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    Les Géants
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    123 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 décembre 2011
    L'interprétation des enfants est excellente et porte le film.

    Une image magnifique et posée.

    Un sujet abordé avec sensibilité.

    Beau film qui dévoile une tristesse d'exister que combat l'insouciance de la jeunesse.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 28 novembre 2011
    On reste un peu sur sa faim. Le film se termine en point d'interrogation : que va-t-il advenir de ces enfants ? Une suite nous donnera peut-être la réponse ? (Les Géants 2 ?)
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 181 abonnés 7 498 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 novembre 2011
    Pour son troisième long-métrage, Bouli Lanners nous convis à une étonnante ballade, à la fois drôle et nostalgique (de part nos souvenirs d’enfances), Les Géants (2011), c’est l’errance de trois jeunes garçons, des adolescents un peu paumés, livrés à eux même, leur mère les ayant laissés tout seul durant son absence. Un road-movie inattendu, surprenant et hilarant, où ils feront tout un tas de rencontres, pouvant leur porter malchance ou au contraire, leur apporter ce qu’ils leurs manquent, à savoir une mère de substitution. Au fil de ses 85 minutes, on se laisse prendre au jeu, on les écoute débiter leurs idioties, on prend un malin plaisir à les voir s’empêtrer dans des galères inextricables (avec des dealers), leurs mésaventures deviennent le fil conducteur de ce voyage sans fin, sublimé par de magnifiques paysages (retranscrit par le biais du CinémaScope), le naturel de ses jeunes acteurs, ajouté à des dialogues qui font mouche et enfin, la mise en scène sans faille de Bouli Lanners. Une adorable tragi-comédie, véritable surprise auquel on n’en attendait pas tant !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 novembre 2011
    Un film sublime tout simplement. J'ai pas vu le temps passer. J'étais déçu que ça s'arrête. Les paysages sont magnifiques, et pourtant ce sont des paysages que l'on peut croiser n'importe où en France (forêts, marais...). Le réalisateur sait les rendre magnifiques. Les acteurs aussi s'en sortent bien, mention spéciale à Zacharie Chasseriaud qui est le plus jeune des acteurs du film et qui pourtant sort du lot. Je trouve par contre que le personnage de Danny est un peu en retrait. On a dit plus bas que le film avait quelque chose d'américain. C'est tout à fait vrai. En plus des noms il y a les vêtements qui rappellent les USA, la voiture aussi, tout comme le lieu général où se déroule le film: une campagne à perte de vue avec beaucoup de taudis en guise d'habitations. On se croirait presque dans un monde irréel, féerique. Bref c'est un film que je conseille vivement. J'en ai eu des frissons au générique de fin c'est dire.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    79 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 novembre 2011
    Comédien ou réalisateur, Bouli Lanners a déjà dépassé le succès d'estime. Quelques cinéastes, donnent une spécificité à ce cinéma du nord (Dardenne's, Dumont, Y. Moreau) une sorte de constat, d'une société en déliquescence, qui s'appauvrit et qui va jusqu'à laisser ses enfants à l'abandon....

    Bouli Lanners a ses spécificités: le milieu urbain des Dardenne est remplacé par une ode à la nature.

    Une sorte de road movie americano-belge...

    une image superbe qui fait rêver.

    une musique style country-rock

    Ces jeunes sont toujours en survie et en équilibre instable. Les moments où ils trouvent un foyer accueillant sont rares et ne peuvent durer.

    Il va falloir qu'ils apprennent à vivre. (symbole du passage à la vie adulte?)

