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    Des filles en noir
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    50 critiques spectateurs

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    Gonnard
    Gonnard

    241 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 mai 2012
    Avec "Des filles en noir", on a l'impression d'assister au mieux à un spot anti-suicide d'Arte, au pire à une émission de "Reportages". Oui, ces documentaires racoleurs et dénués d'intérêts qui passent encore le samedi sur TF1. Les premières minutes sont en effet assassines. Jean-Paul Civeyrac se livre à une effrénée compilation des clichés sur les gothiques : fringues intégralement noires, références au romantisme et au mouvement néogothique propre au premier XIXe siècle, fascination de la mort en général et du suicide en particulier, rejet des conventions sociales ainsi que de toute forme d'autorité, à commencer par celle des parents. Pour vous dire à quel pont ça va loin, même la brosse à dents qu'utilise l'héroïne est... noire. Faites le test et allez donc à Carrefour chercher une brosse à dents noire, je vous assure que vous allez galérer à mort, sans faire de jeu de mot. Civeyrac cède donc aux sirènes de la facilité et du convenu. Pis, il se vautre complètement dans la psychologie des personnages. 17 et 18 ans ? Mon œil oui, des ados voire pré-ados de 15 ans à tout casser. Oui, je sais, je chipote sur quelques années, on s'en bat les cacahouètes. Eh bien non. Pour quelqu'un comme moi qui travaille avec ce type de public, il s'agit d'une bourde monumentale qui atteste de la piètre qualité du film. On pourrait enfin, pour couronner le tout, évoquer les moult lenteurs, mais je crois que "Des filles en noir" traîne assez de casseroles pour ne pas être chargé outre mesure.
    Sylvain P
    Sylvain P

    336 abonnés 1 356 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 septembre 2011
    Réflexion sur le suicide oui, mais relativement maladroite dans ses dialogues, son interprétation et sa réalisation. Peut-être son seul but est-il thérapeutique en engageant à la discussion.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 706 abonnés 12 423 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 avril 2013
    Oeuvre troublante et pour le moins pessimiste qui fut sèlectionnèe pour la Quinzaine des rèalisateurs au festival de Cannes, "Des filles en noir" raconte avant tout une histoire d'amitiè au-delà de la mort très forte entre deux adolescentes qui sont extrêmement proches, un peu comme deux soeurs! Elles sont rèvoltèes contre le monde, elles ont des idèaux très grands, elles ne sont pas satisfaites de leurs vies...jusqu'au jour où ça se finit en drame! L'une est dure et rèvoltèe dans la parole (Elise Lhomeau, une jeune comèdienne à surveiller), l'autre est introvertie et plus dans la rèserve (Lèa Tissier), mais les deux sont finalement complèmentaires! Romantisme exacerbè ? Pas sûr! Dommage que le film progresse sans vèritablement tenir ses ambitieuses promesses (mise en scène trop discrète, scènario trop classique...) car les deux actrices principales sont remarquables où Jean-Paul Civeyrac s'est contentè de mettre une ou deux images fortes sur ce malaise adolescent à la française! Et la tragèdie devient alors une histoire d'amour qui finit mal...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 mai 2012
    Abject , purement abject , Des filles en noir de Jean-Paul Civeyrac est une pure calamité cinématographique mais aussi pour ma part une immense déception ( et c'en est presque un euphémisme ) . Premièrement , sur un plan visuel et de mise en scène , il est ridicule , se voulant film d'auteur à la réalisation soignée , alors qu'il ne l'est en aucun . Bref , pas très intéressant sur ce point là . Mais là où cette catastrophe cinématographique agace le plus le spectateur ( ou du moins , moi en particulier ) , c'est dans le fond qui est purement ignoble et ridicule . Il serait donc judicieux d'argumenter la gêne que provoque le film dans le fond qu'il propose de contextualiser Des Filles en noir : il est question ici de deux jeunes adolescentes Noémie et Priscilla rejetant et méprisant tout : la société , le système scolaire , la vie de leurs parents etc ... Le suicide pour elles seraient finalement une issue de se sortir de ce monde qu'elles jugent ignoble , injuste , inégal et sans intérêt . Les thèmes de la dépression , la lassitude de la société et de la vie ainsi que la mort ont été abordés un certain nombre de fois : ça a donné des films plutôt bons ( Virgin Suicides de Sofia Coppola ) et même des chefs-d'oeuvre ( le sublime Melancholia de Lars Von Trier ) . Ici , cela donne lieu à une catastrophe évidente dans le sens où tout n'est que cliché ( et en l'occurrence les clichés et les stéréotypes sont purement ignobles ) : forcément une fille suicidaire ne peut être amie qu'avec une autre dépressive , forcément on s'habille en noir ( qui dit gothique semble dire suicidaire selon Civeyrac ) . spoiler: Le film comporte quand même des scènes absolument aberrantes comme la dispute en classe ou bien évidement les scène de la dispute en classe ou encore lorsque l'oncle fou de Noémie tente d'abuser de Priscilla que son petit copain trompe
    . Et il n'y a que des incongruités , des bêtises et au final , le portrait que Civeyrac dresse , son regard sonnent totalement faux . La fin du film est affreuse et terriblement ennuyante , pas émouvante ( comme elle se le voudrait ) pour un sou et ce , malgré la présence du sublime morceau musical "Orphée" de Gluck que l'on entend à deux reprises ( dont une fois au générique de fin ) .
    Caine78
    Caine78

