Nettement en dessous du premier, c'est dommage. Mais on ne boude pas non plus son plaisir : l'humour fonctionne aussi, mais fait un peu trop forcé par moments, c'est dommage.
Une suite sans conviction dans laquelle il est malheureux d'apercevoir les pitreries qu'est obligé de faire à son âge Rowan Atkinson pour pouvoir manger. Dur métier que celui de comique de l'absurde.
Le comique anglais Rowan Atkinson ne m’intéresse pas du tout et je n'ai pas vu le premier volet en 2003. Ma seule raison un peu forcée d'aller voir le film c'est la présence de Gillian Anderson. J'ai été un immense fan de X FILES dont je possède les 9 saisons en dvd, des cartons de marchandises et je suis les filmographies de Gillian et David Duchovny. On n'a pas vu Anderson dans les salles françaises depuis l'été 2008 avec X FILES LE FILM.
c'est un plaisir de la retrouver avec sa voix française habituelle de Caroline Beaune dans un rôle consistant du genre de M dans les JAMES BOND. En brune l'air sévère avec les cheveux moins longs - la même longueur qu'à la fin de la dernière saison de X FILES en 2002 - je la préfère blonde comme maintenant avec les cheveux plus longs....
Quant aux film, il se laisse voir sans déplaisir et sans prétention, les scènes de gags sont plutôt bonnes, les combats bien filmés, et je suis ressorti avec le sourire de ce joyeux film d'espionnage.
s'il y a un 3éme volet, j'espère que Gillian sera dedans, car son rôle est bien installé maintenant...
Johnny English Reborn : film hilarant du début à la fin (je n'avais pas autant ri au cinéma depuis fort longtemps), Rowan Atkinson est parfait en tant d'espion raté de sa Majesté. Plus spectaculaire que son prédécesseur, il perd néanmoins son identité propre au profit de la parodie (Il ne s'agit pas des mêmes scénaristes. Pour le premier, il s'agissait de Neal Purvis et Robert Wade, les mêmes qui ont scénarisés les 4 derniers James Bond, donc des professionnel dans ce domaine), ce qui est fort dommage. Quand au compositeur, ce n'est pas le même également. Les musiques n'ont pas du tout la même qualité que celles du premier, et elles se rapprochent plus encore des musiques que l'on écrit pour les parodies. Conclusion, même si ce second épisode est moins bon que le premier, il vaut le détour!
Tout amateur de comédie anglaise se rappe de Johnny English, cet agent secret peu commun (pour ne pas dire complétement débile) dans lequel se glissait génialement Rowan Atkinson. Ce Mr Bean du MI7 (un Mix de mission impossible et de 007, non?) est de retour pour une mission qui s'annonce explosive si l'on se fie à l'affiche du film. Mais après 8 ans d’absence, Johnny English n'aurait-il pas pris un coup de vieux et quelques cheveux blancs? C'est hélas le cas, et dès les premières scènes, les dés semblent lancés. Plus d'humour British et raffiné, Oliver Parker a évidemment troqué le charme du premier épisode pour plus de simplicité et d'infantilisme. Comble de la comédie, "Johnny English, le retour" n'est même pas drôle, et vous incitera davantage à bailler qu'à esquisser un maigre sourire, entre l’écœurement et la pitié. Quelle gâchis pour Rowan Atkinson, pourtant si bon acteur et qui n'apparait qu’occasionnellement devant une caméra. Après le bide du très mauvais "Les Vacances de Mr Bean", Rowan enfonce un peu plus le clou en matière de niaiserie, et toutes les grimaces du monde n'y changerons rien: Malgré sa bouille imbattable et ses mimiques inimitables, le temps où Mr Bean excellait dans l'air de provoquer des fous rires est maintenant révolu; Rowan Atkison a du mal à convaincre tant on a l'impression qu'il ne sait pas si il faut trop ou pas assez en faire, pour au final nous livrer une performance comique de très bas niveau, pas "funny" du tout, indigne de son talent pourtant immense. La déception est donc profonde,mais pas moyen de se consoler ailleurs tant le film est plat et repose sur les épaules (trop frêles) de du héros-vedette. Le scénario n'est qu'un enrobage émacié d'un film d'espionnage ramolli, et malgré les (longues) minutes qui défilent dans l'attente d'un moment plus vivifiant, rien n'y fait. Cette mélasse faussement parodique et rabibochée à l'aveuglette ne laisse aucunes possibilités en matière de séquences hilarantes et ingénieuse; Le film n’emprunte guère le chemin de l'original, s'engouffrant directement dans une ravine toute tracée, celle de la facilité... et de l’échec. J'ai peut-peut être la dent un peu dure avec cette comédie qui réserve une ou deux séquences sympathiques, mais le film semble s'être saboté avant même qu'on ai pu lui laisser une chance tant les passages sont mal agencés et d'une platitude presque affolante. Cette comédie chaotique n'aurait jamais du sortir, car dorénavant on repensera à Johnny English d'une manière beaucoup moins ... amusante. Rabattez vous sur le premier épisode, bien plus réussi, et oubliez ce triste fiasco cinématographique. 6/20
Un second opus tout à fait à la hauteur du premier. Rowan Atkinson toujours aussi bien dans son rôle et certaines scènes sont vraiment mémorables. Pour moi c'est la meilleure comédie de l'année.
Ce deuxième opus copie davantage les modèles dont il est la parodie. L’enquête est moins loufoque qu’avec Malkovitch mais pas moins comique sporadiquement. Les scènes d’extérieur et les lieux emblématiques sont bien choisis. Le téléphérique par exemple et les poursuites parodiques sont très bien trouvées. Bean est toujours fidèle à lui-même et on s’en réjouit.
Parfois drôle et parfois lassant ! Ça démarre sympathiquement mais gros coup de mou aux 2/3 du film. Sans doute l'heure du thé ? J'aimerais bien revoir Mister Bean plutôt que ce Johnny ! 2,8/5
Rowan Atkinson, le célèbre comique anglais mondialement connu grâce à la série télévisée Mr. Bean (1990/1995) où il se mettait en scène, nous reviens huit ans après Johnny English (2003), une seconde fois dans la peau du désastreux agent secret britannique. Si le premier volet nous avait laissé un arrière goût amer, il faut bien reconnaître que cette suite nous offre là une agréable comédie d’espionnage où Oliver Parker (Le Portrait de Dorian Gray - 2009) succède à Peter Howitt à la réalisation. Toujours aussi drôle et absurde, c’est un réel plaisir de retrouver Rowan Atkinson dans la peau de ce James Bond raté qui, à 56 ans et les tempes grisonnantes, parvient sans le moindre mal à nous faire rire de ses blagues toutes plus stupides les unes que les autres. A ses côtés, on prendra beaucoup de plaisir à retrouver la (trop) discrète Gillian Anderson (X-Files : Aux frontières du réel - 1993/2002), aux côtés de Dominic West et de la (toujours aussi) ravissante Rosamund Pike. Johnny English, le retour (2011) est un savoureux cocktail alliant la parodie d’espionnage et le thriller, le tout, saupoudré d’une pointe d’humour bon enfant, où Rowan Atkinson excelle comme toujours dans le registre du comique, grâce à ses mimiques visuelles et les nombreux running gag (dont certains s’avèrent certes prévisibles mais dont l’effet est garantit).