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FeetLover
31 abonnés
289 critiques
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0,5
Publiée le 18 mai 2014
Je suis allergique aux films Français, mais quand en plus, il y a une actrice Italienne, alors la j'attrape des boutons. Sérieux, c'est quoi cette mode de mettre des actrices Italiennes dans les films Français ? Mon problème : l'accent EPOUVENTABLE. Après, chacun ses goûts, mais pour moi, c'est indigeste au possible. L'accent à la Belucci, idem dans le film avec Didier Bourdon : Madame Irma : imbuvable rien qu'à cause de l'Italienne. Moi, les accents Italiens, j'arrive pas, je ne sais pas pourquoi, mais je peux pas. Le film quand à lui, est ultra mauvais. Seul Gérard Darmon sauve le film du naufrage.
Je l'avoue, je m'attendais à pire tant Franck Dubosc a le don de m'horripiler avec toujours la même dégaine : celui du séducteur immature tête à claques. Encore à la télé dans des sketchs, ça va cinq minutes. Mais sur un film entier...Dans Bienvenue à bord, CQFD. Il ressort sa panoplie de dragueur de bac à sable. Mais il arrive à être drôle. Si, si. On dirait en fait un adolescent enfermé dans un corps d'adulte. Incroyablement bête. Prenant tout au premier degré. Toujours avec le sourire. Comme si la vie était une immense blague et qu'il ne fallait surtout pas la prendre au sérieux. Il bave sur la commandante de bord comme on pouvait baver à quinze ans sur la plus belle fille du lycée. Un adolescent, je disais. Eric Lavaine a sans doute trop regardé Le Dîner de cons. Excellente référence. Mais Rémy ressemble drôlement à François Pignon dans sa bêtise. La bonne humeur qu'il répand volontairement ou involontairement. Sa candeur. Son humanité. Faut-il s'en offusquer ? Quand on voit le patron trompant allégrement sa femme, le prof de gym couchant avec les passagères, les clients casse-pieds. On préfère l'idiot authentique, lui. Et parfaitement conscient de l'être. Tiens, ça ne rappelle pas un certain film de Francis Veber avec Thierry Lhermitte et Jacques Villeret, ça ?
Les couples se font et se défont sur fond de vengeance, d'égos, d'argent, de pouvoir. Un homme naïf qui n'aspire qu'au bonheur peut ainsi devenir le jouet d'une femme manipulatrice soucieuse de laver l'affront de ne pas devenir l'heureuse élue d'un homme dont elle a été la maîtresse pendant cinq ans. Curieuse morale qui fait le lit d'une comédie drôle, bien jouée par des acteurs justes, qui savent donner dans le ridicule comme dans le touchant.
Rien de bien exceptionnel mais une bonne comédie à voir en famille. N'y allez pas pour voir Valérie Lemercier au mieux de sa forme, son humour et son ton décalé sont absents à l'appel.
L'idée de départ est amusante mais l'humour de Franck Dubosc est trop lourd et le dernier tiers du film est dominé par l'ennui. C'est dommage de gâcher une idée, ça aurait pu être drôle. Darmon est un acteur insupportable à l'écran. 2/5
Rien d'extraordinaire! Je m'attendais à une comédie hilarante ... quelle déception! Quelques rires pour Dubosc (toujours en idiot attachant) et Enrico Macias en roseau!
Comment peut-on faire aussi mauvais ? Parce que l'histoire n'a aucun intérêt, alors que l'idée de départ pouvait promettre du burlesque on a un marivaudage raté finissant en mièvrerie et cela sans rythme ni surprise. Les gags font flop, les bons mots ne sont pas bons, quant à l'interprétation seuls Lemercier et Darmon font le boulot, les autres font peine à voir Dubosc en tête. Il parait qu'il a fallu un de préparation pour pondre ça, je rêve !
Eric Lavaine, transfuge de H, n’a jamais fait dans la dentelle. Après un sursaut avec le sympathique Incognito en 2009, il est bien vite retombé dans la lourdeur et le navet. Mais ses navets ont quelque chose de sympathique. Protéger et servir était très bas de plafond mais finalement très drôle de bétise (d'ailleurs j'avais fait quasiment la même critique). Même chose ici... La suite ici : http://lecinedefred2.over-blog.fr/
Ce n'est pas du haut niveau, l'humour est léger mais pas toujours mauvais. Rien de franchement drôle, surtout avec l'humour particulier de Franck Dubosc, qui a toujours le même type de rôle dans les films. Moyen, avec de la romance par-ci par là.
Une comédie déjantée , à l'humour souvent décalé, voir un peu loufoque. Les personnages sont drôles , un peu barrés. Un film mosaique aux personnages attachants. Dubosc est très bon , mais tous les autres rôles aussi, une bonne direction d'acteurs . A noter la bonne prestation de Enrico Matias, au second degré , pleine d'humour et de tendresse. Une certaine bienveillance humaniste aussi dans tout le film.
Éric LAVAINE livre une comédie familiale divertissante à défaut d'être transcendante. Le réalisateur français échoue dans sa manière d'exploiter le potentiel comique de son scénario et de ses interprètes. C'est dommage, car le casting avait vraiment de l'allure.
Autant je n'avais pas trouvé beaucoup de qualités à "Poltergay", autant j'avais adoré "Incognito" et apprécié "Protéger et servir". J'étais donc assez impatiente de découvrir le nouvel effort d'Eric Lavaine... et force est de constater que l'accroche ainsi que le casting avaient de quoi réjouir. Valérie Lemercier, Franck Dubosc et Gérard Darmon, tous trois réunis dans une comédie maritime... Voilà qui me semblait laisser augurer du meilleur. Et pourtant... Pourtant, j'ai été plutôt déçue. Le début du film est excellent, les joutes verbales entre les différents protagonistes abondent... Mais là où le bât blesse, c'est à partir du moment où l'intrigue verse dans le sentimentalisme dégoulinant et la niaiserie affligeante. Les séquences mettant en scène le gamin, Barnabé, figurent à ce titre parmi les plus énervantes du film... et ce ne sont pas les seules, loin de là d'ailleurs. La seconde moitié du métrage est trop "politiquement correcte" (Darmon et Lemercier qui rattrapent Dubosc après l'avoir foutu dehors, le gosse qui, ô miracle, finit par ouvrir la bouche, à la dernière minute, devant un Dubosc amoureux de sa mère, cette dernière, d'ailleurs, finissant par succomber au charme de monsieur alors qu'elle semblait indifférente au départ). La dernière demi-heure est tellement remplie de clichés, de sujets rebattus (tout est bien qui finit bien), de ficelles affligeantes grossièrement mises en place(Darmon finissant par tomber amoureux de Lemercier) qu'elle ne sauve pas le début du récit. Ce qui est bien dommage.