    6 695 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 décembre 2011
    Pas franchement aimable et encore moins grand public, ces « Filles en noir » ont pourtant été pour moi une réelle source de satisfaction. Même s'il faut reconnaître que ce genre de cinéma n'est pas forcément ce que je préfère, l'expérience est enrichissante à plusieurs niveaux : d'abord par le réel travail de mise en scène opéré par Jean-Paul Civeyrac, permettant de rendre ce sujet si délicat assez facile d'accès et très intéressant. Mais aussi parce que le film sait se doter, une fois n'est pas coutume, d'un vrai scénario. Faisant la part belle à des personnages filmés avec intensité et des dialogues sonnant toujours justes, celui-ci est de plus soutenu par deux actrices remarquables, trouvant un équilibre constant entre cette puissante amitié et cette attirance irrémédiable envers la mort, qui amènera d'ailleurs la scène la plus marquante du film. Une oeuvre difficile donc, mais pudique, intelligente et souvent émouvante : ce genre de films que l'on aimerait voir plus souvent dans les salles obscures.
    tixou0
    tixou0

    698 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 novembre 2010
    L'"auteuriste" Civeyrac, pour parler du mal-être des jeunes filles de 2010, dès l'instant qu'elles sont "en noir", vêture et attirance pour l'abîme confondues, en fait (sans grande originalité, mais avec maîtrise) des héroïnes de la mouvance romantique - elles ont d'ailleurs des prénoms à l'unisson, Noémie et Priscilla. C'est la première des deux inséparables, l'"intello", qui donne le signal lors d'un exposé sur Kleist (qui se suicide au bord d'un lac à l'âge de 34 ans après avoir tué sa maîtresse atteinte d'un cancer), prolongé par l'audition d'un lied tragique de Brahms : elle annonce à sa classe de Terminale médusée qu'elle va mettre fin à ses jours ("Priss" est à ses côtés). Sa déclaration est d'autant plus prise au sérieux par le professeur qu'elle a déjà essayé de se suicider un an plus tôt. Mais rien, et surtout pas le souci des adultes, ne semble dissuader les deux amies. Elles cherchent une mort "douce" ce samedi-là. Après avoir en vain essayé d'acheter des barbituriques, Noémie entraîne Priscilla à l'anniversaire de son grand-père - elle sait pouvoir trouver les médicaments nécessaires à leur entreprise chez le vieil homme. Mais le sort s'en mêle et les deux ados sont séparées - Priss reste chez les grands-parents quand sa mère rapatrie Noémie à leur domicile. Commence alors une nuit de fièvre à distance : les deux filles (profitant sans doute d'une offre illimitée W.E !) vont converser des heures durant via leurs portables - au petit jour, elles ont décidé de se jeter par la fenêtre, au même moment. Pourtant seule Priss passe à l'acte...
    Noémie conjugue alors dépression et culpabilité. Cependant, après un séjour en institut psychiatrique, elle semble avoir rejoint la vie - flûtiste de talent, elle a intégré une formation symphonique qui tourne en Europe. Mais le film s'achève sur ses visions récurrentes - Priss l'appelle de l'au-delà. Alors ?.... Cette histoire d'affinités électives tournant au noir absolu vaut principalement par la qualité de son interprétation - les jeunes Elise Lhomeau et Léa Tissier, dont c'est le premier rôle, spécialement.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 11 novembre 2010
    Depuis L'etranger de Camus , où le meurtrier est condamné à mort parce qu'il n'a pas pleuré à la mort de sa mère, on connait l'limportance des larmes: comment faire pour que Noémie ,qui multiplie pourtant les motifs d'affliction , soit en pleurs et gagne ses galons d'actrice et puisse jouer ,elle aussi, un jour dans les petits mouchoirs numéro 2! Au bout d'une heure 30 de catas , rien n'y fait. On finira par la filmer de profil mais c'est raté, les gouttes pourtant bien visibles semblent sortir de son nez , on finira par un plan fixe -sans doute plein de signifiants- de son vsage raviné ,mais seul son percing perle comme une larme. Un film ridicule, une suite de poncifs qui va jusqu'à l'accent russe de son prof de musique. Une seule certitude: elle a vraiment un bon forfait pour son portable.
    ferdinand75
    ferdinand75

