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    Godzilla
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    Chevalier du cinéma
    Chevalier du cinéma

    252 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mars 2017
    Godzilla de Gareth Edwards était un des films les plus attendus de cette année cinéma 2014 car rebootant les aventures d’un des plus célèbres monstres du Septième Art. Le film se faisait énormément désirer notamment grâce à son intelligente campagne promotionnelle qui n’en montrait pas trop et faisait petit à petit monter la tension. Alors verdict : à la fois dément et ultra divertissant ce nouveau Godzilla laisse tout de même un léger goût de déception. Philippines, 1999. Appelés dan une mine à ciel ouvert dont le sol s’est effondré, le docteur Serizawa et sa collègue, le docteur Wates découvrent un gigantesque squelette fossile ainsi qu’une impressionnante tranchée creusée vers l’océan. Au Japon, Joe Brody, responsable d’une centrale nucléaire, décide d’éteindre le réacteur à l’approche de violentes secousses sismiques. Quelques instants plus tard, le complexe est détruit par un violent tremblement de terre et son épouse, Sandra Brody, perd la vie dans la catastrophe. 2014. Le sergent Ford Brody, 25 ans, retrouve sa femme Elle à San Francisco après une mission de désarmement. Il est appelé en urgence pour se rendre au Japon, là où son père Joe a été arrêter par la police pour des raison encore mystérieuses. Maintenant, pour débuter cette critique, opérons un petit retour en arrière avec notre DeLorean sur l’Histoire du personnage ou du monstre appelé Godzilla. La créature est apparut pour la première fois sur les écrans avec le film d’Ishiro Honda en 1954. Le succès à l’époque fut énorme et l’attraction principale du long-métrage qu’est Godzilla est vite devenue une icône au Japon et le film, lui, un objet de cinéma culte. Face à ce succès le film connaîtra de très nombreuses suites comme Le Retour de Godzilla en 1955 de Koji Hashimoto, King Kong contre Godzilla en 1962 d’Ishiro Honda et ainsi de suite avec au total près de trente films dont les trois quarts sont des nanars atomiques (in)oubliables où un type en costume de Godzilla se ballade sur des maquettes et écrase tout ce qu’il a sous la main. Le Kaiju Eiga, « cinéma de monstre » en japonais, apparaît alors comme un sous genre qui donne dans la série B voir la série Z. Et c’est en 1998 que les américains vont s’approprier le monstre née des radiations atomiques, pour faire un remake du film original de 1954. La réalisation fut confiée à Roland Emmerich, qui vient de connaître à l’époque le succès, en 1996, avec un certain film appelé Independence Day qui a amassé plus de 800 millions de dollars de recettes dans le monde. Matthew Broderick et Jean Reno obtiennent les rôles titres et le nouveau Godzilla est bel et bien décidé à casser la baraque. Mais le film fut une déception, seulement un peu plus de 300 millions de dollars de recettes dans le monde, pas le succès de l’année 1998 donc, la créature sera reniée par les fans japonais car ne la considérant pas comme un « vrai » Godzilla mais comme un monstre inspiré de Godzilla auquel les américains n’ont rien pigé et le film est, d’après moi, une certaine catastrophe artistique, qui ne l’était peut-être pas en 1998 mais aujourd’hui c’est un peu lourd à voir. Et c’est en 2010 que Warner Bros et Legendary Pictures rachètent les droits à la Toho, la maison de production des films Godzilla, pour en faire un reboot qui sera précisément le 29ème film du Kaiju qui sortira en 2014, pour son 60ème anniversaire. Et voilà pour ce (petit) résumé de l’Histoire cinématographique de Godzilla. Maintenant place à la critique de ce tant attendu Godzilla version 2014. D’abord ce qu’il faut savoir c’est que ce film est un reboot, un film reprenant tout à zéro pour ainsi établir une nouvelle franchise de blockbusters. Et à l’heure où j’écris cette critique il se trouve qu’une suite est officiellement envisagée pour 2016 normalement au vu de l’impressionnant démarrage qu’a fait le film lors de son premier week-end d’exploitation aux Etats-Unis. Avant sa sortie, le film partait avec trois atouts majeurs qui avaient certainement le potentiel de faire de lui LE film de monstre de l’année et le meilleur depuis le King Kong de Peter Jackson en 2005. Premier atout : l’homme derrière la caméra : Gareth Edwards. Réalisateur britannique de 39 ans, Gareth Edwards réalise avec Godzilla son deuxième film. Ce désormais talentueux réalisateur avait été remarqué en 2010 avec le soi-disant très réussit Monsters, film à petit budget salué par la critique et dont le titre dévoile déjà le style : un film de monstre. Le réalisateur était donc tout indiqué pour mettre en scène le grand retour d’un des rois des monstres et ainsi le film partait gagnant d’un certain côté. Deuxième atout : le casting. Afin de faire oublier les pitoyables prestations de Matthew Broderick et de Jean Reno avec ses militaires français qui s’appelaient tous Jean-Luc, Jean-Philippe ou Jean-Pierre de la version 1998, le réalisateur a mobilisé un superbe casting d’acteurs du moment : Aaron Taylor-Johnson héros des films Kick-Ass, Bryan Cranston, l’interprète inoubliable