Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Filmé dans des décors naturels, modestes et vrais. La dramaturgie élémentaire ne fait pas écran avec le réel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Monde
par Coralie Huché
Loin d'être manichéen, "Neko, la dernière de la lignée", se veut aussi paradoxal que les effets de la colonisation (des Nenets par les Russes]. La réalisatrice dépeint une histoire devenue impersonnelle, dans laquelle chacun peut se plonger. Les sons du quotidien, la neige et le silence se chargent de l'ambiance. Le spectateur de juger.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Première
par Isabelle Danel
Ce portrait d'une minorité écrasée souffre d'une structure empesée et du jeu trop approximatif des acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Le choix d'une mise en scène tendue entre documentaire et pittoresque, un rien clinique dans sa forme [...] contre partiellement son propos. Cette austérité de façade finissant par atténuer la force émotionnelle et lisser la dimension politique de ce destin.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Mathilde Blottière
Cette histoire d'assimilation forcée vaut pour le portrait d'une minorité méconnue. Dommage qu'un style "brechtien" (les personnages s'adressent parfois à la caméra) l'alourdisse inutilement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
Filmé dans des décors naturels, modestes et vrais. La dramaturgie élémentaire ne fait pas écran avec le réel.
Le Monde
Loin d'être manichéen, "Neko, la dernière de la lignée", se veut aussi paradoxal que les effets de la colonisation (des Nenets par les Russes]. La réalisatrice dépeint une histoire devenue impersonnelle, dans laquelle chacun peut se plonger. Les sons du quotidien, la neige et le silence se chargent de l'ambiance. Le spectateur de juger.
Studio Ciné Live
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Première
Ce portrait d'une minorité écrasée souffre d'une structure empesée et du jeu trop approximatif des acteurs.
TéléCinéObs
Le choix d'une mise en scène tendue entre documentaire et pittoresque, un rien clinique dans sa forme [...] contre partiellement son propos. Cette austérité de façade finissant par atténuer la force émotionnelle et lisser la dimension politique de ce destin.
Télérama
Cette histoire d'assimilation forcée vaut pour le portrait d'une minorité méconnue. Dommage qu'un style "brechtien" (les personnages s'adressent parfois à la caméra) l'alourdisse inutilement.