Avec Buried, on a vu sortir à une semaine d'intervalle les deux films les plus ambitieux de l'année.
Filmé avec un simple appareil photo, Rubber est un génie d'inventivité. De la mise en scène, des effets spéciaux au scénario : Tout est inventif ! Un film qui mérite d'être vu pour ce qu'il est ! Peu importe son intérêt.
Vous avez du lire le pitch de Rubber juste au dessus et si vous êtes encore là à lire cette critique, alors Bravo ! Bravo parce que si j’arrive a vous convaincre de regarder Rubber alors vous passerez assurément un bon moment. Rubber n’est pas qu’un simple pneu serial killer, Rubber est une œuvre intelligente et drôle. Si vous êtes adepte de l’humour décallé, alors foncez voir rubber. Il est à mon sens un des meilleurs hymnes à l’absurde qu’il m’ait été donné de voir. La première scène est tout juste magistrale
J’aime un pneu, beaucoup, passionnément. Culte jusqu’à la jante ! C’est rare de voir un tel OFNI : on aime ou on n’aime pas, l’essentiel est d’y trouver quelque part la transcendance qui devrait être notre pain quotidien.
C'est très bien filmé, c'est plein de non sens mais ça se tient super bien malgré tout (aller comme un film de lynch ou un cronenberg vieille époque...) bref une bonne surprise.
Inégal, pas si intéressant que ça finalement. Décevant. Au "no reason" nihiliste on préfèrera le bon vieux "non sense" british. Les Monty Python chevauchant dans les paysages sans monture, le chevalier qui se retrouve à combattre sans tête ni bras ni jambes, à pisser le sang, c'est toujours aussi jouissif et fou. Pas sûr des gags de Rubber, qui manquent singulièrement de désinvolture, de fantastique, avec ses mises en abime lourdingues, autocommentaire intellectualisant fourni clef en main (ça c'est bien un film français, malgré les "Directed by" et "Sound Designer" du générique), la pauvre théorie douteuse du no reason. Toute la salle rit quand le flic dit qu'il n'y a aucune raison pour que le personnage du Pianiste de Polanski se cache... mal à l'aise dès les premières minutes du film. Si pour Quentin Dupieux et son public, la déferlante nazie sur l'Europe n'est pas une raison suffisante... Pareil pour Love Story (l'amour) ou les saucisses (le goût). C'est bien un film de notre époque : plus rien n'a de sens, plus rien n'a de valeur, tout s'équivaut, l'extermination des juifs et E.T. l'extra-terrestre. C'est bien de vouloir faire autre chose, mais pour ne pas se mettre à dos un certain public, il finit en fait par privilégier l'humour à une réelle audace ; ya des scènes drôles, quelques plans assez bien vus (quand le pneu et le gars en pick up à la station service se regardent silencieusement ; quand il mate du gym-tonic à la télé dans sa chambre de motel) mais bon, c'est pas vraiment du cinéma. Culte comme Germaine Lustucru qui se fait enlever par les petits hommes verts. Une vidéo 2.0 potache à mater sur son Ipad entre deux stations de métro quoi... le buzz de la semaine, qui sera vite chassé par un autre...
à voir car unique c'est sûr mais de là à se le farcir au cinoche c'est une autre affaire.. dites vous bien que le pneu ne parle pas, c'est la force et la faiblesse du film, et malheureusement la B.O. -pas au niveau de celle de steack, sauf générique de fin- ne porte pas assez cette idée brillante. le partie pris "no reason" du film n' assure pas le manque de rythme à mon goût.
Après l'échec de Steak, Dupieux semble vouloir se venger en passant 1h30 à insulter le public. Pour lui, le spectateur est un gros lourdeau qui n'aime pas les films en noir et blanc, parle pendant la séance, pirate les oeuvres et n'aime pas que le scénario s'étire en longueur. C'est aussi un rapace avide de scènes sanguinolentes qui bouffe du cinéma comme du pop-corn (voir la scène où les spectateurs se battent pour une dinde). Il met tous les spectateurs dans le même sac et nous dit : "vous, bandes d'imbéciles qui avez payé votre place pour voir un pneu tueur en série, vous êtes des benêts comme les autres !" Merci bien...