de Walter White alias Heisenberg dans la série culte de chez culte Breaking Bad, Ken Watanabe, excellent acteur japonais aperçus dans entre autre Lettres d’Iwo Jima de Clint Eastwood, Inception de Christopher Nolan ou dans Le Dernier Samouraï d’Edward Zwick, Elizabeth Olsen future super-héros dans Avengers : Age of Ultron de Joss Whedon, l’actrice française Juliette Binoche qui représente notre pays et David Strathairn aperçus dans La Vengeance dans la Peau de Paul Greengrass ou dans le Lincoln de Steven Spielberg. Avec ce casting le film était une deuxième fois gagnant ! Et enfin troisième atout : la campagne promotionnelle du film qui a joué un rôle clef. Ce nouveau Godzilla se faisait patiemment attendre jusqu’à ce qu’arrive la première bande-annonce qui a surprit tout le monde en nous mettant une grosse claque au passage. Nous montrant une scène démente de saut en parachute effectuée par des militaires qui se jettent dans les airs pour arriver sur une ville ravagée par le feu et la peur sous le son de l’angoissant « Requiem » de Gyorgy Ligeti présent dans 2001, l’Odyssée de L’Espace de Stanley Kubrick, les premières images de Godzilla ont bluffé tout le monde car ne dévoilant quasiment pas le monstre et mettant en avant un film ultra-sérieux et très ambitieux. L’excitation est ainsi montée d’un cran et l’attente fut plus présente que jamais sur ce film. La deuxième bande-annonce fut en quelque sorte le coup de grâce, encore plus démente et impressionnante que la première, toujours avec le « Requiem » de Ligeti, accompagnée de répliques qui en disait long sur l’intrigue remettant tout en cause sur le monstre : « - En 1954, nous avons réveillé quelque chose. », « - Tous ces essais nucléaires dans le Pacifique, n’étaient pas des essais. » « - Ils essayaient de le tuer. », le trailer présentait Bryan Cranston comme le héros principal, nous montrait une ambiance réaliste et angoissante et Godzilla plus terrifiant et gigantesque que jamais, présenté comme un fléau destructeur qui va nous « renvoyer à l’âge de pierre » comme dirait Bryan Cranston ! A partir de ce moment là on espérait tous un chef d’œuvre ou un grand film de monstre. Mais voilà, ce Godzilla est loin d’être la si grande réussite fantasmée et attendus. Le film reste très bon mais possède de points négatifs, qui, s’ils avaient été absent ou modifiés je pense auraient contribué à une meilleure réussite. Je suis un peu déçus c’est vrai mais le film possède tout de même des points positifs. Commençons par eux dans un premier temps. D’abord niveau réalisation il faut savoir que le film est une réussite car Gareth Edwards nous livre des scènes d’action spectaculaires et très impressionnantes possédant par ailleurs de superbes effets spéciaux : les monstres sont juste magnifiques et les scènes de destructions massives envoient du lourd. Godzilla doit être un grand copain du Superman de Man of Steel car niveau destructions massive les deux se font une belle concurrence ! Alors certes au départ le spectateur peut être agacé ou déçus que les combats soient tous coupés pour peut-être éviter la surenchère mais quand même on est venue pour ça ! Voir Godzilla foutre une raclée aux MUTO et tout détruire ! Mais nous ne verrons que le dernier combat car le premier sera montrer sur une télévision et l’autre débutera et nous ne verrons que le début car la caméra suit des habitants qui fuient et se réfugient dans un immeuble en fermant les portes et ne nous laissant pas voir l’affrontement qui s’annonce titanesque. Mais heureusement que Gareth Edwards se rattrape avec le combat final car nous en prenons plein la vue et nous voyons pour de bon Godzilla en action et devant nous car il faut savoir que durant tout le film nous ne le voyons pas beaucoup, on voit même plus les MUTO que lui ! Ensuite pour revenir à la mise en scène, le film possède pour moi une scène mémorable et la plus jouissive du film : celle du fameux saut en parachute par des militaires. Superbement réalisée cette séquence sous le son du « Requiem » de Ligeti, bel et bien présent dans le film, est à la fois terrifiante et impressionnante car nous voyons des hommes passer juste entre deux monstres gigantesques qui se battent dans une ville ravagée, détruite où les nuages recouvrent le ciel ce qui donne à la scène une noirceur très profonde. Ensuite la bande-originale je l’ai trouvé très bonne, le générique du film place bien le ton sérieux du film, le son est assourdissant quand les monstres s’affrontent et les rugissements de Godzilla sont à vous faire frémir et vous hérisse les poils ! Finalement le film est techniquement superbe et cela fait ainsi de lui est un très bon divertissement et de grande qualité. Mais alors qu’est ce qui cloche ? Et bien d’abord le point central du film possède quelques petits problèmes : le scénario. Déjà je le dit le scénario est bon mais reste au final assez classique et pas aussi ambitieux qu’on le fantasmait avant la sortie du film. Les trente premières minutes du film sont très prenantes car on entre tout de suite dans l’histoire, différentes intrigues se mettent en place et on veux en savoir plus. Mais le problème ce que quand vient l’éclosion du premier MUTO, le film nous entraîne dans une sorte de