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    Easy Money
    Note moyenne
    2,9
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    125 critiques spectateurs

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    Spider cineman
    Spider cineman

    152 abonnés 2 002 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 octobre 2022
    Polar noir scandinave... on peu avoir un a priori positif. Néanmoins c est un peu décevant, le scénario est assez classique, je m attendais à une intrigue plus complexe et une réalisation plus fine. Les acteurs font le job sans plus relever le niveau. Ça se laisse regarder mais c est assez banal malgré quelques scènes d actions bien menées et mais sans surprises.
    traversay1
    traversay1

    3 538 abonnés 4 821 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 avril 2011
    En définitive, Easy Money n'est qu'un bon petit thriller qui joue avec habileté la carte du réalisme. Le scénario s'éparpille de manière à faire riche et, aux trois personnages principaux, s'ajoute une tripotée de malfrats de nationalité diverses dont le but est de mettre la main sur un camion de cocaïne en provenance d'Allemagne. Sur le fond, donc, rien bien de neuf sous le polar, l'intérêt est ailleurs. Dans la description des bas-fonds de Stockholm avec ses mafias cosmopolites : serbe, albanaise, arabe, latina, etc. Dans la mise en scène nerveuse, sous une lumière crue, branchée, mais pas toujours, sur la haute tension. A l'instar de ses grands modèles américains, Daniel Espinosa, incontestablement doué, ménage des pauses et s'attarde sur la vie familiale ou amoureuse de ses trois desperados. Risqué, mais gratifiant, car jamais gratuit ni sucré. Le cinéaste tient la note et se risque même sur le terrain social avec un portrait d'étudiant sans ressources, à la fois romanesque et en déphasage complet avec les milieux qu'il côtoie. L'argent, la famille, la drogue, la mort : les ingrédients sont connus, il suffit de savoir les doser. Pour un film qui ne réinvente pas la poudre mais qui s'ingénie à la faire parler.
    rogerwaters
    rogerwaters

    141 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 octobre 2017
    Le succès scandinave d’Easy Money a offert au réalisateur Daniel Espinosa son passeport pour Hollywood où il n’a pas encore vraiment brillé. A l’image de ce très gros succès qui n’est jamais catastrophique, mais n’a rien d’exceptionnel non plus. On se demande d’ailleurs comment une œuvre aussi classique dans son approche du banditisme a pu générer autant d’argent au point que deux suites ont été tournées ensuite – inédites sur notre territoire. Rien à reprocher de particulier à ce long-métrage qui sait être efficace, mais le scénario est très banal, la réalisation un peu hystérique et malmenée par un montage pas toujours très clair. En fait, le point vraiment positif vient du fait que chaque personnage est doté d’une vie propre, avec des proches qu’ils aiment. Il n’y a donc aucun personnage positif ni totalement négatif. C’est ce qui sauve Easy Money de la banalité. Vite vu, vite oublié.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 619 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 juin 2012
    Un jeune étudiant très brillant mais sans le sou d’une prestigieuse école de commerce de Stockholm se rapproche de la pègre locale afin de pouvoir suivre le train de vie élevé des jeunes bourgeois qu’il fréquente et qu’il admire. Rejoignant dans ses péripéties un gangster en cavale et un dangereux mafieux serbe ; il va se faire dépasser par les événements et sur un gros coup voir son destin basculé.
    Le bon, la brute et le truand version moderne démontrent surtout que la société suédoise n’est pas aussi harmonieuse que l’image idyllique que l’on en a dans le sud de l’Europe. A part ce constat, que retenir d’un film prévisible aux grosses ficelles ressassées. Et « Blondin », un as d’HEC, ne voie même pas venir dans quel pétrin il est en train de se mettre… Quelle intelligence supérieure !!!
    Pas convaincu par un polar assez terne.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 avril 2011
    NAVET ! C'est nul, les dialogues sont sans intérêt, très mauvais doublage, un véritable film amateur
    Pascal I
    Pascal I

    752 abonnés 4 113 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 mai 2011
    Traitement intéressant de la mafia, surtout sur les comportements mais ne révolutionne pas le genre, plus un copier/coller habituel. Les rôles introvertis sont un peu trop marqués ce qui les rends trop insipides. Le gros regret reste les longueurs trop redondantes. Quelques plans super marquant et très bien traités. 2/5 seulement car un certain manque d'originalité !!!
    Manu711
    Manu711

