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aberdeen76
45 abonnés
1 013 critiques
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1,0
Publiée le 21 février 2012
Un film soporifique ou Julie Delpy nous relate ces souvenirs d'enfance, dans sa famille de beaufs en vacances à St malo. Les années 70 sont bien retranscrites aux niveaux des costumes et des accessoires mais les personnages sont caricaturaux et sans finesse (Mode parigo bobo oblige). Je me suis ennuyé ferme pendant cet interminable repas de famille ou le seul personnage qui n'est pas antipathique est celui qui n'a plus toute sa tête. Chiant, boursouflé et indigeste, à éviter.
Un film sympa sans plus. On rit pas, on est pas émus ... Le film est sans scénario et Eric Elmosnino et Julie Delpy n'ont pas l'air d'y croire. Bref, Un film à oublier à part pour Valérie Bonneton et Vincent Lacoste .
La nostalgie, ça va un peu... mais là, on patauge dans le "pas léger, léger"... pour être sympa ! Alors bien sûr, les histoires post soixante huitardes font sourire. Albertine est très sympa, une 2CV verte ça ne se refuse pas non plus ( la mienne était bleue...) mais tout ça ne fait pas un film, ou alors, il fallait passer le VRAI : le SUPER 8...
Je veux bien que la nostalgie soit à la mode mais se complaire dans un état contemplatif béat, je ne vois pas l intérêt. Le décor est d époque les costumes d époque les voitures d époque le sujet se veut moderne...? Je suis d accord avec ceux qui s y sont ennuyés.Moi aussi comme à l 'époque dans un repas de famille du dimanche midi qui trainait en longueur avec poulet roti au menu....
Un film qui a pour lui de bien décrire (au vitriol) les années 70 au travers d'une galerie de personnages très appuyés, voire caricaturaux. Cependant, l'ambiance de cette réunion de famille est tellement lourde qu'on se sent mal à l'aise et on attend avec impatience qu'il se passe quelque chose qui vienne nous apporter une bouffée d'oxygène. Peine perdue. Des jeux d'acteurs de qualité viennent heureusement apporter de la crédibilité à l'ensemble, ce qui le rend bizarrement encore plus irrespirable. A voir pour se vacciner contre les années 70.
surtout ne faites pas la même erreur et n'allez pas voir ce film qui réussit à être d'un ennui mortel avec un sujet qui pourrait pourtant être sympathique.. les scènes sont désordonnées, mal gérées, les dialogues inintéressants et drôles seulement quand ce sont des situations déjà vues 100 fois, de l'humour de base sur les familles... en plus c'est long, je n'ai jamais autant regardé ma montre, et aucun personnage n'est attachant.. bref, un film très mauvais, qui tente de raconter péniblement une époque qui méritait mieux...
Ah! le joli film français que voici! Le plus franchouillard que l'on ait vu depuis longtemps, digne des sympathiques comédies des années 70 au centre desquelles trônait la famille, la famille éternelle avec ses bons et ses méchants, mais la famille qu'on aime bien (comme le chantait notre gentille Sheila quelques années plus tôt). Ah oui! il y a des vilains dans ce grand corps social, des fachos, des nostalgiques de la France coloniale et ils en prennent plein leur grade, les anciens militaires. Julie Delpy ne donne pas dans la finesse mais qui a dit que ces films des années 70 étaient des trésors de délicatesse? Ne pas oublier non plus le film d'initiation: c'est que ça commence à chatouiller nos chers bambins, le zizi dont parlent tant les adultes et qui doit bien procurer un gentil plaisir. De ce point de vue, elle est charmante, la petite Lou Alvarez dans le rôle d'Albertine qui ne parviendra pas à conquérir cet été-là le prince charmant aux cheveux blonds et tendrement bouclés. Bah! cela nous vaut quand même des séquences qui ne sont pas sans rappeler "La Boum", encore un petit chef-d'oeuvre. Mais trêve de médisances, "Le Skylab" vaut surtout par son casting avec Palme d'Or à partager entre Bernadette Lafont et Emmanuelle Riva. Ce qui est sûr, c'est que les acteurs et les actrices ont été heureux sur le plateau de tournage. Rien que cela mérite notre respect.
