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    Elephant Man
    Note moyenne
    4,4
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    681 critiques spectateurs

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    Sébastien D
    Sébastien D

    106 abonnés 545 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 mars 2010
    Un film déchirant. Un énorme cri a la tolérance et l'acceptation de tous. J'ai pleuré des heures a cause de ce film incroyablement touchant.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 décembre 2009
    Enorme ce film. javé bien aimé herased , mé la David L ns a fai un film magnifique, pr son histoir belle est triste a la foi. j'ai encor du mal a regardé la scene ou le gardien acompagné de ses amies va voir john M dans sa chambre, cet scene c pour moi la perfection du film car on se sen bléssé oci. j'ai oci bokou aimé la performance de A Hopkins (kom dab ^^ ) voila c tout je vou le recomande absolument
    Samuel S.
    Samuel S.

    20 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 juillet 2013
    Un pur chef d’œuvre bouleversant, qui m'a marqué à jamais. Du grand cinéma. A voir impérativement !!!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 30 septembre 2012
    Dans mon souvenir trés spécial mais ça marque plus à certains âges et à l époque je devais être ado et déjà l existence d Éléphant Man me déstabilisait et m émouvait .
    justderck
    justderck

    1 abonné 9 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 février 2023
    le film est bien, et montre bien l'horreur que les gens peuvent donner aux personnes Particulieres. Même si le film montre l'atrocité dans le monde, je le trouve un peu trop long et un peu dure a comprendre au tout début.
    Sébastien
    Sébastien

    17 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 décembre 2021
    Comme un éloge de l’ambiguïté, ce mélo déchirant rappelle au spectateur qu’il est d’abord un voyeur.

    Atteint de graves difformités physiques, John Merrick est l’attraction d’un cirque anglais à la fin du XIXème siècle. Un chirurgien intéressé par ces malformations et touché par son sort l’achète à son geôlier. Le médecin comprend que ce monstre est un homme meurtri, intelligent, sensible.

    Quelle déviance nous amène à jouir du spectacle de la souffrance, celle des animaux comme celle des hommes quand ils sont différents ? Elephant Man montre la déshumanisation à l’œuvre. Celle qui autorise, pour le plaisir, à traiter un homme aussi cruellement qu’un animal, qu’un éléphant par exemple.

    Violée par des éléphants ?

    David Lynch joue avec les sentiments du spectateur, tout en ambiguïté. Qu’avons-nous à voir avec les voyeurs sadiques de ces temps anciens, dans ce film en noir et blanc ? Nous, spectateurs modernes, qui regardons cette fiction les larmes aux yeux ? Nous nous apitoyons sur la souffrance de John Merrick. Lynch prend plus d’une demi-heure pour nous le dévoiler à nous spectateur qu’une malsaine curiosité agite.

    Dès les premiers plans, Lynch nous entraîne dans ses hantises. La première scène du film est déroutante. Qu’arrive-t-il à la mère de Merrick ? Le montage est saccadé. Est-ce un rêve, est-elle bousculée, ou même violée par des éléphants ? S’agit-il du cauchemar de Merrick, d’une « explication » inconsciente de sa monstruosité formulée par l’imaginaire de Merrick ?

    Au bout de cette cruauté, nait la beauté, la morale du film. Des quelques moments de grâce où Merrick échappe à la bêtise de ses semblables, où l’humain, exceptionnellement, laisse parler son cœur.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 décembre 2011
    Un chef-d'oeuvre, un film qui me marquera pour la vie.
    Ricco92
    Ricco92