    548 abonnés 3 868 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 décembre 2015
    Un très beau film,bouleversant, sur un sujet rarement traité au cinéma. L’attirance par certains adolescents pour la mort ( par la voie du suicide ) , souvent des jeunes perdus et adaptes d’un néo-romantisme macabre. On entend parfois des faits divers relatant la pendaison ou le suicide de jeunes, alors que l’entourage n’avait rien vu. Ici deux jeunes filles n’arrivent pas s’insérer dans la vie réelle, l’école n’en les intéresse pas, les petits copains non plus, elles exècrent leur famille respective. Et l’héroïne Noémie aime particulièrement le romantisme morbide, un peu « gothique » sur les bords. Elle a adoré lire en classe la poésie de Henrich de Kleist (1811) et son appel au suicide amoureux.. Elle est en plein dans cette logique du geste de beauté absolu qu’est le suicide. Elle entraine dans sa logique sa copine, Priscilla ,elle aussi mal dans sa peau ,et elles décident d’en finir le soir même, ensemble , main dans la main.. Cette maladie les ronge, c’est similaire aussi à la problématique de la pathologie de l’anorexie extrême. Pourtant tout cela n’est absolument pas glauque, ni sordide, ni même triste, car on comprend leur dégout de la vie et de la petitesse du monde. On assiste à cette chute ,et on voudrait pouvoir les aider, mais le mal est en elles .Mais surtout Jean-Paul Civeyrac démontre une incroyable maestria , par une mise en scène, sobre , juste, apurée, et pourtant empathique. Il y a plein d’amour envers ses personnages, y compris lorsqu’ils plongent dans le noir. La réalisation est belle, beaucoup de travellings circulaires, lancinants, enroulant les personnages comme dans un voile, les plans au lycée sont magnifiques. Il y a une lenteur, qui permet de prendre du temps et de rentrer en osmose avec les personnages. La scène du repas de famille de nuit dans le jardin des grands parents est de toute beauté. Les filles sont présentes , sans y être, alors que la famille raconte ses petites histoires normales, et que Papi pousse la chansonnette.. Il y aussi la scène de lecture de Noémie à une grand mère agonisante sur son lit, elle lui annonce qu'elle veut se suicider le soir même , et la mamie dans un souffle de vie lui dit : « ne fait pas ça »..Mais Noémie est convaincue, elle rêve d’absolu. Découvertes par la mère, les filles seront séparées le soir même par cette mère protectrice, avant de pouvoir prendre leurs cachets. Mais grâce à leur téléphone portable, elles vont se joindre à nouveau,et mettre leur plan à exécution au petit matin. Mais il y aura une faille . Les 15 dernières minutes sont éprouvantes ( de puissance) et nous tiennent en haleine , comme un thriller, car on ne sait pas où Civeyrac veut nous emmener. Les séquences s’enchaînent pas des fondus enchaînés au noir. Plan final, sur le balcon d’un hôtel de Grenoble .Au petit matin le soleil se lève, Puis on voit en contre- jour couler des larmes sur son visage, pour la première fois elle ressent une émotion réelle, signe de vie , signe vitale aussi. Sublime de beauté. C’est le premier film de Civeyrac que je voyais , mais quel force, quel absolu, quel intelligence aussi, on reconnaît l’ancien prof de philo... C’est un choc, je vais m’empresser de chercher ses autres films en VOD.
    Fritz L
    Fritz L