chasse au monstre classique, dans la veine du film d’Emmerich en fait mais en dix fois supérieur et meilleur bien évidemment. Les scénaristes, pour complexifier le scénario, ont rajouté le thème du nucléaire qui est très important dans ce film avec les bombes dont l’armée se sert pour attirer les monstres et les éliminer. Mais le point central du scénario qui le complexifie intelligemment et déçois à la fois c’est Godzilla. On découvre que le Kaiju à un rôle assez inattendu quand on a pas lu le synopsis qui révèle qu’il « tente de rétablir la paix sur Terre » donc par déduction on se dit qu’il est du bon côté et je pense que ça gâche un peu la surprise et le suspense car on pourrait penser que c’est lui le destructeur qui vient détruire notre planète mais qu’il devra se battre contre des monstres qui veulent, eux, se reproduire. C’est vrai que je pensais m’attendre à voir les MUTO comme des expériences scientifiques qui se sont retournées contre l’Homme, son créateur, et peut-être même Godzilla, qui, à la fin choisira son camp en quelque sorte en décidant de protéger la Terre par exemple. Ici on a un peu de ça mais le problème c’est que Godzilla est directement amené comme une aide et non pas comme une menace, comme le montrait la bande-annonce, et ça détruit un peu la mythologie car la créature n’apparaît plus comme « l’incarnation de l’apocalypse » et le destructeur ultime semant le chaos sur son passage mais comme un protecteur de la Terre remettant la nature dans son droit chemin en affrontant les MUTO qui veulent détruire le monde. Dans ce sens Godzilla paraît plus complexe mais est un peu décevant car dans le film, il apparaît peu au début et que vraiment à la fin, et il est ainsi relayé au rang de second rôle alors que les humains sont au premier plan avec le côté humain du film car Godzilla se révèle être une tragédie familiale, dont certains évoquent un côté spielbergien, et ce côté humain a pris le relai sur le côté monstre je trouve mettant Godzilla en second rôle. Le pire c’est qu’on verrait même plus les MUTO que Godzilla chez les monstres ! Mais pour revenir au scénario c’est vrai qu’il déçoit un peu car on s’attend à quelque chose de plus original aux vus des trailers et le personnage de Godzilla est devenu un allié et n’est plus la menace, ce qui est assez frustrant en fait. Après le film possède des dialogues assez simplistes je trouve, ils manquent de richesse. Ils sont simplets et je pense que le film prend un peu sur son grade à cause de ça, peut-être est-ce la faute au doublage français aussi et que la VO est bien meilleure. A vérifier en tout cas. Ensuite quelques chose qui m’a déranger, c’est le fait que les protagonistes appellent Godzilla par justement Godzilla. Je pense qu’ils auraient dû ne pas l’appeler comme ça, j’ai l’impression que ça lui enlève une certaine crédibilité de l’appeler par un prénom car il doit rester un monstre mystérieux et puissant, pas une sorte de chienchien auquel on fait appel en cas de grave crise. Seul le film en lui-même doit s’appeler Godzilla mais le monstre devrait être appeler autrement, dans ses futures suites pourquoi pas lui donner ce nom mais pour ce premier film il aurait fallut le nommer « la créature » ou avec un nom scientifique. Et enfin le dernier point négatif que j’ai a évoquer et qui m’a déçus sur ce film c’est finalement un de ses atouts de début : le casting. Un casting superbe certes mais très mal utilisé. Le formidable et brillant acteur Bryan Cranston dans son premier gros film post-Breaking Bad et qui était amené à être la tête de la future franchise Godzilla, détient finalement un rôle très court car son personnage de Joe Brody disparaît au bout de trente minutes laissant ainsi la place à Aaron Taylor-Johnson dont le personnage très lisse à un peu de mal à porter le film. L’utilisation de Bryan Cranston m’a énormément déçus puisque le pire c’est qu’il était très juste durant toutes ses scènes tout comme l’actrice française Juliette Binoche dont son rôle ne se résume qu’à être un simple caméo car mourant dans les dix première minutes du film. Après, Ken Watanabe j’ai la sensation qu’il n’est pas très à l’aise dans son personnage, ça passait pas bien avec lui lors de ses scènes je trouve, Elizabeth Olsen est peu présente elle aussi, David Strathairn est pas mal mais il y a eu mieux en amiral de l’armée américaine. En bref le casting est sur le papier superbe et alléchant mais certains acteurs étant très mal utilisés et d’autres n’étant pas au meilleur de leur réputation, le film déçois sur ce point de vue là. Pour conclure, Godzilla est un très bon divertissement avec de très bonnes choses mais avec des moins bonnes malheureusement qui font qu’il est un peu décevant et ne se résume qu’à être un blockbuster de divertissement et pas le grand film de monstre attendu par les fans et la critique. Néanmoins j’ai hâte de voir la suite !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 mai 2014
    Lent, ridicule,...
    Un godzilla qui malgré les effet spéciaux ressemble à celui de 1954 mais d'au moins 40 mètre de long.
    Des motos ressemblant à des pokemon, des japonais stupides, des américain qui sauve le monde...
    Comment perdre 2h de son temps.
    T-rhy
    T-rhy