    224 abonnés 2 149 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 octobre 2017
    Il est assez improbable de penser qu’un réalisateur de comédies souvent assez lourdes puisse décider, en tant que producteur, de confier un projet plein de sensibilité à un cinéaste qui n’avait à ce moment-là réalisé qu’un seul film long métrage expérimental à la narration très obscure. Ce fut pourtant le cas de Mel Brooks qui accepta de faire réaliser Elephant man par David Lynch (qui était toutefois lié au projet avant l’auteur de Frankenstein junior).
    Le résultat se révèle être un véritable chef-d’œuvre car, à l’exception de la première séquence, d’une séquence de rêve et des derniers plans, Lynch adopte une optique purement narrative qui permet de s’attacher totalement à un personnage très sensible dont la vie n’est comparable à aucune autre (et parfaitement interprété par un John Hurt qui arrive à dégager beaucoup d’émotions sous son imposant maquillage). En effet, John Merrick (comme l’appelait la biographie de Frederick Treves alors qu’il se nommait en réalité Joseph Merrick) est un être très émouvant car doté d’intelligence (contrairement à ce que souhaite Frederick Treves lors de leurs premières rencontres qui espère qu’il soit idiot pour ne pas se rendre compte de son malheur) et il est très difficile de ne pas être touché par le destin de cet être dont le seul souhait est d’être un être humain comme un autre (la célèbre réplique « Je ne suis pas un éléphant ! Je ne suis pas un animal ! Je suis un être humain ! », son désir de pouvoir dormir allongé comme tout le monde qui le conduira à la mort).
    Malgré quelques libertés avec la réalité, Lynch arrive à ne pas sombrer dans le mélodramatique et dans le pathos (malgré l’apparition progressive de l’apparence du personnage qui est d’abord entrevu par des plans très rapides puis est caché sous une cagoule ou est filmé de dos avant d’être réellement montré au bout d’une demi-heure environ) en dégageant cependant beaucoup d’émotions (je dois reconnaitre avoir mis près de vingt ans pour voir le film une seconde fois car lors de sa première vision, vers 12 ou 13 ans, ce film m’avait fondre en larmes d’un bout à l’autre) liées surtout à la conscience de Merrick de son propre état et de son acceptation du rejet des autres souvent par peur et parfois son exploitation par pure méchanceté humaine et avarice (Bytes, le gardien de nuit). De plus, le fait que l’histoire se soit située dans le Londres de l’Angleterre victorienne qui était très dure donne encore plus de force à ce destin dramatique.
    Le tout est renforcé par la magnifique musique de John Morris, associée dans la dernière séquence au magnifique Adagio pour cordes de Samuel Barber, et la splendide photographie de Freddie Francis (qui eu un passé de réalisateur pour la Hammer qui lui a permis d’apprendre à mettre en valeur l’époque victorienne puisque les films de cette société se déroulaient souvent à cette époque).
    Elephant man est donc un véritable chef-d’œuvre qui arrive à associer exigence artistique et émotions. À voir absolument.
    T-Tiff
    T-Tiff

    92 abonnés 1 185 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2020
    "Elephant Man" est un film déroutant, d'une grande sensibilité et qui ne laisse pas indifférent. Il raconte l'histoire d'un homme né avec diverses malformations et qui est donc quasiment traité comme un animal. Tout va changer le jour où il rencontre le docteur Treves, incarné par un bon Anthony Hopkins. Volontairement tourné en noir et blanc, le visage difforme de l'homme-éléphant n'en ait pas moins marquant et provoquera, probablement comme les différents figurants du film, le dégoût, la curiosité et la compassion. Le regretté John Hurt a probablement tenu ici le rôle le plus mémorable de sa grande carrière. La deuxième partie du film, jouant moins sur le fantastique que sur le dramatique, est vraiment réussi. "Elephant Man" de David Lynch est donc un grand film, certainement précurseur en un sens de nombreux film qui ont suivi dans la même thématique de l'acceptation de l'autre. David Lynch aura sans doute apprécié se retrouver propulsé en maître du genre fantastique.
    bladgik
    bladgik

    90 abonnés 536 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mars 2021
    Un film marquant poignant sur les différences et la cruauté humaine . Heureusement il y a le personnage de Anthony Hopkins pour sauver le pauvre Homme éléphant. Ce personnage est si attachant je ne peux que avoir de l'empathie. Certaines scènes sont bouleversantes et notamment le dénouement .
    Xavier D
    Xavier D

