Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Carlos Gomez
Tous les films ne sauraient être des oeuvres de contenu, des véhicules de combat. Mais en regardant celui-ci, on est obligés de constater que la majorité des films qui sortent aujourd'hui, dans le fond, ne disent rien.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
20 Minutes
par Bérénice Dubuc
Sabina Guzzanti (...) livre avec "Draquila" un éclairage effrayant du système Berlusconi.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Brazil
par Woody Alain
Le film indigne parfois, amuse souvent, fait réfléchir tout le temps. Allez le voir avec vos amis et vous constaterez que vos débats à la sortie de "Draquila" seront aussi intenses que les 97 minutes du film.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Tout le combat de "Draquila" tient à ce crescendo terrifiant : mesurer l'impact concret d'une parole politique, combattre l'idée selon laquelle la démagogie, sous couverts de clichés sympathiques et vulgaires, n'entraîne que des conséquences anodines.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Elle
par Françoise Delbecq
Plus habile qu'un docu façon Michael Moore, "Draquila..." pose la question qui nous taraude tous : pourquoi les Italiens votent-ils Berlusconi?
La critique complète est disponible sur le site Elle
Excessif
par Nicolas Schiavi
On croyait tout savoir sur Silvio Berlusconi. Il faut tout repenser en pire.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur l'Express.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Analyse assez radicale de la situation par Sabina Guzzanti qui, sans se départir de son ironie coutumière, démontre la déliquescence de l'État italien, devenu une foire d'empoigne des intérêts privés.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Danièle Heymann
Edifiant.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Metro
par Rania Hoballah
Édifiant.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La rédaction
(...) la cinéaste, utilisant forcément les procédés efficaces du pamphlet, avec raccourcis saisissants, montage rapide et séquences choc, et l'humour pour faire passer le tout (...).
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Aurélien Ferenczi
C'est souvent avec humour, un humour lucidement désespéré, que "Draquila" décrit les entorses répétées à la démocratie, peut-être irréversibles, que subit l'Italie depuis vingt-cinq ans.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Thomas Sotinel
La démonstration de Sabina Guzzanti est circonstanciée, et lorsqu'elle s'y tient, "Draquila" relève du journalisme d'investigation, dans la meilleure acception du terme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Dominique Dunglas
Voir la critique sur Le Point.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Marc Semo
Dans le ton, Guzzanti s'inspire de Michael Moore, avec portrait à charge et grosse caricature mais ce film sur la reconstruction, après le séisme qui fit 308 morts, devient rapidement beaucoup plus intéressant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Jean A. Gili
(...) on reste abasourdi par tout ce que révèle l'enquête de la réalisatrice.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Une dénonciation sans doute inopérante mais, d'un simple point de vue démocratique, salutaire.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Draquila s'apparente certainement à du Michael Moore en moins roublard, mais il s'orne d'une certaine élégance de docu d'horreur politique.
L'Obs
par Marcelle Padovani
Un portrait au vitriol de Silvio Berlusconi, qui a transformé en show télé l'après-tremblement de terre (...) Au-delà des anecdotes, la réalisatrice de ce documentaire de 90 minutes veut dénoncer la gestion et l'exploitation médiatique de cette catastrophe. Silvio Berlusconi ou l'art de remonter dans les sondages sur fond de ruines...
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Isabelle Fargette
(...) la narration brouillonne ensevelit le message.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Première
par Gaël Golhen
Si sa démonstration a parfois la finesse d'un éléphant sans morale, Sabina Guzzanti a le mérite d'être du bon côté de la gueulante et, surtout, de réussir ce que Moore ne sait plus faire depuis sa Palme d'Or: être politique et drôle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Stéphane Caillet
Un documentaire spectacle, reposant davantage sur l'exposition de grandes révélations que sur la réflexion et la recherche de solutions.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
Tous les films ne sauraient être des oeuvres de contenu, des véhicules de combat. Mais en regardant celui-ci, on est obligés de constater que la majorité des films qui sortent aujourd'hui, dans le fond, ne disent rien.
20 Minutes
Sabina Guzzanti (...) livre avec "Draquila" un éclairage effrayant du système Berlusconi.
Brazil
Le film indigne parfois, amuse souvent, fait réfléchir tout le temps. Allez le voir avec vos amis et vous constaterez que vos débats à la sortie de "Draquila" seront aussi intenses que les 97 minutes du film.
Chronic'art.com
Tout le combat de "Draquila" tient à ce crescendo terrifiant : mesurer l'impact concret d'une parole politique, combattre l'idée selon laquelle la démagogie, sous couverts de clichés sympathiques et vulgaires, n'entraîne que des conséquences anodines.
Elle
Plus habile qu'un docu façon Michael Moore, "Draquila..." pose la question qui nous taraude tous : pourquoi les Italiens votent-ils Berlusconi?
Excessif
On croyait tout savoir sur Silvio Berlusconi. Il faut tout repenser en pire.
L'Express
Voir la critique sur l'Express.fr
Les Inrockuptibles
Analyse assez radicale de la situation par Sabina Guzzanti qui, sans se départir de son ironie coutumière, démontre la déliquescence de l'État italien, devenu une foire d'empoigne des intérêts privés.
Marianne
Edifiant.
Metro
Édifiant.
Ouest France
(...) la cinéaste, utilisant forcément les procédés efficaces du pamphlet, avec raccourcis saisissants, montage rapide et séquences choc, et l'humour pour faire passer le tout (...).
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
C'est souvent avec humour, un humour lucidement désespéré, que "Draquila" décrit les entorses répétées à la démocratie, peut-être irréversibles, que subit l'Italie depuis vingt-cinq ans.
Le Monde
La démonstration de Sabina Guzzanti est circonstanciée, et lorsqu'elle s'y tient, "Draquila" relève du journalisme d'investigation, dans la meilleure acception du terme.
Le Point
Voir la critique sur Le Point.fr
Libération
Dans le ton, Guzzanti s'inspire de Michael Moore, avec portrait à charge et grosse caricature mais ce film sur la reconstruction, après le séisme qui fit 308 morts, devient rapidement beaucoup plus intéressant.
Positif
(...) on reste abasourdi par tout ce que révèle l'enquête de la réalisatrice.
TéléCinéObs
Une dénonciation sans doute inopérante mais, d'un simple point de vue démocratique, salutaire.
Cahiers du Cinéma
Draquila s'apparente certainement à du Michael Moore en moins roublard, mais il s'orne d'une certaine élégance de docu d'horreur politique.
L'Obs
Un portrait au vitriol de Silvio Berlusconi, qui a transformé en show télé l'après-tremblement de terre (...) Au-delà des anecdotes, la réalisatrice de ce documentaire de 90 minutes veut dénoncer la gestion et l'exploitation médiatique de cette catastrophe. Silvio Berlusconi ou l'art de remonter dans les sondages sur fond de ruines...
Le Figaroscope
(...) la narration brouillonne ensevelit le message.
Première
Si sa démonstration a parfois la finesse d'un éléphant sans morale, Sabina Guzzanti a le mérite d'être du bon côté de la gueulante et, surtout, de réussir ce que Moore ne sait plus faire depuis sa Palme d'Or: être politique et drôle.
Critikat.com
Un documentaire spectacle, reposant davantage sur l'exposition de grandes révélations que sur la réflexion et la recherche de solutions.