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Votre avis sur Le Skylab ?
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On plonge dans les années 70 avec ce film qui raconte sur quelques jours une réunion de famille en Bretagne à l'occasion de l'anniversaire d'une mamie, B. Lafont, qui cotoie E. Riva. Du beau monde quoi. Complété par la délicieuse J. Delpy, Éric Elmosnino qui a du oublier de se laver dans ce film :), cette comédie est bien emmenée, aussi servie par de formidables enfants acteurs. Entre les 2 V. Lacoste est parfait. Ce film nous ramène donc aux années 70, on a vraiment l'impression que tout était parfait ou presque, la liberté quoi. Ce film cherche aussi à traiter des sujets aussi variés que la guerre d'Algérie, la 2nde guerre mondiale, la guerre du Vietnam, le Skylab dont 'personne n'avait jamais entendu parlé' pour les adultes, le passage à l'adolescence et à l'age adulte pour les plus jeunes. On passe un bon moment. Ce film rappelle d'ailleurs celui de G. Lellouche.
On a ici les ingrédients d'une comédie sympathique, qui nous renvoie dans les années 70 avec un brin de nostalgie, les comédiens sont bons, surtout les enfants, le ton est juste, on passe un agréable moment.
Le skylab" (2011) France 4 le 03.02.2016
J'étais dubitatif avant d'opter pour ce film : Julie Delpy réalisatrice, la même comme actrice, toujours elle comme scénariste, peut-être même dame-pipi ? Cela, le casting ne le précise pas, mais allez savoir. Pourtant, le casting alléchant m'avait vaguement rassuré. Côté scénario, la réalisatrice américaine n'avait pas trop eu à se casser les méninges : l'idée saugrenue d'une station orbitale sur la France avait été déjà exploitée par le couturier-visionnaire Paco Rabane qui avait inquiété les français les plus crédules ! Seul le nom de l'engin changeait, le "sien" s'appelant "Mir" Un pétard mouillé qui avait ridiculisé son auteur, à moins que ce ne soit un coup de pub ? A part cela, le texte et les dialogues du "Skylab" sont plats : c'est même moins bon que Lelouche quand il laisse improviser ses acteurs. Ce long repas qui s'éternise m'a rappelé d'épouvantables souvenirs d'enfant où les repas de famille s'éternisaient au mieux de 11 h à 17h : j'aurais trouvé n'importe quel moyen pour m'en évader. Pire, comme ici, chacun y allait de sa chansonnette et c'était l'horreur : vieilles rengaines, et puis ça chantait faux. Bref, ce récit du non évènement s'éternise et semble mortel, interminable ! Bref, le seul mérite de Delpy est d'avoir su convaincre une production "maso" de financer ce navet : c'était le bide assuré et qui s'est avéré : 227 000 entrées en salles, allant decrescendo, c'est à dire que le bouche à oreille a sauvé nombre de spectateurs de l'indigestion carabinée. Evitez à tout prix ; le ciel pourrait vous tomber sur la tête !
willycopresto
J'étais dubitatif avant d'opter pour ce film : Julie Delpy réalisatrice, la même comme actrice, toujours elle comme scénariste, peut-être même dame-pipi ? Cela, le casting ne le précise pas, mais allez savoir. Pourtant, le casting alléchant m'avait vaguement rassuré. Côté scénario, la réalisatrice américaine n'avait pas trop eu à se casser les méninges : l'idée saugrenue d'une station orbitale sur la France avait été déjà exploitée par le couturier-visionnaire Paco Rabane qui avait inquiété les français les plus crédules ! Seul le nom de l'engin changeait, le "sien" s'appelant "Mir" Un pétard mouillé qui avait ridiculisé son auteur, à moins que ce ne soit un coup de pub ? A part cela, le texte et les dialogues du "Skylab" sont plats : c'est même moins bon que Lelouche quand il laisse improviser ses acteurs. Ce long repas qui s'éternise m'a rappelé d'épouvantables souvenirs d'enfant où les repas de famille s'éternisaient au mieux de 11 h à 17h : j'aurais trouvé n'importe quel moyen pour m'en évader. Pire, comme ici, chacun y allait de sa chansonnette et c'était l'horreur : vieilles rengaines, et puis ça chantait faux. Bref, ce récit du non évènement s'éternise et semble mortel, interminable ! Bref, le seul mérite de Delpy est d'avoir su convaincre une production "maso" de financer ce navet : c'était le bide assuré et qui s'est avéré : 227 000 entrées en salles, allant decrescendo, c'est à dire que le bouche à oreille a sauvé nombre de spectateurs de l'indigestion carabinée. Evitez à tout prix ; le ciel pourrait vous tomber sur la tête !
willycopresto
Quelle jolie comédie familiale dans laquelle on se plonge avec tendresse et nostalgie. Qui ne se revoit pas parmi tous ces personnages humains si proches de nous ?...Ça ravive des souvenirs ça fait du bien au coeur.
