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Votre avis sur Extrêmement fort et incroyablement près ?
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framboise32
Extrêmement fort et incroyablement près parle de la dépression de l’enfant suite à la disparition d’un de ses parents. L’enfant est noyé dans un sentiment de tristesse et de culpabilité.
Le film c’est “tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil”. On a du mal à y rentrer. Le début est brouillon. Et puis, comment croire à cette histoire ou on voit ce garçon de 11 ans se baladant dans les rues de NY seul jour et nuit, sans que personne ne s’en soucie ! On le sent glisser vers le bas mais personne ne le rattrape.
Extrêmement fort et incroyablement près est trop … trop mélodramatique, trop de clichés, trop de bons sentiments… çà devient un peu lourdingue. La musique envahissante d’Alexandre Desplat n’arrange pas cette impression. On commence à sombrer dans l’ennui (dans la salle, certains dorment, d’autres partent…) Et puis apparait un nouveau personnage, Le locataire, un personnage qui redonne du “jus” au film. Un personnage atypique et drôle. Les scènes du petit garcon et du locataire sont les plus émouvantes du film, sans sombrer dans le pathos.
Le positif, c’est l’incroyable garcon qui joue le rôle d’Oskar, Thomas Horn. Un premier rôle pour ce garcon de 14 ans repéré à l’occasion de sa victoire au jeu Jeopardy ! diffusé à la télévision américaine. Le jeune garcon est très naturel. Max von Sydow joue le locataire. Max Von Sydow, acteur fétiche d’Ingmar Bergam, donne un ton plus léger au film. Il y joue un personnage muet. Tout passe alors par les gestes et les mimiques. L’acteur a été nommé aux oscars 2012 pour son rôle émouvant, drôle et attachant du Locataire. Sandra Bullock et Tom Hanks jouent les parents d’Oskar.
Un mélodrame sous fond des évènements dramatiques du 11 septembre 2001 dont on gardera le souvenir grâce à l’interprétation de Max Von Sydow et de Thomas Horn mais çà ne fait pas tout
http://framboisemood.wordpress.com/
Le film c’est “tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil”. On a du mal à y rentrer. Le début est brouillon. Et puis, comment croire à cette histoire ou on voit ce garçon de 11 ans se baladant dans les rues de NY seul jour et nuit, sans que personne ne s’en soucie ! On le sent glisser vers le bas mais personne ne le rattrape.
Extrêmement fort et incroyablement près est trop … trop mélodramatique, trop de clichés, trop de bons sentiments… çà devient un peu lourdingue. La musique envahissante d’Alexandre Desplat n’arrange pas cette impression. On commence à sombrer dans l’ennui (dans la salle, certains dorment, d’autres partent…) Et puis apparait un nouveau personnage, Le locataire, un personnage qui redonne du “jus” au film. Un personnage atypique et drôle. Les scènes du petit garcon et du locataire sont les plus émouvantes du film, sans sombrer dans le pathos.
Le positif, c’est l’incroyable garcon qui joue le rôle d’Oskar, Thomas Horn. Un premier rôle pour ce garcon de 14 ans repéré à l’occasion de sa victoire au jeu Jeopardy ! diffusé à la télévision américaine. Le jeune garcon est très naturel. Max von Sydow joue le locataire. Max Von Sydow, acteur fétiche d’Ingmar Bergam, donne un ton plus léger au film. Il y joue un personnage muet. Tout passe alors par les gestes et les mimiques. L’acteur a été nommé aux oscars 2012 pour son rôle émouvant, drôle et attachant du Locataire. Sandra Bullock et Tom Hanks jouent les parents d’Oskar.
Un mélodrame sous fond des évènements dramatiques du 11 septembre 2001 dont on gardera le souvenir grâce à l’interprétation de Max Von Sydow et de Thomas Horn mais çà ne fait pas tout
http://framboisemood.wordpress.com/
Film de grande qualité, avec le 11 septembre en toile de fond et exploiter d'une maniere original.
Bravo aux acteurs, le petit garçon est formidable.
Bravo aux acteurs, le petit garçon est formidable.
A travers les rues de New-York Oskar espère retrouver ce qu’il pense être le dernier souvenir laissé par son père tragiquement disparus lors des évènements du 11 septembre. Cette adaptation du roman à succès de Jonathan Safran Foer "Extrêmement Fort et Incroyablement Près" est orchestrée par le cinéaste anglais Stephen Daldry, à qui l’on doit le très apprécié "Billy Eliot". On était en droit de s’attendre à un drame fort avec de multiples rencontres à travers les rues de New-York et on y a droit, en partie. Les visages et les lieux s’enchainent, la foi du petit Oskar s’amenuise à chaque claquement de porte mais au final aucun schéma ne se dessine à l’horizon, seulement l’acceptation. Le casting est en demi-teinte, Tom Hanks est excellente en père dévoué et aimant et Max Von Sydow dans sa performance muette est très attachant. Ce n’est malheureusement pas le cas de Sandra Bullock qui n’arrive pas à convaincre tout comme Thomas Horn qui manque de crédibilité. A la fois intéressant par son approche et décevant par son récit, "Extrêmement Fort et Incroyablement Près" est un drame assez lent et qui manque cruellement d’envergure sentimentale alors que, paradoxalement, Daldry n’est pas du genre lésiner sur le larmoyant surtout quand l’histoire s’y prête.
