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zorro50
116 abonnés
249 critiques
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0,5
Publiée le 2 mars 2012
On devrait plutôt dire "Extrêmement nul et incroyablement inutile", ce serait plus franc. A mon sens, un des 3 pires navets de ces 10 dernières années, et prétentieux avec çà ! Pour de tels films, vous devriez ajouter des notes négatives afin d'éviter aux gens d'aller gâcher leur temps dans une salle de ciné pendant plus de 2 heures et de regretter très longtemps après d'y être allé.
Extrêmement long et incroyablement mou...Je m'attendais à un film genre "P.S. I love you" mais non pas du tout, juste un jeu de piste interminable dans New-York au final déçevant.
Stephen Daldry signe un excellent mélodrame sur le deuil porté par un jeune acteur excellent. Si le cinéaste a tendance à surligner quleques effets tire-larmes, les personnages sont attachants et le récit initiatique passionnant.
9 nominations au "Berlinale 2012" dont un ours d'or pour ce film ! Et je dirais, rien que le titre donne a comprendre. Le film m'a tenu sous une emprise d'émotions aussi diverses qu'opposées. Arrivé à la fin, presque proche du générique, je n'avais pas envie que cette scène, musicalement prenante, se termine. J'étais comme transporté dans une telle émotion d'espoir que cela me remplissait. Mais je veux bien croire que chacun sa perception et son moment captif ou non. Toujours est-il que la musique et le comédien principal portent à eux deux tout le scénario. Car si cela n'était pas aussi bien joué et scénarisé, cette histoire tirée d'un livre serait peut-être ennuyante. Encore que ! Bref les meilleurs films se passent de commentaires, allez le voir !!
aprés un début un peu long et sans trop savoir dans quel sens le réalisateur veut nous emmener, le film prend toute sa dimension avec l'arrivée du "locataire" un homme qui ne parle pas mais qui va chambouler la quête de notre jeune héros qui réalise une performance exceptionnelle en portant le film à bout de bras du début à la fin. magnifique et bouleversant.
Un film triste, sur le deuil, la reconstruction après un évènement qui a bouleversé l'inconscient collectif, mais aussi les relations familiales, pas toujours faciles Un film sur le 11 septembre, drame national pour les américains, touchés dans leur chair, et tombés subitement dans les affres du terrorisme. Un film sur l'enfance aussi, où comment se contruit-on une personnaliyé à l'ombre de son père, de ses conseils et de tout ce qu'il peut apporter, et comment se construire, vivre sans lui... Un film avec de la poésie aussi, une belle histoire romancée, qui ne manquera pas d'émouvoir...
Je ne connais pas New York, mais bien sûr, la ville passe dans ce film pour bien plus innocente et naïve que l'image que n'importe qui pourrait s'en faire à la vue de tout ce qui nous en est le plus souvent montré. Mais après tout, à quoi servirait le cinéma s'il ne pouvait faire de la réalité une peinture un peu plus douce, un peu plus gai ? Quant à ce jeune garçon différent, apparemment pas tout à fait Asperger, il est tout simplement bouleversant. Dans tous ses excès, et principalement celui de sa quête de sens, on peut retrouver des petits bouts de tout à chacun ; exacerbé, exagéré, c'est certain, mais l'essentiel est là : la peur de décevoir les siens, l'angoisse de rater ce qui doit être essentiel, la peur panique de l'inconnu, etc. spoiler: Et ce dénouement, cette rage, cette désillusion lorsque tout ce qu'il croyait être pour lui est en fait pour un autre...Dans un bordel sans nom, il déploie toute son énergie, toute sa personne à mettre de l'ordre. D'une ville de millions d'habitants dans laquelle cohabitent plus de 400 homonymes, il crée une organisation millimétrée. Il la découpe, s'inventent des cases qui sont les mêmes que celles que nous nous créons tous les jours dans la boulimie de relations et d'informations que nous traitons. Et lorsqu'il réalise que celles-ci ne le ramènent en rien à ce qu'il est, que celles-ci ne participeront pas de son bonheur, c'est un désarroi tellement familier dont il fait l'expérience. Voyez en ce garçon une histoire individuelle, particulière, unique, et ce film sera un petit film parmi tant d'autres. Voyez en cette histoire une allégorie de la recherche du sens de nos insignifiantes existences, et alors, la portée en est soudainement exponentielle et magnifique. Viennent entacher cette progression les quelques dernières minutes qui rentrent dans un schéma de "happy end" plus conventionnelle et moins intéressante. spoiler: Mais sincèrement, lorsque l'on a partagé avec Oskar la destruction de sa chambre, du monde dont on a partagé avec lui toute la minutieuse élaboration ; lorsque, ce faisant, on comprend avec lui que les contingences de la vie, et qu'avec celles-ci, nos vies n'ont aucune signification, il n'est pas sans intérêt de vouloir croire qu'au bout du compte, même si la finalité n'a pas été atteinte, le chemin n'a pas été complètement vain. On peut ainsi sortir de la salle obscur déchiré de réaliser que le bonheur ne sera jamais un aboutissement, mais soulagé de savoir qu'il est en fait très certainement déjà là...
