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    Les Amours Imaginaires
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    363 critiques spectateurs

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    Cinephille
    Cinephille

    156 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 octobre 2010
    Ayant été littéralement scotchée l'an dernier par J'ai tué ma mère, c'est avec une certaine appréhension que j'attendais le 2e film de Xavier Dolan, d'autant plus que la bande-annonce me paraissait bien chichiteuse. Et malheureusement mes craintes étaient fondées. Si ce deuxième film n'est pas indigne et aurait pu constituer un très honorable premier film, il n'arrive pas aux chevilles de J'ai tué ma mère. Dolan s'est éclaté comme un petit fou avec les costumes et les couleurs. Il manie le ralenti et les changements de focale pendant une heure et demie, par moments de façon amusante ou esthétique, trop souvent de façon vaine et agaçante. Les personnages de Marie et Francis sont attachants comme le sont des grands ados à l'étroit dans leur peau. Mais tout ça reste assez superficiel et trop chochotte. En résumé J'ai tué ma mère entaillait la chair jusqu'à l'os, alors que les Amours imaginaires habillent la chair de jolis oripeaux, ne montrant jamais l'os.
    Fabien D
    Fabien D

    178 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 octobre 2010
    Après un premier film épatant (j'ai tué ma mère); Xavier Dolan revient avec ces amours imaginaires fortement esthétisées. Ralentis à la Wong-Kar-Wai, personnages filmés de dos comme chez Gus Van Sant ou encore couleurs chatoyantes à la Almodovar. Les références sont explicites, les ralentis (trop?) nombreux mais malgré un côté branchouille pas si originale que ça, l'alchimie réussit à fonctionner grâce à une BO excellente et à un trio d'acteurs épatants. Mais la cruauté légère de ces amours imaginaires manque un peu de force et les pseudos histoires de ses personnages sont un poil trop infantilisées. Dommage car malgré ses petites maladresses, le film réussit à être original (les déclarations des amoureux délaissés qui entrecoupent le film sont drôles et l'accent canadien aussi agréable que tordant) et même touchanr, Xavier Dolan n'a que 21 ans, esperons que ses prochains films gagneront en maturité, mais un cinéaste est en train d'éclore...
    Fabrice G
    Fabrice G

