AlloCiné
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un tre bon film passé inapercu a l'epoque dommage a voir
On peut dire sans méchanceté aucune qu'on a affaire à un navet de chez navet.
De nombreux réalisateurs américains surfent ouvertement sur l'arrivée des effets spéciaux pour mettre au monde toute une série de films de bateaux et de monstres marins, fantômes et autres catastrophes.
On a droit à la version de Stephen Sommers, donc dénuée de toute forme d'originalité : on sait qui survivra dès les premières minutes du film, tout le reste, c'est des types qui tirent avec des armes à feu irréalistes sur un monstres qui prends les balles sans broncher.
Beaucoup de scènes de tension ratée, les gros durs qui se mettent à se pisser dessus et les "héros ordinaires" qui se mettent à prendre les choses en main.
Treat Williams est mauvais et sans aucun charisme, Famke Janssen joue la potiche de service, les autres sont... les autres.
En somme, un mix entre la grandiose saga Alien (les couloirs, les bébêtes qui sortent de partout et les marines qui se font dégommer à tout va), l'effroyable Arack Attack (sic, pour son infâme utilisation des effets spéciaux), l'Aventure du Poséidon (les premières scènes identiques et le cheminement dans le bateau), le Vaisseau de l'angoisse (qui s'avère en être un remake pur et simple) et bien sûr le nanaresque Piège en Haute Mer...
Préférez regardez son meilleur film, la Momie, où il arrive à nous divertir et nous faire rire.
De nombreux réalisateurs américains surfent ouvertement sur l'arrivée des effets spéciaux pour mettre au monde toute une série de films de bateaux et de monstres marins, fantômes et autres catastrophes.
On a droit à la version de Stephen Sommers, donc dénuée de toute forme d'originalité : on sait qui survivra dès les premières minutes du film, tout le reste, c'est des types qui tirent avec des armes à feu irréalistes sur un monstres qui prends les balles sans broncher.
Beaucoup de scènes de tension ratée, les gros durs qui se mettent à se pisser dessus et les "héros ordinaires" qui se mettent à prendre les choses en main.
Treat Williams est mauvais et sans aucun charisme, Famke Janssen joue la potiche de service, les autres sont... les autres.
En somme, un mix entre la grandiose saga Alien (les couloirs, les bébêtes qui sortent de partout et les marines qui se font dégommer à tout va), l'effroyable Arack Attack (sic, pour son infâme utilisation des effets spéciaux), l'Aventure du Poséidon (les premières scènes identiques et le cheminement dans le bateau), le Vaisseau de l'angoisse (qui s'avère en être un remake pur et simple) et bien sûr le nanaresque Piège en Haute Mer...
Préférez regardez son meilleur film, la Momie, où il arrive à nous divertir et nous faire rire.
Une série B voir C honnête dans son ensemble.
"Un cri dans l'océan" est une délicieuse série B de Stephen SOMMERS. Le film se contente gentiment de propulser son spectateur dans le vif du sujet et entame une jubilatoire traversée des enfers maritimes dans un bateau se transformant en maison hantée pour des personnages, livrés en pâture à une créature sous-marine terrifiante. Malgré la simplicité de l'entreprise, le film reste un divertissement qui se consomme comme une friandise.
UN APRES MIDI DE CHIEN. Il parait que l'eau salée revivifie le corps et l'esprit. En fonction surement des courants et des échanges cellulaires. En profondeur, l'odeur du fracas, en surface, carcasse d'abîme.
Yetcha
Un alien nautique pas mal foutu mais fort classique. Le huis-clos est sympathique et le film ne manque pas d'action. Une soirée DVD tranquillou!!!
