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    Le Cheval de Turin
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    3,5
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    62 critiques spectateurs

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    Parkko
    Parkko

    162 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 janvier 2012
    Le seul autre film de Bela Tarr que j'ai vu c'est Les harmonies de Werckmeister mais le Cheval de Turin ne fait clairement pas le poids face aux harmonies que j'avais bien aimé. Le Cheval de Turin m'a fait pensé aux parodies réalisées par les Inconnus sur certains films, c'est dire.
    En soi je ne me suis pas ennuyé en le regardant, je m'étais préparé à une œuvre austère et très lente. Ce n'est donc pas ça le problème. Le problème c'est que j'ai trouvé ça sans intérêt. Je ne trouve pas qu'un travelling sur un cheval soit d'une inventivité folle en terme de mise en scène pour ma part. J'ai souris en écoutant les critiques dire que c'était toujours la même chose mais filmer d'un angle différent. Je suis désolé mais les scènes de repas, filmées tantôt "côté porte" tantôt "côté fenêtre" (alternant ainsi de gauche à droite et de droite à gauche la place de l'un et de l'autre), on va pas me dire qu'il s'agit d'un grand cinéma et que ce nouvel angle de vu sur le repas familial est d'une inventivité folle. Ce n'est pas parce qu'il y a marqué Bela Tarr après Réalisateur : qu'il faut tout cautionner.
    Alors que reste t-il dans tout ça ? Et bien au moins une expérience cinématographique, déplaisante, certes, mais qui cherche à sortir des sentiers battus. Et c'est déjà ça.
    norman06
    norman06

    351 abonnés 1 672 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 janvier 2012
    Austère, contemplative, picturale : cette œuvre rugueuse et minimaliste relève d'un cinéma radical mais reste l'une des plus accessibles de Béla Tarr. La beauté de la photographie, l'envoutement musical et l'agencement de plans séquences magistraux en font tout le prix.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 janvier 2012
    Ce film fait partie de ces presques chef-d'œuvre qui sont difficile à voir parfois mais dont on se souvient toute sa vie. Difficile car répétitif, lent, par rapport à la vie parisienne, etc. Mais aussi un régal de mise en scène, aussi admirable que les images que l'on pourrait isoler
    et qui forment des photographies artistiques. Le film est en noir et blanc. Le son est parfait. Magnifique.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 janvier 2012
    Le débat saisit parfois le petit monde de la critique et de la cinéphilie : quelle est la limite entre le geste artistique et le vide ? Comment un film qui transporte un auditoire peut-il en excéder totalement un autre ? Tout film radical dans son développement artistique doit-il être considéré comme digne d’intérêt ? Le dernier film de Lynch en date (l’abominable Inland Empire) avait déjà posé ces questions. L’an dernier, c’était la Palme d’Or qui méritait un débat de ce type. Il y a quelques semaines, l’exceptionnel voyage de Nuri Bride Ceylan en Anatolie pouvait aussi rentrer dans cette catégorie. Et aujourd’hui donc, ce Cheval de Turin, bardé de récompenses et de lauriers critiques. Alors : chef d’œuvre ou arnaque ?

    Tout d’abord, chaque spectateur qui aura l’audace de se risquer en salle doit savoir ce qui l’attend. Plus de 140 minutes de noir et blanc, quasiment sans dialogues, dans une masure perdue au fin fond de la campagne. Deux personnages principaux et quasiment uniques, ainsi que leur cheval. Six journées de leur vie, qui se répètent de manière entêtante autour de leur cérémonials de lever, déjeuner et coucher. Et c’est tout, rideau.

    L’ensemble cherche délibérément à être un geste artistique sans concession. L’objectif semble être d’enfermer le spectateur dans une forme de folie qui prend peu à peu racine dans la tête des personnages principaux. Mais, si le vide sidéral de l’ensemble interpelle pendant les premières dizaines de minutes, il provoque rapidement chez le spectateur (même le plus patient) un sentiment de gêne, qui se transforme en souffrance puis en énervement à mesure que le film avance sans but, sans enjeu, sans évolution.
    Rien ou presque ne bouge, quasiment rien n’a l’air digne d’intérêt dans l’univers que décrit Bella Tarr, et pourtant, il décompose chaque scène, chaque mouvement, le répète à l’infini jusqu’à l’épuisement. On en vient à guetter ses tics de mise en scène, ces longs plans qui terminent sur une vue fixe d’une porte, ou d’une tête de cheval, appuyés par une musique (une seule partition, évidemment) répétitive et lassante. Epouvantable. Une forme avancée de cinéma du rien, qui laisse chacun y voir ce qu’il veut y mettre, mais qui ne cherche jamais à développer des situations, à créer des personnages ou à accompagner son public quelque part. Bienvenue dans la tête d’un réalisateur qui souhaite faire partager au monde sa vision destructrice et très personnelle de l’apocalypse, même si cela consiste à vous enfermer dans une masure sordide pendant plus de 2 heures.

