Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Brazil
par Sylvain Blanchard
Tour à tour polar, film d'amour, pamphlet politique et portrait acerbe du chaos ambiant, "Carancho" transpire la noirceur et l'urgence, comme lorsqu'on entend le bruit des sirènes tout en sachant qu'il est trop tard. Un grand film.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) avec "Carancho", son sixième long métrage, Trapero cultive sa touche personnelle : celle d'un cinéma ultrasensible aux enjeux de société, d'une cruelle lucidité et d'une âpreté physique impressionnante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Impact physique, tension, suspense, description analytique d'une société corrompue qui incarne l'état actuel de notre monde, "Carancho" est aussi prenant qu'éprouvant. Au milieu de toute cette noirceur, Pablo Trapero parvient à déployer une romance aussi émouvante et fragile qu'une fleur qui éclôt au milieu des immondices.
20 Minutes
par Caroline Vié
L'atmosphère sourde et envoûtante de l'ensemble emporte le spectateur dans un monde fascinant par sa noirceur.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Figaroscope
par Olivier Delcroix
L'Argentin Pablo Trapero signe un thriller social rude, à l'américaine, au final haletant.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
(...) le réalisateur argentin Pablo Trapero signe avec "Carancho" un film très noir qui mêle avec une finesse pertinente histoire d'amour, thriller et sujet social.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Hubert Lizé
(...) un thriller abrasif doublé d'une histoire d'amour désespérée, dans l'atmosphère glauque et sanglante des hôpitaux de Buenos Aires.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Metro
par Jérôme Vermelin
(...) "Carancho" croise le réalisme social du cinéma sud-américain avec une efficacité visuelle à l'anglo-saxonne, aussi habile dans les relations humaines que dans la mise en scène du suspense.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La rédaction
(...) une chronique sociale noire et sanglante, conduite avec ardeur par une mise en scène ardente.
Paris Match
par Alain Spira
Ce drame d'une noirceur saisissante est illuminé par la qualité d'interprétation des deux acteurs principaux (...).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Pourvu d'une mise en scène à la fois nerveuse et suffocante, cette peinture, un peu mineure, du cynisme et de la corruption remplit néanmoins son cahier des charges jusqu'au bout grâce à un final très ironique.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Sébastien Chapuys
Comme les oeuvres précédentes de Pablo Trapero, "Carancho" constitue une passionnante radiographie d'un pays gangrené par la corruption, la violence et les inégalités.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Excessif
par Romain Le Vern
Sans révéler la pleine mesure de ses possibilités, "Carancho" donne cependant raison à son auteur qui n'a pas eu envie de choisir entre cinéma d'émotion et cinéma d'intervention.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur l'Express.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) Ce film noir exécuté avec art et servi par deux remarquables acteurs (...) se perd trop vite dans les méandres d'une intrigue à couper au couteau.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Gérard Lefort
Entre l'actrice Martina Gusman (Luján), beauté cabossée, et l'acteur Ricardo Darín (Sosa), physiquement "atteint", le courant passe, alternatif, quitte à faire sauter les plombs.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Dominique Martinez
(...) une mise en scène habile, efficace (...). L'exercice de style est tenu. On aurait aimé qu'il soit davantage incarné.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Isabelle Danel
Il y a, ici, une esthétique de la violence, un goût prononcé pour la laideur qui rampe en chacun des personnages. (...) La surenchère finit par être un peu contre-productive, mais la fulgurance, cependant, subsiste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Guillemette Odicino
Pablo Trapero (...) lorgne ouvertement vers le cinéma américain. Pour le meilleur : rythme de plus en plus haletant, asphalte mouillé et néons d'hôpital blafards sous lesquels défilent les brancards et les vautours. Pour le moins bon aussi : un scénario un peu forcé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
A la densité du présent, Trapero substitue une morale chrétienne (" on paie toujours par là où on a pêché ") qui, à trop vouloir faire sens, décrédibilise l'histoire et rend le film grotesque. Un vrai gâchis.