    78 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mai 2014
    Goddzilla est une réussite. Un bon moment jouissif au possible comme l'a été Pacific Rim l'année dernière, à ceci près qu'il est plus 1er degré que le second cité. Du coup on ne peut s'empêcher de tiquer lors de moment clairement WTF, ou sur la temporalité de certains événements de l'histoire, mais ces bémols restent subsidiaires au final tant certaines scènes transpirent le génie dans leur mise en scène et respirent la puissance brute. Les acteurs sont bons (Bryan-Eisenberg-Cranston est juste magistral du peu qu'il est là). De plus le film est un véritable hommage au Godzilla original de 54, loin devant la version Jurassic Parc de 98 (que j'aimais beaucoup au passage). Bref.... Une belle claque visuelle, un beau message qui a encore plus de sens de nos jours. C'est cool et vaut sa place de cinéma quoi qu'on en dise.
    Manu711
    Manu711

    59 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 mai 2014
    Bien mal m'en a pris d'aller voir ce film. Heureusement, j'ai limité la casse en le voyant en 2D et en version originale. Mais cela n'aura pas suffit : Godzilla, j'en attendais rien de mieux qu'une grosse production aux quelques effets visuels un temps soit peu chatoyants. Alors oui, visuellement c'est plutôt réussi, la photographie est belle et les monstres bien reproduits. Mais à part ça, quasiment tout le reste est à jeter. Le scénario est d'un vide pas possible, la narration - en plus d'être bien trop linéaire - complètement didactique puisqu'on peut tout anticiper, la famille ultra clichée, l'omniprésence de l'armée américaine qui se fait certes défoncer mais qui est malgré tout là, en nombre, en place, on time, etc, ça sent un petit peu trop l'Oncle Sam. Puis merde, Godzilla se fait carrément beaucoup trop attendre pour pas grand chose. Ça ne me dérangeait pas trop qu'on ne le voie pas durant la première heure, histoire qu'on fasse monter la tension et tout le tintouin. Mais si c'est pour nous bâcler le film d'une telle manière ensuite, et bien ça ne passe pas du tout. Inutile de revenir sur le postulat de départ que le film nous propose concernant l'origine de Godzilla, qui est aberrant. Bref, je n'ai même pas envie de proposer un avis construit et plus élaboré pour cette vaste blague qui n'en vaut pas la peine. Que c'est triste de mettre autant de moyens techniques et financiers au service d'un tel projet qui s'avère être finalement qu'un énième ersatz...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 14 mai 2014
    Je suis venu, j'ai vu, je suis déçu!

