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Tour à tour polar, film d'amour, pamphlet politique et portrait acerbe du chaos ambiant, "Carancho" transpire la noirceur et l'urgence, comme lorsqu'on entend le bruit des sirènes tout en sachant qu'il est trop tard. Un grand film.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
(...) avec "Carancho", son sixième long métrage, Trapero cultive sa touche personnelle : celle d'un cinéma ultrasensible aux enjeux de société, d'une cruelle lucidité et d'une âpreté physique impressionnante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Impact physique, tension, suspense, description analytique d'une société corrompue qui incarne l'état actuel de notre monde, "Carancho" est aussi prenant qu'éprouvant. Au milieu de toute cette noirceur, Pablo Trapero parvient à déployer une romance aussi émouvante et fragile qu'une fleur qui éclôt au milieu des immondices.
(...) le réalisateur argentin Pablo Trapero signe avec "Carancho" un film très noir qui mêle avec une finesse pertinente histoire d'amour, thriller et sujet social.
(...) "Carancho" croise le réalisme social du cinéma sud-américain avec une efficacité visuelle à l'anglo-saxonne, aussi habile dans les relations humaines que dans la mise en scène du suspense.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Pourvu d'une mise en scène à la fois nerveuse et suffocante, cette peinture, un peu mineure, du cynisme et de la corruption remplit néanmoins son cahier des charges jusqu'au bout grâce à un final très ironique.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Comme les oeuvres précédentes de Pablo Trapero, "Carancho" constitue une passionnante radiographie d'un pays gangrené par la corruption, la violence et les inégalités.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Sans révéler la pleine mesure de ses possibilités, "Carancho" donne cependant raison à son auteur qui n'a pas eu envie de choisir entre cinéma d'émotion et cinéma d'intervention.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
(...) Ce film noir exécuté avec art et servi par deux remarquables acteurs (...) se perd trop vite dans les méandres d'une intrigue à couper au couteau.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Entre l'actrice Martina Gusman (Luján), beauté cabossée, et l'acteur Ricardo Darín (Sosa), physiquement "atteint", le courant passe, alternatif, quitte à faire sauter les plombs.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Il y a, ici, une esthétique de la violence, un goût prononcé pour la laideur qui rampe en chacun des personnages. (...) La surenchère finit par être un peu contre-productive, mais la fulgurance, cependant, subsiste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Pablo Trapero (...) lorgne ouvertement vers le cinéma américain. Pour le meilleur : rythme de plus en plus haletant, asphalte mouillé et néons d'hôpital blafards sous lesquels défilent les brancards et les vautours. Pour le moins bon aussi : un scénario un peu forcé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
A la densité du présent, Trapero substitue une morale chrétienne (" on paie toujours par là où on a pêché ") qui, à trop vouloir faire sens, décrédibilise l'histoire et rend le film grotesque. Un vrai gâchis.
Brazil
Tour à tour polar, film d'amour, pamphlet politique et portrait acerbe du chaos ambiant, "Carancho" transpire la noirceur et l'urgence, comme lorsqu'on entend le bruit des sirènes tout en sachant qu'il est trop tard. Un grand film.
Le Monde
(...) avec "Carancho", son sixième long métrage, Trapero cultive sa touche personnelle : celle d'un cinéma ultrasensible aux enjeux de société, d'une cruelle lucidité et d'une âpreté physique impressionnante.
Les Inrockuptibles
Impact physique, tension, suspense, description analytique d'une société corrompue qui incarne l'état actuel de notre monde, "Carancho" est aussi prenant qu'éprouvant. Au milieu de toute cette noirceur, Pablo Trapero parvient à déployer une romance aussi émouvante et fragile qu'une fleur qui éclôt au milieu des immondices.
20 Minutes
L'atmosphère sourde et envoûtante de l'ensemble emporte le spectateur dans un monde fascinant par sa noirceur.
Le Figaroscope
L'Argentin Pablo Trapero signe un thriller social rude, à l'américaine, au final haletant.
Le Journal du Dimanche
(...) le réalisateur argentin Pablo Trapero signe avec "Carancho" un film très noir qui mêle avec une finesse pertinente histoire d'amour, thriller et sujet social.
Le Parisien
(...) un thriller abrasif doublé d'une histoire d'amour désespérée, dans l'atmosphère glauque et sanglante des hôpitaux de Buenos Aires.
Metro
(...) "Carancho" croise le réalisme social du cinéma sud-américain avec une efficacité visuelle à l'anglo-saxonne, aussi habile dans les relations humaines que dans la mise en scène du suspense.
Ouest France
(...) une chronique sociale noire et sanglante, conduite avec ardeur par une mise en scène ardente.
Paris Match
Ce drame d'une noirceur saisissante est illuminé par la qualité d'interprétation des deux acteurs principaux (...).
TéléCinéObs
Pourvu d'une mise en scène à la fois nerveuse et suffocante, cette peinture, un peu mineure, du cynisme et de la corruption remplit néanmoins son cahier des charges jusqu'au bout grâce à un final très ironique.
Critikat.com
Comme les oeuvres précédentes de Pablo Trapero, "Carancho" constitue une passionnante radiographie d'un pays gangrené par la corruption, la violence et les inégalités.
Excessif
Sans révéler la pleine mesure de ses possibilités, "Carancho" donne cependant raison à son auteur qui n'a pas eu envie de choisir entre cinéma d'émotion et cinéma d'intervention.
L'Express
Voir la critique sur l'Express.fr
L'Obs
(...) Ce film noir exécuté avec art et servi par deux remarquables acteurs (...) se perd trop vite dans les méandres d'une intrigue à couper au couteau.
Libération
Entre l'actrice Martina Gusman (Luján), beauté cabossée, et l'acteur Ricardo Darín (Sosa), physiquement "atteint", le courant passe, alternatif, quitte à faire sauter les plombs.
Positif
(...) une mise en scène habile, efficace (...). L'exercice de style est tenu. On aurait aimé qu'il soit davantage incarné.
Première
Il y a, ici, une esthétique de la violence, un goût prononcé pour la laideur qui rampe en chacun des personnages. (...) La surenchère finit par être un peu contre-productive, mais la fulgurance, cependant, subsiste.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Pablo Trapero (...) lorgne ouvertement vers le cinéma américain. Pour le meilleur : rythme de plus en plus haletant, asphalte mouillé et néons d'hôpital blafards sous lesquels défilent les brancards et les vautours. Pour le moins bon aussi : un scénario un peu forcé.
Cahiers du Cinéma
A la densité du présent, Trapero substitue une morale chrétienne (" on paie toujours par là où on a pêché ") qui, à trop vouloir faire sens, décrédibilise l'histoire et rend le film grotesque. Un vrai gâchis.
La Croix
(...) le film vaut pour l'âpre plongée nocturne qu'il offre, mais souffre sur la fin d'un empilement de rebondissements peu crédibles.