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justderck
1 abonné
9 critiques
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2,5
Publiée le 24 février 2023
le film est bien, et montre bien l'horreur que les gens peuvent donner aux personnes Particulieres. Même si le film montre l'atrocité dans le monde, je le trouve un peu trop long et un peu dure a comprendre au tout début.
étant né dans les annés 2000 j'étais inquiet à l'idée de regarder un film en noir et blanc des années 80, mais quelle claque que fut elephant man, pas d'explosion de partout, pas d'effet spéciaux à chaques plans, ni même de plans super développé du décor londonien du 19e siecle, il se suffit largement à lui même.Tant d'émotions concéder par le personnage de John Merrick et du docteur Treves joué par le grand Anthony Hopkins. La grande qualité de ce film est son influence sur notre facon de penser et agir en société, la refléxion durant le film est omniprésente. Enfin bref, ce film est que recommandable.
Un des films les plus touchants, magnifiques que j'ai eu la chance de voir. Quelles prestations! Une histoire vraie traitée avec une main de maître. Un chef d'oeuvre.
Un bon film. Évidemment je ne remets en doute en aucun cas le travail accompli par les créateurs sur le film. Simplement je n’ai pas accroché j’en garde cependant le souvenir d’une assez bonne séance.
Que dire, si ce n'est des livres entiers pour dire que c'est le plus important film du monde. Toute la laideur et toute la beauté de l'univers se révèlent dans la lumière de John Merrick. La réalisation de Lynch est comme souvent aussi précise que creative, constamment au service de son propos. La bande son est parfaitement juste dans ce tableau d'humanité et de délicatesse.
Dans un somptueux noir et blanc "Elephant Man" est un véritable chef d'oeuvre, un des films les plus émouvants qui me fût donner de voir. Les plans sont très soignés, les acteurs d'une justesse incroyable (John Hurt et Anthony Hopkins en tête), la BO superbe. Du grand David Lynch.
Marquée de son empreinte lynchienne, la mise en scène symbolique aux images subliminales se pare d'un élégant bichrome aux jeux de lumière magistraux et retranscrit habilement l'époque victorienne. Alternant entre un naturalisme macabre et une tendresse pathétique pour son héros, le récit expose la fascination perverse pour la laideur en même temps que l'intolérance cruelle envers les difformités. Dérangeant mais brillant.
Un film nous faisant ressentir au plus profond de nos entrailles la compassion en vers la misère d'un homme mit à l'écart par une société qui le montre tel un monstre de foire. Captivant et très touchant.
Que dire à part sans doute qu il s agit du meilleur film de David Lynch . Pour une fois sobre et au service d une histoire belle et simple . La photo y est superbe et l émotion brut. Les comédiens sont magnifiques un beau et grand film .
Humain ! Magnifique ! Splendide ! Cinéphilique à fond !
David Lynch est un réalisateur à part et ça se sent ! Nous sommes en 1980 et loin du cinoche pourri du 21è siècle, l'on sent vraiment un chef d'oeuvre !!! Car Elephant Man n'est pas seulement un film, mais une oeuvre d'humanité !
D'après l'histoire vraie de John Merrick, un homme qui est né après que sa maman ait eue peur d'un éléphant, , ce film est un pur bijou !!!
Anthony Hopkins a un très bon rôle mais le mérite en revient à John Hurt ! Maquillé outrageusement et admirablement, l'acteur nous livre une une extraordinaire performance !
N'oublions pas que John Hurt a toujours été un acteur extraordinaire : celui qui se fait perforer le ventre dans " Alien " , le prisonnier défoncé dans " Midnight Express" ou encore le vendeur de baguettes magiques dans " Harry Potter " .
Hé bien , dans " Elephant Man " , il est le monstre ! Mais le monstre intelligent !
Car les monstres ne sont pas seulement les " différents de la société" mais ceux qui sont soi-disants normaux mais qui se prennent pour la race supérieure en étant MECHANTS !!!
J'ai vu ce film il y a trente ans et j'ai pleuré ! Pleuré devant le superbe jeu d'acteur de John Hurt et Anne Bancroft ! Et je m'étais promis de ne jamais le revoir pour cause de déprime !
Mais je VAIS le REVOIR !!!
Pour la réalisation de David Lynch et la géniale performance de John Hurt !!!
Un noir et blanc parfaitement maitriser par David Lynch qui rend des scène très poignante et sombre. Chef d'œuvre du 7ème art qui marque la différence dans notre société. La compassion que nous crée John Merrick et l'atmosphère du Londres du 19ème siècle amènent à des sentiments diverses, puissant et d'une humanité qui nous laisse sans voix.
Film d'une puissance visuelle et morale. Revu 30 ans après une première expérience qui m'avait marquée. Cette fois, je tenais à le faire découvrir à mes filles.
Comme un éloge de l’ambiguïté, ce mélo déchirant rappelle au spectateur qu’il est d’abord un voyeur.
Atteint de graves difformités physiques, John Merrick est l’attraction d’un cirque anglais à la fin du XIXème siècle. Un chirurgien intéressé par ces malformations et touché par son sort l’achète à son geôlier. Le médecin comprend que ce monstre est un homme meurtri, intelligent, sensible.
Quelle déviance nous amène à jouir du spectacle de la souffrance, celle des animaux comme celle des hommes quand ils sont différents ? Elephant Man montre la déshumanisation à l’œuvre. Celle qui autorise, pour le plaisir, à traiter un homme aussi cruellement qu’un animal, qu’un éléphant par exemple.
Violée par des éléphants ?
David Lynch joue avec les sentiments du spectateur, tout en ambiguïté. Qu’avons-nous à voir avec les voyeurs sadiques de ces temps anciens, dans ce film en noir et blanc ? Nous, spectateurs modernes, qui regardons cette fiction les larmes aux yeux ? Nous nous apitoyons sur la souffrance de John Merrick. Lynch prend plus d’une demi-heure pour nous le dévoiler à nous spectateur qu’une malsaine curiosité agite.
Dès les premiers plans, Lynch nous entraîne dans ses hantises. La première scène du film est déroutante. Qu’arrive-t-il à la mère de Merrick ? Le montage est saccadé. Est-ce un rêve, est-elle bousculée, ou même violée par des éléphants ? S’agit-il du cauchemar de Merrick, d’une « explication » inconsciente de sa monstruosité formulée par l’imaginaire de Merrick ?
Au bout de cette cruauté, nait la beauté, la morale du film. Des quelques moments de grâce où Merrick échappe à la bêtise de ses semblables, où l’humain, exceptionnellement, laisse parler son cœur.
Il s’agit d’un très beau film, souvent poignant, fort bien joué, qu’il convient absolument de voir même si certains passages font désespérer de la nature humaine. On aurait cependant aimé une autre fin, moins énigmatique.