Sensibilisation du 11 septembre moi j'adopte. Qui avait t-il de mieux que de choisir le point de vue innocent d'un enfant ? Une leçon de courage dont on peut être jaloux car peu aurait fait autant pour retrouver leur paix d'esprit. C'est aussi une manière pour les Etats-Unis de tourner la page de se dire qu'il faut passer à autre chose. Je dis oui à cela. On pleure une dernière fois pour toute et une bonne fois.
"Extrêmement Fort Et Incroyablement Près" est un film plutôt agréable à regarder, avec un scénario original sur fond de tragédie du 11 Septembre 2001. L’énigme de la clé et le courage débordant d'Oskar nous tient en haleine toute la durée du film. Petite note de moins bien : Le personnage d'Oskar en fait un peu trop, campant d'avantage un rôle de Benjamin Gates Junior plutôt qu'un enfant plus doué que la moyenne. Mais le scénario et les rôles secondaires (bonne surprise : Max Von Sydow) atténuent le tout.
Une baffe, un chef d'oeuvre que j'ia failli ne pas aller voir à cause des mauvaises critiques plus bas. film larmoyant, prévisible, sénario pas travaillé, mais je rêve !!! C'ets du niveua de 6 ème sens sur un tout autre registre ce film. Il faut vraiment s'être fait avoir par je ne sais quoi pour aller voir ce film en s'attendant à un film d'action, même la bande annonce ne vend pas ça. Un film qui met au bord des larmes rtout le temps comem ça ok, ben si c'est ça l'armoyant , alors ils y a peu de film qui arrivent à la cheville de celui-ci. Tom Hanks se trompe rarement dasn ces choix et c'est pour ça que j'y suis allée finalement. et je ne vous remercie pas Messieurs les mauvaises critiques, allez donc voir john carter quoi ! Au moins vous serez peu être moins dans l'émotion. je comprends pas qu'on trouve ce film long , à moins de n'avoir aucun vecu, aucune empathie. Je réagis peu souvent, mais là avec vos critiques vous allez faire douter des milleirs de gens. ce film ets un chef d'oeuvre qui emporte loin, très loin, le lendemain j'y pense encore. et honnêtement recemment depuis "intouchable" tout était devenu insipide au cinéma, donc un grand merci à ce film qui m'a réconcilié avec moi même... oui, jusque là, mais pour ça faut un peu de vécu. Voilà, et le gamain, ben il joue son rôle à la prefection, après que sa tronche revienne pas , faut faire directeur de casting alors messieurs les critiques, mais pas critiques en tous les cas, car dans ce rôle vous êtes alors aussi mauvais que le gamin que vous attaquez. Voilà, de mon coté, j'informe tous les gens qui ont un coeur, des enfants, ou une vie que ce film changera quelques perceptions et ça c'ets juste énorme quand un film arrive à le faire. Du reste on n'e parle peu de ce film, alors qu'il mériterait d'être aussi complet qu'infidèles ( que j'ai trouvé bien insipide pour le coup ). bonne séance à tous et j'espère que les salles se rempliront pour se film grace au bouche à oreille :-)
Excellent film .. bouleversant de tendresse, d'émotions, d'humanité .. Bravo à Oscar qui joue admirablement bien, et qui sait à travers son rôle, faire passer les émotions et nous donner envie de le serrer tellement fort dans nos bras.. à voir et à revoir
C'est ce formidable travail d'introspection néphrétique et cette sensibilité à fleur de peau qui font du film de Stephen Daldry ("The hours", "Billy Elliot") un cauchemar cinématographique, en plein éveil. La détresse et l'infirmité déclinées avec un réalisme stupéfiant, nous force à coup de scènes flash déstructurées et sonores d'une violence émotionnelle percutante, à vivre dans la tête hantée de l'enfant. Mais en digne "feel good movie", c'est cette lumière en pleine obscurité qui jaillit d'une réalisation empreinte d'optimisme et d'amour authentique. Les scènes entre Thomas Horn (l'enfant) et Sandra Bullock (la mère), après nous avoir mises à terre, en sont l'ébauche ...