    117 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 septembre 2010
    Avec son jeune réalisateur un brin arrogant, je craignais le pire en allant voir Les amours imaginaires. N'ayant pas vu le premier film de Xavier Dolan et séduit par une bande annonce alléchante, je me suis laissé tenter. Bien m'en a prit car je suis totalement tombé sous le charme de ce trio amoureux. Ce film raconte une histoire connue de tous, deux amis tombent amoureux en même temps de la même personne au risque de s'éloigner l'un de l'autre. Ici, les deux amis sont Francis et Marie qui craquent pour Nicolas. Les deux amis s'imaginent dans ses bras tandis que lui semble ne se rendre compte de rien. Leurs fantasmes amoureux sont magnifiquement mis en scènes, les couleurs chatoient, les ralentis sont savoureux et la BO est exquise. Ce film, qui respire la jeunesse, est ponctué de témoignages de jeunes personnes racontant leurs déboires amoureux, certains sont hilarants, tous sont vrais. Les trois acteurs sont excellents mais c'est surtout Monia Chokni qui est une révélation, elle est extraordinaire. Cette fille a du chien, elle est drôle et d'une grande classe. Avoir choisi d'en avoir fait une jeune fille au look désuet et revendiqué est une très bonne idée, elle n'en est que plus magnifique. Le film séduit par sa naïveté, son romantisme exacerbé, ses situations et ses dialogues parfaits. Devant ce film, on pense à Wong Kar Waï pour l'esthétique à Araki pour le côté pop (la scène de la pluie de chamallows est un hommage à Mysterious Skin), mais Dolan est surtout un réalisateur prodige et prometteur qui nous offre un très beau moment de cinéma: beau, touchant, drôle et exquis.
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 septembre 2015
    En progrès par rapport à J'ai tué ma mère, Les Amours Imaginaires arrive à conjuguer le style ostentatoire de Dolan avec un sujet qui lui donne une prise correcte : le fantasme amoureux. L'amour y est retourné comme un gant, débarrassé du maquillage dont on le recouvre, ramené à ce qu'il est est si on l'ausculte avec le recul du philosophe désillusionné ; un grand jeu pathétique, un siphon intérieur, le mépris de tout ce qui n'est pas soi. L'hystérie propre à Dolan est alors tout à fait à sa place, et ses excès s'unissent par moments dans une dérision cynique qui note déjà combien son cinéma a abandonné le narcissisme pour prendre un peu plus de recul. Ce regard drolatique permet même, lorsque Dolan se fait moins condamnatoire vis à vis de ce qu'il filme, de laisser affleurer un soupçon d'émotion pathétique, de reconnaissance subreptice d'une douleur enfouie mais presque mise à jour chez ses protagonistes. Maintenant, c'est trop peu, trop peu d'émotion, trop peu d'empathie. Parce que le cachet cynique du film n'est pas développé comme son cœur mais semble juste se vouloir comme l'une des dimensions d'un édifice complexe. Le problème, c'est que le reste du temps, Dolan n'émeut pas comme il parait le vouloir. Son film ressemble bel et bien à un tableau de la jeunesse amoureuse, mais perçu bien plus par l’œil d'une intelligence extérieure que par le cœur de celui qui la vit. C'est tout le souci de ce jeune auteur, qui voudrait imposer comme une marque sa jeunesse et son univers pop/bourgeois/artiste tout en prétendant au recul et et à la maîtrise d'un réalisateur accompli. Trop tard ; dès lors qu'on les pèse, qu'on les décore, qu'on les manipule, les sentiments se figent en surface, s'étalent pour tout recouvrir d'un vernis sans pore, sans respiration. Cependant, il y a déjà du mieux ; le personnage de Dolan, beaucoup plus en retenue que dans son premier film, me laisse entrevoir le début d'une certaine maturité, l'abandon d'une pose excentrique et d'un enfermement au sein de son propre univers que je souhaite vraiment voir Dolan éviter, et qui semble (même si je ne l'ai pas vu) avoir trouvé un beau point d'orgue dans Mommy. Etre adulé si jeune est sans doute dangereux, parce qu'on se prend forcément au jeu et qu'on adopte la figure du génie précoce censé étonner et séduire par son anticonformisme et l'ultra-sensibilité qu'on lui imagine. On s'habille souvent du regard des autres, jusqu'à même le porter sur son âme et laisser celle-ci s'en trouver altérée, puis finalement se métamorphoser. Je ne dis pas que ces films ne reflètent pas sa personnalité et que Dolan joue un rôle, bien au contraire. Simplement que le battage médiatique parait plutôt le porter à s'enfermer dans son univers que de le communiquer avec modestie et sincérité. En tout cas, l'émotion doit venir de beaucoup, beaucoup plus loin pour espérer impacter. Encore trop arty, pas assez juste, tout simplement.
    DarioFulci
    DarioFulci

    102 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mai 2010
    Francis et Marie sont deux bons amis. Leur rencontre avec Nicolas fait naître chez eux un sentiment incendiaire qui les conduit à la rivalité. Xavier Dolan prouve une nouvelle fois sa capacité à aborder des thématiques naïves (ce qui n'est en aucun cas péjoratif), à la fois adulte mais en prise avec l'adolescence, et à les mettre en scène avec une maîtrise étonnante. Son sens du cadre, sa direction d'acteurs, l'utilisation de la musique pour exprimer des états d'esprit dans l'instant sont assez bluffants. Un film très attachant.
    Clingo
    Clingo

    58 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 février 2012
    Un film séduisant. Il parle d'un thème traité douze mille fois par an au cinéma, et même s'il n'évite pas certains clichés, ça n'est pas si grave parce qu'il a une identité propre et un univers très personnel. C'est paradoxal vu le sujet traité donc, et au vu des citations auxquelles s'adonne Xavier Dolan. Le cinéaste convoque autant Godard ( le thème du Mépris ) qu'un auteur comme Wong Kar-Waï, pour l'esthétique et l'imagerie générale du film. Certains pourraient trouver ça creux et artificiel, mais l'esthétique du film en réalité ne fait que traduire un état d'esprit propre à la jeunesse. J'ai l'impression que c'est un film que les vieux ne peuvent pas adorer, en tout cas pas autant que les plus jeunes. Les Amours n'est pas totalement un film rock, il serait plus entre ça et la pop, entre l'adolescence donc et disons la période où se situent les jeunes adultes. A 30 ans passés, peut-être qu'on serait moins emporté par le joli souffle du film. Dolan propose donc un triangle amoureux qui se transforme rapidement en une ligne dont les deux extrêmités sont occupés par Marie et Francis. Il est très intéressant de voir comment l'intrusion d'un élément extérieur vient perturber leur amitié, comment le bel éphèbe va provoquer de la rivalité insidieuse entre les deux amis. Il y a une cruauté sous-jacente dans Les Amours, qui se révèle assez jouissive par ailleurs, naissant de ce paradoxe qu'est l'amitié : une relation d'attraction-répulsion, un mélange d'égoïsme et de tendresse envers l'autre. Il y a aussi un certain suspense dans le film - à un degré moindre - et une manière de retenir l'attention du spectateur qui se demande jusqu'où va aller ce jeu plutôt implicite que jouent Marie et Francis.