    C'est dur!!!
    pitch22
    pitch22

    165 abonnés 682 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 novembre 2011
    Après le road-movie cathartique d'ELDORADO, Bouli Lanners poursuit sur le même registre, avec cette fois un trio de jeunes garçons adolescents, toujours dans les Ardennes. D'emblée, le film s'avère insupportable. Aux flots d'insultes succèdent inanité des situations, téléphone portable, vulgarité, alcool, drogue et larcins... Les deux têtes à claques, rejointes par un troisième idiot, se morfondent autant que s'ennuie le spectateur! Un bout de Wallonie n'est ni l'Ohio ni le Mississipi. Le film
    prétend faire du «Stand By Me», du «Tom Sawyer», du conte type «Trois Petits cochons» avec bonne fée et loup des bois, une métaphore de sortie de l'adolescence le long de la rivière: or non seulement tout cela est très prétentieux mais de plus complètement raté! Seule la discrète BO peut s'apprécier. Ennuyeux, irritant, bref inintéressant, ce film chiant et horripilant est à fuir!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 juillet 2014
    Lorsque l'on pense « road-movie initiatique mettant en scène de jeunes adolescents », on pense forcément à "Stand by Me" (R. Reiner, 1986) ou, du côté des livres, à Mark Twain ("Les Aven­tures de Tom Sawyer", 1876 ; "Les Aventures d'Huckleberry Finn", 1884). Et il y a dans "Les Géants" quelque chose d'américain : les prénoms des personnages bien sûr, mais surtout une façon de fil­mer les grands espaces, un rapport à la nature différent de ce que l'on trouve d'ordinaire dans le cinéma français ou belge. (Les paysages du film de Lanners, rivière, forêt et collines, sont presque des personnages à part entière, davantage qu'un simple décor.) Lorsque l'on pense « initiatique » tout court, on pense au genre du conte de fées, et "Les Géants" en est un : trois petits cochons – dé­signés comme tels au cours du film – passent d'une maison de pierre à une maison de bois, puis à plus rien, en échappant à un genre de loup et à un genre d'ogre, avec l'aide d'une bonne fée. Et comme dans un conte, on ignore où et quand se passe l'histoire : un été dans la campagne, voilà qui est flou. "Les Géants" pourrait se passer à n'importe quelle époque, parce qu'un conte est universel – seule ombre au tableau de ce point de vue-là, l'utilisation d'un téléphone portable, qui présente le triple défaut de rompre le côté « atemporel et hors du monde », d'amener une invraisemblance (ce téléphone semble avoir une batterie illimitée), et d'introduire dans le film une symbolique assez pataude.
    Mais alors qu'un conte a une fin, "Les Géants" ne conclut pas : les personnages fuient un lieu de dé­part plus qu'ils ne cherchent à atteindre un lieu précis. (À la fin de "Stand by Me", la vie reprenait, certes, mais le film constituait un épisode clos sur lui-même.) En fait, les personnages reviennent même régulièrement sur leurs pas. Ce qui est loin d'être illogique ; le principe de l'adolescence, c'est peut-être justement de tourner en rond sans savoir où l'on va, en découvrant au passage l'amour et la mort, comme les trois héros un peu avant la fin du film. De fait, on peut reprocher au scénario des "Géants" d'être décousu, ou pas assez étoffé, mais la vie ne l'est-elle pas lorsque l'on a treize ou quinze ans ? (Ne l'est-elle pas en général ?) Les paroles des personnages, elles aussi, c'est-à-dire aussi bien les dialogues que les intonations, ressemblent à la vie : elles sont si bien marquées du poinçon de l'authenticité, que je me suis demandé s'il ne s'agissait pas, par mo­ments, d'improvisations des jeunes acteurs – par ailleurs tout à fait satisfaisants. Comme dans "El­dorado" (2008), Lanners montre qu'il a le sens du dialogue.
    Il a surtout, et c'est peut-être encore plus rare, le sens du silence. Le chapelet d'injures débitées par les trois garçons autour du feu de camp (dans une scène par ailleurs jubilatoire : entendre déver­ser des tombereaux d'injures m'a toujours fait rire) disent toute la même chose ; les silences disent le reste, et le reste est sans doute le plus important. – Dans "Les Géants", comme dans la vie, les choses qui comptent le plus sont dévoilées dans les moments les plus silencieux. (Le personnage de Rosa, presque muet, est à cet égard significatif.) Les fré­quentes pauses qui donnent au film toute sa lenteur – malgré sa courte durée – ont précisément pour fonction de laisser la place aux réflexions et aux questions du spectateur, au premier rang desquelles « À quoi pensent-ils, à ce moment précis ? ». (De ce point de vue, d'ailleurs, il est dommage que la musique envahisse parfois un peu trop certaines scènes ; cela dit, je ne suis pas grand amateur de pop-folk geignarde en général.) Bouli Lanners n'oriente personne ; il embellit ce qu'il montre, certes, mais ne glorifie pas ses personnages : le fait que les trois héros soient quasi-abandonnés par leurs parents me paraît être un « truc » scénaristique bien plus qu'on constat sociologique. Le réalisateur de "Stand by Me", toujours, prenait les spectateurs par les sentiments et montrait moins des personnages que des caractères (l'intello, le froussard, etc.), que tout spectateur masculin ou presque a été, ou rêve d'avoir été. Au contraire, dans "Les Géants", Bouli Lanners n'idéalise rien, il fouille et approfondit ses personnages et leurs relations ; les situations n'y sont pas toutes simples – qu'on pense aux scènes dans lesquelles les trois personnages principaux trouvent asile chez Rosa. Si l'ambition du film était de saisir le moment indéfinissable, qui se trouve au-delà des mots, au cours duquel on devient un géant, cela paraît gagné.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 novembre 2011
    Un film où tout est dit sans le dire. Un film sans bruit mais qui hurle de douleur et d'amour... et de son manque. D'une extrême sincérité avec des comédiens aux personnalités justes, réelles.
    La violence n'est pas là où on la regarde... mais ailleurs dans un environnement qui m'a rappelé Délivrance de John Boorman...
    Un film dont la fin est faite de trois oiseaux qui prennent leur envol vers la lumière, la vie, la liberté... et qui vous laisse le choix de réfléchir sur la vie de beaucoup de jeunes lâchés par une société aveuglée...
    Autant le dire j'ai été profondément touché par ce film.
    Quant à la musique... c'est raccord. L'image est généreuse. Vu au Nouvel Odeon à Paris . Une salle neuve et à la projection parfaite...
    fasskinder
    fasskinder