Il n'y a pas à dire. J'adore Stephen Sommers. Sa générosité. Sa sincérité. Il ne gagnera jamais l'Oscar du meilleur réalisateur. Mais il offre au spectateur avide de pop-corn largement de quoi se vider la tête. Avec Un cri dans l'océan, c'est comme s'il avait mélangé dans son chaudron Alien, Poséidon, Predator ou Anaconda. Finnegan, sorte de parent éloigné de Rick O'Connell, est un aventurier au long cours aux fréquentations douteuses. Embarquant avec lui une véritable petite armée de mercenaires armée jusqu'aux dents (ressemblant aux soldats de Predator, donc), il les emmène couler un paquebot de croisière avec la complicité du capitaine du navire désireux d'en toucher l'assurance. Je m'attendais à une chasse au trésor. Finnegan, pour moi, ça sonne un peu comme Indiana Jones. Un chasseur de trésor aimant explorer des contrées lointaines sur son rafiot. Avec des courses-poursuites en bateau. Des abordages. Des duels à l'épée. Des pirates. Des tonneaux de rhum. En réalité, on se rapproche plus du film d'horreur dans un espace confiné. Autant dire que Sommers y va fort avec les effets gores. Je crois qu'à cette époque il était toujours en contrat avec Disney (il a fait pour eux Les Aventures de Huckleberry Finn et Le Livre de la jungle coup sur coup en 1993 et 1994). Ça a dû leur faire drôle. La bestiole est vraiment laide. Et là, on s'aperçoit que le temps a fait son œuvre. Mais pas seulement. Les dinosaures de Jurassic Park du père Spielberg étaient bien mieux faits. Heureusement que Sommers ne la montre pas trop. C'est le type de film où tu sais par avance qu'ils vont tous se faire tuer. Le plus drôle étant de savoir comment. Et où on sait aussi qui va survivre. Mais bon, ce n'est pas si grave car la conclusion n'est pas celle habituellement utilisée dans ce genre de films. Une suite aurait été intéressante en ce sens mais Sommers s'y est toujours refusé par rapport à la série Lost qui commence de la même façon. Pourtant, vu qu'il se fait plus rare depuis Van Helsing, il pourrait caler ça dans son agenda. Stephen, tu me manques.
Cela ressemble à une parodie des films de James Cameron, avec un humour bien présent et des personnages volontairement stéréotypés. Mêmes les acteurs ne se prennent pas au sérieux, donc on sait à quoi s'en tenir dès les premières minutes, mais c'est voulu comme dans tous les films de Sommers et les spectateurs qui ne l'auront pas compris seront déçus! De bonnes scènes d'action sauvent les effets spéciaux un peu dépassés et on a même droit à quelques moments sanglants (voir gores)!
Ce mélange des genres nous donne un film sympa et divertissant qui remplit bien sa mission, à voir si l'occasion se présente. (Pas mal)
Ce mélange des genres nous donne un film sympa et divertissant qui remplit bien sa mission, à voir si l'occasion se présente. (Pas mal)
Alors là, c'est phénoménal! Un survival horreur digne d'une comédie involontaire, où l'on espère que les personnages de cette histoire intolérable meurs tous le plus vite possible, et ce, dans des conditions bien pire, que ce que cette réalisation met en oeuvre, tellement ils sont affreusement agaçants... Je ne parle pas de l'image de synthèse de l'époque qui n'aide pas, ainsi que des répliques qui pourraient presque devenirs cultes à chaque fois que l'un d'eux énumère son script... Heureusement, on arrive quand même à rigoler à quelques reprises au détriment de sursauter de peur, avec ces 1h40 de montage, qui en paraissent 5, voir plus.
Redzing
Une série B avec des hauts et des bas. Le pitch (un commando débarque dans un navire infesté d'une saleté affamée) est pompé sur "Aliens", plus quelques autres références, et les personnages sont caricaturaux : le baroudeur désabusé, l'homme d'affaire véreux, les mercenaires durs à cuir mais stupides, et le comique de service irritant. Par ailleurs les effets spéciaux sont assez moches. Stephen Sommers parvient néanmoins à pondre plusieurs scènes réussies, mêlant action et horreur, avec notamment quelques morts assez gore. On notera également un final amusant. Ainsi, si "Deep Rising" est loin d'être exempt de défaut, il se révèle suffisamment divertissant sur la longueur.