    59 abonnés 1 064 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 juillet 2020
    Anthony Hopkins, joue un médecin, avec beaucoup d'élégance et de charisme, entre raffiné et gravité, de la faculté de médecine qui veut étudier l'Eléphant Man joué par le regretté John Hurt (évidemment méconnaissable dans ce rôle ci !) qui après été tué par un Alien, etoffe sa carrière différemment, et de manière plus sérieuse, choisi des rôles plus marqués. Je reconnais David lynch sur sa réalisation singulière et inégalé sur un sujet grave et très intéressant. J'ai l'impression que j'ai affaire à un vieux film des années 40, avec son côté noir et blanc ainsi que les costumes, alors qu'il a été mise en scènes en 1980. Un film difficile et culte. J'ai toujours eu du mal à voir ce long métrage par peur d'être choquer mais l'attente est fortement récompensé.
    ned123
    ned123

    157 abonnés 1 683 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 septembre 2013
    J'ai vu un film... qui porte un message d'un espoir fou à travers une maîtrise parfaite de la caméra, du cadrage et de la lumière... Les comédiens sont somptueux et réussissent à faire passer des émotions fortes, qui font place à des valeurs humaines fortes comme la solidarité, l'amitié, l'engagement. Le film traite avec beaucoup de subtilité et de tact la vie de ce personnage difforme, à la vie déchirée. Il faut souligner la performance de John Hurt qui réussit, malgré un maquillage invasif, à faire passer des émotions à travers de ses mouvements et de ses postures. Il s'agit d'un chef-doeuvre absolu, car on sent les intentions créatives à chaque plan. Ce film laisse une trace forte car une fois celui-ci terminé on est pris par des bouffées d'émotions, et des réminiscences qui nous gagnent. On fait dans ce film, et le parallèle est intéressant, le lien avec "Freaks" de Tod Browning, où l'on retrouve cette population de phénomènes de foire, obligés de s'entraider pour échapper au monde de la "normalité". Anthony Hopkins livre une prestation impeccable et permet de réhabiliter le monde des gens "normaux". Un très beau film...
    CH1218
    CH1218

    199 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 mai 2018
    Attention : chef d’œuvre. Tourné dans un somptueux noir-blanc qui lui va à ravir, ce drame victorien narre la véritable histoire de Joseph Merrick, un homme atteint d'une importante difformation anatomique. Deuxième film de David Lynch, « Elephant Man » est le plus accessible qu’il aille mis en scène mais également le plus émouvant. Sous son imposant maquillage de "monstre de foire", John Hurt est bouleversant et fait preuve d’une grande sensibilité, laquelle réagit comme un miroir à l’humanité qui se dégage d’Anthony Hopkins.
    elisa2102
    elisa2102

