées débiles de mise en scène. Malgré quelques scènes bien senties je trouve ça encore trop sage, limite j'aurai voulu que ça devienne Braindead, le potentiel était là... un clochard avec un fusil à pompe...

    Il y a trop d'histoire en faire là où ça aurait dû être un seul et unique bain de sang ultra bien filmé et rythmé.

    Je ne veux pas non plus être trop dur avec le film, vu que je ne m'attendais à rien et qu'il y avait malgré tout quelques trucs bien funs, plus que dans Machete... mais voilà, quelques punchlines plus viscérales... décupler encore la violence, réduire encore le scénario pour se concentrer encore sur l'action, je n'aurai pas dit non.

    Du coup c'est bancal, ça se regarde plus ou moins, c'est très court... mais c'est bancal et ça ne remplit pas son office... du moins pas totalement...

    Après avec de la bière... tout passe...
    rogerwaters
    rogerwaters

    146 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juin 2015
    Destiné au départ à n’être qu’une bande-annonce de l’anthologie Grindhouse de Tarantino, Hobo with a shotgun, tout comme Machete, est devenu un long complètement régressif qui fait d’ailleurs bien plus référence aux années 80 par sa musique et son atmosphère à la Troma qu’aux années 70. Ici, point de rayure sur la pellicule, mais une esthétique qui fait penser à un curieux mélange entre du John Carpenter et du Jim Muro. On est ici dans une sorte de monde parallèle, à l’image de Tromaville, où aucun réalisme n’est de mise. Le cinéaste préfère l’excès en tout : plus de grimaces, plus de violence, d’hystérie et de gore. Le résultat est plutôt revigorant et tient d’ailleurs sur le jeu sobre de Rutger Hauer. Certes, le cinéaste cherche un peu trop à faire dans le culte instantané, mais c’est tout de même d’une belle sincérité. Et puis, c’est souvent très drôle et mal élevé. A réserver aux amateurs de bis trash et décomplexé.
    Tupois Blagueur
    Tupois Blagueur

    67 abonnés 1 162 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 février 2015
    Disons-le tout de suite, "Hobo with a Shotgun" n'est pas bon. L'esthétique n'est pas bonne, le casting est inégal et la mise en scène sent le nanar à plein nez. Pas engageant donc à première vue... Cependant, si on y regarde de plus près, et surtout si on s'arme pour toute la durée du film de son sens du second degré, alors il est possible de passer un moment divertissant tellement Jason Eisener (qui réalise ici son premier long-métrage) ne se refuse rien dans le genre gore et mise en scène barrée : spoiler: et que je te décapite un tête par-ci, et que je te fous des coups de batte hérissée de lames de rasoir par-là, et que je te tronçonne le cou avec une scie à métaux,
    et que je te... Bref vous l'aurez compris, les armes et les mises à mort insolites sont de mises ici, la plupart données par une famille de psychopathes et un clodo (bon Rutger Hauer) avec un fusil à pompe (!). Ces deux-là vont se livrer un duel à mort dans une ville de tarés et déclencher un bain de sang jubilatoire et complètement débile...Qu'est-ce que je disais au début déjà ? Ah oui, un nanar. Si vous en cherchez un, c'est bon vous l'avez trouvé !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 27 octobre 2014
    J'ai été très déçu de ce film que je voulais voir depuis longtemps. Je m'attendais à tout autre chose. D'abord par le "héros",qui manque de charisme,puis par l'histoire et la fin. Je m'attendais à des situations plus poussées,plus travaillées,plus recherchées. Et pour ce genre de film,il aurait fallu une fin heureuse,car ça ne coïncide plus. Sinon,le film est bien gore et bien malsain,et la BO des années 80 est très réussie. Donc tout ça donne un résultat pas mal,mais qui aurait pu être bien mieux.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    300 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mars 2014
    Un bon divertissement d'action gore, voire trash, au scénario plus que simpliste, parodiant les séries B des années 80-90. Le second degré apparaît dans les personnages et situations. C'est parfois un peu lourd et grossier, mais heureusement le film est court. Un petit film qui vaut le coup d'œil pour les amateurs du genre.
    chkims01
    chkims01

    2 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 février 2014
    Un film avec le grand Ruther Haueur où un "clodo" joue au justicier avec un fusil à pompe dans une ville pourri jusqu'a l'os ou même sin city ferait office de crèche. Un film sans concession, un défouloir de gore et d'hémoglobine qu'il faut prendre au 10 ème degrés. (minimum). Ce film ne plaira qu'a une grande minorité, amateur de ce genre de film. (dont je fais biensur partie). Pour le côté jubilatoire et déglinguo du film je mettrais un 7/10 toutes proportions gardé évidement, il n'est pas comparable a tous les films. "Elle pousse, je tond" lol