Absolument inssuportable, le gamin est absolument insupportable, voilà tout ce que j'arrive à retenir de ce film, pseudo dénonciateur. Avec une thème mal maitriser. Le personnage est arrogant et totalement énervant. Le film en deviens un calvaire, que je n'ai pas pu pousser jusqu'au bout.
Ce film aurait pu s'appeler : "Extrêmement chiant et incroyablement larmoyant". Que c'est cul cul mon dieu. Dans le patos, ça faisait longtemps que j'avais pas vu un film aussi emprunt de bons sentiments, de victimisation et d'auto satisfaction. Les acteurs à commencer par Oskar sont médiocres : le gamin récite son texte sans aucune émotion. Tom Hanks égal à lui même, quant à Sandra Bullok, pour une fois qu'elle joue pas le rôle d'une quiche, elle a dû sniffer pas mal d'oignons pour faire fonctionner autant ses glandes lacrimales. C'est long, c'est lent, totalement pas crédible. Pourtant l'idée d'un traumatisme post 11 Septembre à travers les yeux d'un enfant me plaisait mais on a plus a faire à un gamin autiste, en avance sur son âge (quel culture !!!) qu'à un petit garçon qui souffre de la disparition de son papa. J'ai failli partir avant la fin mais au bout de 2 plombes, j'avais quand même envie de connaitre le pourquoi du comment avec cette fichue clef. A éviter !!!!
une histoire qui prend aux tripes, baladés que nous sommes dans cette course au trésor, qui nous fait revivre par un angle totalement inhabituel cette journée lourde en souvenirs. Magistral !
Extrêmement fort et incroyablement près c'est un film qui véhicule beaucoup d'émotions, dont certaines d'entre elles n'ont malheureusement rien à faire ici, comme l'ennui, ou l'irritation. Ce qui est le plus dommage c'est qu'il y a des passages extrêmement fort, mais contrebalancés par des passages pathos pathétiques, notamment dès que l'atroce Sandra Bullock est à l'écran, violons en fond sonore, ou lors de certains passages sur le 11 septembre, des moments qui sentent l'artificiel, le drame stéréotypique et sont incroyablement près de nous faire décrocher. Encore une fois, l'enfant, Oskar admirablement joué par Thomas Horn, est traité, pense et parle comme un adulte, et même un adulte très intelligent, comme dans beaucoup de films de ce type, ce qui est agaçant de facilité évidente. Que reste t il donc? Reste un Tom Hanks pas trop présent et plutôt bon, une histoire qui, si on oublie les poncifs, est plutôt émouvante et Max von Sydow surprenant de part son jeu tout en retenue. Pas Mal mais je suis gentil.
Ce jeune comédien est prodigieux, une énergie folle. On lui suit, il nous émeut, il nous embarque dans une histoire imprévisible, dans une enquête qui est plutôt une quête ; celle de son père avec lequel il avait une complicité tellement touchante. Un film bourré d'idées et soigné dans le moindre détail. Musique d'Alexandre Desplat ; encore une fois génial.
Extrêmement fort et incroyablement près est le type de film où on comprend immédiatement que quelque chose ne va pas. Est-ce cette première séquence bourrée d'informations qui nous fait décrocher à la place de nous accrocher ? Est-ce la mise en place d'une intrigue qui a dû mal à se dessiner et qui apparaît trop tardivement ? Ou bien est-ce tout simplement le jeu d'acteur de Thomas Horn qui vient briser toute identification à l'histoire ?
Peut-être un peu des trois. Quoiqu'il en soit, une fois cette ouverture pré-drame franchie nous nous dirigeons vers l'aventure d'un gosse inadapté socialement et aux craintes multiples. Porté au travers des quartiers de New-York par son courage et l'amour envers son père disparu lors des attentats du 11 septembre, il va être amené à rencontrer une multitude de personnes, dont il apprendra chaque jour un peu plus. Le concept est gentillet, la potentielle évolution du petit Oskar et de ses rapports avec sa mère et avec la Mort intéressants. Mais malheureusement tout ceci est traité avec le désir de créer l'émotion continue chez le spectateur, jusqu'à amplifier certaines séquences pour tomber dans la persévérance d'un mélodrame qui essaie de nous faire verser une larme chaque cinq minutes. Malheureusement, l'identification étant nulle et les procédés émotionnels grossiers on n'y trouve que de l'agacement.