    182 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 novembre 2010
    Oeuvre à moitié vide, oeuvre à moitié bien, « Des filles en noir » participe à un festival du moment où l’on sort du film interrogatif. Le sujet ambitieux retenu, l’adolescence en souffrance, mérite déjà notre respect. Car il faut bien l’avouer, Jean-Paul Civeyrac, a la matière avec lui. Il a creusé la réflexion et caresse parfois, sur quelques scènes clés, une vraie profondeur démontrant ce mal être pour ce qu’il est, une crise existentielle dont on ne ressort pas indemne. Il ajoute également à ce propos un vrai univers pictural d’inspiration très romantique ; on pense aux clairs obscurs de Füssli ou à des artistes comme Henner, Scheffer… qui participe à l’ambiance sombre et lui confère un côté élégant et raffiné. Trop peut-être… Car et c’est le gros défaut de ce film, l’habillage « gothic » est par trop appuyé. Poses figées des deux adolescentes, discours appuyés à la manière de Kleist : « Maintenant, ô immortalité, tu es toute à moi ! », et le jeu d’acteurs très inégal (une Léa Tissier par trop chichiteuse par exemple) viennent discréditer par moment une œuvre qui aurait pu être puissante mais reste chétive.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    92 abonnés 408 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 novembre 2010
    Le noir, elles le portent sur elles, mais elles le portent surtout en elles : quête d'absolu et rejet de la société qui les entoure, Noémie et Priscilla sont deux adolescentes soudées qui entrevoient le suicide comme seul but, seul mode d'existence possible. Posture romantique, exagérée et donc absolutiste qui déconcerte, irrite et interpèle le spectateur, ce qui n'est pas le moindre des atouts de ce film âpre et sans sentimentalisme, qui, s'il n'évite pas quelques écueils de scénario ni une certaine prévisibilité, n'en réussit pas à moins à nous emmener sur des territoires troubles et dérangeants. L'entreprise est aussi un succès grâce à l'interprétation remarquable des deux jeunes comédiennes exceptionnelles, qui incarnent mystère et tourments. Si Léo Ferré pensait qu'on n'était pas sérieux à 17 ans, Jean-Paul Civeyrac expose le malaise d'une jeunesse désorientée et sans repères. Mais au-delà de la difficulté à vivre, il évoque aussi celle encore plus terrible à survivre, continuer et à se reconstruire. Et nous laisse dans le champ des possibles par une aube italienne sur un balcon.
    stanley
    stanley

    66 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2010
    Des filles en noir aurait été un grand film si le scénario avait pu suivre le brio de la mise en image et la qualité de l'interprétation. La fin du film tend un peu vers un dépouillement trop stylisé (comme si Civeyrac ne savait pas comment finir le film) et les familles des deux post adolescentes (l'une qui vit avec sa mère aux problèmes identiques et l'autre sans parents) font de manière trop évidente intervenir les problèmes sociaux et familaux comme seuls causes de la morbidité des filles, qui en plus on a fait se vêtir de noir. Le film ne va pas toujours au bout de ses diées mais reste assez fascinant gràce à une mise en scène fluide et mystérieuse, sertie de la belle musique de Brahms et Bach qui ajoute à l'envoûtement. Il faut aussi saluer la très belle qualité de l'interprétation des deux filles surtout celle d'Elise Lhomeau, belle et très habitée. Jean Paul Civeyrac, dont on avait remarqué le beau premier film Ni eve ni d'Adam donne ici une oeuvre irrégulière mais finalement assez personnelle, qui surfe sur la vague pessimiste de la fin des années 1990 avec une louche de Cocteau et de Bresson.
    toka59
    toka59

    22 abonnés 269 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 novembre 2010
    ça fait froid dans le dos de voir à quel point des ados peuvent ête mal dans leurs baskets : vision romantique du monde ? hyper réalisme ? Quoi qu'il en soit c'est bien joué et on reverra certainement "Noémie" dans d'autres rôles.
    BeatJunky
    BeatJunky

    149 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 septembre 2013
    une façon de dénoncer le malaise adolescent de nos jours. Le film par son scénario et sa mise en scène surtout retranscrit très bien celui-ci et vous le fait ressentir par ses longs silences et ses longs plans quasi immobiles.... Ils captent les regards perdus de ces deux actrices révoltées par ce que la société impose au aux gens qui n'ont d'autres choix que de marcher dans ce sens sous peine de marginalisation... Ce qu'elles n'acceptent pas et s'enferment dans leur propre monde ce qui les rapprochent fraternellement.... le regard très expressif de ces 2 actrices est extraordinaire...Rien que par celui-ci, on ressent très bien ce malaise. Mention spéciale donc à l'interprétation. L'ensemble manque par contre un peu de consistance pour passionner et intéresser un large public.
    lorenzo fly
    lorenzo fly

    22 abonnés 813 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mars 2014
    Un film sombre et marquant qui reste assez réaliste et mérite qu'on s'y attarde!
    Lucille T.
    Lucille T.

    38 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 décembre 2010
    Ambiguïté, n, f : qui présente plusieurs sens d'interprétation possible, dont l'orientation reste incertaine.

    Je n'suis qu'un vulgaire amer amoureux
    Chuchotant à son oreille des « je veux »
    Les meilleurs films de tous les temps
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