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    The Housemaid
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    3,3
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    129 critiques spectateurs

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    monique h.
    monique h.

    49 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juin 2014
    très beau film sur la condition de servante en corée et la servante découvre le monde de la bourgeoisie , par contre la fin du film est trés imprévrisible
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 juin 2014
    “ Le réalisateur s'accroche désespérément au scénario comme la soubrette au lustre de cristal ! ”
    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    67 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 juin 2014
    Un film assez fascinant et d'un esthétisme marquant. Im Sang Soo réinvente un classique coréen et délivre une histoire perverse et pessimiste sur les rapports de classe en Corée, sur la culpabilité et l'honneur. Malgré sa référence (La Servante, 1960), le film est d'une modernité incroyable, il est parfaitement ancré à notre époque et profite d'une mise en scène au diapason : la photo est sublime et la réalisation s'inscrit dans une certaine mouvance coréenne à l'esthétisme poussé au paroxysme. Le suspense est présent et on est parfois scotché par certaines scènes à la portée émotionnelle très forte. La progression narrative et la montée de la tension, en plus de l'ancrage sociologique m'ont souvent fait pensé à Chabrol, ce qui n'est pas fait pour déplaire, d'autant que le tout est fait avec finesse. On pourra seulement reprocher au film un certain manque de radicalité parfois et quelques paresses, mais The Housemaid reste très réussi.
    Zabou2004
    Zabou2004

    6 abonnés 150 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 juin 2014
    Bof... Un film qui veut à la fois se donner des accents occidentaux via la famille bourgeoise coréenne écoutant de la musique classique et buvant du vin fin, et se donner des allures de drame érotique notamment par son affiche aguicheuse.... C'est surfait, prétentieux. Et surtout pur mensonge car l'érotisme n'est présent que dans 2 ou 3 scènes au début, assez courtes d'ailleurs, et puis plus rien. Ce n'était qu'un leurre pour cacher la faiblesse du scénario.

    Le drame de la jeune bonne/nounou nunuche et enceinte du maître de la maison n'est pas du tout crédible à notre époque, notamment avec le personnage de la belle-mère machiavélique qui n'a semble-t-il qu'un seul but dans la vie: anéantir cette pauvresse comme on le faisait au moyen âge... Pour un peu, on se croirait sans un conte d'Andersen pour adultes! Le réalisateur s'est trompé d'époque. Pourtant ça commence bien. Et puis l'on tombe rapidement dans la vacuité, l'absence de scénario et la caricature. Dommage. Les acteurs jouent bien, l'image est belle, c'est sans doute ce qui m'a permis de ne pas zapper avant la fin.
    MC4815162342
    MC4815162342

    397 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juin 2014
    "The Housemaid" est le remake du très très très très mauvais "La servante" de 1960, un remake utile pour une fois, un bon remake, qui rend l'histoire intéressante et beaucoup beaucoup mieux construite que dans l'original, les acteurs sont très bon, la réalisation de même, la mise en scène est soigné, les décors sont superbes, enfin "les", "la maison" plutôt vu que c'est un huis clos est superbe, le scénario même si pas franchement riche ni très folichon est intéressant et se laisse regarder.
    Et voilà j'ai fais le tour, donc quitte à voir cette histoire, autant mater ce remake que l'horrible film original.
    Akamaru
    Akamaru

    3 075 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 avril 2014
    Remake inavoué de "La Servante" de 1960,"The Housemaid"(2010)de Im-Sang Soo apporte avec lui ses considérations très cyniques et matérialistes. On savait la société Sud-coréenne au bord du malaise,du précipice. On le savait surtout grâce à ses polars désenchantés,moins par le biais d'un drame de mœurs étouffant. Des jeunes nantis retranchés dans leur maison de luxe,avec leur gouvernante et la nouvelle bonne. Une tension sexuelle explosive entre le mari et la nouvelle venue. Des non-dits et autres faux-semblants. L'arrivée d'une belle-mère impitoyable. Un accident qui n'en est pas un. L'enfance sacrifiée sur cette lutte des classes. Il y a beaucoup de choses à dire sur ce film,qui ne se départie jamais de son ton moralisateur,mais le fait avec une classe indéniable. C'est esthétiquement somptueux,et aussi glaçant que peut l'être cette demeure et ses habitants. Jeon do-Yeon est très attachante en sous-fibre dont le combat est perdu d'avance. On est choqué de constater les si grandes disparités entre les hautes et basses sociétés coréennes. Cette hiérarchie figée et humiliante est à la base de tous les maux de ce pays. Si la seconde partie ne pêchait par excès de grotesque,on tenait une œuvre phare.
    Truman.
    Truman.