Quelle déception , ce film ! j' avais adoré la précédente réalisation de Julie Delpy , " la Comtesse " , film exceptionnel , dans un genre totalement différent ! " Le Skylab " est nul , ennuyeux et sans aucun intérêt . Tout ni est que bavardage , le plus souvent dans une cacophonie insoutenable . Il n' y a pas de scénario ni de trame ; ce ne sont que clichés totalement éculés et ne faisant plus mouche . J' ai failli m' endormir à plusieurs reprises . Qu' a cherché la réalisatrice , dans cette évocation de la fin des années 70 ? Même les acteurs ne semblent pas croire à la peinture de cette période , tant leur jeu est médiocre . Et pourtant , il y a du beau monde ! Mais même de nombreux talents à la base ne font pas forcément un chef d' oeuvre !
Nous n'avons tenu que 50 minutes avant d'évacuer la salle. Quel est donc ce scénario qui consiste à filmer une réunion de famille qui ne présente à peu près aucun intérêt. Une multiplication de clichés, des chansons ânonnées à tour de rôle par les parents, grands parents, enfants et on fait tourner la pellicule à la recherche du temps règlementaire. Y-a-t'il une inspiration quelconque? Un trait d’esprit, une marque d'humour? On s'ennuie autant que dans une projection de diapositives en fin de repas pour montrer l'évolution du petit à travers les âges, après un repas arrosé. Pourquoi Julie Delpy veut elle absolument nous soumettre un opus chaque année? Imiter Woody Allen? À ce stade, cela devient une sérieuse prétention. Peut être les dernières minutes auxquelles nous avons échappé, recélaient elles de purs joyaux? Mais qui a donc financé un pareil navet??
Je pensais passer un bon moment et au final: 1h53 d'ennui! Film sans aucun intérêt! Trop de clichés, de discours surfaits. Une étoile, tout de même, pour Vincent Lacoste qui m'a fait rire...
Fade!Rien de captivant. Un diaporama d'une sortie familiale c'est tout. C'est comme lors d'une visite on vous invite à feuilleter l'album de photos de la maisonnée et que vous regardez poliment. Là, vous avez payé le prix fort d'une place de cinéma pour entendre mamy va faire une sieste, voir tonton découper la bidoche du barbecue, assister à un démo d'un aspirateur et ... ah! il pleut, il faut rentrer...etc, etc . Dommage "Two days in Paris" était plus prometteur.
Malgré une interprétation exemplaire et des dialogues assez franchouillard, le film m'a semblé avoir un intérèt très réduit, seule la bande annonce était suffisante. Décevant.
Quand je vois un film iranien (« une séparation ») ou italien (« la chambre du fils ») je me sens plus proche de ce monde là que de celui de ces pseudo-artistes qui s’agitent dans des films tels « la guerre est déclarée » ou encore dans ce « skylab ». J’ai côtoyé beaucoup de milieux différents de la classe modeste des ouvriers qualifiés aux vieilles familles bourgeoises, je n’ai jamais vu des réunions où les enfants entonnaient des chansons paillardes à la face des grand-mères, ni aperçu une gamine qui arrivait triomphalement annoncer qu’elle avait ses règles devant un parterre de gens en train de prendre leur petit déjeuner avec force tartines à la confiture de fraise. La délicatesse des sentiments, la pudeur, la bienséance et l’intimité semblent désormais étrangères à ce cinéma français de bobos qui se vautrent dans la vulgarité. Comme de bien entendu dans ce genre de production, les gens de droite sont tous odieux tandis que les personnages de gauche sont pleins de bons sentiments. Le caca nerveux dans l’Eurostar de l’héroïne, une fois adulte, ne fait rien, cependant, pour nous la rendre sympathique. « Le skylab » est, pour moi, la chronique d’un monde d’extra-terrestres qui mérite à peine d’être un téléfilm.
Quelques scenes sympathique mais tout un film sur une reunion de famille... c'est long.Mais surtout malgres tous les caracteres different des personnages, cela manque de liant , l'on n'y croit pas et c'est meme parfois ennuyeux.