Un film touchant sur le vécu des américains traumatisés par le post-11 septembre, représentés ici par cet enfant surdoué toujours en quête d'aventures. Les acteurs sont exellents, le petit Thomas Horn en premier, Sandra Bullock m'as bien surpris et Tom Hanks comme d'habitude est très bon. Mais le vrai point fort du film c'est "le locataire" Max Von Sidow (acteur chez Bergman notamment), qui éclipse tout les autres personnages. Un film tendre, drôle, un vrai drame bien écrit (malgré quelques longueurs) avec une excellente musique d'Alexandre Desplat (parfois trop présente). Très content de retrouver l'univers d'un livre, qui m'a enthousiasmé, de cette façon.
Vu en VO. Très beau film où quelques larmes sont à prévoir.
Certains on senti quelques longueurs mais si on rentre bien dans cette histoire touchante et originale, on ne les sent pas.
Les acteurs jouent justes, Tom Hanks avec son petit rôle de père et de mari modèle ne tombe jamais dans la niaiserie.
Sandra Bullock (je ne la connaissais pas comme ça !), lors des dialogues avec son "fils" Thomas Horn est parfaite.
Thomas Horn, role principale, de légères erreurs mais dans l'ensemble ce petit est bluffant
(ex: son monologue)
Et la BO est vraiment magnifique. 4/5.
Certains on senti quelques longueurs mais si on rentre bien dans cette histoire touchante et originale, on ne les sent pas.
Les acteurs jouent justes, Tom Hanks avec son petit rôle de père et de mari modèle ne tombe jamais dans la niaiserie.
Sandra Bullock (je ne la connaissais pas comme ça !), lors des dialogues avec son "fils" Thomas Horn est parfaite.
Thomas Horn, role principale, de légères erreurs mais dans l'ensemble ce petit est bluffant
(ex: son monologue)
Et la BO est vraiment magnifique. 4/5.
Extrêmement fort et incroyablement près c'est un film qui véhicule beaucoup d'émotions, dont certaines d'entre elles n'ont malheureusement rien à faire ici, comme l'ennui, ou l'irritation. Ce qui est le plus dommage c'est qu'il y a des passages extrêmement fort, mais contrebalancés par des passages pathos pathétiques, notamment dès que l'atroce Sandra Bullock est à l'écran, violons en fond sonore, ou lors de certains passages sur le 11 septembre, des moments qui sentent l'artificiel, le drame stéréotypique et sont incroyablement près de nous faire décrocher. Encore une fois, l'enfant, Oskar admirablement joué par Thomas Horn, est traité, pense et parle comme un adulte, et même un adulte très intelligent, comme dans beaucoup de films de ce type, ce qui est agaçant de facilité évidente. Que reste t il donc? Reste un Tom Hanks pas trop présent et plutôt bon, une histoire qui, si on oublie les poncifs, est plutôt émouvante et Max von Sydow surprenant de part son jeu tout en retenue. Pas Mal mais je suis gentil.
Premier coup de cœur de l'année 2012. Il en fallait bien un, mais je n'aurait pas parié sur celui-ci avant de l'avoir vu. La bande annonce et le synopsis m'avaient séduits, mais je suis quand même allé voir ce film en restant sur mes grades. Pourquoi ?
Tout simplement parce que j'ai eu peur de voir un vieux mélodrame américain pleins de bons sentiments, de clichés et de niaiseries. Il n'en ai rien. Réalisateurs et scénaristes (je n'ai pas lu le roman) ne tombent pas dans le panneau. Ils nous servent de l'émotion (surtout à la fin) sans jamais en abuser et en distillant juste ce qu'il faut sans la rendre trop mielleuse.
Pourtant un tel sujet aurait pu prétendre au titre du film le plus "gnangnan" de l'année.
Un film que je vous conseille d’acheter en DVD si vous avez ratés sa sortie en salle, car il vaut vraiment le coup d’œil. Agréable moment assuré. Et bravo aux acteurs pour leur prestations extraordinaire, j'ai faillit en chialer... ^^
Tout simplement parce que j'ai eu peur de voir un vieux mélodrame américain pleins de bons sentiments, de clichés et de niaiseries. Il n'en ai rien. Réalisateurs et scénaristes (je n'ai pas lu le roman) ne tombent pas dans le panneau. Ils nous servent de l'émotion (surtout à la fin) sans jamais en abuser et en distillant juste ce qu'il faut sans la rendre trop mielleuse.