    59 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 juin 2012
    Adaptation cinématographique du premier tome de la trilogie de Jens Lapidus ; Stockholm Noir, Easy Money est une franche réussite. Le film ne s’écarte pas tellement de l’intrigue principale du livre, bien que certains points de l’histoire soient simplifiés. Mais cela apporte justement encore plus au film, car on se rend compte que ce qui a été modifié est justifié et est bénéfique à l’histoire, la rendant moins complexe, étant donné le nombre de personnages et les histoires de chacun… De plus les changements de rythmes sont bien dosés et on ne voit pas vraiment les gros coups arriver. Le dénouement est aussi extrêmement maitrisé. La réalisation légèrement hésitante et tremblotante rend le tout terriblement réaliste. Mis à part Joel Kinnaman, pas vraiment de noms connus à l’affiche : normal, il s’agit quasi-exclusivement d’acteurs amateurs. Cela était donc voulu pour avoir un rendu le plus proche possible de la réalité et c’est réussi : on s’y croirait. Le seul reproche que je peux faire est que la VF est très moyenne, elle est au début un frein mais on finit par s’y habituer. Ayant lu le bouquin et en attendant donc beaucoup, je suis quand même pleinement satisfait. Surtout que la fin nous laisse un peu sur le cul et ouvre largement sur une suite… Palpitant.
    ISAO12
    ISAO12

    43 abonnés 1 040 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 avril 2011
    Film extrèmement violent ou entre deux mafias se perd un jeune paumé arriviste et intelligent d' une école de commerce qui devrait faire leur bonheur.On suit sans emballement au travers de belles lumières flou cette histoire d'un jeune qui veut gravir les echelons de la vie pour etre ce qu'il cherche à paraitre un dandy sorti des magazines de mode.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 août 2011
    Je deviens de plus en plus fan du cinéma Scandinave (lato sensu). Et le nouveau film de Daniel Espinosa ne fera pas exception. Bon après, j'aurais bien quelque truc à redire mais dans l'ensemble Easy Money est une belle réussite. Le film nous conte ainsi, l'histoire de JW, jeune et brillant étudiant dans une École de Commerce. Un jeune gars qui a, financièrement parlant, beaucoup de mal à s'en sortir. Une difficulté renforcée par le milieu dans lequel il (tente) évolue. A savoir, l'univers d'une jeunesse née avec une cuillère d'argent dans la bouche où les fils/filles à papa. Tellement de mal qu'il n'a d'autre choix que de faire le taxi clandestin pour gagner un peu d'argent. Un choix qui va l'amener sur la pente dangereuse du crime organisé. Une pente dangereuse mais qui lui semble salvatrice, une pente qu'il lui donne l'illusion de pouvoir rentrer dans le monde fortuné de ses amis. Le film porte excellemment bien son nom, car c'est la tentation de l'argent facilement gagné qui le pousse à faire des mauvais choix. Et au final, c'est bien dans cette aspect que le film trouve tout son intérêt. Ce côté drame et inégalité social qui lui donne un éclairage beaucoup plus tragique ! De plus, les puritains devraient être content, le film se terminant comme il se devrait dans la vie réelle, parce que c'est bien connu, qui s'y frotte, s'y pique ! Vous l'aurez compris, c'est bien plus dans le scénario que je vois ce film comme une réussite ! Après, je dois dire que niveau réalisation, Easy Money n'a pas vraiment de quoi rougir mais sans savoir mettre le doigt dessus, il y a un petit truc qui m'a dérangé (trop lumineux peut être?). Et pour terminer, je me sens obliger de parler de Joel Kinnaman, véritable révélation du film ! Voilà, il me semble avoir fait le tour. Ah non, j'oubliais pour ceux qui ferait la même bêtise que moi, n'allez surtout pas le voir dans sa version française, elle est absolument désastreuse (bon ça m'apprendra mais c'était ça ou je le voyais jamais). Cette fois, j'ai finis, il ne me reste plus qu'à vous le conseiller ! Allez le voir...
    Alexandre L.
    Alexandre L.

    16 abonnés 380 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2011
    Un thriller violent et nerveux centré sur des personnages profonds et très humains, sur leurs doutes et leurs peurs face aux milieux dans lequel ils évoluent : crime organisé ou haute aristocratie, voir les deux à la fois... Un film haletant du début à la fin, avec une atmosphère qui change "agréablement" du cinéma holywoodien !
    Julien Vasquez
    Julien Vasquez