    Cela dit, le film présente quelques avantages. Cela laisse un peu de temps pour penser à la liste de courses, aux coups de fils qu’on doit passer, ou encore d’observer les éclairages de secours de sa salle de cinéma. C’est également une excellente occasion de tester sa résistance à l’endormissement, qui frappe impitoyablement tout spectateur n’ayant pas 8 à 10 heures de bon sommeil derrière lui.

    Certains parlent d’une œuvre magistrale qui décrit la folie, d’autres l’enfermement, d’autres encore l’apocalypse. Pour aller dans leur sens, je pense qu’on ne s’est rarement autant senti proche de l’enfer sur Terre, et que rarement la lumière de la sortie de salle n’aura été accueillie avec une telle bénédiction. Un grand moment de masochisme cinématographique, qui semble plaire même au-delà du Triangle des Bermudes de la critique. Mais il faut décidemment aimer se faire mal. Très mal.

    http://dh84.over-blog.com/
    Christoblog
    Christoblog

    835 abonnés 1 684 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 décembre 2011
    Introduction

    Le film décrit la vie d'un vieillard et de sa fille, dans une ferme isolée. C'est la fin du monde. Le film en décrit les six derniers jours.

    Premier jour

    Le premier plan est de toute beauté. Je me dis que mes a priori ne sont peut-être pas justifiés. Dans le générique, j'ai vu qu'une des boites de production s'appelait Zéro fiction, et ça m'a fait un peu peur. Je comprends progressivement que le film est décomposé en plusieurs jours. C'est un peu lent. Première phrase de dialogue au bout d'un quart d'heure. Deuxième dialogue, dix minutes après. La mise en scène baisse d'intensité. Je commence à m'emmerder sérieusement.

    Deuxième jour

    Je sens que ça va être horrible, quand les scènes vues dans le premier jour se reproduisent.

    Lever, habillage, coup de gnôle, absorption d'une pomme de terre bouillie avec les mains. Aie, aie, aie, ça sent le pâté. La mise en scène est devenue en plus quelconque : plans fixes d'une minute sur un mur ou un linge étendu, fondus au noir grossiers, zooms moches. Le film ressemble de plus en plus à un pensum de première année de l'école de cinéma de Brno. La répétition des scènes me rappelle quelque chose, mais quoi ? Oui : le dentiste ! Vous savez : vous allez chez le dentiste pour un simple contrôle et ce dernier vous trouve une carie bien avancée. Vous avez droit à 5 séances avec dévitalisation, fraises de toutes tailles, et moulages en tout genre (avec les petits coussins oranges contre les gencives). La première fois, vous regardez le plafond en étudiant les mouvements d'une mouche. La deuxième fois, vous surveillez la répétition des gestes de préparation avec une attention inquiète. La troisième, vous pleurez dans la salle d'attente.

    Hé ben, là, pareil.

    La suite ici : http://chris666blogsallocinefr.over-blog.com/article-le-cheval-de-turin-95152164.html
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 décembre 2011
    Absolument incroyable!!
    Atmosphère pesante MUSIQUE pénétrante plan séquence inoubliable...
    cinono1
    cinono1

    309 abonnés 2 068 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 janvier 2012
    Et l'obscurité fut...Lieu et date indéterminée, le combat de l'homme contre les vents contraires, la difficulté de vivre du quotidien ou un jour, les évenements se dérèglent. Longs plans séquences ajouté à un très beau noir et blanc participent à l'hypnose du spectateur. Peut-etre pas un chef d'oeuvre mais un film marquant et accessible malgré une narration un peu sèche, à la fois abstrait et prosaïque. Une oeuvre apocalyptique et sombre.
    islander29
    islander29

    876 abonnés 2 379 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 décembre 2011
    ouahhhhhhhh quel choc....si vous vivez à 100 à l'heure, allez voir ce film, mieux qu'une séance de Yoga....Le film impose son rythme, et si vous vous révoltez il en rajoute...Autant aller au pas du cheval qui marche lourdement dans une dune dévastée par la tempête...Le film impose sa temporalité, sa saison, sa noirceur impitoyable...Le siècle est lourd et les gens plient le dos sous la pauvreté...Les scènes sont dénudées de tout, on mange des pommes de terre tous les jours, le film montre les pommes de terre en train de cuire interminablement...L'homme est infirme, sa fille vit avec lui et l'aide tous les jours...Pourquoi ne part-elle pas ? Les jours se suivent et se ressemblent....Le quatrième jour est une géniale métaphore de la fatalité....On se s'arrache jamais de son destin...Noirceur, noirceur, le temps pour sombrer, le temps pour s'enfermer loin de tout....Un homme , un voisin , venu chercher de l'alcol illumine de sa pensée l'univers entier...Est ce une référence au philosophe Nietzsche ? Les mots sont superbes et défient le monde....Ce n'est pas un beau film, c'est lent, c'est sombre, c'est déprimant, mais c'est grand...Est ce que le réalisateur suit une propre thérapie en filmant....La question a quelque chose d'évident pour le spectateur...Prenez des risques , allez y, mais après ne vous plaignez pas de la vie...Antidépresseurs plutot conseillés....
    Maqroll
    Maqroll

