Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
L'attente et le combat de la liberté sont ici observés avec une finesse rare, tressant dans un même chant désir de cinéma et révélation amoureuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Chronic'art.com
par Yann François
A mi-parcours, le film trouve son identité lorsqu'il s'éloigne du fatras réflexif.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Arnaud Hallet
On aura souvent entendu l'argument de sincérité d'un cinéaste pour défendre tel ou tel film. Argument insuffisant bien sûr : la seule sincérité n'a jamais fait de jolis films. Or, dans Les Mains libres, elle sert une grande pudeur jusque dans la mise en scène et l'écriture de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Florence Ben Sadoun
La caméra se fait personnage parce que le désir de filmer l'autre a inspiré le désir tout court. Un portrait de femme magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Dominique Widemann
Des bonheurs et des cruautés dont chaque pas accompli l'un vers l'autre recèle un noyau, Brigitte Sy nous épargne l'illustration simpliste. Par les moyens du cinéma.
Le Figaroscope
par Jean-Luc Wachthausen
Pas de sensiblerie, de compassion ici, mais beaucoup de pudeur et le sentiment confus de regarder deux êtres en chute libre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jean-Luc Douin
On ne s'en aperçoit pas tout de suite, mais Les Mains libres est un film rare, en ce qu'il vise à beaucoup plus que raconter une histoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Marie Sauvion
Toujours intense, l'actrice Ronit Elkabetz trouve un partenaire impressionnant en Carlo Brandt et Noémie Lvovsky, comme d'habitude, fait des étincelles.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier De Bruyn
voir Le Point.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Philippe Azoury
Pour raconter cette histoire si proche de la sienne, l'objectif de Sy cinéaste est d'arriver à retrouver à l'image quelque chose avec quoi elle a vécu, d'en restituer la présence et de ne pas la trahir ou la caricaturer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La rédaction
Ronit Elkabetz, Carlo Brandt, Noémie Lvovsky, le Rennais François Negret, entre autres protagonistes, donnent tout son sens et toute sa profondeur à ce drame d'amour et de sincérité.
Positif
par Jean A. Gili
(...) une histoire d'amour carcéral étrange et forte.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Isabelle Danel
Aidée par des comédiens d'une intensité rare (Ronit Elkabetz et Carlo Brandt), Brigitte Sy, sans nier les fautes, sans jamais tricher avec la dureté du monde carcéral, filme la liberté. D'être et d'aimer.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Brigitte Sy signe un film autobiographique où le mouvement de balancier du "dehors" et du "dedans" alterne, où la puissance du sentiment amoureux s'exprime dans des lettres, des mots, des regards et des caresses furtivement échangés, et où l'engagement des comédiens sidère. Film d'une très grande dignité et d'une bouleversante pudeur, Les Mains libres tient davantage de la tragédie grecque que de la chronique sociale. L'émotion qui en sourd est totale.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
La prison, ici, est une sorte de sas de décompression, voire un lieu d'écoute. (...) Romantique ? Le film l'assume, le revendique même, en donnant à cette passion interdite un caractère de célébration. Brigitte Sy retrouve des échos de l'amour courtois dans la ronde amoureuse de Michel autour de Barbara, (...).
Cahiers du Cinéma
par Charles Tesson
Cette rugosité sentimentale (un mélo de prison qui ne fait pas abstraction du milieu où il se passe) est le meilleur du film.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Excessif
par Jean-Étienne Pieri
Le fait que Les Mains Libres s'inspire de personnages et de faits apparemment réels a peut-être inhibé la cinéaste. Sa pudeur, vis-à-vis d'évènements aux résonances très personnelles, est bien sûr parfaitement compréhensible, mais elle l'a sans doute empêchée, de réaliser un film qui rende pleinement justice à cette histoire.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Eric Libiot
voir le site www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ronit Elkabetz interprète magnifiquement son rôle, donne beauté et crédibilité à une réalité hors norme.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
(...) la mise en scène de Brigitte Sy manque de distance par rapport à son sujet, du recul nécessaire pour donner une forme idéale et sereine à un ressenti aussi violent et douloureux. Le film recelle quelques scènes admirables (...) qui laissent entrevoir ce que le film aurait pu être s'il avait été un peu plus stylisé, (...) dépassionné en sorte.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Alain Spira
(...) une oeuvre carcérale aussi concise qu'envoûtante, dominée par le formidable couple que forment Ronit Elkabetz et Carlo Brandt. Une belle histoire d'amour...à perpétuité.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le Journal du Dimanche
L'attente et le combat de la liberté sont ici observés avec une finesse rare, tressant dans un même chant désir de cinéma et révélation amoureuse.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Chronic'art.com
A mi-parcours, le film trouve son identité lorsqu'il s'éloigne du fatras réflexif.