    226 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mars 2014
    J'ai pu constater à droite et à gauche que "The Housemaid" se faisait descendre, souvent qualifié de coquille vide et soporifique à l'aspect faussement érotique .
    Et je dois dire que ça aurait été mon ressenti si je n'avais pas vu le film original "La Servante" de Kim Ki-young .

    En effet voir l'original permet non seulement de comparer mais de voir la différence et la vision du réalisateur qui est ici Im Sang-soo . Une vision ancrée dans l'air moderne, dans la richesse et dans une société différente .

    La première chose que l'on constate dans The Housemaid c'est qu'il perd son aspect Hitchcockien qui lui offrait un style unique, on perd bien évidemment le noir et blanc et la grandeur de la réalisation de Kim Ki-young mais on modernise le tout, on garde quelques plans bien sympas, puis on change de cap là ou La Servante concentrait son point de vu sur le mari ici The Housemaid nous place du coté de la servante .

    Un changement de coté très intéressant qui permet une réflexion bien mieux abouti, on rajoute une bande son sympathique et quelques passages érotiques et voilà un remake plus que correct .

    Il est vrai ensuite que le rythme est mou, que ça risque d'ennuyer beaucoup de monde et que la première partie reste bien meilleurs que la seconde qui se dévoile moins percutante .

    Néanmoins malgré ses défauts The Housemaid est un bon film car c'est un remake loin du vulgaire copié collé, on a ici un remake qui donne sa vision, une vision différente qui se détache de l'original sans s'en égarer pour autant .
    Dicidente
    Dicidente

    33 abonnés 691 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 juin 2013
    Euny, une jeune femme issue d'un milieu pauvre, va travailler en tant que servante chez des bourgeois. Hoon, le père de famille lui fait des avances.
    "The housemaid'' est un film captivant de par son histoire interressante, quoiqu'un peu long à certains moment où l'on aimerait que ça tourne moins en rond. Le tout est globalement simple, mais les décors et l'image très soignés.
    Kaori92
    Kaori92

    7 abonnés 97 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 avril 2013
    J'ai vu ce film il y a un moment, je ne l'ai vraiment pas aimé.
    Je n'aime pas du tout ce réalisateur.
    NeoLain
    NeoLain

    4 915 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 avril 2013
    Déception pour ce film sud-coréen. Participation au Festival de Cannes 2010. Le décor est pourtant très soigné et l'atmosphère est bonne.Là ou ça tourne, l'histoire qui à la base est riche, ne procure rien de très gouteux au palet, le vin est vinaigre au fur et à mesure. Le final est pleinement périmé, c'est un des gros ratage du film.
    Legid
    Legid

    35 abonnés 571 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 décembre 2012
    Moyennement convaincu par ce film !
    La réalisation et la photographie sont superbes et on ressent la volonté du réalisateur d'offrir une œuvre esthétiquement aboutie. Les acteurs sont très bons eux aussi et l'histoire est accrocheuse.
    Alors pourquoi seulement "pas mal" ? Et bien la fin est ratée ! Le final vire dans le grand n'importe quoi ridicule et a gâché la bonne impression que j'avais jusque là.
    A voir quand même pour la très belle réalisation !
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 octobre 2012
    Présenté à Cannes en sélection officielle, "The Housemaid" est le remake de "La Servante" de Kim Ki-young, film désigné par Koreanfilm.org comme un des trois plus grands films coréens de tous les temps. Remake ? Cela reste à voir, tant les deux versions sont différentes. Dans le film de Kim Ki-young, l'histoire se déroule dans la maison confortable mais assez modeste d'un professeur de musique, alors que dans celui d'Im Sang-soo elle a pour cadre une résidence somptueuse habitée par la famille d'un homme d'affaire. Des personnages disparaissent (l'élève du professeur de piano qui sert d'entremetteuse), d'autres apparaissent (la vieille gouvernante, la belle-mère). Mais surtout, la nature de la servante change du tout au tout : manipulatrice perverse chez Kim Ki-young, elle devient une jeune femme enfantine et naïve pour Im Sang-soo, et l'histoire en est radicalement changée, à commencer par cet élément crucial : qui prend l'initiaitive de l'adultère ?

    Im Sang-soo a bâti son film sous le signe de la symétrie. Dans la construction de l'histoire tout d'abord, avec une scène d'ouverture dont le premier plan nous montre une femme sur un balcon prête à sauter au dessus d'une foule de noctambules, d'employés de restaurant et d'éboueurs, le tout filmé en plan très courts, caméra portée et en éclairage naturel ; cette séquence s'oppose à la façon dont sont tournées toutes les scènes dans la maison, avec des longs travelings fluides ou des plans fixes à la composition élaborée, et une superbe photographie. Cette scène initiale du suicide d'une femme dont on ne sait rien, et qui donne surtout matière au voyeurisme des passants, annonce la scène finale.