Pourtant un tel sujet aurait pu prétendre au titre du film le plus "gnangnan" de l'année.
Un film que je vous conseille d’acheter en DVD si vous avez ratés sa sortie en salle, car il vaut vraiment le coup d’œil. Agréable moment assuré. Et bravo aux acteurs pour leur prestations extraordinaire, j'ai faillit en chialer... ^^
J'ai beaucoup aimé ce film même s'il n'est pas exempt de défauts. Tout d'abord il ne correspond pas vraiment à ce à quoi je m'attendais avec la bande annonce. Je voyais bien une comédie dramatique avec jeu de piste cocasse, en fait c'est un un drame. Tom hanks très peu présent, je pensais que ça serait un film en deux temps, eh bien non, même si ses rares passages sont un régal. Sandra bullock aussi se fait assez rare, malgré une superbe interprétation. Et la majeure partie du film repose donc sur les épaules du jeune thomas horn, inconnu au bataillon! C'est là que le bas blesse, car il n'est à mon sens pas si terrible que ça, et/ou le doublage français n'a pas l'air d'être là pour l'aider non plus dans son jeu... il est souvent agaçant, avec des impressions de trop surjoué. Faudrait le voir en vost pour vérifier. De plus le film joue trop sur le côté larmoyant (ça marche, demandez à ma copine en larmes...), ça se sent à dix km. manque de finesse. un côté scénario à l'américaine qui me gêne un peu. Néanmoins le film reste efficace, le récit est bon, l'histoire est géniale, on se met dans la peau du héros, les sentiments des différents personnages passent bien: les seconds rôles sont de très bons à justes, jamais mauvais. On a un film assez fort, malgré ce qu'en dit la critique, c'est une nouvelle manière d'aborder le 11 septembre, ma foi ça m'a bien séduit finalement, même si objectivement il y a pas mal de points négatifs que j'ai pris la peine de vous citer. Je suis content d'y être allé, j'avoue que c'est encore tom hanks qui m'a motivé à aller en salle.
PS: je n'ai pas lu le roman en question, j'imagine qu'il est meilleur, comme souvent, évitez peut-être ce film si vous l'avez lu.
PS2: je dois tout de même signaler que pour moi il y a une seconde lecture à cette histoire, le "not stop looking" résonne pendant tout le film, un peu comme un message pour le spectateur, comme s'il ne fallait pas prendre comme argent comptant l'explication officielle de l'événement tragique... mais bon, c'est peut-être moi qui vais trop loin... si vous me lisez vous pouvez me contacter et me dire si je me trompe ou non ^^
PS: je n'ai pas lu le roman en question, j'imagine qu'il est meilleur, comme souvent, évitez peut-être ce film si vous l'avez lu.
PS2: je dois tout de même signaler que pour moi il y a une seconde lecture à cette histoire, le "not stop looking" résonne pendant tout le film, un peu comme un message pour le spectateur, comme s'il ne fallait pas prendre comme argent comptant l'explication officielle de l'événement tragique... mais bon, c'est peut-être moi qui vais trop loin... si vous me lisez vous pouvez me contacter et me dire si je me trompe ou non ^^
Même si la première heure est un peu longue, le reste du film est vraiment très très bon ! Tout est bien ficelé et le dénouement est très bien pensé. J'ai beaucoup aimé !
Potentiellement décrié pour son aspect méli-mélo somme toute assumé, Extrêment Fort et Incroyablement Près convainc finalement par la stricte linéarité et donc l'absence de coup de pompe de son récit initiatique. A travers quelques idées légères et drôlatiques -ce grand-père aphone, cette vision carte postalisé de New York et de ses habitants-, Daldry parvient in fine à donner au deuil un visage serein, comme une poussée vers l'avenir et la lumière.
"Extrêmement fort et incroyablement près" aborde le thème du traumatisme post-attentats du 11 septembre.
Mais ce jeu de piste dans la ville de New-York par un Indiana Jones en culottes courtes franchement tête à claques n'a rien de ludique, de captivante ou de poétique.
Cela devrait créer de la compassion pour cet orphelin, cela devrait être une sorte de quête initiatique ou reconstructrice, c'est juste une histoire interminable de clé qui ne retrouve pas sa serrure.
Mais ce jeu de piste dans la ville de New-York par un Indiana Jones en culottes courtes franchement tête à claques n'a rien de ludique, de captivante ou de poétique.
Cela devrait créer de la compassion pour cet orphelin, cela devrait être une sorte de quête initiatique ou reconstructrice, c'est juste une histoire interminable de clé qui ne retrouve pas sa serrure.
