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Bourré de situations cocasses, tout en étant toujours sur la corde raide et ultra-tendu, le film vous baladera durant deux heures, pour se terminer par une des scènes les plus glaçantes, cyniques et effroyables qu'on ait vues depuis un bail. Les murs à détruire ne sont pas ceux que l'on croit...
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Dans ce film oppressant, toujours sur le fil de la comédie et du drame, la mise en scène s'affirme constamment inventive et structurée, comme pour se hisser à la hauteur de l'esthétique du bâtiment de Le Corbusier.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Dans cette comédie grinçante, le propos de Mariano Cohn et Gastón Duprat est simple, un peu facile, mais efficace et donne une nouvelle preuve du dynamisme du cinéma argentin.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cette comédie, plus rugueuse qu'un crépi, part d'une simple querelle de voisinage pour peindre au pistolet deux milieux socioculturels qui n'auraient jamais dû se croiser.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'idée serait parfaite pour un court métrage. Mais cette comédie cruelle se répète et se dilue. L'interprétation incisive des comédiens et l'élégance froide de la fameuse demeure méritent néanmoins le détour.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Si cette mise en scène de l'altérité sociale se retient plutôt aux branches pour ne pas tomber dans tous les écueils du genre, elle ne manque tout de même pas de dérouler un menu assez convenu.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Tout en reconnaissant que le point de départ – l'idée de la fenêtre, l'utilisation du bâtiment futuriste – est excellent, on aurait aimé se passer de la caractérisation sociologique assez grossière et pesante qui s'ensuit.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Brazil
Bourré de situations cocasses, tout en étant toujours sur la corde raide et ultra-tendu, le film vous baladera durant deux heures, pour se terminer par une des scènes les plus glaçantes, cyniques et effroyables qu'on ait vues depuis un bail. Les murs à détruire ne sont pas ceux que l'on croit...
20 Minutes
Cette comédie grinçante et réjouissante témoigne du dynamisme du cinéma argentin (....).
Excessif
Un des meilleurs films de voisins jamais conçu.
La Croix
Dans ce film oppressant, toujours sur le fil de la comédie et du drame, la mise en scène s'affirme constamment inventive et structurée, comme pour se hisser à la hauteur de l'esthétique du bâtiment de Le Corbusier.
Le Monde
Au bout du compte, on obtient un film rare, même s'il est imparfait, une satire analytique qui exige un peu de réflexion pour faire rire.
Libération
Dans cette comédie grinçante, le propos de Mariano Cohn et Gastón Duprat est simple, un peu facile, mais efficace et donne une nouvelle preuve du dynamisme du cinéma argentin.
Paris Match
Cette comédie, plus rugueuse qu'un crépi, part d'une simple querelle de voisinage pour peindre au pistolet deux milieux socioculturels qui n'auraient jamais dû se croiser.
Positif
La mise en tension de ce duel s'avère habile, jouant des audaces architecturales de cette maison atypique.
Première
C'est désagréable mais ambitieux.
Télérama
L'idée serait parfaite pour un court métrage. Mais cette comédie cruelle se répète et se dilue. L'interprétation incisive des comédiens et l'élégance froide de la fameuse demeure méritent néanmoins le détour.
Critikat.com
Si cette mise en scène de l'altérité sociale se retient plutôt aux branches pour ne pas tomber dans tous les écueils du genre, elle ne manque tout de même pas de dérouler un menu assez convenu.
L'Humanité
Tout en reconnaissant que le point de départ – l'idée de la fenêtre, l'utilisation du bâtiment futuriste – est excellent, on aurait aimé se passer de la caractérisation sociologique assez grossière et pesante qui s'ensuit.
Les Inrockuptibles
Une histoire de harcèlement, dont l'humour s'évapore bien vite au profit de la satire surlignée.
Studio Ciné Live
Si la bonne idée du film est de ne jamais essayer de valoriser aucun des personnages, leur antipathie finit quand même par irriter.