    OK, lorsque l'on va voir un blockbuster, on sait à quoi s'attendre : un scénario pauvre et des effets spéciaux... mais là le scénario est carrément grotesque! spoiler: si la mort de Bryan Cranston (mais pourquoi?) dans les premières minutes du film nous permet de comprendre de quoi se nourrissent les bêtes, alors pourquoi utiliser ce procédé pour les tuer, pourquoi évacuer les civiles en empruntant le pont à quelques mètres de là où l'on positionne la bombe, ah oui, pour le patos j'y viens...
    .
    Il y a un désir de tout y mettre (de l'amour, de l'action, du drame familial) pour au final ne rien voir
    1- parce que le jeu d'acteur est très limite. Il est surprenant de voir avec quel détachement ils jouent, tous, tout au long du film, spoiler: le regard complètement agar de la petite fille qui s’éloigne du rivage dans les bras de son père, juste un exemple
    . Au final on a réellement deux niveaux d'action d'un côté les hommes, de l'autre les bêtes, entre... rien. pas de connexion, s'il y n'y avait les gros plans de paysages post-apocalyptiques, on ne se sentirai même pas le danger spoiler: mon mari est à Hawaï avec une espèce de bêtes préhistorique mais je vais au boulot, et quand le téléphone sonne pour moi, je me dis que j'ai trop de boulot pour répondre, ou encore, je dis à mon fils de monter dans un bus les gens courent de partout mais lui accepte gentiment de me laisser et monte dans le bus sans broncher à croire qu'il allait faire une petite balade tranquille. Il y en a d'autre comme ça donc je m’arrête.

    2- parce qu'à la fin de chaque "séquence émotion" on n'a de cesse de se demander ce qu'a apporté cette scène à l'histoire et systématiquement la réponse est RIEN spoiler: Petit asiatique monte dans le métro, sans papa, sans maman, il risque de mourir, le héro le sauve et il (le petit) repart avec papa maman sans un merci sans un au revoir non mais pourquoi?
    .
    jusqu’à maintenant, je ne vois pas qu'elle était le positionnement scénaristique de base: mettre en avant Godzilla avec des scènes de combat magnifiques, d'autant que le film est en 3D, quitte à reléguer les héros humain au second plan (ce qui serait totalement justifié pour ce genre)...clairement non compte tenue de la pauvreté des combats et des effets spéciaux spoiler: le seul moment où j'ai sursauté de surprise c'est quand un oiseau est venu s'écraser sur la vitre du bus c'est dire!
    .
    Mettre en avant monsieur Ford, faire de lui le héro qui sauve le monde? Encore une fois non spoiler: il ne parvient pas à utiliser la seule de ses compétences qui justifiait sa présence sur les lieux, "moi pouvoir désamorcer une bombe en 60 sec mais je ne le ferai pas nananerère"

    Donc au final on a regardé quoi pendant deux heures...Du vide cinématographique.
    Dernier point négatif et pas des moindres, la bande son, quel horreur! devoir indiquer au spectateur quand trembler ou quand pleurer à coup de contrebasse et de violon, à des moments où il n'y a ni drame, ni action digne de ce nom, ni gros élan de guimauves hughgrantesques spoiler: sniff sniff godzilla disparait sous un nuage de poussière 1,2,3 violon, pleurons...ah bah non ça ne vient pas, scène suivante
    ...
    Mauvais film.
    thr34
    thr34

    18 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 mai 2014
    Franchement malgré les critiques négatives de certain, je suis partie de façon super enthousiaste pour allé voir ce film.
    Et ? Je suis très très déçu !
    Une histoire qui n'a rien à voir avec les autres Godzilla, ici il passe pour un Bisounours !
    De plus ce docteur avec sa bouche ouverte béant qui sert à rien pendant tout le film et qui ne dis rien pour aider alors que ça fait 15ans qu'il étudie le truc !
    Le fameux Bryan Cranston qui part bien trop tôt ... (Heinsenberg / Walter White

    Très déçu alors que je pensais remonter les notes du film ...
    1 étoiles et demi pour le son et les effets spéciaux + tsunami qui sont sympas
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 19 mai 2014
    Je suis d'ordinaire preneur de tels blockbusters, un plaisir coupable de voir un monstre géant détruire des villes, quel bonheur...
    Seulement voilà, la BA très alléchante de ce Godzilla new gen est loin du film malheureusement.
    Le constat va vite être établi, 2h de film, si on met les scènes où Godzilla apparaît bout à bout, cela doit représenter à peine 10 min... je pense que tout est dit.
    On s'ennui ferme pendant 1h30 avant de voir une scène vaguement sympa, cela dit bien réalisée.
    Le seul point positif est la réalisation du monstre, beau sous tous les plans, dommage qu'au final on ne le voit pas...
    Dans le même genre je vous recommande bien plus Pacific Rim.
    Julien D
    Julien D