Shawn777
Ce film, réalisé par Stephen Sommers et sorti en 1998, n'est franchement pas mal du tout ! Pourtant, venant d'un réalisateur capable du meilleur comme du pire, je ne savais vraiment pas à quoi m'attendre et le synopsis révélateur d'une série B pas bien originale ne m'incitait pas vraiment à découvrir le film. Finalement, sans en être follement original donc, nous sommes tout de même devant un bon film d'action horrifique bien sympathique ! Dans le genre, il y a bien pire et on peut presque y voir ici un petit avant-goût, une sorte de brouillon, de "La Momie", qui lui sera beaucoup plus réussi. Mais bref, c'est ici l'histoire d'un groupe de mercenaires qui se rend sur un bateau de croisière dans le but de le piller et de le faire exploser. Mais le bateau en question a déjà été accosté par des monstres marins. Nous retrouvons tous les clichés de ce genre de film d'action, et notamment en ce qui concerne la galerie de personnages, tous stéréotypés. Nous avons par exemple le héros malgré lui, la femme forte qui s'entiche du héros, le side-kick rigolo, l"enfoiré et les soldats un peu débiles. Tous les profils se dessinent d'ailleurs assez vite, ce qui fait que nous savons dès les premières minutes qui va s'en sortir et qui va y rester. Les situations sont également clichées et la fin ne laisse pas vraiment de place à la surprise, malgré un final malgré tout bien pensé, laissant présager une suite. Mais malgré tout, cela ne nous empêche pas de rentrer dans le délire et de suivre cette histoire avec un certain enthousiasme. Le côté divertissant est en effet très bien géré, l'action très bourrin fait du bien de temps en temps et puis les monstres, même si les effets numériques ont aujourd'hui bien vieillis, restent très corrects pour l'époque. Établir l'histoire sur un bateau est très intéressant car cela peut donner lieu à des scènes angoissantes, notamment avec des couloirs exiguës, l'eau qui monte etc. En ce qui concerne les acteurs, nous retrouvons Treat Williams, habitué aux séries B et qui est un peu constamment en surjeu, Framke Janssen, Kevin J. O'Connor, Anthony Heald etc. qui jouent relativement bien. "Un cri dans l'océan" reste donc un film d'action bien sympathique et divertissant.
Nicothrash
L'avantage avec Stephen Sommers c'est que l'on sait à quoi s'attendre, de la série B sans prise de tête pour en général un résultat assez correct. C'est le cas ici, du bon B-movie qui tâche avec scènes d'action à foison, fusillades en série et autres punchlines bien senties (des fois ...). Le casting ici reste également assez surprenant avec pêle-mêle Treat Williams, la séduisante Famke Janssen, Jason Flemyng, Djimon Hounsou ou encore Cliff Curtis de "Fear TWD". On notera en outre quelques effets spéciaux de qualité et d'autres un peu moins ... On ne s'ennuie pas, on prend du plaisir même s'il est coupable et le tout passe facilement, contrat rempli, il ne faut jute pas en attendre de trop.
Une série B qui aurait pu virer série Z sans le savoir-faire de Stephen Sommers!
Un casting original (Treat Williams en héros comme Sommers les affectionne, Wes Studi en salaud, Famke Jansenn, Kevin J. O'Connor, Anthony Heald, Djimon Hounsou...), des effets spéciaux étonnants, des scènes franchement dégueu' (le mec recraché par le monstre dans un état immonde, Wes Studi en train de se faire avaler...) et une fin plutot pas mal (sur l'île).
A résever aux fans de films de monstres néanmoins!
Un casting original (Treat Williams en héros comme Sommers les affectionne, Wes Studi en salaud, Famke Jansenn, Kevin J. O'Connor, Anthony Heald, Djimon Hounsou...), des effets spéciaux étonnants, des scènes franchement dégueu' (le mec recraché par le monstre dans un état immonde, Wes Studi en train de se faire avaler...) et une fin plutot pas mal (sur l'île).
A résever aux fans de films de monstres néanmoins!
Pur série B de luxe, le réalisateur Stephen Sommers récite ses classiques sans vergogne, de "Piège de cristal" à Aliens ou encore Prédator, on s'amuse devant ce monster's movies, mélant aventure, explosion, héroisme chevroné et humour, certes pas souvent approprié, totu comme les clichés du genre. Certains effets spéciaux pêchent par leur amateurisme mais d'autres restent tout à fait crédible comme la destruction finale du bâteau, référence d'utilisation intélligente de maquette à l'instar de la destruction de la Maison-Blanche dans "Independence day", l'époque des films (1997) où on héistait pas à utiliser cette méthode, chose malheuresement en 2009 presque révolu, dixit le génie des FX Patrick Tatopoulos. On a droit à l'histoire entre le beau héros et la dame joué par la magnifique Famke Janssen, laquelle on aimerait à l'instar du héros se retrouver sur une île déserte comem la fin du film. Enfin pas si déserte finalement !!! Pas au bout de leurs surprises, nos deux aventuriers...
Stephen Sommers habitué des "grosses productions" (Le roi scorpion, le retour de la momie, Van Helsing) propose içi un film d'une moindre envergure, ce ne serait pas un problème (au contraire) si le scénario était convenable, malheureusement il n'en est rien ! ! Frisant souvent le ridicule, l'histoire en plus d'être téléphonnée est soporifique à souhait... Un croisement entre Alien et la croisière s'amuse, à eviter !
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