chers lecteurs et très chères lectrices, vous qui lisez ce message, je dois vous annoncer que je viens d'être victime d'un traumatisme d'une rare violence. En effet, après voir vu "rubber" ( dieu seul sait pourquoi ce film s'appelle comme ça) je ne sais pas si je vais avoir le courage de remettre les pieds dans un ciné. Résumé: une roue qui se trouve, au départ, au beau milieu d'une décharge se met à rouler toute seule et à tuer tout et n'importe quoi ( des bouteilles, des animaux et des êtres humains). Ce film était censé être un film d'horreur. Le problème est qu'il n'y a aucun suspense. les gens, avant de crever, auraient pu se défendre. Bref, qu'il se passe chose. Mais tout est prévisible. vous allez me dire: comment on fait pour se défendre contre une roue doté d'armes invisibles tel que la télépathie? Sauf que c'est le boulot du scénariste, qui a apparemment n'a pas foutu grand chose. Parmi tous les films que j'ai vu et j'en ai vu des films, jamais je ne me suis autant battu pour ne pas succomber au sommeil qui me vaincra au bout d'une heure de lutte acharnée. Je pense que seules des personnes dérangées peuvent aimer ce film. D'ailleurs, si vous allez le voir et qu'effectivement vous trouvez que c'est bon film je vous conseille de consulter un psy. Pour ma part, je vais suivre une psychothérapie comportementale afin de me remettre de cette catastrophe cinématographique.
Il faut appeler un chat un chat.Ce film est une daube qui ce revendique en tant que telle, le problème c'est qu'ont le sait seulement en le voyant. J'ai perdu 10€ et 1H30 de ma vie dans une salle de ciné, le seul point "positif" c'est que ce film entre directement dans le Top 5 des films les plus naze de l'histoire.
Au secours! Je ne connaissais pas l 'oeuvre de ce realisateur a pein de nom en faite (Steack...) et j avoue etre allé voir ce film sans savoir ce que c'était... Et là entre ennui et longueur on distingue une informe serie Z servant un message "conscient" porté par quelques scenes metaphoriques au discours entendu finalement peu original et pire consensuel (j imagine!) pour le realisateur consensuel... Bon pour tout dire deja que j ai un peu de mal qd Rodriguez et tarantino font du Vixens approximatif, mais quand un francais s'y colle avec dedain et intellectualise (si l'on peut dire) avec parcimonie par des pseudos prises a partie (ou pris en otage) là ca tourne au truc bobo un peu decerebré un Zadig un peu Voltaire et surtout on est au cinema ce que Lady Gaga est a la musique: Un clone au rabais. Voilà pour l'idee generale, pour ce qui est à sauvé l'acteur principal qui est plutot bon... dommage pour lui que les dialogues et le scenario soit tout juste suffisant pour un court metrage ou plus surement un clip! Bon j'arrete! meme qd je cherche ca reste une daube, je vais louer steak pour sceller definitivement mon avis!
pourquoi aller ou pas voir ce film "no reason" pourquoi l'aimer ou pas "no reason" pourquoi le recommander ou pas "no reason" pourquoi le noter "no reason" ceux qui verront le film comprendront un film très étrange à la limite du réel comme un rêve sans queue ni tête; mais bien filmé et les acteurs sont bons; il y a de l'imagination; au début je trouvais les scènes un peu longues, mais en fait cela fait partie du film et apèrs un moment où on s'impatiente, on est vite scotché au film; évidemment ce n'est pas du boum boum, ni un film d'action, mais dans un sens; c'est encore plus prenant. Bref j'ai aimé; j'avoue ne pas avoir vu encore un fim de ce genre. Mettre une note c'est bien difficile; on se laisse hypnotiser ou pas mais finalement on passe un bon moment.
Il y avait de bonnes raisons d'en faire un court métrage, mais "no reason" pour tenir 1H20 sur quelques bonnes idées... Pourtant le film démarrait bien, malheureusement à cause de nombreuses répétitions peu à peu j'ai été gagné par l'ennui avec une fin qui n'en finit plus de finir... Au final cette impression d'avoir vu un bon court métrage auquel on a rajouté plein de remplissage pour en faire un mauvais film... Même à la télé j'aurai zappé depuis longtemps.