    1 195 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 mai 2014
    C’est presque un pari fou qu’a fait la Warner de confier un projet d’une telle ampleur à un jeune réalisateur quasi-inconnu (son seul film n’avait, malgré sa qualité, pas fait parlé de lui). Ressusciter, à l’occasion de ses 60 ans, la plus grande icône du cinéma japonais qu’hollywood, via la patte de Roland Emmerich, avait déjà bafoué semblait utopique. Ce qu’en a fait Gareth Edwards se veut un hommage à la créature d’origine, puisqu’il en reprend le design imaginé par Ishirô Honda, en même temps qu’un dépoussiérage du mythe. Défendant un parti-pris qu’est celui de considérer le scénario coécrit par notamment Frank Darabont davantage comme celui d’un drame humain que comme celui d’un film catastrophe, le réalisateur y a mis en place ce qui faisait à la fois la force et la faiblesse de son précédent long-métrage, à savoir un perpétuel sentiment de frustration en ne nous faisant apparaitre le fameux monstre que par bribes jusqu’à ce que, dans la dernière partie du film, alors qu’on ne l’a jusque-là vu pleinement que dans deux plans, il ne devienne omniprésent à l’image. La majorité de l’intrigue n’est ainsi axée que sur ses personnages « humains », et là encore le fait de ne se concentrer que sur celui incarné par Aaron Taylor-Johnson (au jeu aussi lisse que l’est son rôle) limite terriblement la narration. Car si les bandes annonces avaient promis une part-belle au tandem Juliette Binoche-Bryan Cranston, les deux disparaissent bien rapidement, ne servant qu’à un modèle scénaristique sur le schéma convenu et tristement invraisemblable de « ton papa faisait sa petite enquête sur nous alors on va te révéler nos plus lourds secrets qu’on cache au monde depuis soixante ans, et puis on te laisse repartir mais si tu décides de sauver le monde tu nous fais signe et tu retrouveras en première ligne dans la bataille ultime parce que t’es surement le meilleur soldat de l’armée américaine ». Le personnage le plus intéressant est finalement celui de Ken Watanabe mais la façon dont il est exploité ne sert finalement qu’à rappeler les dangers du nucléaire, une morale qui semble n’être maladroitement mise en place que pour calmer les foudres des spectateurs nippons voyant se faire voler leur franchise nationale. Outre Binoche, les deux autres personnages féminins, Elizabeth Olsen, en femme du héros (et donc potentiel enjeu dramatique), et Sally Hawkins, en bras droit de Watanabe, ne servent strictement à rien à l’intrigue. Faire affronter Godzilla à deux autres kaijus rajoute à la dimension spectaculaire du film jusqu’à une surdose qui nous fait oublier l’aspect tragique de la destruction de la ville de San Fransisco, d’autant que celui-ci, pourtant revendiqué par le réalisateur, est complétement effacé par le fait que l’on ne voit explicitement autant civil se faire tuer et que chaque enfant que l’on voie réussisse toujours à retrouver miraculeusement ses parents. Puisque l’on est aux spoilers et aux invraisemblances, notons la pire d’entre elles qu’est l’explosion d’une immense bombe atomique aux larges de la côte californienne à la fin et dont on a occulté la déflagration et les retombées qui auraient dues condamnés les survivants. Parmi les réussites inattaquables du film, la bande originale qui devrait valoir à Alexandre Desplat une énième nomination à l’Oscar de la meilleure musique. Divertissant grâce à sa démesure mais jamais surprenant ou crédible, cette version 2014 de Godzilla devrait certes placer Edwards parmi les réalisateurs les plus en vue de ces prochaines années mais ne lancera pas de regain de popularité envers le roi des monstres.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 mai 2014
    Un monstre de médiocrité. J'ai vécu un calvaire pendant 2h. Déception totale du début à la fin. Très long à démarrer, avec un Godzilla passant presque aussi peu de temps à l'écran que notre compatriote Juliette Binoche. Des choix scénariste étranges, une musique mauvaise lorsqu'elle est présente, des bruitages dignes d'un T-rex de Jurassic Park 1, une mauvaise réalisation pour ce 2ème film de garera Edward et un Bryan Cranston disparaissant trop vite. Bref seules les dernières minutes donnent de l'épaisseur à Godzilla, et permettent de sauver les meubles. Un remake nettement moins bon que celui de Roland Emmerich de 1998. A ne surtout pas voir.
    ionbtz64
    ionbtz64

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 mai 2014
    "Mais... Mais..." "Ooooooooooh non..." "HEIN???..." "Pffff... Rolalaaaa!"
    Voilà, ce sont les réactions des spectateurs de la salle durant TOUT ce film!
    Et comment pourrai-je les blâmer? Car oui, ce film est une merde. Je ne dis pas ça pour le rabaisser méchamment, c'est un fait : c'est mou, c'est sombre, ça pue les bon sentiments, et dès qu'on voit le résultat, on s'empresse de tirer la chasse pour faire disparaitre l'étron cinématographique.