    La plastique du film semble privilégier la futilité d'un tel jeu, et le fantasme que représente Nicolas. Xavier Dolan multiplie les ralentis, se situe à la limite d'une attitude de poseur, mais n'y met heureusement jamais les pieds puisque ses choix formels traduisent à merveille la fragilité des situations et sont un bel exemple du contraste entre l'imaginaire - ce que pensent les deux héros - et la réalité - qu'ils se prennent en pleine figure pour sombrer dans la désillusion. Au niveau du scénario et de la psychologie des personnages, on retrouve - par le moyen de dialogues pertinents et impressionnants de réalisme - cette même sensation de déplacement de la réalité de la part des deux personnages principaux. Si bien que le titre peut très bien être renversé, et qu'on a aussi l'impression de voir l'imaginaire de l'amour, une manière de romancer la passion pour finalement être confronté à la réalité des faits. C'est que Les Amours est un film pleinement romantique, mais aussi romanesque ( l'adjectif du titre le dit bien ), et il y a une vraie sensibilité chez Dolan, une manière douce de voir le monde - malgré tout - et surtout de le retranscrire. La chanson principale illustre bien ce paradoxe - je m'en remets à la version originale de Nancy Sinatra - qui parle d'amour et de mort, inséparables, de beauté et de gravité. Deux mots qui résument bien le film.

    Un film au charme intense, une bouffée d'air frais qui fait un bien énorme. Paradoxalement, ça donne envie d'être amoureux.
    Seemleo
    Seemleo

    64 abonnés 888 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 octobre 2010
    Insupportable de prétention dans la forme et vide dans le fonds. Ce film se vautre sur quelques émotions adolescentes de peccadille. Un certain esprit caustique et quelques trouvailles de mise en scène sauvent le film de la vacuité absolue et de la bêtise de jeunes réalisateurs sortant de l'école de cinéma et s'imaginant capable d'œuvre profonde sans scénario et sans vécu personnel.
    wykx
    wykx

    38 abonnés 250 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 octobre 2010
    Toujours un film-peinture de Dolan... Géniale suite du précédent, si charnel et profond à la fois. Et puis des idées de cinéma.
    jeremie747
    jeremie747

    44 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mai 2014
    Ca devrait être énervant... la caméra maniérée et ultra-référencée, les faux airs d'intellectuel affecté, ce côté petit con surdoué. Et pourtant, non, ça fonctionne bien, très bien même. Le film s'ouvre sur quelques interviews de jeunes gens qui racontent leur comportement en situation de crise amoureuse (rupture, amour non réciproque,...). C'est bien vu, hilarant et met immédiatement le spectateur dans de bonnes dispositions, réceptif au propos du film. Puis le film démarre à proprement parler et ce qui marque avant tout, c'est le grand talent de photographie du réalisateur. Plus qu'une scène, chaque plan serait plutôt une photo d'art moderne et on admire l'attention apportée au cadrage, aux visages, aux vêtements, à la lumière... Et puis vient le fond. André Gide disait à peu près qu'il n'y aurait aucune différence entre un amour rêvé et un amour vécu. C'est un peu ce que propose ce film où l'on assiste à toutes les étapes d'une histoire d'amour sans qu'elle soit jamais réelle. Avec beaucoup d'humour, il montre le mélange de camaraderie et de cruelle jalousie entre ces deux amis, un homme et une femme, qui tombent amoureux d'un éphèbe toujours plus loin à mesure qu'ils s'approchent. Quand on aime, on ne peut plus rien faire d'autre, plus penser à rien d'autre et l'on n'a finalement pas grand chose à se dire. On veut simplement être ensemble et partager la beauté de la campagne, des instants de complicité, sa vie. "Les Amours Imaginaires" mettent en scène à merveille ce mutisme de l'amour fou et non réciproque. Le réalisateur se moque aussi de la niaiserie et de la terrible banalité de l'amoureux transi. On a du mal à l'avouer, mais c'est assez brillant.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    87 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 novembre 2018
    C'est très jolie. Très stylisé même parfois à l'ecoeurement... Mais le fond est d'un creux !! Un scénario qui tient en 3 lignes et des influences trop certaines pour des cinéastes (Almodovar, Godard...). On voit que Dolan est très jeune et veut en mettre plein la vue. Bref c'est pas le Dolan que je retiendrai le plus...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 octobre 2014
    Une fois de plus, Dolan frappe fort avec des personnages d'une très grande justesse, une BO magnifique, une réalisation sublime... Cependant, le film est un peu inférieur à "j'ai tué ma mère", mais il n'en reste pas moins un film abouti et très réussi !
    Alexcherbourg
    Alexcherbourg