    164 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 décembre 2011
    Après la citation en voix off d’une anecdote sur l’entrée dans la folie de Nietzsche, on se retrouve projeté dans un univers de fin de monde, évoquant irrésistiblement les mondes glacés de Tarkovski. Dans une plaine balayée par une tempête qui paraît éternelle, la vie s’écoule, aride et austère pour un paysan hémiplégique et sa fille, laide et aussi dure que lui. Les jours passent… tous les mêmes en apparence Ils n’ont presque rien : un vieux cheval, des terres qu’on devine minuscules et pauvres, du mauvais alcool qu’ils boivent dans un rituel quotidien, un puits pour cuire de grosses pommes de terre qu’ils mangent brûlantes après les avoir épluchées de leurs ongles… Mais l’autre est là, pas loin, menaçant, qui veut s’accaparer et souiller, à l’image de ces Tziganes de passage qui manifestent bruyamment que la terre et l’eau sont à eux… Alors commence la plongée finale, inexorable, fatale, acceptée sans une plainte… et la lumière ne fut plus ! Sur une trentaine de plans séquences, on est pris, capté, hypnotisé par des images en noir et blanc d’une beauté farouche, par le rythme pesant d’une musique répétitive, par cette vision noire de l’humanité. Poème désespéré, ce dernier film annoncé de Béla Tarr laisse une cicatrice qui s’agrandit avec le temps qui passe. Il s’installe, on s’en pénètre, on s’en imbibe comme le paysan de sa vieille gnôle avant de le laisser descendre tout au fond de soi pour y rencontrer sa propre peur du vide et du noir, de la faim et de la soif, de la solitude et du néant… mais aussi son désir de vivre, de prolonger cette souffrance jour après jour, le plus longtemps possible… La condition humaine est terrifiante !
    Georges F
    Georges F

    8 abonnés 257 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 décembre 2011
    Que voilà, donc, un bel OVNI.
    Le cinéma autorise décidément tout : ce film est noir, répétitif avec deux personnages qui reproduisent indéfiniment les mêmes gestes pendant deux heures et demie sur une trame musicale de trois notes qui revient de manière lancinante pendant toute cette exaspérante représentation.
    Sans doute est il de bon ton de saluer l’œuvre de Bela Tarr – que je ne connais pas – mais sur le Cheval de Turin, comment peut-on s’extasier, alors qu’il ne se passe rien ?
    On chauffe deux pommes de terre dans une marmite d’eau, le père en pèle une, d’une seule main et la mange bruyamment, histoire de couvrir le bruit des traditionnels popcorns vendus à l’entrée ; on sort le cheval pour aller dans la campagne nue, aride et ventée et on le ramène à l’écurie à plusieurs reprises. Il ne se passe rien, quelques borborygmes meublent le silence, en dehors de la litanie de trois notes ; le seul évènement notable paraît être, lorsqu’on cherche à sortir une nouvelle fois le cheval de l’écurie et que celui-ci refuse, sans doute exaspéré par cette réalisation, sans queue ni tête, à laquelle il ne veut plus participer.
    Probable intuition animale du cheval qui n’est pas rompu aux usages germanopratins.
    À qui s’adresse le film ?
    Sans doute au candidat au suicide qui hésite encore, afin de faciliter sa décision.
    À l’apprenti compositeur qui se dit qu’il va pouvoir créer, aisément, la musique d’un film.
    À un ami dont on veut se défaire ou à son meilleur ennemi, auquel on présentera le film comme un chef d’œuvre à voir absolument, entouré de toute sa petite famille…
    Pascal H.
    Pascal H.