Un film à voir peut-être plusieurs fois, pour découvrir chacun des nombreux personnages, détails...et bien repérer qui est marié avec qui, qui sont les enfants de qui ! Au sein d'une réunion familiale se déroulant dans l'insouciance estivale, nous pouvons suivre avec amusement les conversations/anecdotes entre (beaux) frères et (belles) soeurs adultes, et aussi un peu entre les grands-mères, les enfants/adolescents...Cette comédie permet de se faire une idée sans doute assez juste du "décor" en France à la fin des années 70 (et comparer à maintenant...) : voitures sobres/modestes mais vêtements/looks parfois affirmés, repas arrosés et clopes à gogo...Des moeurs contrastées et des discussions politiques forcément passionnées (un peu stéréotypées ici ?), à une période où les guerres coloniales et mai 68 marquent encore les esprits tandis que l'alternance de 81 approche...
Beaucoup d'attente vis-à-vis de ce film, les 80's, tant de folies et de nouveautés !
Le film nous raconte les vacances d'été d'une fille de 11 ans, Albertine, pendant les années 80 à travers de nombreux portraits et préjugés : L'artiste de gauche et sa femme, l'ancien combattant d'Algérie et ses mauvais souvenirs, le jeune rebelle qui fume des cigarettes et n'aime pas être mélangé avec des gamins de 8 ans. Ce film est une madeleine, une colonie de vacances avec toute la famille et les amis, la bonne ambiance, les embrouilles politiques ...
Il est donc divertissant, la prestation des acteurs est bonne mais il manque quelque chose, quelques scènes semblent un peu longuées et la fin est étonnante .
Malgré ces petits bémols, le film reste drôle, touchant, très nostalgique et pleins d'énergie !
Bonne séance
Le film nous raconte les vacances d'été d'une fille de 11 ans, Albertine, pendant les années 80 à travers de nombreux portraits et préjugés : L'artiste de gauche et sa femme, l'ancien combattant d'Algérie et ses mauvais souvenirs, le jeune rebelle qui fume des cigarettes et n'aime pas être mélangé avec des gamins de 8 ans. Ce film est une madeleine, une colonie de vacances avec toute la famille et les amis, la bonne ambiance, les embrouilles politiques ...
Il est donc divertissant, la prestation des acteurs est bonne mais il manque quelque chose, quelques scènes semblent un peu longuées et la fin est étonnante .
Malgré ces petits bémols, le film reste drôle, touchant, très nostalgique et pleins d'énergie !
Bonne séance
Un film d'ambiance agréable qui séduira les nostalgiques.
Il ne s'y passe rien de stupéfiant mais le film fonctionne, notamment grâce à une excellente distribution où Denis Ménochet crève l'écran sans même rien faire et des personnages attachants.
Grâce au Skylab vous pourrez vivre un repas de famille avec une télécommande dans la main, un luxe dont il ne faut pas se priver. La famille des autres est toujours plus supportable que la sienne.
Julie Delpy aborde ici, une nouvelle fois, le thème de la famille et de la réunion de profils parfois incompatibles autour d'une même table.
Il ne s'y passe rien de stupéfiant mais le film fonctionne, notamment grâce à une excellente distribution où Denis Ménochet crève l'écran sans même rien faire et des personnages attachants.
Grâce au Skylab vous pourrez vivre un repas de famille avec une télécommande dans la main, un luxe dont il ne faut pas se priver. La famille des autres est toujours plus supportable que la sienne.
Julie Delpy aborde ici, une nouvelle fois, le thème de la famille et de la réunion de profils parfois incompatibles autour d'une même table.
Souvenez-vous de l'ètè 1979, de ce « Skylab » qui pouvait tomber dans l'Ouest de la France quand bon lui semblait! Un satellite qui semble dèrègler l'atmosphère de ce nouveau film de Julie Delpy avec de la pluie et du soleil, mais aussi avec du rire et des souvenirs! On y parle de tout et de rien, du "Tambour" de Volker Schlöndorff et du "Apocalypse Now" de Francis Ford Coppola! En revanche, quand ça parle politique, ça dègènère, comme souvent! Casting classieux avec une brochette d'acteurs confirmès (Eric Elmosnino, Denis Mènochet, Noèmie Lvovsky et son « Bambino ») et deux immenses actrices du cinèma français (Bernadette Lafont et Emmanuelle Riva). Dommage que la gamine qui incarne Karin Viard adulte (Viard est juste agaçante dans la scène du train) ne soit pas très attachante et que Sophie Quinton soit sous-exploitèe! Un film solaire, nè d'une rèalitè (l'ètè 79), avec des souvenirs autobiographiques et des personnages plus ou moins crèès par Delpy! Mais aussi avec cette sensation d'ètè en ètant enfant! C'ètait le temps où l'on s'asseyait sur des banquettes en skaï qui vous brûlaient les fesses ou d'avoir les cheveux plein de sel à cause de l'eau de mer! Le passage le plus rèussi du film restera la sèquence du slow de Gilbert O'Sullivan, « Alone Again » où la jeune Albertine tombe amoureuse pour la première fois...