    31 abonnés 1 092 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juin 2012
    Un film intéressant avec une vision du milieu de la drogue un peu différente par rapport à ce que l'on a l'habitude de voir. La réalisation de Daniel Espinosa est pas mal dans le sens où elle installe une certaine atmosphère renforcée par le jeu des acteurs. Cependant, elle aurait pu être améliorée sur certains points surtout en ce qui est les scènes filmées caméra au poing.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 480 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 juillet 2021
    C'est un film qui suit principalement un jeune homme qui étudie et tente de cacher son passé pauvre à ses amis huppés tout en gagnant beaucoup d'argent de diverses manières il se retrouve soudain de mèche avec de méchants étrangers qui le traînent dans la boue. Tous les personnages sont des stéréotypes. Les étrangers maléfiques qui détruisent la Suède par leur travail criminel sont tous écrits comme si l'auteur du livre sur lequel est basé ce film n'avait lu que des livres médiocres. Il n'y a aucune respiration dans ce film. Le personnage principal est plus bidimensionnel qu'un morceau de carton pate et je n'ai ressenti aucune sympathie pour les personnages ni même aucune empathie pour les victimes. Il s'agit d'une vision boiteuse de quelqu'un qui a vu Scarface des milliers de fois et qui a adhéré à l'image de la grande criminalité en Suède telle qu'elle est filtrée par les tabloïds. La bande-son est censée nous rendre tristes par moments mais ca ne marche pas. Connaissez-vous la théorie des Mandarins un homme arrive et vous propose d'appuyer sur un bouton et soudainement vous devenez immensément riche pour le restant de vos jours mais en appuyant vous tuez 10.000 Mandarins au fin fond de la Chine appuierez vous sur le bouton. Je n'ai aucune sympathie particulière pour les chinois mais je ne me suis jamais même imaginer appuyant sur le bouton. Petite philosophie gratuite car n'oublions pas le titre du film Easy Money...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 avril 2011
    Si au départ je n’avais même pas remarqué Easy Money parmi les sorties ciné, les avis positifs de nombreux bloggeurs m’ont convaincu de tenter l’expérience. La nationalité suédoise du film, son succès dans son pays et la renommée du roman dont il est tiré, ont finit d’attiser ma curiosité…

    Pourtant à lire le synopsis, rien de bien nouveau. JW, brillant étudiant en Ecole de Commerce, mais qui ne roule pas sur l’or, succombe à la tentation de l’argent facile, en infiltrant un trafic de drogue. Il va croiser sur son chemin, Jorge, dealer en cavale, et Mrado, tueur à gage à la poursuite de Jorge. Rien de nouveau certes, mais rien de non moins efficace. Daniel Espinosa choisit de se centrer essentiellement sur JW, novice dans le milieu, comme l’est le spectateur, et qui va petit à petit comprendre que l’argent n’est pas si facile que ça et qu’il n’est qu’un pion sur un grand échiquier. Le spectateur se retrouve alors au plus prés des émotions de JW, de ses doutes et de ses angoisses, comme lui, il est perdu, et ne sait plus à qui se fier. Pour amplifier le processus émotionnel, Espinosa peaufine ses seconds rôles, notamment Jorge et Mrado, dont les histoires, bien que plus secondaires, donnent une atmosphère de film chorale, où les destins et les enjeux de chacun vont dépendre les uns des autres. Autres seconds rôles, obligatoires dans tout polar qui se respecte, et indispensable aux enjeux émotionnels, les femmes. Ainsi à chaque personnage masculin correspond un personnage féminin. La copine pour JW, la fille pour Mrado, la sœur et la mère pour Jorge. Si Easy Money reste dans le strict cadre du polar, il a cependant l’atout indéniable d’être européen et de ne pas se poser de limites, notamment dans sa fin, percutante de violence physique mais surtout psychologique.

    Et puis, si Easy Money fonctionne si bien, c’est parce qu’il est mené par une main de maître. Espinosa trouve le juste milieu entre réalisme et cinéma. L’image est magnifique, travaillée, mais sans aller dans l’ultra stylisation. Espinosa et son directeur photo jouent surtout sur les contre-jours et les surexpostions qui donnent une ambiance très lumineuse, contrastant avec la noirceur du propos. La caméra à l’épaule, les flous et autres plans serrés participent à l’ambiance réaliste du film. Le style visuel renforce très souvent le propos, comme dans cette scène au musée, où Espinosa filme indirectement la révélation de JW par son reflet, puis passe en plan direct sur le couple. La dynamisation du récit passe aussi par la qualité du montage, notamment lorsqu’il mêle plusieurs plans décalés dans le temps et/ou l’espace. Le plus bel exemple est celui de la première nuit entre JW et Sophie, où viennent s’intercaler leurs rendez-vous futurs, expliquant en une séquence l’importance de leur relation et créant ainsi une ellipse pour le moins originale.