    139 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 avril 2012
    A Londres, un jeune chirurgien, le docteur Frederick Treves (Anthony Hopkins), trouve dans une fête foraine dont il est l'attraction, un jeune homme monstrueusement déformé. Il l'examine, l'emmène avec lui et découvre qu'il a en face de lui un être timide et craintif mais sensible, qui sait penser et parler, qui aime lire et discuter et crée des oeuvres d'art sur papier de sa main gauche restée intacte. Elephant man est basé sur l'histoire véridique de Joseph Carey Merrick, né en 1862 à Leicester et souffrant d'une forme aïgue de neurofibromatose, une maladie caractérisée par des tumeurs cutanées et des lésions osseuses. Frederick Treves le découvrit en 1884 dans une baraque foraine. En 1923, le médecin fit paraître ses mémoires "The elephant man and other Reminiscences" lesquelles, avec le livre "The Elephant Man : A study in human dignity" d'Ashley Montagu ont servi de modèle au film. C'est avec une profonde sensibilité que le réalisateur David Lynch nous montre cet être atrocement déformé. Durant les premières trentes minutes, nous ne voyons que les réactions de ceux qui sont en face de Merrick, ainsi, lorsque nous apercevons enfin son visage, nous connaissons déjà sa personnalité attachante et il ne nous effraie plus. Comme l'a dit David Lynch : "Il s'agissait de familiariser le public avec le monstre, afin que le monstre puisse disparaître et l'homme apparaître". Néanmoins, le martyre du pauvre homme ne touche pas à sa fin quand Treves l'emmène avec lui, puisqu'il est enfermé à l'hôpital où il devra satisfaire la curiosité des savants de la société de pathologie qui le considèrent comme un bel objet d'études, ainsi que la curiosité des membres de la haute société londonnienne qui trouvent chic d'aller de temps en temps prendre le thé avec le "monstre", sans oublier enfin la curiosité des prostituées et des ivrognes que le surveillant de l'hôpital laisse entrer afin qu'ils puissent le contempler aux aussi. Elephant man a un aspect particulièrement "historique" : les zones d'ombre et de lumière sont extrêmement prononcées, la lumière est douce, et souvent les arrières plans disparaissent dans un espace lumineux et diffus. Ceci est l'oeuvre du chef opérateur Freddie Francis (1917-2007). Les effets sonores renforcent l'étrangeté de l'ensemble. Elephant man est un pur chef d'oeuvre original et bouleversant, aussi émouvant sur le plan émotionnel qu'admirable sur le plan de la composition et de l'esthétique, il jette un regard sans concession sur l'angleterre victorienne, il valut à Lynch la reconnaissance internationale et ce fut paradoxalement la révélation, dans le rôle de John Merrick, du comédien John Hurt, méconnaissable sous le amquillage hallucinant créé par Christopher Tucker. Il livre une interprétation magnifique car il communique magistralement des émotions profondes alors qu'il est gêné par l'impossibilité d'utiliser son visage ou même beaucoup de sa voix. Si l'on excepte des séquences de visions au début et à la fin ainsi que les scènes de cauchemar au milieu, le film est raconté de manière naturaliste et fait revivre en images pleines d'ambiance le Londres des années 1880. Le chef opérateur et directeur de la photographie Freddie Francis, les costumiers et ensembliers (tous nominés pour un oscar) ont créé une oeuvre hors du commun. Dans ce film, nominé pour 8 oscars mais qui n'en obtint aucun, Lynch rend hommage à deux grandes oeuvres apparentées sur le plan thématique : Merrick habite dans un clocher comme Quasimodo (The hunback of Notre Dame, 1939) de William Dieterle; une scène où d'autres "monstres de foire" libèrent Merrick enfermé dans sa cage fait allusion à Freaks (La monstrueuse parade, 1932), le grand classique de Tod Browning. Ce film m'a énormément touché, il est incontestablement à découvrir. Le moment le plus marquant du film reste sans doute celui où John Merrick s'exprime devant la foule qui le poursuit en disant : "Je ne suis pas un animal ! Je suis un être humain ! Je suis un homme !"
    benoitparis
    benoitparis

    109 abonnés 1 277 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 février 2012
    Le type même de films qu’on ne se lasse pas de revoir. C’est comme si l’on assistait à une œuvre à deux niveaux. Au premier degré à un drame terriblement poignant, et plus souterrainement à une réflexion prodigieusement profonde et complexe sur la nature de la monstruosité, et ses rapports avec la représentation, le spectacle, et aussi avec l’ambivalence fondamentale des choses (du bien et du mal en premier lieu). « Elephant Man » est un des films les plus traditionnels et référencié de son auteur. On y trouve une claire inspiration par « Freaks » de Tod Browning, le décors est celui assez habituel au cinéma fantastique de l’Angleterre victorienne de la Révolution industrielle, avec sa misère urbaine et la présence sourdement angoissante du machinisme. On est loin des labyrinthes mentaux, de la bizarrerie systématique de ses derniers films. Lynch parvient tout de même à subvertir la forme imposée et à distiller, par la seule beauté des images, le rythme des séquences, la bande son, un sentiment de décalage dans la banalité, une inquiétante étrangeté, qui se superpose à l’émotion mélodramatique. C’est décidément un grand maître.
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