Extrêmement lourd et incroyablement chiant. Voilà comment devrait s’appeler ce film. Et encore je suis gentil par égard à The Hours, le meilleur de film de Stephen Daldry, et mon film préféré. Déjà avec The Reader il avait fait moins bien. Là il touche carrément le fond. Ce film est une véritable prise d’otage émotionnelle. Moi qui suis plutôt bon public, un peu fleur bleue et qui aime bien pleurer au cinéma, je n’ai pas du tout fonctionné dans la combine cette fois ci. Ce n’est que clichés, pathos et dégoulinage de guimauve. Tout pour faire pleurer dans les chaumières américaines sur le sujet, certes toujours traumatisant pour eux, des conséquences du 11 septembre sur un enfant de onze ans. La musique d’Alexandre Desplat, est belle, mais elle est omniprésente et contribue encore plus à faire monter cette émotion factice. La mise en scène est plan plan, vraiment rien d’original, c’est lent, long... La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-extremement-fort-et-incroyablement-pres-100511381.html
Un jeune garçon surdoué et ingénieux ; un père disparu ; une clé mystérieuse ; une quête inlassable. Hugo Cabret ? Non, le point de départ d'Extrêmement fort et incroyablement près, adaptation du roman éponyme de Jonathan Safran Foer. Mis en scène par Stephen Daldry qui réussit le prodige de faire des films de plus en plus mauvais. Celui-ci est très embarrassant tellement son côté "donneur de leçon de vie" est mis en avant avec la subtilité d'un tyrannosaure. Sur un fond dramatique, un an après le 11 septembre, nous sommes invités à suivre l'illusoire et dérisoire recherche d'une serrure (?), aux basques d'un préadolescent présenté comme un génie en herbe, détenteur d'une clé, ultime legs de son défunt papa. On passera sur la crédibilité du scénario, mais pas sur l'agacement progressif qui nous gagne à mesure que cet orphelin (la mère est vivante et si peu présente) sillonne les quartiers de New York où il rencontre des personnages terriblement attachants et malheureux, ça va bien ensemble. Insupportable est le chantage à l'émotion que l'on sent poindre -rarement une B.O a été aussi (in)signifiante- et qui se déverse dans un torrent de pleurs au fil d'un crescendo mélodramatique au-delà du concevable. Thomas Horn est cet acteur "singe savant" horripilant de bout en bout. Tom Hanks joue les utilités et Sandra Bullock arrive au bon moment pour montrer qu'une mère, cela fait chaud au coeur quand on se retrouve seul au monde. Seul Max von Sydow se tire de cette mélasse sans y laisser de plumes, sans doute parce que son rôle est muet et qu'il réconforte nos pauvres oreilles malmenées par ce film bavard comme une assemblée de pies. Autant dire que ceci est extrêmement faible et incroyablement manipulateur.
Encore une fois, Stephen Daldry nous livre une oeuvre forte... Certains diront qu'elle est lente, d'autres diront qu'elle est trop larmoyante... Mais personnellement, j'ai trouvé ce film juste... On prend du plaisir à suivre ce jeune garçon, un peu différent, sur les traces de son père... Berçés par la superbe musique d'Alexandre Desplat, on est ému face à la situation tragique de cette famille qui doit faire face à la perte d'un être cher... L'incroyable prestation de Thomas Horn nous plonge au coeur de sa quete, qui le menera à donner un sens à sa vie, malgré le traumatisme du 11 septembre qui a marqué sa vie... C'est FORT, c'est DROLE, c'est EMOUVANT, c'est du GRAND Cinéma !
Ce film est l'un des meilleurs en son genre, sans doute grâce a son réalisateurs Stephen Daldry. Une histoire qui montre non pas plusieurs images des familles touchés par l'attentat du 11 septembre mais une seule, une histoire incroyablement touchante, des scènes très bien réalisé, des acteurs très bien choisis, Tom Hanks fait ici figure du père idéal et Thomas Horn qui est magnifique en son rôle, touche le public. Un film qui je trouve est un film de pensée philosophique mêlée a un enfants très intelligent mais qui a de très grandes peurs, notamment celle d'être seul, sans son père. Mais tout un jeu est inclue dans cette histoire des rencontre merveilleuse faites par l'enfants. Un film qui montre un amour fort et un très grand partage des sentiments. Cependant trop de scène triste et nous n'allons pas souvent au cinéma pour pleuré sur le sort des autres. Film a voir.
Stephen Daldry nous l'a prouvé : il est très doué pour les drames. Mais à force de trop tirer la corde sensible, elle finit par se casser. C'est une belle histoire remplie de beaux sentiments qui sont plus complexes qu'ils n'y paraissent mais c'est trop. Alors oui on parvient à nous arracher quelques larmes, oui le jeune Thomas Horn est surprenant et oui Max von Sydow et Sandra Bullock sont aussi touchants que Tom Hanks est facétieux mais on a du mal à s'attacher à ce gamin aux réactions parfois insupportables, à son histoire de quête longue et fastidieuse et à la mise en scène qui appuie trop certains effets. On se laisse un peu embarquer, on rit un peu, on pleure un peu, on est déçu aussi car on aurait voulu y croire et on aurait voulu que Tom Hanks retrouve un rôle à la hauteur de son talent. Le dernier c'était "Ladykillers" des frères Coen et ça date quand même de 8 ans.
Pour un film du genre, il est très émouvant, vous serrant la gorge sans vous faire dégouliner non plus, l'enfant joue extrêmement bien et est très attachant.