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Septième Sens
87 abonnés
762 critiques
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2,5
Publiée le 31 mai 2013
Cinéaste qui se fait rare, Stephen Daldry est un artiste sensible, touchant. Le drame étant sa marque de fabrique, il continue dans cette voie en adaptant le livre éponyme de Safran Foer. Oskar Schell est un petit garçon qui a perdu son père dans les attentats du 11 septembre. Alors qu'il avait noué avec lui une relation très profonde, il retrouve une clé dans ses affaires et va tenter de savoir ce qu'elle ouvre. Sorti le 25 décembre aux États-Unis, cette histoire a l'apparence d'un conte, avec cette mission que l'enfant essaye de résoudre, et les belles valeurs morales qui sont présentées. Véritable hymne à la solidarité, ce film rend hommage aux familles des victimes du World Trade Center. Mais lorsqu'on s'attaque à ce thème, il est facile de se pencher vers un côté mélodramatique superflu . Et à certains moments (notamment à la fin), le récit tombe dans ce piège. Avec ce titre puissant, on s'attendait à un tourbillon d'émotions, une oeuvre qui nous prendrait à la gorge, comme l'avaient fait auparavant The Hours et The Reader, mais nos attentes sont contrariées par une ambiance inégale, dotée d'un scénario souffrant de creux et de longueurs. Il ne faut cependant pas être trop négatif car Extrêmement fort... comporte ses moments de grâce avec un montage plutôt bien utilisé, et des scènes intenses menées par un enfant impressionnant de maturité et de conviction. Déçu de ne pas avoir assez vibré, on sortira de la salle avec la musique d'Alexandre Desplat (qui s'en sort bien même si cela ne vaut pas du Philip Glass) dans la tête et certaines images marquantes, dont seul Daldry a le secret.
Septembre 2011, Oskar Schell, 11 ans, découvre une clé dans le dressing de son père qui vient de mourir lors des attentats du World Trade ce alors une chasse aux trésors au coeur de New-York pour retrouver la serrure correspondant à cette clé.
On savait Stephen Daldry, réalisateur de l'excellent "the Hours" et des très plaisants "Billy Elliot" et "The Reader", amateur de scènes lacrymales. Dans "Extrêmement fort et incroyablement près", il joue à fond sur la corde sensible. C'est un peu lourd et cela perd en efficacité. On aimerait adhérer totalement au récit mais cette émotion artificielle perturbe d'autant plus qu'elle a pour décor un drame de notre histoire moderne, sans doute encore trop proche pour qu'on se lâche totalement sur le spectacle d'une émotion complaisante.
Extrêmement fort et incroyablement près est tiré du roman éponyme de Jonathan Safran Foer, publié en 2005, et qui est la toute première œuvre majeure de fiction à se pencher sur la détresse des familles touchées par les attentats du 11 septembre.
C’est l’histoire du jeune Oscar qui coule des jours heureux à New-York avec ses parents et sa grand-mère. Enfant très angoissé, il est sans arrêt sollicité par son père qui tient à l’aider à vaincre ses peurs, à croire en lui. Mais le 11 septembre, la vie du jeune Oscar bascule lorsque son père disparaît dans l’une des deux tours du World Trade Center. Un an après la tragédie, il découvre une clé dans les affaires du défunt. Persuadé que rien n’est dû au hasard, Oscar se jette corps et âme à la recherche de la serrure que la mystérieuse clé ouvre.
Excellent film avec de très bons acteurs notamment Thomas Horn. Un jeune acteur qui a devant lui une excellente carrière. Les paroles du jeune Oscar sont souvent violentes et on ressent bien l'émotion qui se veut être transmise. L'un des films qui restera gravé dans ma mémoire !
« Extrêmement fort et incroyablement près » est le quatrième long-métrage du réalisateur Britannique Stephen Daldry. Il met en scène un jeune garçon atteint du syndrome d'asperger prénommé Oskar qui doit affronter la mort de son père, décédé pendant les attentats du World Trade Center. Un an après la mort de son père, Oskar décide enfin de pénétrer dans la chambre parentale et se met à fouiller dans le dressing de son père. Il y trouve une clé dans un enveloppe sur laquelle est écrit « black ». Oskar décide de découvrir ce qu'ouvre cette clé et pour cela il part à la recherche du mystérieux « black ».
Pour commencer je suis une grande fan de Stephen Daldry. « The Hours » est sûrement un de mes films préféré. J'apprécie énormément la sensibilité, la justesse de ce réalisateur et sa faculté à ne jamais donner dans le larmoyant. Or j'ai été un peu déçue, mes attentes sur ce film y étant certainement pour beaucoup. J'ai trouvé que les agissements du jeune Oskar n'était pas crédible en tant qu'enfant atteint d'asperger. Il peut certes passer pour marginal mais sûrement pas pour autiste. Il est souvent risqué de vouloir retranscrire au cinéma les troubles autistiques, je n'en ai pas à ma connaissance qui ait d'ailleurs réussi. Par ailleurs j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans le film. Malgré un humour touchant présent tout au long ce n'est qu'au bout d'une heure, avec l'arrivée du grand-père, que l'histoire commence réellement à décoller. A partir de la première moitié du film j'ai retrouvé tout ce qui me fait aimer Daldry : la sensibilité, le juste dosage entre humour et drame. Pour résumer un film un peu long à démarrer. Sinon acteurs impeccables et musique réussie. J’espérais un peu mieux mais il n'en reste pas moins beau et très émouvant.
C'est un film qui restera gravé dans ma mémoire ! Quel chef d'ouevre ! Quelle énergie ! Quelle émotion ! Un bijou comme seuls les américains savent faire !
Une réflexion sur la vie, sur la perte d'un être chère, sur le 11 septembre... Les acteurs sont géniaux. Certains esprits chagrins (sans jeux de mots) diront que ce n'est qu'un mélo.
J' ai déjà dans un premier temps hésité pour me l'acheter, une fois que je me suis mis à le regarder , je me suis demandé , pas sur que j'aime et............aprés un petit quart d'heure on est pris par le tourbillon démotions que le film projette , l'enfant est à la fois insupportable et à la fois tendre , un beau film pour nous rappeler cette affreuse tragédie du 11 septembre , ceux qui ont survécu et on du apprendre à vivre avec , vraiment tres beau film
Un chef-d'oeuvre d'émotion . Thomas Horn est tous simplement incroyable dans ce film. Je ne comprends pas pourquoi il n'a pas remporté l'oscar du meilleur film face à The artist qui est bien plus mauvais .
Une somité d'agacement et d'insupportable . La réalisation est fadasse, sans surprise, monocorde et tous les écueils sont là: scénario larmoyant auquel s'ajoutent les violonnades, personnage du gamin intello-petit génie incompris soit-disant atypique qu'on a dû voir mille fois, je n'ai pas tenu bien longtemps à vrai dire. La voix-off gangrène complètement l'émotion, elle est trop bavarde et on arrive vite à saturation.
Autant Billy Eliott était bien, autant là c'est du toc, de l'émotion aseptisée, et le petit est vraiment insupportable. Chiant .