    27 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 novembre 2011
    Vu ce film après avoir lu les critiques élogieuses.... on a pas envie d'etre trop méchants alors je mets 2.5 mais bon..... c'est quand même un très bon court ou moyent métrage étiré pour le faire sortir en salle, il n'y a pas beaucoup de contenus, c'est prévisible, déjà vu.... on se voit en salle et on se demande pourquoi on y reste jusqu'au bout, juste pour le charme des jeunes comédiens, pas vraiment exploité jusqu'au bout ? on reste trop à la surface, dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 novembre 2011
    Bouli Lanners signe ici son troisième long métrage après Ultranova (2004) et Eldorado (2008). Seth et Zak deux frères de quinze et treize ans ont l'habitude de passer leur vacances dans une petite bicoque à la campagne. Ils font la rencontre de Danny qui va rapidement s’intégrer au sein du groupe. Au programme des vacances : fumette , alcool , plantation de cannabis et conduite , activités bien évidemment illégales. Ces jeunes gens ce retrouvent donc sans argent , ils volent de la nourriture , rentre dans des maisons par effraction , font des soirées à n'en plus finir. Le film est tenu par trois adolescent très performant pour leur âge ! Ils nous rappellent certains moments mémorables de l’adolescence passé tellement vite ! Nostalgie quand tu nous tiens ... Ajouter à cela des paysages à couper le souffle ! Souhaitons de l'avenir pour Bouli Lanners et pour ses trois acolytes ! Rafraîchissant !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 12 novembre 2011
    Ayant adoré Eldorado, c'est le yeux fermés que je me dirige vers sa nouvelle réalisation. Petite déception ! Force est de constater que quelques scènes sympathiques ne font pas un bon film sans scénario. Histoire d'ados, mélange entre Stand by me (en plus sombre) et Délivrance (en plus gaie quand même !), des jeunes acteurs justes et une BO folk idéale aurait pu faire un bon film, si seulement il n'y avait pas eu cette absence de narration, cette succession de séquences maladroitement montées, une histoire sans trames, un destin sans but. Dommage. Reste une jolie photo et des beaux moments de vies d'ados, entre humour potache et sensibilité à fleur de peau.
    lionelb30
    lionelb30

    435 abonnés 2 591 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 novembre 2011
    Bouli mon ami...reste acteur.Ce film n'a que tres peu d'interet.A part le jeu d'acteur convaincant , ce film n'est pas une comedie comme annonce mais une espece de descente aux enfer lente.Outre le scenario pas trop credible , tous les personnages sont plus ou moins abruti voir debile , une drole d'image de la belgique...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 10 novembre 2011
    Ma critique des Géants :
    http://tedsifflera3fois.com/2011/11/10/les-geants-critique/
    willyzacc
    willyzacc

    78 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 novembre 2011
    Une belle oeuvre sur la fin difficile de l'enfance de ces trois gamins (excellents acteurs!), perdus sans leur mère avec des adultes qui profitent sur leur dos.. Un film pas dénué d'humour et d'amertume.
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    93 abonnés 1 549 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 mars 2012
    Il n'y a rien à garder dans ce film : les acteurs sont nul, le scénario est improbable, peu recherché et inintéressant et le réalisateur a choisi de mettre peu de dialogue ce qui est une très mauvaise idée : au bout de 40 min j'ai regardé le film en accéléré et j'ai tout compris. Bref, Les géants c'est un film à éviter.
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