Alors certes, Sandra Bullock et Tom Hanks font leur travail, mais pour ce qui est de Thomas Horn, l'élément phare du film, la voix stridente qui ponctue ses mots et le visage qui oscille entre exagération constante et tristesse forcée ne fait qu'accentuer notre sentiment d'exaspération. Si l'intrigue aurait pu être traitée de meilleure manière (encore qu'elle est assez pauvre finalement), le fait de prendre le spectateur pour une machine incapable de réfléchir et qui doit pleurer quand on lui crie "Pleure !" a tendance à vite me lasser.
Accompagné de ce scénario bancal et aux divers éléments peu enthousiasmants s'organise la mise en place d'un tableau de fond, repeint et redessiné après le drame du 11 septembre, qui devait bien accoucher de petits projets littéraires et cinématographiques. Le film c'est l'histoire qui va contribuer à créer des histoires avec toujours l'Histoire en toile de fond. Et aucun de ces trois segments ne s'avère véritablement intéressant, mis à part peut-être les brèves séquences avec Viola Davis qui illumine l'écran. Même le rôle du "locataire" n'est à mon sens pas correctement exploité : Bâclé et expédié de manière grossière (encore une fois).
Reste quelques effets de style, qu'on appréciera ou non, mais qui se rapproche sensiblement du discours scénaristique (d'émotion truquée en émotion truquée). On va donc avoir ces brèves séquences omni-subjective d'Oskar pour analyser l'agitation urbaine sous un angle effrayé. Ou encore des successions de phrases prononcées à vitesse grand V pour dévoiler la panique du personnage. À nouveau, son manque de conviction et sa voix agaçante n'aide pas à apprécier le procédé... Pour rappeler que l'on joue quand même sur une histoire dans l'Histoire, on aura cette petite invention artistique de mauvais goût : L'enfant qui s'écroule à la manière d'une tour du World Trade Center. Le montage fait "bien" les choses, mais le courant ne passe pas, ni pour cette séquence, ni pour les 9/10èmes restantes.
Enfin, pour peu qu'on arrive à s'attacher à cet enfant pas comme les autres, incroyablement intelligent et extrêmement touchant, on pourra y trouver son compte : Encore faudra-t-il supporter une réalisation prétentieuse et plate, un montage visuel et sonore grinçant (peut-être volontaire ?) et un acteur au niveau douteux.
De la première séquence à la dernière on retrouve cette uniformité dans la manière de mener le film, qui a créé chez moi un profond désintérêt. Même pas d'aérations puisque le mélodrame constant ne permet pas un humour bien placé et plonge donc le film dans une introspection très américaine du "drame" qui plaira à quiconque se plait de tout et de rien. Peut-être suis-je difficile, le film n'est pas si mauvais en soi, mais il est tout simplement insignifiant et frustrant et sera vite rangé dans la catégorie des oubliés.
Comme le titre l'indique le film est extrêmement fort... Il y a d'ailleurs très longtemps que Tom Hanks n'avait pas été dans un film aussi fort. Tom Hanks en haut de l'affiche qui n'apparait au final que très peu dans ce film. Et c'est surtout sur le petit garçon (pas forcément bon mais mignon quand même, un brin barjot à qui on aurait envie de filer une claque!) et sur l'excellent Max Von Sydow employé ici à contre emploi. En effet, on connait l'immense acteur pour sa voix unique et le voilà privé de parole dans ce rôle à la fois tendre et cruel. Pilier centrale d'un monde qui s'écroule. Bref ce film fort se présente comme un immense hommage à tout ceux qu'on oublie trop souvent. Ceux dont la vie à basculer ce jour là et en ça le film se présente comme un véritable hommage aux victimes du 11 septembre, beaucoup plus que le World Trade Center d'Oliver Stone.