A vouloir trop en faire, on surcharge... Les acteurs sont excellents, il n'y a pas vraiment quelque chose de mauvais dans ce film, mais les ficelles émotionnelles sont quand même un peu grosses : un gamin, limite autiste (par sont coté intelligent, mais qui réagit différemment des autres) , qui perd son père dans les attentats du 11 septembre, et qui va rencontrer plein de gentilles personnes qui vont essayer de l'aider, car elles sont attendries par le petit... J'ai vraiment eu l'impression d'avoir un sous-titre clignotant pendant tout le film avec marqué "pleur!"
Derrière son titre à rallonge, « Extrêmement fort et incroyablement près » cache le nouveau film du réalisateur de « Billy Eliott », « The reader » et surtout de « The hours ». Pour la première fois, Stephen Daldry se lance dans l'adaptation, celui du roman éponyme, qui conte le parcours initiatique d'un garçon de 10 ans à la recherche d'un coffre, correspondant à la clef qu'il a trouvé dans le dressing de son père, décédé le 11 septembre... Le réalisateur signe avec cette très belle histoire un mélodrame assez singulier, aussi attachant qu'agaçant, tout à l'image de son personnage principal Oskar (interprété par Thomas Horn), un garçon sensible mais à la maturité douteuse et irritante. Certes le garçon est un marginal, pas très apprécié à l'école de ce que l'on en voit, il serait atteint de la maladie d’asperger mais quand même, son vocabulaire, son comportement (l'idée du répondeur), ses réflexions philosophiques, sa mémoire, ses petites boîtes ou son livre magique... C'est trop, même pour un petit précoce... Alourdi par la narration du garçon, le film peine à trouver son rythme, et se perd parfois dans des choses assez insignifiantes avec cette fâcheuse tendance à étirer les scènes inutilement, et le fait que son vieil acolyte (joué par Max Von Sydow) écrive pour s'exprimer, n'arrange absolument rien. C'est le ventre mou d'un film qui se termine pourtant sur un joli dernier quart, bien trouvé (en même temps cela doit être dans le bouquin) et qui replace enfin le film sur les rails de son sujet, la relation parents/enfant, assez touchante et déroutante, comme cette scène où le jeune garçon dit à sa mère qu'il aurait souhaité que ça soit elle dans la tour... Un casting correct qui souffre de l'agacement que l'on peut ressentir vis à vis de Tom Hanks ou du jeune Thomas Horn, j'ai trouvé en revanche Sandra Bullock impeccable. Malgré un début et une fin qui arrivent à faire naître des émotions, le film traîne trop en longueur, accumule trop de coïncidences et de bons sentiments pour réussir son pari. Attachant, il n'en reste pas moins une déception de taille.
Ce n'est pas le meilleur film de Tom HANKS, mais j'ai été fascinée par Thomas HORN, malgré que ce film est le mélange des scènes touchantes avec des scènes ennuyeuses. En début je me suis endormie, plus je regardais plus je trouvais le film touchant, mais je n'en suis pas devenue fan. Avoir une fois
traversay1
Un jeune garçon surdoué et ingénieux ; un père disparu ; une clé mystérieuse ; une quête inlassable. Hugo Cabret ? Non, le point de départ d'Extrêmement fort et incroyablement près, adaptation du roman éponyme de Jonathan Safran Foer. Mis en scène par Stephen Daldry qui réussit le prodige de faire des films de plus en plus mauvais. Celui-ci est très embarrassant tellement son côté "donneur de leçon de vie" est mis en avant avec la subtilité d'un tyrannosaure. Sur un fond dramatique, un an après le 11 septembre, nous sommes invités à suivre l'illusoire et dérisoire recherche d'une serrure (?), aux basques d'un préadolescent présenté comme un génie en herbe, détenteur d'une clé, ultime legs de son défunt papa. On passera sur la crédibilité du scénario, mais pas sur l'agacement progressif qui nous gagne à mesure que cet orphelin (la mère est vivante et si peu présente) sillonne les quartiers de New York où il rencontre des personnages terriblement attachants et malheureux, ça va bien ensemble. Insupportable est le chantage à l'émotion que l'on sent poindre -rarement une B.O a été aussi (in)signifiante- et qui se déverse dans un torrent de pleurs au fil d'un crescendo mélodramatique au-delà du concevable. Thomas Horn est cet acteur "singe savant" horripilant de bout en bout. Tom Hanks joue les utilités et Sandra Bullock arrive au bon moment pour montrer qu'une mère, cela fait chaud au coeur quand on se retrouve seul au monde. Seul Max von Sydow se tire de cette mélasse sans y laisser de plumes, sans doute parce que son rôle est muet et qu'il réconforte nos pauvres oreilles malmenées par ce film bavard comme une assemblée de pies. Autant dire que ceci est extrêmement faible et incroyablement manipulateur.
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