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willycopresto
134 abonnés
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1,0
Publiée le 4 février 2016
Le skylab" (2011) France 4 le 03.02.2016 J'étais dubitatif avant d'opter pour ce film : Julie Delpy réalisatrice, la même comme actrice, toujours elle comme scénariste, peut-être même dame-pipi ? Cela, le casting ne le précise pas, mais allez savoir. Pourtant, le casting alléchant m'avait vaguement rassuré. Côté scénario, la réalisatrice américaine n'avait pas trop eu à se casser les méninges : l'idée saugrenue d'une station orbitale sur la France avait été déjà exploitée par le couturier-visionnaire Paco Rabane qui avait inquiété les français les plus crédules ! Seul le nom de l'engin changeait, le "sien" s'appelant "Mir" Un pétard mouillé qui avait ridiculisé son auteur, à moins que ce ne soit un coup de pub ? A part cela, le texte et les dialogues du "Skylab" sont plats : c'est même moins bon que Lelouche quand il laisse improviser ses acteurs. Ce long repas qui s'éternise m'a rappelé d'épouvantables souvenirs d'enfant où les repas de famille s'éternisaient au mieux de 11 h à 17h : j'aurais trouvé n'importe quel moyen pour m'en évader. Pire, comme ici, chacun y allait de sa chansonnette et c'était l'horreur : vieilles rengaines, et puis ça chantait faux. Bref, ce récit du non évènement s'éternise et semble mortel, interminable ! Bref, le seul mérite de Delpy est d'avoir su convaincre une production "maso" de financer ce navet : c'était le bide assuré et qui s'est avéré : 227 000 entrées en salles, allant decrescendo, c'est à dire que le bouche à oreille a sauvé nombre de spectateurs de l'indigestion carabinée. Evitez à tout prix ; le ciel pourrait vous tomber sur la tête ! willycopresto
On réunit trois générations d’une vaste famille pour un WE dans la maison de famille de Saint-Malo et ça finit par donner ce que ça donne partout ailleurs : des enguelades, des fous-rires, des complots, des jalousies, de vieilels ranceurs, des mini-tragédies, des assiettes bien garnies et des verres trop remplis. Päs de quoi en faire un plat ni un film. Quelques chouettes numéros d'acteurs, quelques jolis moments cependant et quelques fous-rires.
Quelques scenes sympathique mais tout un film sur une reunion de famille... c'est long.Mais surtout malgres tous les caracteres different des personnages, cela manque de liant , l'on n'y croit pas et c'est meme parfois ennuyeux.
Ah! le joli film français que voici! Le plus franchouillard que l'on ait vu depuis longtemps, digne des sympathiques comédies des années 70 au centre desquelles trônait la famille, la famille éternelle avec ses bons et ses méchants, mais la famille qu'on aime bien (comme le chantait notre gentille Sheila quelques années plus tôt). Ah oui! il y a des vilains dans ce grand corps social, des fachos, des nostalgiques de la France coloniale et ils en prennent plein leur grade, les anciens militaires. Julie Delpy ne donne pas dans la finesse mais qui a dit que ces films des années 70 étaient des trésors de délicatesse? Ne pas oublier non plus le film d'initiation: c'est que ça commence à chatouiller nos chers bambins, le zizi dont parlent tant les adultes et qui doit bien procurer un gentil plaisir. De ce point de vue, elle est charmante, la petite Lou Alvarez dans le rôle d'Albertine qui ne parviendra pas à conquérir cet été-là le prince charmant aux cheveux blonds et tendrement bouclés. Bah! cela nous vaut quand même des séquences qui ne sont pas sans rappeler "La Boum", encore un petit chef-d'oeuvre. Mais trêve de médisances, "Le Skylab" vaut surtout par son casting avec Palme d'Or à partager entre Bernadette Lafont et Emmanuelle Riva. Ce qui est sûr, c'est que les acteurs et les actrices ont été heureux sur le plateau de tournage. Rien que cela mérite notre respect.
pas intéressant du tout cette famille, à la rigueur les enfants et encore pas tous, dialogues assez crus entre parents et enfants, pas plaisant et surtout des longueurs
Fade!Rien de captivant. Un diaporama d'une sortie familiale c'est tout. C'est comme lors d'une visite on vous invite à feuilleter l'album de photos de la maisonnée et que vous regardez poliment. Là, vous avez payé le prix fort d'une place de cinéma pour entendre mamy va faire une sieste, voir tonton découper la bidoche du barbecue, assister à un démo d'un aspirateur et ... ah! il pleut, il faut rentrer...etc, etc . Dommage "Two days in Paris" était plus prometteur.