    Déjà, notre Kaju préféré deviens ici une sorte de de mère Nature, pétri de bonne intentions : il viens restaurer l'équilibre et la paix! Godzilla, prix Nobel de la paix 2014?
    Mais si il veut restaurer l'équilibre de la Nature, pourquoi sauve-t-il les humains (qui sont plus connus pour ravager la planète que pour leurs collections de pendules bavaroises !!!!)
    Alors oui, il casse tout en ville, mais il ne le fait pas exprès! Parce qu'il est geeenntil Godzii!! Tellement gentil qu'il n'hésite pas à plonger sous les bateaux de la marine américaine (qui est, encore une fois, la seule à pouvoir sauver le monde) pour ne pas abîmer leurs coques...
    Vous comprendrez donc que pour ce qui est du principe de base, c'est déjà mal barré...

    Le pire, c'est que Godzilla est traité comme un personnage secondaire, ne faisant que de brèves apparitions à l'écran, l'action étant concentrée sur le héros humain joué par Aaron Taylor-Johnson, qui fait tout pour retrouver sa famille afin de la protéger.
    Cela donne lieu à des scènes d'une mollesse et d'une mièvrerie absolument insupportable, dont le seul but était de donner une profondeur à des personnages qui reste malgré tout creux et fades, insipides et inodores, limite risibles (mention spéciale à Ken Watanabe, bon acteur au demeurant, mais qui devait sûrement être sous Prozac pendant le tournage.) . Tous les clichés y passe, du mec braquant son flingue sur un monstre de 20 mètres de haut (piu, piu, piu, t'es mort, vilain!!), à la ville reconnaissante, traitant Godzilla en héros lorsqu'il quitte gentiment (oui encore) le port de San Francisco.

    La plus grosse déception au niveau du casting, c'est Brian Cranston. Pas au niveau de son jeu, qui reste exceptionnel, mais plutôt pour la rapidité de son passage dans le film. On vous a vendu une bande annonce avez un Brian Cranston qui porterai tout le film? ESCROQUERIE!!! ENCULAÂADE!!!!
    Le seul personnage trouvant grâce à mes yeux est celui joué par Elizabeth Olsen, car c'est le seul qui reste plausible et cohérent.

    Enfin, revenons sur le seul intérêt de ce film : ses effets spéciaux. Celui qui diras que ce film est moche sera de mauvaise foi. Les images, les textures sont incroyablement bien rendues.....
    MAIS POURQUOI, POURQUOI GODZILLA RESSEMBLE À UN GROS CHAT LIBIDINEUX???
    Le Godzilla du film de 1998 était tellement plus classe!
    Ici, l'équipe du film a voulu réinventer le Godzilla d'origine (japonais), à la sauce 2014. Résultat? GODZILLA a un gros c.., des mimines potelées, une gentille (oui toujouuuurs!!!!) petite tête arrondie, et se retrouve flanqué d'expressions quasi-humaines!Il ne lui manque plus que la parole !

    Bref, je ne parle même pas des musiques, inexistantes, tout comme les personnages, ce qui s'ajoute à la longue liste de raisons qui font que je pense que ce film est en fait une parodie. Ils auraient voulu tuer Godzilla qu'ils ne s'y serai pas pris autrement.

    Un personnage-titre moche et accessoire, des acteurs au jeu franchement pas top, une intrigue simplette, un rythme mollasson, des clichés à pléthores, un orchestre en grève et une morale à deux balles, je vous le dis : restez chez vous, et qui sait, peut être que bientôt sortira un King Kong qui combattra la déforestation...
    yamilsuez@free.fr
    yamilsuez@free.fr