Ce film est une merveille.
içi pas décors, pas d'intrigue bidon, pas de maquillage, de la joie en barre seulement.
Ce film est beaucoup trop généreux.
Je vais de voir m'intéresser à la filmo de cette belle Julie Delphy.
içi pas décors, pas d'intrigue bidon, pas de maquillage, de la joie en barre seulement.
Ce film est beaucoup trop généreux.
Je vais de voir m'intéresser à la filmo de cette belle Julie Delphy.
Vraiment déçus de ce film, un film ennuyant où il n'y a aucun enjeux. Le seul bon point est la reconstitution des années 79 et l'apport des divergences politiques sans oublier un fabuleux Eric Elmosnino.
Ils arrivent tous les uns après les autres, en voiture, en train, couples et marmailles débarquent dans la maison familiale pour fêter l'anniversaire de la mamie. Il y a l'oncle qu'est trop beau, la cousine qu'on peut pas blairer, le grand cousin qui raconte des histoires qui font peur sous la tente. Les tables sont montées, celle des adultes, et celle des enfants avec le plus grand qu'en a marre d'être encore considéré comme un petit. Des conversations à bâtons rompus, des chansons en fin de repas, des parties de belote pour ceux qu'ont pas voulu aller à la mer, et des liens de famille solides malgré les divergences. C'est fou comme Julie Delpy parvient à nous intégrer à sa famille à l'écran. On a tous plus ou moins vécu des situations similaires, la joie de retrouver les siens, que l'on soit enfant ou adulte. Et s'il y a quelques longueurs (le slow, l'histoire de la daurade), c'est que ce film prend le parti de donner la parole à chacun et de montrer l'importance de ces petits moments quand nous revient le souvenir nostalgique de nos jeunes années.
BeatJunky
Un bon moment plein de Nostalgie. L'époque est vraiment bien décrite que ce soit par l'environnement ou les personnages et les relations familiales qui n'ont finalement pas beaucoup changées! Même si pas vraiment de scénario, la nostalgie qui ressort m'a beaucoup plu et les chaque personnage est intéressant. Il y en a peut-être trop justement puisque Delply n'en développe que quelques un dont Elmosino, excellent une fois de plus, il est vraiment crédible dans tout ce qu'il fait ce mec! Mais il n'y a pas que lui, tous les acteurs sont vraiment bien dans leur rôle et le résultat donne un film crédible, qui m'a rappelé de bons souvenirs. Un très bon moment, je conseille!
quel ennui ! J'ai regretté d'être allé accompagné, j'aurai volontiers quitté la salle...
Le pire est que ce film tente de se faire aimer. On passe un peu de temps avec les gens- il y en a de fachos, de gauchos, des vieux, des jeunes, des au milieu- et on se dit qu'on va finir par s'attacher à quelqu'un dans tout ça. Ce qui ne se passe jamais. Déployer un tel fatras de personnages et ne jamais parvenir à nous faire entrer en empathie avec eux est ce que récolte un certain cynisme de la narration. Et puis plus le temps passe (1 h 49 qui semblent très longues) et qu'arrive la fin ridicule (scène dans le tgv), on est sûrs de haïr ce film. En guise de dernier coup bas, un morceau des révérés Dead Kennedys qui donne envie de mépriser cette oeuvre indéfiniment. Familles, je vous hais vraiment.
Le genre "film de vacances" ne brille jamais par leur construction scénaristique, et ce n'est pas Julie Delpy et son "Skylab" qui vont me faire dire le contraire. De plus, elle veut jouer peu subtilement sur la fibre nostalgique en faisant inutilement du film un long flashback.
Si quelques instants comme l'histoire de la dorade et de la sirène, ou le plaisir de voir Emmanuelle Riva et surtout la très regrettée Bernadette Lafont peuvent retenir l'attention, le reste est franchement sans intérêt se contentant de jouer sur la caricature (gauchistes vs "c'est toujours la faute des immigrés" !!!) pour les personnages, des situations qui souffrent du même problème jamais exploitées jusqu'au bout pour ne pas dire jamais exploitées tout court, donc pas de drôlerie, pas d'émotion, pas d'intérêt quoi...
Bref aussi captivant qu'un long et interminable repas en famille...
Si quelques instants comme l'histoire de la dorade et de la sirène, ou le plaisir de voir Emmanuelle Riva et surtout la très regrettée Bernadette Lafont peuvent retenir l'attention, le reste est franchement sans intérêt se contentant de jouer sur la caricature (gauchistes vs "c'est toujours la faute des immigrés" !!!) pour les personnages, des situations qui souffrent du même problème jamais exploitées jusqu'au bout pour ne pas dire jamais exploitées tout court, donc pas de drôlerie, pas d'émotion, pas d'intérêt quoi...
Bref aussi captivant qu'un long et interminable repas en famille...
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