Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
(...) très beau long métrage (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Isabelle Fargette
Civeyrac filme avec son élégance aigüe et évanescente l'alliance mystérieuse de la jeunesse et de la mort.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Ceux qui connaissent l'univers de Jean-Paul Civeyrac retrouveront une obsession de la perte d'innocence, de l'amour au-delà de la mort, du deuil impossible et de l'absence du disparu comblée par la présence de son fantôme. L'importance, aussi, de la musique comme soupape de survie et métronome d'une élégante mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur Le Point.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Animé par une belle croyance en son art, en son sujet et en ses actrices, Jean-Paul Civeyrac livre une partition quasi parfaite, délicate et inspirée, intense et sans concession, saisissant quelque chose de l'absolu de la jeunesse sans crainte, sans effarement et sans paternalisme.
Libération
par Gilles Renault
Nouvelles venues à l'écran, Elise Lhomeau et Léa Tissier se révèlent d'une totale crédibilité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Louis Guichard
Pour filmer ces deux héroïnes au bord du vide, Civeyrac a trouvé un équilibre entre la veine bressonienne de ses débuts (...) et le lyrisme fiévreux de ses films suivants (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Johan Girard
Lorsque "Des filles en noir" décolle enfin, l'avenir incertain des deux jeunes femmes nous prend aux tripes. Marcher sur les pas de Noémie et Priscilla, c'est faire un bout de chemin avec des milliers d'adolescentes en détresse, d'anonymes martyrisés par la vie.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Critikat.com
par Nicolas Journet
Un bon sujet, une mise en scène maîtrisée, et une Léa Tissier dont on entendra parler, mais le tout est un peu gâché par un scénario programme, fermé à double tour, où la vie circule peu.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Le spectateur est (...) pris à bras-le-corps par une mise en scène en forme de chorégraphie troublante et macabre. Le tout dans un réalisme cru.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Olivier Séguret
Avec tact et précision, le cinéaste donne au motif du suicide juvénile une texture politique particulière.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La rédaction
On est forcément troublé et dérangé par ce drame qui nous laisse mal à l'aise, entre révolte et impuissance.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Oeuvre politique magistrale et chronique du désenchantement délicate, "Des filles en noir" trouve son acmé dans la peinture des aubes, recommencements dont les filles ne veulent plus.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Trop scolaire pour faire advenir une réelle stylisation, trop sage pour exprimer une révolte de poète contre la résignation généralisée de notre époque, (le film) frise même la lourdeur du " film à sujet " (...) mais il parvient au final à émouvoir.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur l'Express.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le film ne convainc guère, même lorsqu'il s'engage dans une direction inattendue.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par Stéphanie Lamome
Si le film trop volontairement cérébral, échoue à nous transmettre le malaise adolescent (...) il capture quelque chose de bien plus authentique dès qu'il aspire à montrer les influences (...) dangereuses des amitiés trop fusionnelles.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Yal Sadat
Difficile, avec un pareil tableau, de voir autre chose que le récit des déboires de deux cloches irritantes, purs produits du gothique de supermarché, dont les faits et gestes sont réunis en une insupportable définition abrégée du spleen post-pubère.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Positif
par Adrien Gombeaud
Ce monde glauque et toc ressemble surtout à un décor, soigneusement créé par le réalisateur pour inciter ses héroïnes à se tuer.
La critique complète est disponible sur le site Positif
L'Humanité
(...) très beau long métrage (...).
Le Figaroscope
Civeyrac filme avec son élégance aigüe et évanescente l'alliance mystérieuse de la jeunesse et de la mort.
Le Monde
Ceux qui connaissent l'univers de Jean-Paul Civeyrac retrouveront une obsession de la perte d'innocence, de l'amour au-delà de la mort, du deuil impossible et de l'absence du disparu comblée par la présence de son fantôme. L'importance, aussi, de la musique comme soupape de survie et métronome d'une élégante mise en scène.
Le Point
Voir la critique sur Le Point.fr
Les Inrockuptibles
Animé par une belle croyance en son art, en son sujet et en ses actrices, Jean-Paul Civeyrac livre une partition quasi parfaite, délicate et inspirée, intense et sans concession, saisissant quelque chose de l'absolu de la jeunesse sans crainte, sans effarement et sans paternalisme.
Libération
Nouvelles venues à l'écran, Elise Lhomeau et Léa Tissier se révèlent d'une totale crédibilité.
Télérama
Pour filmer ces deux héroïnes au bord du vide, Civeyrac a trouvé un équilibre entre la veine bressonienne de ses débuts (...) et le lyrisme fiévreux de ses films suivants (...).
Brazil
Lorsque "Des filles en noir" décolle enfin, l'avenir incertain des deux jeunes femmes nous prend aux tripes. Marcher sur les pas de Noémie et Priscilla, c'est faire un bout de chemin avec des milliers d'adolescentes en détresse, d'anonymes martyrisés par la vie.
Critikat.com
Un bon sujet, une mise en scène maîtrisée, et une Léa Tissier dont on entendra parler, mais le tout est un peu gâché par un scénario programme, fermé à double tour, où la vie circule peu.
Le Journal du Dimanche
Le spectateur est (...) pris à bras-le-corps par une mise en scène en forme de chorégraphie troublante et macabre. Le tout dans un réalisme cru.
Libération
Avec tact et précision, le cinéaste donne au motif du suicide juvénile une texture politique particulière.
Ouest France
On est forcément troublé et dérangé par ce drame qui nous laisse mal à l'aise, entre révolte et impuissance.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Oeuvre politique magistrale et chronique du désenchantement délicate, "Des filles en noir" trouve son acmé dans la peinture des aubes, recommencements dont les filles ne veulent plus.
Cahiers du Cinéma
Trop scolaire pour faire advenir une réelle stylisation, trop sage pour exprimer une révolte de poète contre la résignation généralisée de notre époque, (le film) frise même la lourdeur du " film à sujet " (...) mais il parvient au final à émouvoir.
L'Express
Voir la critique sur l'Express.fr
La Croix
Le film ne convainc guère, même lorsqu'il s'engage dans une direction inattendue.
Première
Si le film trop volontairement cérébral, échoue à nous transmettre le malaise adolescent (...) il capture quelque chose de bien plus authentique dès qu'il aspire à montrer les influences (...) dangereuses des amitiés trop fusionnelles.
Chronic'art.com
Difficile, avec un pareil tableau, de voir autre chose que le récit des déboires de deux cloches irritantes, purs produits du gothique de supermarché, dont les faits et gestes sont réunis en une insupportable définition abrégée du spleen post-pubère.
Positif
Ce monde glauque et toc ressemble surtout à un décor, soigneusement créé par le réalisateur pour inciter ses héroïnes à se tuer.