    3 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 mai 2014
    GROSSE DAUBE , Un vrai navet !!! , Les scènes se suivent et ne se ressemblent pas,les monstres sont laids,les personnages ne sont pas attachants. Le Godzilla d'Emmerich avait le mérite d'être drôle et plus intense.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 mai 2014
    Godzilla ou quand l'armée américaine s'essaye à copier le "devenez-vous même" français mais vu qu'ils ont trop de budget ils ont pu faire péter godzilla en bonus..(Fin juste pendant 10minute,ça reste un spot sur l'armée américaine hein!)
    J'ai halluciner u_u...Le soldat américain qui a sa famille tranquillement au bercail,l'omniprésence de l'armée,de la famille et de la religion.
    Et par dessus tout une vision Américano-centrée exacerbée qui nous laisse croire que toute l'humanité repose et n'est représentée que par les côtes américaines.
    Depuis dragon ball evolution je n'avais jamais été déçu par un blockbuster,étant bon public,mais là j'ai eu l'impression que la marine américaine essayait de violer mon cerveau 2heures durant..
    A chier.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 mai 2014
    Nul à chier ! Le scénario est complètement tordu et que parsemé d'incohérences ! Les monstres qui se nourrissent d'uranium ?!! Allo ? depuis quand l'uranium est un aliment ?? Enfin c'est comme manger du feu quoi, c'est une aberration scientifique inqualifiable. Sans parler de Godzilla qui débarque pour rétablir l'équilibre... mais l'équilibre de quoi au juste ?? Ajoutons des scènes qui ne servent à rien telles que celle du "School bus" qui est, comme par hasard, bloqué avec le gosse de Taylor-Johnson dedans. Déjà, comment l'armé peut-elle entreprendre de faire la guerre à Godzilla depuis un pont rempli de "School Bus" eux-mêmes remplis d'enfants. Faut m’expliquer la. Je pourrais continuer comme ça pendant des heures tellement ils nous prennent pour des cons du début jusqu'à la fin. Bref, je ne recommande pas, mais alors pas du tout !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 septembre 2014
    Enfin je vois ce fameux "Godzilla" ! Et malgrès tout ces avis mitigés, j'ai adoré ! Les acteurs sont vraiment bons (surtout Bryan Cranston mais dommage qu'on le voit si peu). La musique est juste excellente. Elle est en totale adéquation avec l'univers et l'ambiance du film. Les effets spéciaux quant à eux sont justes hallucinants ! Par contre j'ai préféré le design des MUTO à celui de Godzilla. En parlant de Godzilla, il est vrai qu'on le voit assez peu mais rassurez-vous, pour satisfaire vos envie de déstruction, les MUTO sont parfaits ! Le combat finale est lui-aussi très spectaculaires(le souffle atomique ! ). Comme défaut je dirais juste que les personnages ne sont pas assez développés et que le design de Godzilla est un peu décevant. Mais globalement, le film est aussi énorme que Godzilla !
    Alex*56*
    Alex*56*

    279 abonnés 314 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 mai 2014
    Je commencerais par dire que j'ai été généreux sur la note. J'aurai pu largement mettre moins, mais Gareth Edwards c'est donné les moyens de nous en mettre plein la vue avec son Godzilla plutôt impressionnant. Les têtes d'affiches sont pas vraiment convaincantes, Aaron Taylor-Johnson fait le job mais sans réel talent inné, alors que spoiler: Bryan Cranston et Juliette Binoche ne font au final qu'une courte apparition pour Binoche et une très brève partie du film pour Cranston
    . Dès les vingt premières minutes du film on attend indéniablement ce pour quoi on a payé nos places, Godzilla en action ! Et ce moment arrivera dans les vingt dernières minutes du film, les seules vraiment intéressantes (quoique, retirons les quelques scènes d'amour familiale et le compte est bon). Comme dit précédemment ce qui est dommage c'est que Godzilla est relayé au second plan, alors qu'on a droit à de longues scénettes de "Je pars pour sauver le monde, je reviens mon cœur" et puis bien évidemment les scènes d'appréhensions tout au long du film très pénible, je suis venu voir un film qui s'intitule "Godzilla" quoi ! Heureusement le monstre est quand même très spectaculaire, et les gros nanars du genre "Mega Shark vs. Giant Octopus" passent encore plus pour des marionettes, après Gareth Edwards a eu plus de 200 millions pour assouvir ses désirs. Le film ne vaut vraiment que pour ses vingt dernières minutes, les 1h40 précédentes servent de tremplin en expliquant le pourquoi du comment, ça nous passe par la tête mais l'esthétique du film nous accroche tout de même, très beaux effets spéciaux et bonne photographie. Le film a également sont lot de destructions, spoiler: peut être même les plus gros dégâts de l'année 2014
    , ainsi qu'une spoiler: bataille à ne pas manquer entre Godzilla et ces "proies"
    , malgré spoiler: leurs tailles imposantes qui ne permettent pas vraiment des mouvements différents
    .
    En bref c'est un film qui n'est pas vraiment indispensable, mais qui ce laissera regarder par son esthétisme et son "Monstre" devenu culte au cinéma, qui donne tout à la fin du film. Malgré les scènes classique d'"amour familiale" et de patriotisme américains. Pas trop mal.
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