    6 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 décembre 2011
    Quel expérience, c'est indescriptible. Étrangement, on ne s'ennuie pas. Les 2h20 défilent. D'autres films font gesticuler des personnages sur plusieurs scènes avec une bande sonore clinquante et pourtant, au final, on s'ennuie. L'habillage est toujours aussi loin de faire un film. Ici la bande sonore se résume au bruit du vent, constant tout du long avec de temps en temps ce thème lancinant. Visuellement j'ai beaucoup apprécié la réalisation, le noir et blanc est terriblement bien maîtrisé avec des cadrages qui vous parlent, impressionnant. Ce film est une expérience que peu retenteront je pense. Il est pour moi l'ode à l'abandon et à la résignation. Et donc par la même occasion, un hymne à la vie. On apprécie mieux les choses après une mauvaise expérience, on apprend dans la douleur. Le Cheval de Turin, c'est un peu tout cela. Il est tellement pesant de regarder ce film qu'on en étouffe, jamais je n'avais été aussi heureux de sortir de la salle, prendre l'air et voir les couleurs de la ville. Nous ne sommes pas dans un film triste, peut-être sur la fin, on ne ressent jamais de tristesse dans le jeu des acteurs. Mais tout semble pesant, tous les gestes semblent être un combat, on est terrassé par cette lourdeur. On perçoit la forte monotonie, cet abandon et ce laisser aller à la routine comme celle qui peut s'installer dans chacune de nos vies et l'acceptation qui imprègne les personnages avec de temps en temps l'envie de changer les choses sans vraiment le vouloir et se retrouver au même point. spoiler: Le pire étant quand l'eau disparaît du puits, et donc la vie elle même disparaît de leurs vies. On assiste alors au paroxysme de la résignation, vivre une vie sans celle qui apporte la vie.
    C'est beau et dur à la fois, à tenter si vous êtes curieux, une fois mais pas deux c'est certain.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 décembre 2011
    que dire d'un tel un chef d'oeuvre difficile à verbaliser tant il vous laisse sur le cul! non pas par l'intensité du dialogue mais plutôt par le travail de l'image qui apparaît comme figée. une lenteur des mouvements on a l'impression de vivre 24H c'est peut-être là son génie. La vie est dure pour les hommes et le bétail. la musique lancinante en rajoute une louche. L'épisode des gitans traduit un lourd passif ethnique! Film d'une force et d'une violence qui vous happe et vous hante. Ah il faut s'accrocher mais comme toute oeuvre qui ne se livre pas comme cela. C'est bouleversant de vouloir parler de la vie sans compromis!
    Romain Jouin
    Romain Jouin

    8 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 décembre 2011
    Surpris. Bela Tarr propose un film énervant à souhait, insupportable, on a physiquement envie de vomir, de bouger, de sortir, et pourtant on reste, tant on a envie de savoir, d'abord, ce qu'il va se passer, ensuite, comment quelqu'un a-t-il pu financer un tel film, et enfin, pourquoi ce film, quel est le message ?? Et finalement on est surpris, supris par la fin, qui arrive à un moment où on n'a pas l'impression d'être resté 2h30 dans la salle : surpris donc de voir que nous ne nous sommes pas tant ennuyé que cela finalement, le temps passe sans problème ! Surpris encore par la dernière scène, qui révéle le film, qui donne tout son sens à ce film lent, long, étendu, qui s'éternise dans un clair obscur rembrantesque. Surpris ensuite, en sortant de la salle, quasi énervé, mais déjà surpris, par ce film qui ne vous lâche plus : on y repense, on revoit le film étape par étape, scène par scène, dans lesquelles il ne se passe rien, et pourtant où il se passe tant de choses !!! Surpris par la profondeur de l'analyse, la simplicité du message et du médium de transmission : des images quasiments vides, un scénario qui "tient sur une page", des dialogues quasi-inexistant, et pourtant tout est là : la folie de Nietzsche, la vie, la mort, l'innutile... Surpris donc de trouver tant de sens et de puissance "brute de décoffrage", dans ce film mort, sans action, avec seulement deux principaux acteurs, avec des moyens qui semblent si faibles... Un film majeur sans doute, un OVNI philosophique, qui revisite sans doute des pans entiers de la philosophie Nietzschienne (je ne la connais pas, j'imagine). C'est finalement très très fort, profond, et captivant. On peut le dire, c'est insupportable à regarder, mais ce film tient du génie !
    manuinho
    manuinho

    5 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 décembre 2011
    Voilà qui résume bien ce qu'est la magie du cinéma , à savoir : magnifique traitement technique de la caméra pour des cadrages préçis et son noir et blanc réel . Parfaite connaissance du sujet traité ou les acteurs paraissent plus qu'authentiques . Voiçi une première expérience conquise qui va me conduire à découvrir le travail de ce réalisateur . Pour public cinéphil .
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 décembre 2011
    J'ai résiste vaillamment pendant une heure, puis terrassée d' ennui, j'ai quitté la salle, juste après le discours apocalyptique du voisin... Des patates filmées sous toutes les coutures, la nuit qui tombe, le vent qui souffle, les rituels de vies arides, pourquoi pas, mais en plan séquence, c'est insoutenable... J'ai compté 3 ronfleurs dans la salle. Pourtant, belle idée de départ, la
    vie du cheval de Nietszche.
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