Cette comédie, je la classerai dans le box des films nostalgiques à la française comme Hôtel de la Plage ou A nous les petites anglaises à un degré moindre. On sourit, on rit, c'est très léger, il faut le prendre comme ça ! A la question : quel est l'intérêt ? La réponse est : aucun. Les clichés des rapports transgénérationnels, les franchouillardises outrées, ne reflètent pas trop l'époque (année 80 ?) de cette famille (de beauf) dont la vie est racontée à travers une beuverie et des conflits qui en émergent.
Quelle déception , ce film ! j' avais adoré la précédente réalisation de Julie Delpy , " la Comtesse " , film exceptionnel , dans un genre totalement différent ! " Le Skylab " est nul , ennuyeux et sans aucun intérêt . Tout ni est que bavardage , le plus souvent dans une cacophonie insoutenable . Il n' y a pas de scénario ni de trame ; ce ne sont que clichés totalement éculés et ne faisant plus mouche . J' ai failli m' endormir à plusieurs reprises . Qu' a cherché la réalisatrice , dans cette évocation de la fin des années 70 ? Même les acteurs ne semblent pas croire à la peinture de cette période , tant leur jeu est médiocre . Et pourtant , il y a du beau monde ! Mais même de nombreux talents à la base ne font pas forcément un chef d' oeuvre !
Cette évocation prétendument nostalgique de la fin des années 70 et de l'enfance de la narratrice n'est, hélas, que le prétexte à du comique de fin de banquet et à une accumulation inutile de vulgarité. A l'exception des plus âgés ( Emmanuelle Riva, Bernadette Lafond et Albert Delpy, mais quoi d'étonnant à cela ?) les personnages sont soit des médiocres, soit des nuls et la jeune Albertine est déjà un parfait laideron. Les personnages masculins, particulièrement soignés par la réalisatrice, sont, chacun dans leur genre, de parfaits crétins. En définitive, les réminiscences de Julie Delpy - qu'on a connu mieux inspirée - n'offrent pas le moindre intérêt et ce film aurait pu avantageusement rester à l'état de scénario : il aurait ainsi évité un crash encore moins notable que celui du Skylab.
surtout ne faites pas la même erreur et n'allez pas voir ce film qui réussit à être d'un ennui mortel avec un sujet qui pourrait pourtant être sympathique.. les scènes sont désordonnées, mal gérées, les dialogues inintéressants et drôles seulement quand ce sont des situations déjà vues 100 fois, de l'humour de base sur les familles... en plus c'est long, je n'ai jamais autant regardé ma montre, et aucun personnage n'est attachant.. bref, un film très mauvais, qui tente de raconter péniblement une époque qui méritait mieux...
Comment faire un film qui ne parle de rien, où il ne se passe rien et qui n'apporte rien ... La réalisation est parfois digne d'un court-métrage de lycéen (la scène de la boom ou la petite Albertine danse avec son amoureux), certes les acteurs jouent bien (en particulier les enfants) mais où est l'intrigue ? C'est long, on attend jusqu'au bout qu'il se passe quelque chose, et finalement non ... On n'arrive même pas à s'attacher aux personnages tellement il y en a ... alors d'accord, cela peut nous permettre de nous remémorer quelques moments passsés en famille, mais c'est tellement manichéen ! Les artistes de gauche, contre la peine de mort, l'ancien parachutiste raciste, pour la peine de mort ... que de clichés !
Un film sympa sans plus. On rit pas, on est pas émus ... Le film est sans scénario et Eric Elmosnino et Julie Delpy n'ont pas l'air d'y croire. Bref, Un film à oublier à part pour Valérie Bonneton et Vincent Lacoste .