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    Sid Nitrik
    Sid Nitrik

    61 abonnés 416 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 décembre 2013
    Après la purge « Nude nuns with big guns », on était en droit de présumer de la piètre qualité de ce « Hobo with a shotgun » du fait d'un titre similaire. Que nenni ! Fini la « sexploitation », on est ici dans un hommage aux westerns urbains aux relents post-apocalyptiques type « Exterminator II ». Et le jeune réalisateur canadien Jason Eisener est celui qui va le plus loin dans la surenchère crade et sanglante. « Hobo » mérite amplement sa mention -16 tant il est à la fois gore et immoral. Le pitch est simple : un clochard, blasé et misanthrope, débarque dans une ville miteuse et corrompue, sorte de Sodome et Gomorrhe, dirigée d'une main de fer par un patriarche et ses 2 insupportables rejetons particulièrement sadiques et despotiques. Précisons que ce clochard est incarné par Rutger Hauer (« Blade Runner », « Sin City »...) qui réussit l'exploit de sublimer un rôle aussi crasseux. Après avoir assisté impuissant aux agissements les plus affreux (meurtres, exploitation, viols, pédophilie, drogue, jeux sadiques...) et s'être fait lui même malmené avec la complaisance d'une police corrompue, ce dernier va trouver un fusil à pompe (ben oui le titre c'est « Hobo with a shotgun ») et c'est parti pour presque 1h de vendetta purgative accompagnée de son lot de têtes éclatés et d'hectolitres d'hémoglobine. On est ici totalement dans l'hommage Grindhouse avec une violence sans limites, un scénario léger assumé, des acteurs de seconde zone qui s'amusent et des invraisemblances énormes volontaires. Le tout est présenté dans un traitement graphique stylé, très colorisé, où le budget relativement serré est utilisé de manière efficace. « Hobo » est donc un hommage déjanté, efficace, brillant et surprenant qui sort du panier, doublé d'un galop d'essai intéressant pour un jeune réalisateur que l'on ne manquera pas de suivre dans l'avenir. On tient peut-être le major de cette promotion hommage Grindhouse (avec Tarantino).
    FaRem
    FaRem

    8 792 abonnés 9 636 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 décembre 2013
    Un film complétement déjanté et très gore mais même si le film est court sur la fin on commence à s'ennuyer vu qu'il n'y a pas vraiment de scénario c'est plus enchainement de scène qui sont pour la plupart c'est vrai sympa par contre les effets gores sont pour la plupart assez grossier.
    Julien D
    Julien D