La Croix
par Arnaud Schwartz
(...) le film vaut pour l'âpre plongée nocturne qu'il offre, mais souffre sur la fin d'un empilement de rebondissements peu crédibles.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Brazil
Tour à tour polar, film d'amour, pamphlet politique et portrait acerbe du chaos ambiant, "Carancho" transpire la noirceur et l'urgence, comme lorsqu'on entend le bruit des sirènes tout en sachant qu'il est trop tard. Un grand film.
Le Monde
(...) avec "Carancho", son sixième long métrage, Trapero cultive sa touche personnelle : celle d'un cinéma ultrasensible aux enjeux de société, d'une cruelle lucidité et d'une âpreté physique impressionnante.
Les Inrockuptibles
Impact physique, tension, suspense, description analytique d'une société corrompue qui incarne l'état actuel de notre monde, "Carancho" est aussi prenant qu'éprouvant. Au milieu de toute cette noirceur, Pablo Trapero parvient à déployer une romance aussi émouvante et fragile qu'une fleur qui éclôt au milieu des immondices.
20 Minutes
L'atmosphère sourde et envoûtante de l'ensemble emporte le spectateur dans un monde fascinant par sa noirceur.
Le Figaroscope
L'Argentin Pablo Trapero signe un thriller social rude, à l'américaine, au final haletant.
Le Journal du Dimanche
(...) le réalisateur argentin Pablo Trapero signe avec "Carancho" un film très noir qui mêle avec une finesse pertinente histoire d'amour, thriller et sujet social.
Le Parisien
(...) un thriller abrasif doublé d'une histoire d'amour désespérée, dans l'atmosphère glauque et sanglante des hôpitaux de Buenos Aires.
Metro
(...) "Carancho" croise le réalisme social du cinéma sud-américain avec une efficacité visuelle à l'anglo-saxonne, aussi habile dans les relations humaines que dans la mise en scène du suspense.
Ouest France
(...) une chronique sociale noire et sanglante, conduite avec ardeur par une mise en scène ardente.
Paris Match
Ce drame d'une noirceur saisissante est illuminé par la qualité d'interprétation des deux acteurs principaux (...).
TéléCinéObs
Pourvu d'une mise en scène à la fois nerveuse et suffocante, cette peinture, un peu mineure, du cynisme et de la corruption remplit néanmoins son cahier des charges jusqu'au bout grâce à un final très ironique.
Critikat.com
Comme les oeuvres précédentes de Pablo Trapero, "Carancho" constitue une passionnante radiographie d'un pays gangrené par la corruption, la violence et les inégalités.
Excessif
Sans révéler la pleine mesure de ses possibilités, "Carancho" donne cependant raison à son auteur qui n'a pas eu envie de choisir entre cinéma d'émotion et cinéma d'intervention.
L'Express
Voir la critique sur l'Express.fr
L'Obs
(...) Ce film noir exécuté avec art et servi par deux remarquables acteurs (...) se perd trop vite dans les méandres d'une intrigue à couper au couteau.
Libération
Entre l'actrice Martina Gusman (Luján), beauté cabossée, et l'acteur Ricardo Darín (Sosa), physiquement "atteint", le courant passe, alternatif, quitte à faire sauter les plombs.
Positif
(...) une mise en scène habile, efficace (...). L'exercice de style est tenu. On aurait aimé qu'il soit davantage incarné.
Première
Il y a, ici, une esthétique de la violence, un goût prononcé pour la laideur qui rampe en chacun des personnages. (...) La surenchère finit par être un peu contre-productive, mais la fulgurance, cependant, subsiste.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Pablo Trapero (...) lorgne ouvertement vers le cinéma américain. Pour le meilleur : rythme de plus en plus haletant, asphalte mouillé et néons d'hôpital blafards sous lesquels défilent les brancards et les vautours. Pour le moins bon aussi : un scénario un peu forcé.
Cahiers du Cinéma
A la densité du présent, Trapero substitue une morale chrétienne (" on paie toujours par là où on a pêché ") qui, à trop vouloir faire sens, décrédibilise l'histoire et rend le film grotesque. Un vrai gâchis.
La Croix
(...) le film vaut pour l'âpre plongée nocturne qu'il offre, mais souffre sur la fin d'un empilement de rebondissements peu crédibles.