    Ce principe de symétrie/opposition se trouve aussi dans la caractérisation des personnages : autour du mari, le mâle dominant de la maisonnée, à la fois surpuissant et assez falot, les femelles vont par paires. Deux femmes-enfants : l'épouse, enfant gâtée capricieuse et jalouse (même si elle lit Simone de Beauvoir), qui laisse exploser sa colère contre la vieille gouvernante en lui criant "A vos yeux, suis-je toujours une enfant ?", et Euny, présentée ainsi par Byunk-shik : "Elle est naïve, mais pas idiote", et qui fait la bombe dans la piscine du sauna dès que la famille a le dos tournée. Deux marâtres : la belle-mère, (trop) classique sorcière, et la vieille gouvernante, Byunk-shik, qui semble devoir jouer le rôle de Mrs Danvers dans "Rebecca", ou dans un registre moins tragique, celui de Raquel dans " La Nana". Mais le principe d'opposition joue là aussi, et Byunk-shik, lucide depuis toujours sur le fait que tout dans cette famille se résout avec de l'argent, finit par abandonner sa servilité pour affirmer sa dignité.

    Plusieurs plans illustrent cette symétrie, comme celui où la vieille gouvernante, de dos, s'oppose à Hera et à sa mère assises de part et d'autre du canapé. Mais celui qui résume le mieux la situation en annonçant les malheurs à venir est celui où le mari se trouve au centre de l'image, avec à sa gauche son épouse enceinte jusqu'aux dents alanguie dans un fauteuil en train de feuilleter un magazine (dominante rouge) et à droite la porte ouverte de la salle de bain où Euny en sueur frotte la baignoire (dominante noire).

    Nombreux sont les critiques, presse ou spectateurs, à reprocher au film de ne pas tenir les promesses que son début laisse entrevoir, et de basculer avec l'apparition de la belle-mère dans le mélodrame caricatural et convenu. Je comprends ce sentiment, tant la première moitié du film donnait une impression de cohérence entre la fluidité narrative et la sophistication de la mise en scène. Mais ce dérèglement n'est-il pas justement voulu, à l'image de l'implosion des codes de cette famille où un père apprend à sa fille de 8 ans qu'il faut "traiter les gens avec respect, c'est comme ça qu'on se montre supérieur" ?

    La qualité de "The Housemaid" repose aussi sur sa dsitribution : déjà justement récompensée en 1997 pour " Secret Sunshine", Jeon Do-Yeon est formidable dans un rôle aussi changeant, passant de l'espièglerie au désespoir, de l'innocence à la colère dévastatrice. Lee Jung-jae a les qualités du personnage : une plastique impeccable et un grand vide intérieur. Seo Woo met son physique de poupée au service de ce personnage de pauvre petite fille riche. Quant à Youn Yuh-jung, c'est la troisième fois qu'elle travaille avec Im Sang-soo, rejoignant Yoon Jung-hee ("Poetry") et Kim Hie-ja ("Mother") dans la liste de ces actrices impressionnantes.

    Au-delà de ses outrances, ou peut-être justement aussi à cause d'elles, Im Sang-soo confirme s'il en était besoin la remarquable vitalité du cinéma sud-coréen, qui joue aujourd'hui le rôle que le cinéma japonais occupait il y a quelques décennies, par la diversité de ses oeuvres et le talents de ses réalisateurs qui savent faire la synthèse entre tradition et modernité, avec un culot qui manque cruellement au cinéma français.
    Critiques Clunysiennes
    http://www.critiquesclunysiennes.com
    lorenzo fly
    lorenzo fly

    22 abonnés 813 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 septembre 2012
    Un film avec du potentiel mais malheureusement assez maladroit par moment et pas vraiment abouti. A voir pour les curieux!!
    betty63
    betty63

    20 abonnés 428 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 septembre 2012
    Pas vraiment terrible. Très froidement joué le drame a du mal à prendre sa vraie place et on sort de ce film comme on y est rentré. Sans émotions.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 27 août 2012
    Quand une jeune femme de chambre pénètre dans le monde corseté d'une famille bourgeoise, les choses tournent mal. Film d'ambiance et de malentendus, ce Housemaid provoque le spectateur, joue sur ses sens et ses dégouts pour réussir à le rendre mal à l'aise et tenir le pari d'un scénario pourtant simpliste.
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