Critikat.com
On aura souvent entendu l'argument de sincérité d'un cinéaste pour défendre tel ou tel film. Argument insuffisant bien sûr : la seule sincérité n'a jamais fait de jolis films. Or, dans Les Mains libres, elle sert une grande pudeur jusque dans la mise en scène et l'écriture de ses personnages.
Elle
La caméra se fait personnage parce que le désir de filmer l'autre a inspiré le désir tout court. Un portrait de femme magnifique.
L'Humanité
Des bonheurs et des cruautés dont chaque pas accompli l'un vers l'autre recèle un noyau, Brigitte Sy nous épargne l'illustration simpliste. Par les moyens du cinéma.
Le Figaroscope
Pas de sensiblerie, de compassion ici, mais beaucoup de pudeur et le sentiment confus de regarder deux êtres en chute libre.
Le Monde
On ne s'en aperçoit pas tout de suite, mais Les Mains libres est un film rare, en ce qu'il vise à beaucoup plus que raconter une histoire.
Le Parisien
Toujours intense, l'actrice Ronit Elkabetz trouve un partenaire impressionnant en Carlo Brandt et Noémie Lvovsky, comme d'habitude, fait des étincelles.
Le Point
voir Le Point.fr
Libération
Pour raconter cette histoire si proche de la sienne, l'objectif de Sy cinéaste est d'arriver à retrouver à l'image quelque chose avec quoi elle a vécu, d'en restituer la présence et de ne pas la trahir ou la caricaturer.
Ouest France
Ronit Elkabetz, Carlo Brandt, Noémie Lvovsky, le Rennais François Negret, entre autres protagonistes, donnent tout son sens et toute sa profondeur à ce drame d'amour et de sincérité.
Positif
(...) une histoire d'amour carcéral étrange et forte.
Première
Aidée par des comédiens d'une intensité rare (Ronit Elkabetz et Carlo Brandt), Brigitte Sy, sans nier les fautes, sans jamais tricher avec la dureté du monde carcéral, filme la liberté. D'être et d'aimer.
TéléCinéObs
Brigitte Sy signe un film autobiographique où le mouvement de balancier du "dehors" et du "dedans" alterne, où la puissance du sentiment amoureux s'exprime dans des lettres, des mots, des regards et des caresses furtivement échangés, et où l'engagement des comédiens sidère. Film d'une très grande dignité et d'une bouleversante pudeur, Les Mains libres tient davantage de la tragédie grecque que de la chronique sociale. L'émotion qui en sourd est totale.
Télérama
La prison, ici, est une sorte de sas de décompression, voire un lieu d'écoute. (...) Romantique ? Le film l'assume, le revendique même, en donnant à cette passion interdite un caractère de célébration. Brigitte Sy retrouve des échos de l'amour courtois dans la ronde amoureuse de Michel autour de Barbara, (...).
Cahiers du Cinéma
Cette rugosité sentimentale (un mélo de prison qui ne fait pas abstraction du milieu où il se passe) est le meilleur du film.
Excessif
Le fait que Les Mains Libres s'inspire de personnages et de faits apparemment réels a peut-être inhibé la cinéaste. Sa pudeur, vis-à-vis d'évènements aux résonances très personnelles, est bien sûr parfaitement compréhensible, mais elle l'a sans doute empêchée, de réaliser un film qui rende pleinement justice à cette histoire.
L'Express
voir le site www.lexpress.fr
La Croix
Ronit Elkabetz interprète magnifiquement son rôle, donne beauté et crédibilité à une réalité hors norme.
Les Inrockuptibles
(...) la mise en scène de Brigitte Sy manque de distance par rapport à son sujet, du recul nécessaire pour donner une forme idéale et sereine à un ressenti aussi violent et douloureux. Le film recelle quelques scènes admirables (...) qui laissent entrevoir ce que le film aurait pu être s'il avait été un peu plus stylisé, (...) dépassionné en sorte.
Paris Match
(...) une oeuvre carcérale aussi concise qu'envoûtante, dominée par le formidable couple que forment Ronit Elkabetz et Carlo Brandt. Une belle histoire d'amour...à perpétuité.