    19 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 janvier 2011
    Des filtres verts bileux pour masquer les scènes de calins, un recours abusif au ralenti et au flou, un thème Dalida-pop récurrent, voilà les ficelles faciles utilisées pour relever un peu cette comédie sentimentale pas très originale. Si on ajoute le narcissisme absolu du réalisateur, qui pousse l'amour propre jusqu'à se masturber à l'écran, c'est calamiteux.
    Heureusement, le blond est plutôt agréable à regarder et on imagine que les déboires sentimentaux évoqués ici sauront faire écho de manière profitable aux spectateurs adolescents.
    Christoblog
    Christoblog

    827 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 octobre 2010
    Les amours imaginaires est une petite chose pimpante, qui va plaire aux amateurs de friandise.

    Le bonbon est sucré, coloré, avec juste un peu d'amertume. Le résultat n'est pas désagréable.

    Xavier Dolan emprunte à beaucoup de monde dans ce film : à Wong Kar Wai le ralenti amoureux et le battement de cil de 3 secondes, à Gus Van Sant la manie de filmer les gens marchant par derrière, à Gregg Araki une scène (celle de la pluie de marshmallows), à Christophe Honoré, Louis Garrel (un faux blond, puis le vrai), à Almodovar ses couleurs et ses rouges à lèvres, à Audrey Hepburn son sourire, etc.... Je trouve qu'il ne fait pas preuve en cela d'une grande maitrise et ne fonde pas un style à lui. Le résultat est fait de bric et de broc, répétant des recettes à satiété (zoom avant arrière saccadé, filtre de couleurs...).
    L'émotion n'est jamais venue en ce qui me concerne, même dans les témoignages de personnes étrangères à l'histoire, un procédé beaucoup plus réussi dans Poetry.

    Finalement ce qui m'a le plus plu dans le film ce sont les acteurs. Dolan lui-même est très bien. Il a de bonnes chances de rejoindre dans la galerie des acteurs réalisateurs de talent Allen, Moretti, Eastwood. Monia Chokri est excellente, vintage jusqu'au bout des ongles, très "nouvelle vague". Niels Schneider m'a énervé, ses airs ne m'ayant jamais convaincu et son personnage ne crédibilisant pas le scénario.

    Certaines scènes sont amusantes (les deux ruptures, la visite de la mère), caustiques sans être véritablement cruelles.

    Une oeuvre de jeunesse, à mon avis en mode mineur, d'un cinéaste dont on devine qu'il peut beaucoup plus. D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666.blogs.allocine.fr/
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    632 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 octobre 2010
    J'ai vraiment adoré ce film à l'esthétique et à la forme très originale mettant en scène un trio d'acteurs sublime. J'ai été très étonné par la vérité des mots, des actes, des situations que montre le film. Il s'ouvre sur une série de témoignages de personnes ayant vécu une déception sentimentale, en le disant avec plus ou moins d'ironie, et on rit malgré nous parce que c'est vrai. L'histoire commence alors avec nos trois personnages, beaux et poignants, servant d'illustrations aux propos portés en guise d'introduction et qu'on retrouvera tout le long du film, créant ainsi une coupure à la fiction. Les acteurs sont excellents et soulignent d'un simple regard leurs pensées amoureuses ou jalouses. Les mots sont souvent absents, donnant ainsi libre cours à ses interprètes et à leurs sentiments. On rigole beaucoup, on voit de l’extérieur ce que beaucoup font dans la réalité. La caméra se dévoile très intime sans rentrer dans la perversité, mais en fouillant bien profondément dans les âmes torturées des amoureux secrets. Les scènes de ralentis sur fond musical sont nombreuses et variés et retranscrivent très bien ce qui est en train de se passer. Très étonnant mais surtout extrêmement bien réalisé; un vrai petit chef-d'oeuvre!
    Alasky
    Alasky

    349 abonnés 3 400 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 décembre 2012
    Là on est loin devant, un niveau bien au-dessus de ce que l'on nous sert ces derniers temps. Les jeunes acteurs ont un charme immense et nous tiennent en haleine d'un bout à l'autre du film, un film aux couleurs pop et à la bande originale bien choisie !
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