    Par ailleurs, malgré une VF horrible (j’ai pas eu le choix), le casting participe aussi au succès du film. Joel Kinnaman, en chef de file, est une révélation (tout du moins en France) en offrant un jeu subtil, et en gardant même sa part de mystère. Matias Padin, Dragomir Mrsic et Lisa Henni le supportent admirablement.

    Easy Money reste donc un polar classique dans le fond, mais dont la maîtrise de Daniel Espinosa élève au rang de nouvelle petite perle venu du Nord. Et la bonne nouvelle, c’est que la saga littéraire contient deux autres tomes…
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    109 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 janvier 2014
    Bienvenue en voyoucratie. Daniel Espinosa tue l’innocence d’une Suède paisible, havre scandinave parmi d’autres, en démontrant, à la manière de Refn avec Pusher à Copenhague, que la pègre est elle aussi présente à Stockholm, capitale en pleine expansion. Par le biais de trois personnages distincts, le cinéaste fait s’entrechoquer les destinées. Le tueur à gages de la mafia Serbe, le narcotrafiquant d’immigration latine et le jeune suédois, naïf, implacablement attiré par les sommets, se côtoient, se croisent et s’entretuent. La belle affaire pour un polar conventionnel qui manque parfois de vitamines, qui manque d’un certain panache ayant fait la réussite de la trilogie Pusher. Pour autant, les amateurs du genre seront ici aux anges, le modèle cinématographique étant pleinement respecté et surtout, assumé.

    Snabba Cash, ou Easy Money, c’est surtout l’occasion de découvrir quelques talents exotiques. Le cinéaste d’abord, Daniel Espinosa, qui lui, dès le succès du présent film, aura filer en terre américaine pour réaliser son premier film à Hollywood, Safe House. A la manière de quelques-uns de ses confrères scandinaves, voilà un nouveau metteur en scène que l’on retrouvera sans doute à nouveau sur la scène international. En parlant de cinéma global, voici que l’on découvre Joel Kinnaman, jeune acteur suédois que l’on verra sous la masque du prochain Robocop. Toute une histoire, certes, mais soulignons que Snabba Cash semble être l’élément déclencheur de ce succès pour l’acteur et le réalisateur.

    Pour en revenir au film en lui-même, l’on ne pourra faire abstraction d’une légère tendance à la dramatisation. S’il est réjouissant de voir comment se termine les aventures criminelles de chacun des personnages, propos pessimiste, il n’est pas pour autant toujours agréable de voir comment Espinosa fait de ses personnages des victimes. A ce titre, bien des séquences dialoguées démontrent que le cinéaste n’invente rien mais s’inspire sans retenue de ses aïeux. Pour tout dire, hormis le personnage de Joel Kinnaman qui entre dans le milieu pour rester compétitif dans l’incursion de la jeune Jetset suédoise, l’ensemble des situations s’avèrent franchement bien trop référencées, classiques. Morale d’un vieux roublard à la jeunesse, la fierté mal interprétée d’un boss serbe, l’amitié improbable entre trafiquants, bien des sous-thèmes qu’Espinosa ne semble pas avoir complètement maîtrisés.

    Cela dit, dans l’ensemble, le film est positif, divertissant, relativement simple d’accès. Un polar suédois bon à prendre en cette période de vache maigre. Peu importe les fautes de goût, les quelques mauvaises lignes de dialogues, voilà un film correct, ce qui n’est pas un moindre fait de nos jours. Longue vie et prospérité au cinéma scandinave, qu’il soit suédois, norvégien, islandais ou surtout danois. 14/20
    Avoine M.
    Avoine M.

    57 abonnés 277 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 février 2012
    Mais quand reviendra-t-on au bon vieux polar sans fioritures en 90 minutes ? Ici, la volonté de donner de l'épaisseur aux personnages est si manifeste qu'on en arrive à des scènes hallucinantes de niaiserie ( le petit voyou qui s'émerveille à l'idée d'être...tonton !, le tueur et sa fille ), au détriment de l'intrigue principale - un gros deal de drogue que convoite plusieurs bandes adverses - et si l'amourette du "héros" peut s'excuser par son va-et-vient hésitant entre truands et fille à papa, cette dernière est si mal traitée par le scénariste que c'en est gênant pour elle. Quant aux scènes d'action...vous les filmez avec 2-3 caméras et vous découpez tout ça au hachoi...au montage et vous êtes bon pour taper dans l'oeil d'Hollywood et filmer le prochain blockbuster avec Denzel Washington.
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