    1 212 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 novembre 2013
    La réussite formelle de ce délire outrancier le rend plus agréable à regarder que les films estampillés Grinhouse réalisés par Quentin Tarantino et Robert Rodriguez, qui ont lancé ce projet au travers d’un concours de fausses bande-annonce gagné par le jeune Jason Eisener, mais lui en même temps perdre la patte vintage qui leur donnait un semblait de charme. En passant du format de la bande-annonce à celui du long-métrage, le scénario ne s’est aucunement développé puisque le pitch consistant à faire d’un clochard armé d’un fusil un justicier n’a aucunement été approfondi, contrairement à la violence outrageusement trash qui devient omniprésent au point de transformer l’action en un fourbi aussi parodique que tape-à-l’œil. L’autre grosse plus-value de cette expansion scénaristique est le recours à Rutger Hauer qui, après deux décennies de petits rôles, retrouve enfin un personnage rappelant ceux de ses meilleurs films dans les années 80. Cette petite série B qui ne ravira que les nostalgiques de la démesure sanguinolente kitsch de l’époque n’arrivera toutefois pas, en tant que premier film, à poser les bases de la notoriété artistique de son auteur.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 441 abonnés 4 465 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 novembre 2013
    Après avoir hautement apprécié Treevenge, je me suis lancé dans le visionnage de Hobo… qui avait fait pas mal parlé de lui lors de sa sortie. Eisener s’en tire bien, même s’il est en dessous de Treevenge.
    Le casting s’appui sur Rutger Hauer. Acteur charismatique, il livre une prestation solide, et trouve un rôle qui lui sied bien. Marginal à souhait, il semble clairement s’amuser ici mais prend son personnage très au sérieux, avec un total professionnalisme, et il ressort une belle force de ce clochard. Il est appuyé par des acteurs assez anonymes, qui ne sont pas tous parfaits, mais qui ne manquent pas de conviction. A la différence de Hauer ils sont plus caricaturaux, plus excessif dans leur prestation, et c’est plutôt un bon choix car ils n’ont certainement pas le même talent que le sus-nommé, et ils auraient très vite pu sombrer dans le ridicule. On notera particulièrement un Grégory Smith réjouissant.
    Le scénario est prétexte très clairement à un joyeux déchainement de violence granguignolesque. C’est vrai que de ce point de vue c’est plutôt pas mal, et il y a malgré tout, derrière la façade apparente un certain message véhiculé, qui reste ténu. Pour autant là où Eisener se montrait redoutable d’efficacité sur Treevenge et reste en arrière ici c’est sur le rythme. Hobo with a shotgun avance en effet en dent de scie, avec des passages ultra-dynamiques, et d’autres très tempéré, voir presque froid qui casse brutalement le rythme général. Des ratés aussi assez ennuyeux en matière de fluidité de l’ensemble.
    Visuellement Hobo with a shotgun marche dans une dynamique grindhouse évidente. Eisener propose une mise en scène de très bonne qualité. Bourrée de références, il se montre percutant et en parfaite maitrise dans les scènes d’action. L’attaque de l’hôpital par exemple est anthologique de ce point de vue. La photographie est inégale. Parfois très travaillée et très esthétisée, dans une volonté d’imiter les vieilles productions grindhouse justement, elle en fait parfois beaucoup trop. Certains contrastes sont criards jusqu’à l’outrance, et non seulement piquent les yeux mais noient l’ensemble dans un magma coloré d’une artificialité confondante. C’est dommage. Quant aux décors ils sont comme le budget peu le laisser supposer très restreints, mais on retrouve une ambiance qui pour ma part m’a souvent fait penser à Los Angeles 2013 ou à un Toxic Avenger (je ne sais pas trop pourquoi, c’est un ressenti très contrasté !), et c’est sympathique. Par ailleurs Hobo… peut s’appuyer sur des effets gores à l’ancienne bien réussis et drôles plus que réalistes, sur des scènes d’action rondement menées (en tête celle de l’hôpital), et sur une bande son soignée, bien qu’un peu en dessous de ce que j’attendais.
    En conclusion Hobo with a shotgun est un divertissement plaisant, qui dans le genre grindhouse se place juste derrière Planet Terror et Machete (au moins le premier du nom, je n’ai pas encore vu le 2). Il est en tout les cas très loin devant Boulevard de la mort et un bon paquet de petites productions actuelles qui cherchent à s’emparer du genre (style Bitch Slap…). Il y a un coté brouillon involontaire qui gâche un peu le plaisir du spectacle, et des approximations qui sont assez décevante de la part du réalisateur, qui n’a pas complètement su s’emparer du format long je pense. Reste qu’il y a de bonnes choses, et qu’il mérite clairement un 3.5.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 août 2013
    "beaucoup le détesteront, d'autres l'apprécieront, certains y verront une daube ultime, certains un chef-d’œuvre inclassable"... On peut dire ça de tous les films ! Je ne comprends pas pourquoi ce HOBO est autant décrié. Ce film est bien supérieur au GRINDHOUSE (toutes versions confondues) de Rodriguez et Tarantino. Selon moi bien sûr ! Il y a bien un moment où il faut prendre parti ! Quant à parler d'ovni... hum, oui, si on veut. ça fait bien longtemps que le cinéma occidental a oublié le sens du mot "ovni". Je ne vais pas m'étaler sur trois pages pour dire que ce film mérite juste d'être vu. Amateurs de déviances assumées et nostalgiques de Rutger Hauer, ce film est pour vous. Et ça ne veut pas dire que je suis déviant.
    kesh
    kesh

    3 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 août 2013
    Ultra gore, malsain et politiquement incorrect, Hobo with a Shotgun est un film grindhouse hardcore et déjanté qui ne se prend pas au sérieux une seule seconde, à la manière d'un Machete ou d'un Planet Terror, le côté cradingue en plus.
    Un bon délire bien sanglant pour qui sait à quoi s'attendre!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 19 juin 2013
    Ce film a au moins le mérite de ... Merde je trouve pas.
    Hobo whit a Shotgun ! Déjà le titre est épique. Les bastons sont épiques. Les effets spéciaux sont épiques. L'hémoglobine est épique. Rutger Hauer est épique. Le fusil est épique. Les méchants sont épiques. La qualité est épique, bref c'est épique !

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