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Et, pour qu'on ne s'y trompe pas, si le titre du film sur les Tofolars signifiait " quelques-uns d'entre nous ", celui d'"Indigène d'Eurasie" ne peut avoir qu'une portée beaucoup plus générale.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
De nombreux films ont été faits sur les circuits de la drogue et de la prostitution qui relient l'Europe orientale à l'Europe occidentale. Mais aucun n'a abordé ce sujet comme le fait Bartas, dans un film de genre dont les personnages, irradiant de dignité, échappent à tout jugement moral.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
"Indigène d'Eurasie" exsude une mélancolie profonde, une tristesse poisseuse qui s'insinue sous la peau. Mais cette noirceur blanche, brumeuse, dénuée de pathos, fait aussi la beauté précieuse de cette balade tragique.
Le réalisateur traite son intrigue sans deuxième degré, mais sans grande conviction non plus, un peu à la manière de Wenders, jadis, dans "l'Ami américain".
La critique complète est disponible sur le site Positif
Allégorie de l'Europe inhospitalière, genre qui a produit beaucoup d'oeuvre chichiteuses et distantes, ce film est au contraire plus incarné et maintient l'attention.
La critique complète est disponible sur le site Première
"Indigène d'Eurasie", s'il ne convainc guère dans ses scènes françaises (heureusement peu nombreuses), vaut par sa marche engluée vers les ténèbres, sa réalisation attentive à la suspension du temps – et la dimension mythique du beau visage de Bartas, dinosaure rattrapé par l'haleine de la mort.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Humanité
Et, pour qu'on ne s'y trompe pas, si le titre du film sur les Tofolars signifiait " quelques-uns d'entre nous ", celui d'"Indigène d'Eurasie" ne peut avoir qu'une portée beaucoup plus générale.
Le Monde
De nombreux films ont été faits sur les circuits de la drogue et de la prostitution qui relient l'Europe orientale à l'Europe occidentale. Mais aucun n'a abordé ce sujet comme le fait Bartas, dans un film de genre dont les personnages, irradiant de dignité, échappent à tout jugement moral.
Les Inrockuptibles
"Indigène d'Eurasie" exsude une mélancolie profonde, une tristesse poisseuse qui s'insinue sous la peau. Mais cette noirceur blanche, brumeuse, dénuée de pathos, fait aussi la beauté précieuse de cette balade tragique.
Libération
En 2010, Bartas fait un polar, ou plutôt fait semblant de filmer un polar. Et, surprise, c'est comme s'il avait fait ça toute sa vie.
Cahiers du Cinéma
Le point de vue de Bartas est toujours aussi désabusé. Il est simplement plus difficile à exprimer.
Paris Match
Malgré des clichés, Bartas nous propose une oeuvre violente, lente et subjugante.
Positif
Le réalisateur traite son intrigue sans deuxième degré, mais sans grande conviction non plus, un peu à la manière de Wenders, jadis, dans "l'Ami américain".
Première
Allégorie de l'Europe inhospitalière, genre qui a produit beaucoup d'oeuvre chichiteuses et distantes, ce film est au contraire plus incarné et maintient l'attention.
TéléCinéObs
"Indigène d'Eurasie", s'il ne convainc guère dans ses scènes françaises (heureusement peu nombreuses), vaut par sa marche engluée vers les ténèbres, sa réalisation attentive à la suspension du temps – et la dimension mythique du beau visage de Bartas, dinosaure rattrapé par l'haleine de la mort.
Excessif
Un "eastern" hanté par le manque et la solitude. Beau retour de Sharunas Bartas.
Télérama
Ça parle, ça bouge (un peu plus que d'habitude), mais platement, la mystique sourde qu'on aimait tant chez ce cinéaste ayant disparu.
La Croix
Long et plombé par des interprétations peu convaincantes, le film de Schrunas Bartas s'épuise en clichés.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site Studio CinéLive